Fiches individuelles


SAIGNARD (de ) Thérèse
Décès : après 1695

Père : SAIGNARD de QUEYRIÈRES (de ) François ( ? - > 1695 )
Mère : LA RIVOIRE (de ) Hélène ( ? - ? )

Note individuelle : Septième enfant du couple, légataire, le 27 juillet 1695 (source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, page 219).

SAIGNARD (de ) Thérèse
SAIGNARD de QUEYRIÈRES (de ) François
SANHARD (de ) Antoine
DES BOSCS de SOLIGNAC Claire
LA RIVOIRE (de ) Hélène
LA RIVOIRE (de ) Christophe
BOULIEU (de ) Magdeleine




SAIGNARD d'ETABLES (de ) Pierre Georges
Ecuyer, commandant de bataillon au régiment d'Auvergne - Seigneur d'Estables, Montméa, Chazeaux, chevalier de Saint-Louis

Baptême : 21 mai 1720 à Yssingeaux 43
Testament : 12 avril 1760
Il teste avant de partir au service, et lègue à sa tante Marie Alexie de SAIGNARD de CHAZEAUX, une pension en rente viagère de 200 Livres, à Pierre Joseph de SAIGNARD de CHAZEAUX son frère, une pension de 100 Livres, à Pierre Louis de SAIGNARD son frère, une pension de 100 Livres au cas où il ne serait pas prêtre. Il nomme Dame Catherine Françoise de BONNEFOUS sa mère, héritière universelle, à la charge de remettre son entière hérédité à ses frères germains Jean Gaspard Alexis, Joseph Aymé, Aléxis Sébastien, Joseph Raymond Bénigne et Jean-Louis, évaluant à 4 000 Livres ses bestiaux, meubles et immeubles, comme dans le dernier testament de son père en date du 4 septembre 1759 (source : Les SAGNARD de CHOUMOUROUX, par Jérôme SAGNARD, page 16).
Décès : 21 prairial an II à Saint-Didier-la-Séauve 43 dans la prison de Montfranc, victime d'un geôlier ivrogne et brutal, nommé CHOMEL.

Père : SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis ( 1681 - 1760 )
Mère : BONNEFOUX Catherine Françoise ( ? - ? )

Note individuelle : Fut rayé du contrôle en 1763.
Premier enfant du couple (source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, page 221).
Il est mentionné en 1769 dans le testament de sa tante Marie Alexie. Il est chevalier de Saint-Louis en 1748, Commandant au régiment d'Auvergne le 6 février 1761, rayé du contrôle en 1763, commandant de bataillon au Régiment d'Auvergne. En 1766, il assiste au château de Crozes, au mariage d'André VéRON de LA BORIE, seigneur de La Valette, capitaine au régiment d'Auvergne, chevalier de Saint-Louis, gouverneur de l'Ile de Sainte-Lucie de 1783 à 1789, avec Jeanne Mariede CHALENDARD, fille de Claude de CHALENDARD et de Jeanne FOUREL. Il donne à son frère Pierre Louis, comme titre clérical (rente et argent), le domaine du moulin de Choumouroux. En 1770, il est témoin au testament du curé de Champanhac. En 1789, il donne procuration en faveur de son neveu, Pierre Louis François de LA ROCHENéGLY, pour assister à l'Assemblée de la noblesse du Velay, qui se tient au Puy le 31 mars 1789. François CHARBONNEL, chevalier de Betz, son voisin de cellule, meurt dans les même conditions dix jours après lui (source : Les SAGNARD de CHOUMOUROUX, par Jérôme SAGNARD, page 13).
Pierre SAGNARD de CHAUMOUROUX (cf d'ETABLES ou DUBESSEY d'ETABLES), 19 ans, né en mai 1720, est d'Yssingeaux. Auvergne, Lieutenant en second le 21 juin 1739 [19 ans], Enseigne ......, Lieutenant ......, Capitaine le 13 décembre 1743, Aide-major ......, Capitaine de Grenadiers le 13 mai 1759, Commandant de bataillon le 15 novembre 1760 (source : Notices SHAT Yb 120 f° 62, Yb 121 f° 80v, Yb 123 f° 62v).
D'ETABLES, se nomme aussi DUBESSEY d'ETABLES, -d°- CHAUMOUROUX (alias SAGNARD de CHAUMOUROUX), 19 ans, Pierre Georges, né en mai 1720 à Yssingeaux, [Les Etables, bourgade près Fay-sur-Lignon et Le Puy]. Auvergne, Lieutenant en second le 21 juin 1739 [19 ans], Enseigne le 6 septembre 1739, Lieutenant le 30 octobre 1740, Capitaine le 13 décembre 1743, Aide-major le 21 octobre 1746, pourvu d'une compagnie le 20 mai 1747, Commandant de bataillon le 15 novembre 1760. Se nomme aussi [Le nom DUBESSEY a été rayé sur le registre 120 et remplacé par CHAUMOUROUX], [Le nom d'ETABLE de CHAUMOUROUX a été rayé du registre 121 et remplacé par SAGNARD de CHAUMOUROUX] (source : Notices SHAT Yb 120 f° 62, Yb 121 f° 80v, Yb 123 f° 62v).
DUBESSEY CHAUMOUROUX (cf d'ETABLE, ou SAGNARD de CHAUMOUROUX rajouté au dessus d'ETABLES [registre 121], 19 ans [ non rayé au registre 121], Pierre Georges est d'Yssingeaux né en 1720. Auvergne, Lieutenant en second le 21 juin 1739 [19 ans], Enseigne ......, Lieutenant ......, Capitaine le 13 décembre 1743 (x), Aide-major ......, pourvu d'une compagnie ......, Capitaine de Grenadiers le 13 mai 1759, Commandant de bataillon le 15 novembre 1760, (x) il a un ordre de ce jour qui lui fait prendre rang entre les Capitaines le 15 septembre [1743] (source : Notices SHAT Yb 120 f° 62, Yb 121 f° 80v, Yb 123 f° 62v).
Campagne de 1758, bataille de Crevelt.
Le nouveau commandement eut l'honneur (juin 1758) de remmettre la crois de Saint-Louis aux officiers suivants, signalés comme ayant été blessés ou comme s'étant distingués :
Infanterie : les capitaines d'ASSAS (François), de CHOUMOUROUX (2) et de SASSELANGE, du régiment d'Auvergne.
(2)SAGNARD de CHOUMOUROUX (Pierre-Georges), né en 1720, est d'Yssingeauxen Velay.-- Lieutenant en second, 1739; enseigne, même année; lieutenant, 1740; rang de capitaine, 1743; aide-major, 1746; pourvu d'une compagnie, 1747; capitaine de grenadiers, 1759, commandant de bataillon, 1760. (Registre, rang des capitaines, 1748 à 1763) Cet officier a dû quitter le service en 1762, car il ne figure plus au matricule de 1763. L'orthographe du nom est SANHARD. Le registre porte d'abord dETABLE de CHOUMOUROUX. Le mot d'Etable est ensuite rayé, et au dessus est écrit SAGNARD.
(source : Histoire de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, par Alex MAZAS, Paris, 1860, tome I, pages 466-467).

SAIGNARD d'ETABLES (de ) Pierre Georges
SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis
SAIGNARD (de ) Jean-Joseph
BRUN Catherine
BONNEFOUX Catherine Françoise
 
 




SAIGNARD DAILLER (de ) Claudine dite de SAIGNARD de La FRESSANGE - 271
Naissance : vers 1680
Inhumation : 12 juin 1770 à Saint-Didier-la-Séauve 43 dans l'église paroissiale ( Source )
Décédé la veille.

Père : ALLIER de SAIGNARD Gabriel ( ~ 1627 - 1702 )
Mère : NAVETTE (de ) Marguerite ( ? - < 1700 )

Union : PICHON Joseph Gabriel ( 1682 - < 1757 )
Mariage religieux : 30 janvier 1714 à Saint-Didier-la-Séauve 43 ( Source )
Enfants : PICHON Jean-Joseph ( 1715 - 1776 )
PICHON Jean ( 1716 - ? )
PICHON Jacques ( 1717 - ? )
PICHON Marie ( 1721 - ? )
PICHON Catherine ( ~ 1726 - 1770 )
PICHON Jean Joseph Nicolas ( 1727 - ? )
PICHON Marguerite ( 1731 - an VI )
Note familiale : Ce couple eut deux enfants prénommés Jean Joseph, l'un né le 5 janvier 1715, et le second le 10 mai 1727. Lequel est celui qui décède en 1776 ? Lequel est celui qui teste le 14 avril 1745 chez maître GUIGONNET, notaire à Saint-Didier ?
Note individuelle : Quatrième enfant du couple, elle fut admise à Saint-Cyr, comme sa soeur Marie.
Donations et pactes de mariages au sujet desquels sont nommés entre autres : ... AURIER, Antoine, seigneur du Fay, avocat ; ... SAGNARD (de), Claudine, à Saint-Didier ; ... etc... (1754) (AD 43 B67).

SAIGNARD DAILLER (de ) Claudine
ALLIER de SAIGNARD Gabriel
SAIGNARD (de ) Jean
ALLIER de LA FRESSANGE Clauda
NAVETTE (de ) Marguerite
NAVETTE (de ) Jean
MERVAN (de ) Marie Rachel




SAIGNARD de CANSON (de ) François
Baptême : 12 octobre 1653 à Vocance 07

Père : SAIGNARD de CANSON (de ) Jean-Baptiste ( ? - <> 1676 & 1694 )
Mère : PICHON de LA RIVOIRE Marguerite ( ? - 1670 )

SAIGNARD de CANSON (de ) François
SAIGNARD de CANSON (de ) Jean-Baptiste
SANHARD (de ) César
LANGON (de ) Claude, ou Clauda
PICHON de LA RIVOIRE Marguerite
PICHON Jean-Baptiste
GROSSELIER Suzanne




SAIGNARD de CANSON (de ) Jean-Baptiste
- Ecuyer, seigneur de Glavenas et de Canson

Testament : 20 janvier 1641
Décès : entre 1676 et 1694
A Vocance selon Bruno Rougier.

Père : SANHARD (de ) César ( J ~ 1560 - > 1641 )
Mère : LANGON (de ) Claude, ou Clauda ( J ~ 1570 - ? )

Union : PICHON de LA RIVOIRE Marguerite ( ? - 1670 )
Mariage par contrat : 14 janvier 1636 Maître PERRIER, notaire royal de Veulron (ou Veubron)
Témoin : SAIGNARD (de ) Antoine ( ~ 1636 - 1681 )
Enfants : SAIGNARD de CANSON (de ) Marie ( ~ 1650 - 1694 )
SANHARD (de ) Marie Marhe ( 1652 - ? )
SAIGNARD de CANSON (de ) François ( 1653 - ? )
SAIGNARD de CANSON (de ) Joseph César ( ? - < 1747 )
SANHARD (de ) Jean-Baptiste ( ? - ? )
Note familiale : 4 janvier 1606, grosse en papier, passée devant Jean PÉRIER, notaire royal de Vaubron du contrat de mariage de noble Jean-Baptiste de SAIGNARD, seigneur de Glavenas, du lieu de Maumeyre, paroisse de ville, baronnie de Vaubron, bailliage de Velay, sénéchaussée du Puy, diocèse de Vienne, fils naturel et légitime de Noble César de SAIGNARD, Seigneur de Maumeyre et autres places, et de Demoiselle Claude de LANGON, ses père et mère, et assisté de noble Antoine de SAIGNARD, seigneur de Maumeyre, frère dudit Jean, d’une part, et demoiselle Marguerite de La RIVOIRE de LANSON, du lieu de Girard de Lanson, paroisse et baronnie dudit Vaubron, bailliage et sénéchaussée et diocèse du Puy, fille naturelle et légitime de feu Noble Jean Baptiste de La RIVOIRE, et de demoiselle Suzanne de BROSSOLIER, ses père et mère d’autre part.
(Source : http://sagnard.e-monsite.com/medias/files/genealogie-jean-joseph-de-sagnard-de-lafressange-1.pdf).
Note individuelle : Troisième enfant du couple, maintenu dans sa noblesse le 20 décembre 1668, habitant à Beauregard, paroisse de Vocance.
Lettres de grâce pour Jean-Baptiste de SAIGNARD, écuyer, seigneur de Glavenas, qui avait tué involontairement d'un coup de pistolet, Antoine JAMET, son domestique, pour avoir engrossé demoiselle Guionne de LA RIVOIRE, soeur de la Dame de Glavenas (Arch Dep B 24).
Légataire le 20 janvier 1641. Il fut maintenu dans sa noblesse, le 20 décembre 1668 (source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, page 215).
Canson est un fief ou domaine dans la Vaulcance (Vocance), qui fut possédé pendant longtemps par des familles nobles qui en tiraient leur surnom.
Il habitait à Beauregard, mandement de Vaucance. Avant 1657, il signait SAIGNARD, et après CANSON. Il fut maintenu dans sa noblesse le 20 décembre 1668. Il obtient des lettres de grâce pour avoir tué involontairement d'un coup de pistolet, Antoine JAMET, son domestique, qui avait engrossé Guionne de LA RIVOIRE, sa belle-soeur un peu simple d'esprit.
Le fief de Canson lui vient de la famille GROSSELIER.
Le 30 avril 1693, il comparaît à une délibération des consuls de Vaulcance, concernant la déclaration de ceux qui possèdent des fiefs, rentes et héritages nobles dans le mandement de Vaulcance.
(source : Les SAGNARD de CANSON et leurs descendants le BAROU de LA LOMBARDIèRE de CANSON, par Jérôme SAGNARD, page 7).

SAIGNARD de CANSON (de ) Jean-Baptiste
SANHARD (de ) César
SANHARD (de ) Pierre
BONNISSOLLE (de ) Suzanne
LANGON (de ) Claude, ou Clauda
LANGON (de ) Claude Paul
BLEYNIER Claude


                     


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