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Note individuelle
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Présent à Paris, logé rue Vivienne, hôtel Vivienne, en 1/1831, lors de la naissance d'Henry François Régis CELLE DUBY.
Chevalier de la Légion d'honneur le 25 février 1814, en qualité de capitaine-adjudant-major au 1er régiment de Grenadiers à cheval de la Garde impériale, puis chef d'escadron, il est promu officier, le 28 septembre 1845. membre de la Chambre des députés et du Conseil général de la Haute-Loire. Demeurait 17 rue Joubert à Paris, en 1826. Il était entré à l'Ecole Militaire le 22 juin 1808, nommé sous-lieutenant au 15ème régiment de Dragons, ila fait les campagnes de 1811 et 1812, lieutenant au même régiment le 9 octobre 1813, il a fait la campagne de 1813 en Espagne, capitaine au 19ème régiment de Dragon le 5 avril 1814, il a fait la campagne de 1814 en Allemagne et en France, passé avec son grade aux Dragons du Roi le 8 mai 1814, il est admis au 1er régiment de Grenadiers à cheval de la Garde Royale, comme capitaine-adjudant-major le 12 octobre 1814, breveté chef d'escadron pour prendre rang du 5 avril 1818. Blessé d'un coup de lance au bras droit à eu deux chevaux tués sous lui à Leipsick au combat du 14.
(Source : LH/2433/67).
Héritier de la terre-marquisat de La Fressange, il fut élève à l'école militaire de Fontainebleau. Officier de la Légion d'honneur, il fut décoré sur le champ de bataille par l'Empereur lui-même. Il quitta le service en 1814, avec le grade de chef d'escadron, fut officier de la Garde Royale sous la Restauration, conseiller général de la Haute-Loire, puis député du collège d'Yssingeaux (4 novembre 1837, 2 mars 1839, 9 juillet 1842, 1er août 1846). Il quitta la vie publique avec le Révolution de 1848.
Chef d'escadron de dragons (1815), maire de Saint-Didier, conseiller général, député de l'arrondissement d'Yssingeaux, chevalier de la Légion d'honneur (25 février 1814) (source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien diocèse du Puy, par Gaston de JOURDA de VAUX, tome VI, page 119).
Chef d'escadron, adjudant-major au premier régiment des grenadiers à cheval de la garde (source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, page 218).
Maire de Saint-Didier du 26 juin 1826 au 23 septembre 1831, chevalier de la Légion d'honneur, député du 18 mars 1847 au 17 avril 1848 (source : D'azur au Lion d'Argent, par Paul RONIN, tome III, pages 41-42).
Fut élève à l'école militaire de Fontainebleau, capitaine de cavalerie, chef d'escadron en 1814, adjudant-major au premier régiment des grenadiers à cheval de la Garde, chevalier de la Légion d'honneur le 25 février 1814, officier de la Garde Royale sous la Restauration, maire de Saint-Didier, conseiller général de Saint-Didier, deux fois président du Conseil général de la Haute-Loire, député de l'arrondissement d'Yssingeaux, il se retire de la vie politique lors des évènements de 1848.
(source : La Famille de SAGNARD de LA FRESSANGE, une famille noble à Saint Didier en Velay, par Jérôme SAGNARD, page
16).
Il entra à l'école militaire de Fontainebleau en 1808 et en sortit, en 1810, sous-lieutenant de dragons. Passa successivement lieutenant, puis capitaine et était, en 1815, adjudant-major au 1er régiment de grenadiers à cheval. Commandant du dépôt de Caen, il fut admis à la retraite en 1821, après avoir fait les campagnes de l'Empire au cours desquelles il fut blessé et décoré sur le champ de bataille.
Revenu à Saint-Didier-en-Velay, il en devint le maire en 1826, puis conseiller général en 1833. Il fut élu, en 1837, député de la Haute-Loire par l'arrondissement d'Yssingeaux, et fut l'un des 221. Réélu en 1842, il rentra dans la vie privée aux événements de 1848.
(source : Dictionnaire Biographique de la Haute-Loire, par Gaston JOUBERT, Yssingeaux, 1982, page 356).
Il entra à l'Ecole Militaire le 22 juin 1808, promu sous-lieutenant au 15ème régiment de Dragons le 22 juin 1811, promu lieutenant au même régiment 9 octobre 1813, promu capitaine au 19ème régiment de Dragons le 5 avril 1814, passé sous le même grade aux Dragons du Roi le 8 mai 1814, admis au 1er régiment de Grenadier à cheval de la Garde Royale comme capitaine adjudant-major le 12 octobre 1814, breveté chef d'escadron pour prendre rang à compter du 5 avril 1818, il avait participé aux campagne de 1811 et 1812, à celle d'espagne en 1813 et celle d'Allemagne en 1814, blessé d'un coup de lance au bras et a eu deux chevaux tués sous lui à Leipzig au combat du 14, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur par décret impérial du 25 février 1814, puis officier par décret du 28 septembre 1845. Il fut député et conseiller général de la Haute-Loire. (Source : LH/2433/67).
Marquis, député de 1835 à 1848, blessé à Brienne et décoré des mains même de Napoléon, la stèle de son tombeau a été détruite en Août 2003 par une tempête.
Parent d'Ignès de la FRESSANGE. Ecuyer, chevalier commandant la garde nationale, ancien page des petites écuries et ancien garde du Roy.
(Source : http://www.lescimetieres.com/Photos/ailleurs/StDidierEnVelay/de%20SAIGNARD%20de%20la%20FRESSANGE%20Henri.htm).
Candidat à Yssingeaux, né à Saint-Didier-en-Velay, marié, deux enfants, sa fortune était évaluée en 1833 à 20000 F en revenu, "non compris les successions ouvertes auxquelles il a droit de prétendre". Maire destitué en 1830, élu conseiller général par son canton en 1833, "il était auparavant le chef du parti carliste" mais, dès 1833, le Sous-Préfet estime qu'il affecte parfois le libéralisme et qu'on tirera peut-être de lui le meilleur parti qu'espéré.
Elu, il se rapprochera du gouvernement et deviendra l'un des fidèles "du parti conservateur" (rapports des 28 septembre 1833, 17 mai 1834, juin 1846. Le 5 janvier 1834, le préfet le présentait ainsi au ministre : "Ancien militaire et ancien maire de Saint-Didier, possède une assez belle fortune, est marié, a un enfant. Il s'agite beaucoup pour parvenir à la députation, ses prinicpes politiques ne sont pas prononcés, il se dit constitutionnel mais ses liaisons, ses précédents permettent de croire qu'il conserve de grands souvenirs de la légitimité ; parent des personnalités prononcées de cet arrondissement, il compte sur leurs suffrages et ceux de leurs adhérents. S'il faut l'en croire, il siègerait à la Chambre auprès des amis de nos institutions".).
(Source : Cahiers de la Haute-Loire, année 1986, page 189).
D'azur, à l'aigle d'argent.
Le Forez produisit cette race peu connue.
Claudia, héritière du nom et des biens, épousa le 25 octobre 1627, Jean SAIGNARD, seigneur de Préaus, et lui transmit le domaine de La Fressange, poche Saint-Didier.
De cette alliance est issue la lignée des SAIGNARD de La FRESSANGE (La généalogie des SAIGNARD sera produite avec les branches de La Fressange, de Choumouroux, et de Sasselange. Il convient de suivre ces filiations avec une méthode étrangère à la plupart de nos biographes. Jean de SAIGNARD, qui acheta d'André CHAPUIS, sieur de La Goutte, le 10 février 1729, les rentes nobles de Tremeolles, Montagnac, Taillefer et Mons, dans les paroisses de Saint-Pol, Boisset, Tiranges et Usson, était de la branche de Sasselange et non de la Fressange. Enfin, les La FRESSANGE n'ont point été créés marquis de Sasselange et la famille ne fut point anoblie en 1439, ainsi que l'assure l'auteur de l'Armorial général du Lyonnais, Forez et Beaujolais). Nous ignorons l'origine du titre de marquis de La Fressange porté par M. Henri de SAIGNARD de La FRESSANGE, député sous LOUIS-PHILIPPE, et aujourd'hui M. Alfred de La FRESSANGE, son fils.
(Source : Le Héraut d'Armes, novembre 1861, p 356).
Homme politique français, officier de la garde royale sous la Restauration, il est conseiller général et député de la Haute-Loire de 1837 à 1848, siégeant dans la majorité soutenant les ministères de la Monarchie de Juillet.
(Source : Dictionnaire des parlementaires français, par Robert et Cougny, 1889).
Député de 1837 à 1848, ancien officier de la garde royale sous la Restauration, chevalier de la Légion d'honneur, propriétaire et conseiller général de la Haute-Loire, il entra dans la politique après la révolution de juillet.
Candidat légitimiste à la députation, il échoua dans le 3e collège de la Haute-Loire, le 6 septembre 1834, avec 114 voix contre 118 à l'élu, M. COUCQ; mais, s'étant rapproché du gouvernement, il fut successivement élu, dans le même collège (Yssingeaux) : le 4 novembre 1837, par 189 voix (327 votants, 356 inscrits), contre 135 au député sortant, M. CUOCQ; le 2 mars 1839, par 234 voix (241 votants); le 9 juillet 1842, par 201 voix (331 votants, 364 inscrits), contre 61 à M. DUMOULIN; le 1er août 1846, par 272 voix (363 votants, 409 inscrits), contre 80 à M. CUOCQ.
Son dévouement au pouvoir ne se démentit que rarement, car il vota pour les fortifications de Paris, pour le recensement, pour l'indemnité PRITCHARD, mais contre la proposition relative aux députés fonctionnaires, contre la dotation du duc de Nemours, puis contre les incompatibilités, et contre l'adjonction des capacités. La révolution de 1848 le rendit à la vie privée. Il a été promu au grade d'officier de la Légion d'honneur le 25 septembre 1845.
Mandats :
Du 4 novembre 1837 au 2 février 1839 : Département Haute-Loire, Groupe Majorité gouvernementale, Régime politique Monarchie de Juillet - Chambre des députés,
Du 2 mars 1839 au 12 juin 1842 : Département Haute-Loire, Groupe Majorité gouvernementale, Régime politique Monarchie de Juillet - Chambre des députés,
Du 9 juillet 1842 au 6 juillet 1846 : Département Haute-Loire, Groupe Majorité gouvernementale, Régime politique Monarchie de Juillet - Chambre des députés,
Du 1er août 1846 au 24 février 1848 : Département Haute-Loire, Groupe Majorité gouvernementale.
(Source : http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/17432#bio).
La famille de SAIGNARD est originaire de Languedoc; elle a formé plusieurs branches, dont une a pris le surnom de La FRESSANGE, d'une seigneurie du Velay. Le marquis de La FRESSANGE,né en 1791, ancien élève de l'école militaire de Fontainebleau, décoré sur le champ de bataille par l'empereur, quitta le service en 1814 avec le rang de chef d'escadron; député de la Haute-Loire, en 1837,il passa pour légitimiste; mais il vote avec le parti conservateur. Son fils est secrétaire de légation en Hanovre.
Armes : écartelé, aux 1 et 4 d'azur, au sautoir d'or qui est de saignard; aux 2 et 3 d'azur, à l'aigle éployée d'argent, qui est d'Allier de La Fressange.
(Source : Annuaire de la Pairie et de la Noblesse de France et des Maisons ..., Volume 5, p355).
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SAIGNARD de LA FRESSANGE (de )
Henri Jacques Hilaire Jean François Régis
dit le marquis de La Fressange
PICHON Marguerite ( 1731 - an VI )
SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Marie-Louise ( 1756 - > 1807 )
ALLIER de SAIGNARD Gabriel ( ~ 1627 - 1702 )
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