Fiches individuelles


NAVETTE (de ) Claude François Dominique
Chevalier, capitaine au régiment de Dauphin-infanterie - Comte de Chassignolles, chevalier de Saint-Louis

Naissance : 21 novembre 1735 à Chassignoles 43
(Source : A moi Auvergne ! n°055, pa 39 question A 1834).

Père : NAVETTE (de ) Aymard ( ~ 1695 - 1763 )
Mère : CORDEBOEUF de MONTGON (de ) Marie ( ~ 1695 - 1769 )

Union : CHAMPIER de SAINT-ANDRÉ (de ) Henriette Françoise Elisabeth ( ? - ? )
Mariage religieux : 13 septembre 1768 Sansac
Enfant : NAVETTE de CHASSIGNOLLES (de ) Charles Jean ( 1776 - ? )
NAVETTE (de ) Claude François Dominique
NAVETTE (de ) Aymard
NAVETTE (de ) Louis
BARDON (de ) Antoinette
CORDEBOEUF de MONTGON (de ) Marie
 
 




NAVETTE (de ) Claudine
Naissance : après 1659

Père : NAVETTE (de ) Aymard ( ~ 1633 - 1711 )
Mère : FALCONNET (de ) Claudine ( ? - ? )

Note individuelle : Mentionnée dans le contrat de mariage de son frère Louis en 1694 (source : Dictionnaire Généalogique des Familles d'Auvergne, par Albert de REMACLE, ARGHA, 1995, tome III, page 39).

NAVETTE (de ) Claudine
NAVETTE (de ) Aymard
NAVETTE (de ) Louis
RAYMOND (de ) Toussainte
FALCONNET (de ) Claudine
 
 




NAVETTE (de ) Dorothée
Père : NAVETTE (de ) Aymard ( ~ 1633 - 1711 )
Mère : MYNET Dorothée ( ~ 1642 - 1710 )

Union : MOREAU (de ) Jean ( ? - ? )
Mariage religieux : 12 juin 1714 à Le Chambon
Témoin : NAVETTE (de ) Marie ( 1683 - 1718 )
NAVETTE (de ) Dorothée
NAVETTE (de ) Aymard
NAVETTE (de ) Louis
RAYMOND (de ) Toussainte
MYNET Dorothée
 
 




NAVETTE (de ) François
- Ecuyer, seigneur de Chamboulaire

Naissance : vers 1677
Décès : 18 décembre 1707 à Le Chambon

Père : NAVETTE (de ) Aymard ( ~ 1633 - 1711 )
Mère : MYNET Dorothée ( ~ 1642 - 1710 )

Union : COLOMB Catherine ( ? - ? )
Mariage religieux : avant 1703
Enfant : NAVETTE (de ) Aymard ( 1703 - ? )
NAVETTE (de ) François
NAVETTE (de ) Aymard
NAVETTE (de ) Louis
RAYMOND (de ) Toussainte
MYNET Dorothée
 
 




NAVETTE (de ) Jean - 1 086
- Ecuyer, seigneur de Piroles

Décès : avant 5 octobre 1666

Père : NAVETTE (de ) Christophe ( ? - ? )
Mère : SAINT-POL (de ) Juste ( ? - ? )

Union : MERVAN (de ) Marie Rachel ( ? - > 1666 )
Enfants : NAVETTE (de ) Marguerite ( ? - < 1700 )
NAVETTE (de ) Catherine Charlotte ( ? - < 1709 )
Note familiale : Arrêt du Parlement de Paris du 12 février 1692 :
Le sieur Jean de NAVETTE, de la province de Forez, avait institué pour héritière la dame Marie RACHEL de MERUAULT, sa femme, à la charge qu'elle rendrait l'hoirie à l'une de ses trois filles, à son choix. Cette dame étant à Paris, à la poursuite d'un procès, y fit son testament, par lequel elle institua pour héritier Jean ALLIER de SAIGNARD, petit fils de Marguerite de NAVETTE, sa fille puînée. Après le décès de la mère, il y eût procès entre le petit-fils institué et Charlotte Catherine de NAVETTE, fille aînée de Jean de NAVETTE, laquelle prétendit que ce petit-fils n'avait pas pu être institué à son préjudice.
La cause ayant été plaidée au châtelet, parce que le testament avait été avait été passé à Paris, et que le scel du châtelet est attributif de juridiction, ce tribunal, adoptant les conclusions de M. d'AGUESSEAU, avocat du roi, depuis chancelier de France, prononça en faveur du petit-fils, le 4 décembre 1690; et la sentence fut confirmée par l'arrêt cité, sur les conclusions de M. LAMOIGNON, avocat général, depuis premier président.
(Source : Répertoire universel et raisonné de jurisprudence, Merlin Philippe-Antoine, Ed4, T2, p302).
Jean de NAVETTE, du pays de Forêts, avait institué son héritère Marie Rachel de MERUAULT sa femme, à la charge de rendre son hoirie à une de ses filles, qui étaient au nombre de trois, telle qu'elle voudrait choisir. La demoiselle de MERUAULT étant en cette Ville de Paris à la poursuite d'un procès, fit son testament, par lequel elle institua Jean ALLIER de SAIGNART, fils de Marguerite de NAVETTE, sa fille puînée; après le décès de la mère, il y eut procès entre le petit-fils institué d'une part, et Charlotte Catherine de NAVETTE, fille aînée de Jean de NAVETTE et de la demoiselle de MERUAULT.
Il y avait trois questions. La première, si le testament était valable, parce que la mère avait passé sous silence sa fille aînée. La seconde, si la mère avait simplement institué son petit-fils héritier universel, sans parler des biens de son mari, si cette institution valait une élection. La troisième, si la mère avait pû choisir son petit-fils au préjudice de sa fille aînée.
La cause fut portée au Châtelet, parce que le testament avait été passé à Paris, et que le scel du Châtelet est attibutif de juridiction. Par la sentence qui intervint à l'audience sur les conclusions de Monsieur DEGUESSEAU, pour lors avocat du Roi au Châtelet, depuis avocat général au Parlement;ensuite procureur général, et à présent Chancelier de France, le petit-fils gagna sa cause. La fille aînée ayant appelé de cette sentence, la cause fut mise la première au Rôle de Paris. Je plaidais pour l'appellante dans une juste confiance de réussir, ayant pour moi le sentiment de notre auteur, que l'on peut appeler l'Oracle de la Jurisprudence des pays du droit écrit, cependant suivant les conclusions de Monsieur le président de La MOIGNON, pour lors avocat général, lasentence fut confirmée, je crois devoir placer ici la sentence et l'arrêt.
Extrait des registres du Châtelet : A tous ceux, etc, salut, scavoir faisons, que sur la requête faite en jugement devant Nous, et le gens tenant l'audience de la Prévôté au Parc Civil du Châtelet de Paris, par maître Gilles BRUNET, procureur de Gabriel ALLIER de SAIGNARD, ecuyer, seigneur de La Fressange, père légitime administrateur et stipulant pur Jean-Joseph de SEIGNARD écuyer, son fils, héritier institué de dame Marie Rachel de MERUAULT, veuve de Jean de NAVETTE, écuyer, seigneur Depirolle, défendeur, prenant le fait et cause des Fermiers et débiteurs de la succession de ladite dame de MERUAULT, et demandeur en main-levée des saisies faites ès mains desdits Fermiers, suivant les moyens signifiés par DEVILLE, audiencier en cette cour le vingt-sixième jour d'août dernier, et encore demandeur en délivrance du legs universel fait audit sieur de SEIGNARD fils, par ladite dame de MERUAULT, par ses testament et codicile des 21 novembre 1689 et 19 février dernier, suivant les moyens signifiés le 18 septembre aussi dernier; et encore demandeur en exécution de notre sentence su septième novembre audit an, assistés de maître DAVERDY son avocat, cotre maître BOURDEREAU procureur de dame Catherine Charlotte de NAVETTE, femme séparée de biens d'Antoine BERTAULT, seigneur de La Chapelle, demandeur aus fins de l'exploit fait par COULLON huissier royal au bailliage de Forêts le 3 août dernier, assistée de maître MAUDUIT son avocat, parties oüies, ensemble noble homme DAGUESSEAU avocat du Roi en ses conclusions, sans que les qualités puissent préjudicier aux parties. Nous, faisant droit sur les demandes et constetations des parties, ordonnons que le testament de ladite défunte sera exécuté; et en conséquence avons fait délivrance à ladite partie de DAVERDY, des legs universels et particuliers portés par icelui, et en conséquence, que le scellé qui a été apporté sur les effets de ladite défunte, sera levé à la diligence de la partie DAVERDY; ensemble lui avons fait main-levée des saisies faites ès mains desdits débiteurs, lesquels à payer et vuiderleur mains en celles de ladite partie DAVERDY seront contraints, quoi faisant décherges, tous dépens compensés; la présente exécutée sans préjudice de l'appel, et audit cas en baillant caution, qui sera reçu pardevant M. PETITPAS, en témoin de ce, etc. Donné au Châtelet par messire Jean Le CAMUS, chevalier, etc. lieutenant civil, tenant le siège le jeudi quatrième jour de décembre 1690. Signé par collation, JOSSE.
Extrait des registres du Parlement : Entre dame Catherine Charlotte de NAVETTE, femme séparée quant aux biens d'Etienne BERTAUT, seigneur de La Chapelle, appellante d'une sentence rendue par le Prévôt du Châtelet de Paris le 4 décembre 1690 d'une part, et messire Gabriel ALLIER de SEIGNARD, seigneur de La Fressange, père et légitime administrateur, et stipulant pour Jean-Joseph de SEIGNARD son fils, intimé d'autre part; après que BRETONNIER pour l'appellant, et DAVERDY pour l'intimé ont été oüies, et de La MOIGNON pour le procureur général du Roi pendant deux audiences. La Cour a mis et met l'appellation au néant : Ordonne que ce dont a été appellé sortira effet. Condamne l'apellante en l'amende de douze livres et aux dépens. Fait en Parlement le 12 février 1692. Collationné. Signé Du TILLET.
(Source : Oeuvres de M. Claude Henrys,... contenant son recueil d'arrêts, vingt-deux questions posthumes tirées des écrits de l'auteur trouvés après son décès, ses plaidoiers et harangues ; avec des observations sur les changemens de la jurisprudence arrivés depuis la mort de l'auteur,...par M. B.-J. Bretonnier, Volume 4, p 270-271).
Note individuelle : Armes (NAVETTE des Oliers) : D'azur à un soleil d'or, mouvant du canton dextre du chef, et une ancre d'argent posée au canton senestre de la pointe (Armorial RIETSTAP).
Famille comparaissant à Riom en 1789.
De NAVETTE, seigneurs de Chassignoles, près d'Auzon; d'Olliers. Noblesse connue dès 1684. Services militaires. Convoquée en 1789 à l'Assemblée de la noblesse, à Riom (source : Dictionnaire des Anciennes Familles de l'Auvergne, par Ambroise TARDIEU, tome III, page 265).
Tableau des noms et des blasons de la noblesse du Lyonnais, du Forez et du Beaujolais en 1669, d'après l'Armorial de Claudine BRUNAND : NAVETTE (Louis et Aymard), seigneurs, le père de la Dorellure, et Aymard, seigneur des Ollières.
Armes : D'azur, au soleil d'or mis au franc-canton, et au senestre de la pointe une ancre mise en pal d'argent.
(source : Le Livre d'Or du Lyonnais, du Forez et du Beaujolais, page 154).
De NAVETTE, sgrs de Chassignoles près Auzon, des Ollières paroisse de Beauzac, de La Dorlière (Auvergne-Velay), de La Guillanche, de La Goutte, de Piroles, etc. (Forez).
Christophe de NAVETTE, époux de Juste de SAINT-PAUL et Jean de NAVETTE, sgrs de La Goutte et de Piroles (Forez), obtinrent le 5 octobre 1643 des lettres de réhabilitation de noblesse. Branches en Velay (possessionnée à Yssingeaux) et en Lyonnais (1674). Noble Aymard de NAVETTE, sgr de La Dorlière et des Ollières, vend une rente noble levable au mandement de Mézères, en 1667. Il avait acquis en 1675, la terre et haute justice de Chassignoles du marquis de CLERMONT de CHASTE et se trouve qualifié écuyer, sgr des Ollières et de Chassignoles en 1684.
La branche des seigneurs de Chassignoles en Auvergne a donné : un capitaine au régiment de Beauvoisis, chevalier de Saint-Louis, qui assista à l'assemblée de la noblesse de Riom en 1789, signa l'acte de coalition et servit à l'armée de CONDé. Son fils, possessionné à Brioude, est porté sur la liste des émigrés de la Haute-Loire. Convoqués au ban de la noblesse d'Auvergne (1675). Une admission au chapitre noble de Blesle avant 1787.
Armes : d'azur, au soleil d'or, mouvant du franc-canton, à l'ancre d'argent au quartier senestre de la pointe.
(Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 319).
Donations, rémissions, émancipations, pactes de mariage, testaments, etc..., au sujet desquels sont nommés entre autres : NAVETTE (de), noble Aymard, écuyer, seigneur des Olières paroisse de Beauzac; ... SAIGNARD (de) Antoine, seigneur et baron de Queyrières, maulmeyre et autres places ; ... etc... (1674-1678) (AD 43 B29).
La châtellenie de Chassignolles
Dans la partie de sa thèse consacrée à Chassignolles, Bruno Phalip dit que "D'après Brustel qui ne cite aucune des sources utilisées, le premier hommage connu date de la seconde moitié du XIIIe siècle. 'Ebrardum de Chalenconio, militum est seigneur de Chassignolles en 1267' (B. Phalip cite comme source l'inventaire sommaire des A.D. de Haute-Loire, série H, abbaye de La-Chaise-Dieu, p. 193, de Jacotin et Delcambre, ainsi que la monographie de Chassignolles par A. Brutel, in Almanach de Brioude 1950, tome 27, p. 11 à 32).
Il ajoute que "Hugues de Chalendon est "dominus de Chassaholas" en 1351 dans les "Preuves de la Maison de Polignac". Le "fief du chastel, terre, fort et mandement de Chassignolles est une nouvelle fois cité en 1486".
Cet Hugues de Chalençon, chanoine de Clermont, Rouen et Meaux, lègue par testament (Almanach de Brioude, tome 2 (?) - p. 25 (source à vérifier) Au sujet du château de Chassignolles, B. Phalip donne une information extrêmement intéressante le concernant : "(il) est une fidèle copie de Druyes-les-Belles-Fontaines dans l'Yonne. (Sa) construction date de 1240/1250" et il précise "Nous signalons (...) la position excentrée de ce château par rapport au village qui possède une église romane. Le plan parcellaire du début du XIXe siècle permet néanmoins de constater la présence d'une enceinte (simple patis avec fossé ?) quadrangulaire qui englobe le tout". Sa source : M. David-Roy "Pierre de Courtenay" in Archeologia, 1969 n° 30 p. 51, 55.) en date du 16 mai 1324, 5 sous au recteur de l'église de Saint-Martin (d'Ollières), 40 sous à celui de Chassignolles, 60 livres aux églises de Rouen, Clermont et Brioude. Pour situer le personnage, il traite la paix avec l'Angleterre et en 1325 son sceau sera mis au bas du traité de Trèves.
Jusqu'en 1674, date de la vente du château et de la seigneurie de Chassignolles par François-Alphonse et Claude Nicolas de Clermont-Chaste, la châtellenie de Chassignolles était composée de 21 hameaux ou lieux-dits (in "Le village de Riolles à Saint-Martin-d'Ollières ; une chronique, des documents, les terroirs" par Roger Richard, chez l'auteur, 1988 - p. 105-106) : Chassignolles et ses villages : Curabet, La Rouveyre, Rabassat, Réal (aussi écrit Le Réal, Rial ou Le Riaux), l'Estival (Réal et l'Estival seront saisies en 1713), les Fontilles, Jourchanne, Le Goût, Usson, La Besseyre, La Rabiden Marion, Escros, le Moulin des Poules, Pélavit (aussi écrit Péaloux), La Trémouleyre. Dans la paroisse de Saint-Hilaire : Espeluches (que Chabrol situe par erreur à St Martin d'Ollières), Bonjour, Védrine-le-Cerf. Dans la paroisse d'Azerat : Chausse. Dans la paroisse de Ronaye : Le Moulin Rouge. Enfin dans la paroisse de St Martin d'Ollières, les 4 hameaux (Le Réal, Malaure, Riol et La Prunerette) dont sont seigneurs les de Navette qui sont ainsi rajoutés.
Famille de NAVETTE
D'après l'armorial de J.B. Rietstap voici les armes de la famille 'de Navette des Oliers' : D'azur, à un soleil d'or, mouvant du canton dextre du chef, et une ancre d'argent posée au canton senestre de la pointe.
En découvrant la monographie de Chassignolles, parue sur plusieurs années dans l'Almanach de Brioude, j'ai découvert beaucoup d'informations sur cette famille.
L'origine de la famille remonte à Claude de la Navette, né vers 1418 " qui dut tenir en fief des DES ROYS le port de la Navette, sur la Loire à Retournac. La famille dont on a perdu le patronyme et qu'on ne connaît plus que par le nom de son fief, fut une première fois ruinée par la guerre de Cent ans. Les La Navette perdirent leur particule : Claude, arrière petit fils (de) Claude, notaire à la Dorelière, bailli de Confolent, la porte à nouveau au début du XVIIe. Ayant pris le parti des religionnaires, sa maison de La Dorelière est pillée et rasée et il est dérogé de sa noblesse. Mais le 6 juillet 1663 (onze ans avant l'achat de Chassignolles), son petit fils Louis obtient sa réhabilitation de noblesse".
Lorsque Louis de Navette achète la seigneurie de Chassignolles le 10 août 1674, il est présenté dans l'acte d'achat comme "sieur des Ollières et de la Dorelière". Et comme le voulait la règle, il en rendit "foi-hommage" au Roi.
1663 : Louis de Navette, Capitaine, châtelain de Beauzac (Hte-Loire, à 5km de Bas-en-Basset) réhabilité en noblesse.
1664 : Aymard Ie de Navette, écuyer, seigneur des Ollières et de la Dorellière, époux de Dorothée Minet, rend foi-hommage pour ses terres.
1673 : Aymard Ie de Navette achète Chassignolles.
1684 : Aymard Ie de Navette Rend foi-hommages à propos des terres de Chassignolles & d'Ollières (source : in "Nobiliaire d'Auvergne" par J.B. Bouillet, éd. Montpensier, Paris 1973 (1e rééd. 1847)).
1698 : Jacques de la Veyssière est dit "seigneur de lolyere, " lorsqu'il épouse la fille d'Aymard, 'Françoise de Navette des Ollières' en 1690 ("Histoire de la famille de la Vaissière" par Jules de la Vaissière, Imprimerie moderne à Aurillac, 1930 - p. 240 : Jacques de la Vaissière, écuyer, qualifié de seigneur de lolyere épousa (contrat La Chesnaye-Desbois T. XIX p. 361 du 12 nov. 1690, reçu Poughon) Françoise de Navette des Ollières, fille d'Aymar de Navette, écuyer, seigneur des Ollières, La Dorelière et Chassignolles, et de Dorothée Minet. Françoise de Navette mourut au château de la Dorelière le 24 mars 1740, et fut inhumée dans l'église de Bas, au tombeau de ses ancêtres. De ce mariage vint un fils, Pierre, qui forme le degré suivant. Armoiries des Navette des Oliers : d'azur à un soleil d'or mouvant du canton dextre du chef, et une ancre posée au canton senestre de la pointe. Toutefois, Dom Betencourt dans son livre "Noms féodaux ou noms de ceux qui ont tenu fiefs en France" cite p. 170/171 des membres de cette famille en rapport avec la baronnie d'Olliergues. Pourrait-il y avoir confusion entre Ollières et Olliergues ?). En fait c'est sans doute grâce à ce mariage qu'il devient seigneur d'Ollières ?
1699 : Louis, fils d'Aymard 1er rend le même foi-hommage que son père Aymard (source : in "Nobiliaire d'Auvergne" par J.B. Bouillet, éd. Montpensier, Paris 1973 (1e rééd. 1847)).
1700 : Claude, à son mariage le 1e avril 1700 à Montbrison est dit "seigneur des Ollières" ? Il aura un fils en 1701.
1716 : Louis, fils d'Aymard 1er rend le même foi-hommage qu'en 1699 (source : in "Nobiliaire d'Auvergne" par J.B. Bouillet, éd. Montpensier, Paris 1973 (1e rééd. 1847)).
1724 : Aymard II, fils de Louis, chevalier rend le même foi-hommage (source : "Noms féodaux, ou noms de ceux qui ont tenu fiefs en France" [2 tomes A-I/J-Y] par Dom Betencourt, éd. Culture et Civilisation - Bruxelles 1968 (1e éd. 1867), et "Le château et l'habitat seigneurial en Haute-Auvergne et Brivadois entre le XIe et le XVe siècle - essai de sociologie monumentale" par Bruno Phalip - p. 292 à 301).
1768 : Claude François Dominique, fils d'Aymard II épouse Henriette Françoise Elisabeth de Champier le 13 septembre 1768 à Montbrison (al. de Brioude) où il est dit "seigneur des Ollières". La sœur de Claude serait Catherine de Navette, qui épouse Guillaume de Lespinasse le 22 sept. 1733 ... ce qui me paraît bizarre car Claude F. D. est né en 1735 !
(Source : http://www.pixis.org/Ollieres/niveau_1/entite_seigneuriale/entite_seign.htm#1).
B 2278 (in-4°, 64 pièces, papier) 1667-1668 : Rapport d'expert concernant un acte d'obligation de la succession de Jean de NAVETTE, seigneur de Pirolles.
(Inventaire des archives civiles de la Loire, volume 3, série B, p 330).
De NAVETTE, seigneurs de Chassignoles, près d'Auzon; d'olliers. Noblesse connue dès 1684. Services militaires. Convoquée, en 1789, àl'assemblée de la noblesse, à Riom.
(Source : Dictionnaire des Anciennes Familles de l'Auvergne, par Ambroise Tardieu, Marseille Reprints, 1976, page 265).

NAVETTE (de ) Jean
NAVETTE (de ) Christophe
 
 
SAINT-POL (de ) Juste
SAINT-POL (de ) Louis
HÉRAIL de LA ROUË Marcelline


                     


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