Fiches individuelles


ALLIER (d') Pierre
Union : CHOMEL Alix ( ? - ? )




ALLIER de LA FRESSANGE Anastasie
Père : ALLIER Jehan ( ? - ? )
Mère : SAINT-JEURE (de ) Marguerite ( ? - ? )

Union : GINOT-BRUN N... ( ? - ? )
ALLIER de LA FRESSANGE Anastasie
ALLIER Jehan
ALLIER Gabriel
RIX (de ) N...
SAINT-JEURE (de ) Marguerite
SAINT-JEURE (de ) Antoine
 




ALLIER de LA FRESSANGE Anne
Père : ALLIER Gabriel ( ? - <> J 1508 & J 1509 )
Mère : RODILHON Florence ( ? - ? )

Union : SOLAS (de ) Jehan ( ? - ? )
Mariage par contrat : 6 janvier 1518
ALLIER de LA FRESSANGE Anne
ALLIER Gabriel
ALLIER Jehan
SAINT-JEURE (de ) Marguerite
RODILHON Florence
RODILHON Pons
 




ALLIER de LA FRESSANGE Catherine
Père : ALLIER Jehan ( ? - ? )
Mère : SAINT-JEURE (de ) Marguerite ( ? - ? )

Union : DU PELOUX André ( J ~ 1425 - J > 1485 )
Mariage par contrat : 1450 à Saint-Didier-la-Séauve 43
Ou 1454, ou 1456 selon les sources. 1456 selon la base Roglo.
Enfants : DU PELOUX Annet ( ? - J 1516 )
DU PELOUX Antoine ( ? - ? )
DU PELOUX Gabriel ( ? - J > 1548 )
DU PELOUX Marguerite ( ? - ? )
ALLIER de LA FRESSANGE Catherine
ALLIER Jehan
ALLIER Gabriel
RIX (de ) N...
SAINT-JEURE (de ) Marguerite
SAINT-JEURE (de ) Antoine
 




ALLIER de LA FRESSANGE Clauda - 1 085
- Dame de La Fressange

Décès : avant 6 septembre 1667

Père : ALLIER Jehan ( ? - < 1640 )
Mère : BRUNIER de LARNAGE (de ) Isabeau ou Elizabeth ( ? - > 1640 )

Union : SAIGNARD (de ) Jean ( ? - < 1682 )
Mariage par contrat : 25 octobre 1627 à Saint-Didier-la-Séauve 43 à La Fressange, devant Marcellin FAURE et Claude CHOMEL, notaires royaux à Saint-Didier ( Source )
Furent présent nobles ANTOINE DE SAIGNARD, Pierre de SAIGNARD, seigneur de Mortesagne, Jean de SAIGNARD, seigneur de montméa, Gaspard de BOUCHEROLLES, Christophe de LA FAYETTE, Claude du BOUCHET, seigneur du Bouchet, Charles de GIRAUD, seigneur du Champ, Jean de CHAVE, seigneur du Col, maîtres Paul et Jean du FORNEL, docteurs ès droit, honorable Denis du FORNEL.
Témoin : SANHARD (de ) Pierre ( ? - <> 1627 & 1641 )

Enfants : ALLIER de SAIGNARD Gabriel ( ~ 1627 - 1702 )
SAIGNARD (de ) Claude ( ~ 1634 - ? )
SAIGNARD (de ) Antoine ( ~ 1636 - 1681 )
SAIGNARD (de ) Claudine ( ? - > 1677 )
SAIGNARD (de ) Pierre ( ? - > 1694 )
SAIGNARD de SAINT-PAL (de ) Jacques ( ? - 1694 )
Note familiale : Héritière de sa maison, Clauda ALLIER apporte le fief de la Fressange à Jean de SAIGNARD. Leur postérité est connue depuis sous le nom de SAIGNARD de LA FRESSANGE (cf Armorial Général du Velay).
Leurs descendants sont resté maître de La Fressange jusqu'en 1866.
A l'occasion de ce mariage, le fiancé reçut 10.500 livres, et la fiancée, 3.000 livres, plus un augment de 1.200 livres en bijoux et joyaux, et de la part de son père et de damoiselle Isabeau "de BRENNYEU" sa mère, la moitié de leurs biens, sous réserve de l'usufruit, laquelle moitié portera la moitié des dettes et des légitimes des autres enfants nés ou à naître. A ce contrat, fait à la Fressange, furent présents : nobles Antoine de SAIGNARD; Pierre et Jean de SAIGNARD, sgrs de Mortesagne et de Montméat; Gaspard de BOUCHEROLLES; Christophe de LA FAYETTE; Claude du BOUCHET, sgr dudit lieu; Charles de GIRAUD, sgr du CHAMP; Jean de CHAVE, sgr du Col; MMes Paul et Jean du FORNEL, docteurs ès droits; honorable Denis du FORNEL, etc (source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien Diocèse du Puy, par Gaston de JOURDA de VAUX, tome VI, pages 117-118).
Note individuelle : Dernière représentante de sa famille et héritière de tous les biens de son père.
Armes : D'azur à l'aigle éployée d'argent.

La Fressange, en la paroisse de Saint-Didier, au diocèse du Puy. La famille de LA FRESSANGE était connue dans le Velay depuis 1300, et plusieurs de ses membres avaient été au service des rois de Jérusalem de la maison de LUSIGNAN. Les LA FRESSANGE se sont fondus dans la maison de SAIGNARD. (source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, pages 215-216).
D'azur, à l'aigle d'argent.
Le Forez produisit cette race peu connue.
Claudia, héritière du nom et des biens, épousa le 25 octobre 1627, Jean SAIGNARD, seigneur de Préaus, et lui transmit le domaine de La Fressange, poche Saint-Didier.
De cette alliance est issue la lignée des SAIGNARD de La FRESSANGE (La généalogie des SAIGNARD sera produite avec les branches de La Fressange, de Choumouroux, et de Sasselange. Il convient de suivre ces filiations avec une méthode étrangère à la plupart de nos biographes. Jean de SAIGNARD, qui acheta d'André CHAPUIS, sieur de La Goutte, le 10 février 1729, les rentes nobles de Tremeolles, Montagnac, Taillefer et Mons, dans les paroisses de Saint-Pol, Boisset, Tiranges et Usson, était de la branche de Sasselange et non de la Fressange. Enfin, les La FRESSANGE n'ont point été créés marquis de Sasselange et la famille ne fut point anoblie en 1439, ainsi que l'assure l'auteur de l'Armorial général du Lyonnais, Forez et Beaujolais). Nous ignorons l'origine du titre de marquis de La Fressange porté par M. Henri de SAIGNARD de La FRESSANGE, député sous LOUIS-PHILIPPE, et aujourd'hui M. Alfred de La FRESSANGE, son fils.
(Source : Le Héraut d'Armes, novembre 1865, p 356).
La noblesse et la bourgeoisie de Saint-Didier-en-Velay :
On reste étonné de trouver dans la baronnie de Saint-Didier, une aussi abondante floraison de nobles et de bourgeois.
La cité était riche. Son commerce était actif. Des bourgeois considérables s’étaient liés à des nobles de Saint-Didier et des environs. De vieille familles s’installèrent à Saint-Didier à la suite d’alliances. Les puissants barons de Saint-Didier, qui résidaient une partie de l’année dans leur vieux castel, avaient attiré également un certain nombre de noble.
La vie, d’ailleurs, y était aisée et agréable. Cette bourgeoisie et cette noblesse, riches et considérables sous plusieurs aspects, presque toujours désœuvrées ou tout au moins disposant de beaucoup de loisirs, aimaient infiniment les amusements, les plaisirs et les jeux de grand exercices, tels que le mail, la chasse, les boules.
On y jouait notamment, d’une manière distinguée, à la paume longue avec des battoirs en forme de palettes à long manche, et avec des balles garnies de peau blanche.
Plus de trente familles nobles et bourgeoises vécurent à Saint-Didier. Quelques-unes, depuis longtemps, ont disparu, fondu dans des alliances. D’autre se sont éteintes sans postérité. D’autre enfin, subsistent encore, au nombre de celle-ci, citons les familles du PELOUX de SAINT-ROMAIN ; la famille de LAFRESSANGE ; la famille de VÉRON de La COMBE ; de LUZY de PÉLISSAC ; ALLOUËS de LAFAYETTE, etc.…
La famille ALLIER de LAFRESSANGE :
Parallèlement au seigneur de Saint-Didier, une famille originaire du Languedoc, vint s’installer au chef-lieu de la Baronnie et s’y distingua bientôt par ses alliances et ses services militaires. Toutefois on ne saurait trouver aucun titre ou elle soit mentionnée avant 1250. D’anciennes traditions la font descendre des comtes souverains de Privas. Plusieurs membres de cette famille auraient été au service des rois de Jérusalem, du nom de Lusignan.
Le château de Lafressange fut construit, non pas vers la fin du XVII siècle, mais bien vers la fin du XVIe. Ce domaine, qui subsiste encore, appartenait depuis 1372 aux ALLIER.
Le 6 Juin 1361, le domaine de Lafressange fut délimité. Pierre ALLIER, fis de Guillaume, marié en 1346, à Catherine MALOERT. Pierre était possesseur, le 25 Aout 1355 d’une maison sise au Puy, rue de l’Ouche-des-Farges, qu’il avait acquise de Guillaume CHANDORAT.
Jean d’ALLIER, bourgeois du Puy, propriétaire, le 29 Juin 1327, d’une vigne au terroir de Reillac, et qui testa, le 3 Juillet 1361. Le 22 Aout 1372, Jean d’ALLIER 1er, avait reçu, au château de Solignac, des mains de noble Armand de POLIGNAC, comme administrateur de son fils Jean, mari de Thiburge de SAINT-DIDIER, «l’investissions» de la terre de Lafressange, acquise de Briand de ROCHEBARON, qui l’avait acquise lui-même du baron Jausserand de SAINT-DIDIER.
Le 17 Juin 1376, noble Jehan d’ALLIER, et Didier COPIER échangèrent un pré appelé, de la Murette avec un autre pré appelé Saignelonge.
Le 11 Septembre 1379 «achept» pour noble jehan d’ALLIER par noble Mathieu SALENOMEN contre des rentes qu’il prend à Saint-Didier et Aurec.
En 1383, Jean d’ALLIE fait reconnaissance de ce qu’il a, à Artios et à Artiles.
En 1396, on cite deux reconnaissances reçues par Jean d’ALLIER pour des terres situées à Vaunac.
En un autre endroit, appelé noble Jean d’ALLIER de Saint-Didier, il reçoit reconnaissance pour une terre situé à Sarlex.
En 1398, un terrier fut établi par noble jean d’ALLIER. Y est mentionnée la vente de Celleyres, contenant reconnaissance à lui passée par Jacques NEYRAN et GOURAND, du tènement de la Corte, du Breuil et de Pralong, du Chabonnat, et du Bosc.
Jean d’ALLIER paraît encore dans un acte de 1403, avec son fils Gabriel.
Deuxième généalogie de SAIGNARD (SANHARD) ALLIER de LAFRESSANGE :
Par suite de mariage de Claudia, avec un de SAIGNARD, la famille directe de LAFRESSANGE s’éteint.
La maison de SAIGNARD, comme bien d’autre, d’ailleurs, se perd dans une antiquité éloignée. Il n’est pas possible de remonter à l’origine de cette famille. Ce qu’on sait, c’est qu’elle est originaire du Velay où elle possédait les fiefs de Vernet, Marmingnac, et les baronnies de Mortesaigne et de Queyrières.
Elle s’est divisée en plusieurs branches, dites de CHOUMOUROUX, de SASSELANGE et de LAFRESSANGE qui font remonter leur filiation authentique à la branche A. un grand nombre de leurs membres se distinguèrent dans la carrière des armes.
Jacques-Joseph-Gabriel d’ALLIER de SAIGNARD de LAFRESSANGE, baron de Queyrières, capitaine de cavalerie, chevalier de la Légion d’honneur, entra en conflit avec le comte de GENESTET marquis de Nérestang, baron de Saint-Didier, au sujet d’une transaction du 3 mai 1576. Il fut obligé de céder au seigneur de Saint-Didier tous les articles de directes qu’il avait dans l’enceinte de Saint-Didier. Il s’obligea, en outre, de faire hommage au dit seigneur des rentes et autres biens qu’il tenait en fief, ainsi que l’avait pratiqué ses prédécesseurs.
Le baron de Saint-Didier voulait s’approprier un jardin hors de la ville, près de la Tour de Poivre, appartenant à LAFRESSANGE, porté au terrier de Balmat, de 1484, stipulé au profit de Jean d’ALLIER de LAFRESSANGE, et par un accord de 1523.
Les armes de SAIGNATD de QUEYRIÈRES de LAFRESSANGE sont : D’azur au fronton d’or avec la couronne de baron.
(Source : http://histoire-seauve-et-velay.fr/2018/03/la-noblesse-et-la-bourgeoisie-de-saint-didier-en-velay/).

ALLIER de LA FRESSANGE Clauda
ALLIER Jehan
ALLIER Gabriel
THIOLLENT (de ) Marguerite
BRUNIER de LARNAGE (de ) Isabeau ou Elizabeth
BRUNIER (de ) Jean
ARZAC (d') Antoinette


                     


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