Note individuelle
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Capitaine de cavalerie par commission du 4 avril 1580. Par commission de Henri IV, très élogieuse pour lui, datée du 4 avril 1590 à Corbeil, par laquelle il reçut ordre de lever et équiper deux cents hommes de pied et de cheval et de venir, à leur tête joindre son cousin le duc d'EPERNON.
Dans Preuves de la maison de POLIGNAC (tome III, page 201) : N° 507 : Chassagnes 1er février 1628, vente par Marc de POLIGNAC, baron de Lardeyrol, à César de SAIGNARD, de sa co-seigneurie sur le fief de Glavenas.
Il acquit la partie de Glavenas du vicomte de POLIGNAC, et en fut investi en 1638. Il commanda une Cie de 200 hommes d'armes, par commission royale du 4 avr. 1590, donnée à Corbeil.
(Source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien Diocèse du Puy, par Gaston de JOURDA de VAUX, tome VI, pages 113 à 121).
Capitaine de deux cents hommes pour le service du Roi... ...Il fut pourvu du commandement d'une compagnie de deux cents hommes de pied, par commission du 4 avril 1590, où il est spécifié que c'est en considération de sa fidélité et affection au service du Roi. Il commandait une compagnie de cent arquebusiers français, le 4 juillet 1594, selon le rôle de la montre, qui en fut faite à Issengeaux. Il assista au mariage de Pierre de SAIGNARD, seigneur du Vernet, son frère, le 23 juin 1613, est nommé dans une sentence arbitrale, du 9 mai 1622; passa conjointement avec Claude de LANGON, sa femme, un bail au profit d'Antoine et Jacques RIVIÈRE, père et fils, le 4 Mars 1626; les consuls et les habitants de la ville d'Issengeaux, firent une obligation en sa faveur, le 16 avril 1628, au sujet de quatre faulconneaux, appartenants audit seigneur de SAIGNARD, par lui prêtés à ladite ville, pour le service du Roi, contre les rebelles à Sa Majesté.
(Source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, pages 213-214).
De SANHART de QUEYRIERES : Fort contre l'ennemi.
(Source : Dictionnaire des Devises Historique et Héraldiques, par Alphonse CHASSANT, page 188).
De SANHARD de QUEYRIERES : Queyrières, cornette ! (cri).
(Source : Dictionnaire des Devises Historique et Héraldiques, par Alphonse CHASSANT, page 527).
Glavenas ne resta que fort peu de temps dans la maison de SAINT-PRIEST; en 1490, les de COTTEL y étaient établis; du moins en possédaient-ils une partie. Le 4 avril 1603, Guillaume de COTTEL remettait à Claude de POLLALON, époux de Catherine COTTEL, la moitié de la terre de Glavenas. La seconde moitié appartenait à autre Catherine de COTTEL. Le 8 juillet 1626, Catherine COTTEL, première citée, investissait du fief du Crozet Jean de MIJOLLA (fils de noble Christophe et de Catherine SABY. Le 2 février 1586, il épousait Marie de VEZE (acte reçu VACHEREL).
En 1628, noble César de SAIGNARD, seigneur de Maumeyre, recevait l'investiture de la parerie de Glavenas qu'il avait acquise de Marc de POLIGNAC d'Adiac, au prix de 8 000 livres. En 1772, investiture portant quittance de lods était donnée pour cette portion à Anne-Claudine de VEYRAC, épouse de M. POLIER, greffier des Etats, qui l'avait achetée moyennant 2 500 livres (A. LASCOMBE, Répertoire des Hommages de l'Evêché du Puy, 213).
(Source : Les Châteaux historiques de la Haute-Loire, par Gaston de JOURDA de VAUX, page 147, article Glavenas).
Glavenas et Lardeyrol : 1628, investiture de la parerie de Glavenas, acquise par noble César de SAIGNAR, sieur de Maumeyre, de messire Marc de POLIGNAC, sieur d'Adiac, au prix de 8 000 livres.
Mercoeur : 1638, investiture de plus value de rente à Mercoeur, acquise par noble César de SAIGNARD, sieur de Montmeyre.
(Source : Répertoire Général des Hommages de l'Evêché du Puy, par Adrien LASCOMBE, pages 213 et 290).
Glavenas ne resta que fort peu de temps dans la maison de ST PRIEST; en 1490, les de COTTEL y étaient établis; du moins en possédaient-ils une partie. Le 4 avril 1603, Guillaume de COTTEL remettait à Claude de POLALLON, époux de Catherine de COTTEL, la moitié de la terre de Glavenas. La seconde moitié appartenait à autre Catherine de COTTEL. Le 8 juillet 1626, Catherine COTTEL, première citée, investissait du fief du Crozet Jean de MIJOLLA (fils de Christophe et de Catherine SABY. Le 2 février 1586, il épousait Marie de VEZE : acte reçu VACHEREL).
En 1628, noble César de SAIGNARD, seigneur de Maumeyre, recevait l'investiture de la parerie de Glavenas qu'il avait acquise de Marc de POLIGNAC d'Adiac, au prix de 8 000 Livres. En 1772, investiture portant quittance de lods était donnée pour cette portion à Anne Claudine de VAYRAC, épouse de M. POLIER, greffier des Etats, qui l'avait achetée moyennant 25 000 Livres (A. LASCOMBE, Répertoire des hommages de l'évêché du Puy, 213).
(Source : Les Châteaux Historiques de la Haute-Loire, par Gaston de JOURDA de VAUX, Le Puy, 1911, page 147, article Glavenas).
Au XVIème siècle, sinon auparavant, les de LANGON ont possédé une partie de Queyrières, qui échut ensuite à César de SAIGNARD, fils aîné de Pierre, seigneur du Vernet, co-seigneur de Mortesaigne, par suite du mariage par lui contracté, le 14 mai 1589, avec Clauda de LANGON, soeur et héritière de Louis de LANGON, fils lui-même de Paul et de Claude de BLEYNIER (de BONNIER) (A. JACOTIN, Preuves de la maison de POLIGNAC, IV, 515 en note; L. de LA ROQUE, Armorial de Languedoc. En 1736, M. de SAIGNARD de LA FRESSANGE ne possédait que le tiers de Queyrières : cf ARNAUD, II, 283). Antoine de SAIGNARD, seigneur de Marminhac, Glavenas, Maumeures, leur fils, étant veuf d'Isabeau de CREMEAUX, épousa le 1er novembre 1629, Claire DESBOTS, dont François, baron de Queyrières, marié le 1er février 1667, à Hélène de LA RIVOIRE. Il en eut plusieurs enfants, entre autres : Marguerite (L. de LA ROQUE, Armorial de Languedoc), qui, en 1732, apporta en dot, les deux tiers de la baronnie de Queyrières à Charles de LA FAGE, chevalier de Ribes et des Plantas. Celui-ci siégea aux Etats du Velay en 1734 (ARNAUD, Hist du Velay, II, 282). Ayant hérité de Queyrières, au décès de sa femme, Charles de LA FAGE légua ce fief, vers 1758, à Henriette de FILLIERE, sa seconde femme. Celle-ci mourut en 1732.
(Source : Les Châteaux Historiques de la Haute-Loire, par Gaston de JOURDA de VAUX, Le Puy, 1911, pages 247-248, article Queyrières).
Noms des principaux chefs de l'entreprise du puy
Les chefs recognus de l'ennemy, scavoir : premièrement le sieur de Chates, leur gouverneur, monsieur de Challancon (1), monsieur de Sainct-Quentin, monsieur de l'her (2), son frère, les deux messieurs Sayniars (3), ......
(3) L'un s'appelait Guillaume de SANHARD, co-seigneur de Mortesaigne, second fils d'Antoine de SANHARD, seigneur de Mortesaigne, et d'Isabeau de SAINT-LAURENT, sa seconde femme; il fut marié trois fois : 1° en 1551, à Marguerite de BONISSOL; en 1559, à Françoise de LA VèZE, et, en 1575, à Suzanne de VERTAMY; de cette dernière union, il eut un fils, jean de SANHARD, seigneur de Choumouroux, Chazaux et Montméa, marié le 21 avril 1613 à Florie de CHOUMOUROUX qui lui apporta les biens de sa maison dont elle était la dernière héritière. Guillaume de SANHARD fut tué à la porte Saint-Gilles.
L'autre était César de SANHARD, seigneur de Mortesaigne et de Glavenas, fils de Pierre de SANHARD, co-seigneur de Mortesaigne, frère aîné de Guillaume qui précède, et de Suzanne de BONISSOL. Le 14 mai 1589, il avait épousé Clauda de LANGON, fille de Louis de LANGON, seigneur de Maumeyre, frère utérin d'Antoine de MARMINHAC, seigneur et baron de Marminhac, Queyrières et Maumeyre. C'est par ce mariage que la baronnie de Queyrières et les seigneuries de Marminhac et de Maumeyre entrèrent dans la maison de SANHARD. César de SANHARD reçut d'HENRY IV, le 4 avril 1590, commission de lever deux cents hommes de guerre à pied; en juillet 1594, il avait sous sa charge, à Yssingeaux, une compagnie de cent hommes de guerre à pied, qui fut réduite, en septembre suivant, à cinquante-huit hommes. La famille de SANHARD fut maintenue dans sa noblesse par jugement de M. de BEZONS, du 20 décembre 1668 (Documents originaux communiqués par M. le marquis de SASSELAGE & M; le comte de CHOUMOUROUX, maire d'Yssingeaux, qui représentent aujourd'hui la famille de SANHARD).
(Source : Mémoire de Jean BUREL, par Auguste CHASSAING, réimpression de l'édition du Puy de 1875, Saint-Vidal, 1983, pages 406-407).
Nous croyons devoir donner aussi une autre lettre d'HENRI IV à César de SAIGNARD, un des braves chevaliers du Velay. La maison de SAIGNARD, dont les titres de noblesse furent confirmés par jugement du 12 décembre 1668, possédait la baronnie de Queyrières, une des dix-huit qui donnaient un siège aux états. Au nombre des ancêtres dont se glorifient cette famille et le pays, il ne faut pas oublier Jean de SAIGNARD qui offrit au roi CHARLES VII les premiers drapeaux enlevés aux ennemis dans le Velay.
Lettre d'henri IV à César de Saignard, commandant d'une compagnie de deux cents hommes, par commission du 4 avril 1590.
"A notre cher et bien amé César de Saignard, salut. Ayant délibéré de mettre sus et faire promptement lever et assembler bon nombre de gens de guerre tant de cheval que de pied, pour nous en servir ès-occasions qui se présenteront pour la conservation de notr état et de nos bons sujets, et d'en bailler la charge à quelques vaillants et expérimentés capitaines à nous fidèles et assurés. A cette cause, lesdites qualités être en vous, vous avons commis et député, commettons et députons par ces présentes, signées de notre main, pour lever, mettre sus et assembler incontinant et le plus diligemment que faire se pourra, le nombre de deux cents hommes de guerre à pied, françois, des meilleurs et des plus aguerris soldats que pourrez choisir; et iceux mener et conduire à la guerre avec vous, sans désemparer ladite compagnie, sous la charge de notre cher et très amé cousin le duc d'Epernon, l'un des pairs de France et colonel-général de notre infanterie française, la part où il sera par nous ou nos lieutenants-généraux ordonné et commandé pour notre service, faisant iceux vivre avec telle police, qu'il ne nous en vienne aucune plainte. De ce faire, vous avons donné et donnons plein pouvoir, autorité, commission et mandement à tous ceux qu'il appartiendra, qu'à vous ce faisant ils obéissent; car tel est notre bon plaisir.
Donné à Corbeil le quatrième jour d'avril, l'an de grâce 1590, et de notre règne le premier". Signé Henri. Par le Roi : Signé Suze.
(Source : Histoire du Velay, par Francisque MANDET, Le Puy, 1862, tome V, note H, pages 443 à 445).
Cézard de SANHARD est cité dans le testament de son père Pierre de SAIGNARD en 1586. Il est pourvu du commandement d'une compagnie de deux cents hommes de pied, par commission du 4 avril 1590, où il est précisé que c'est en considération de sa fidélité et affection au service du Roi. Il achète le 1er février 1628 de Marc de POLIGNAC, baron de Lardeyrol, la coseigneurie de Glavenas, paroisse Saint-Julien-du-Pinet (43).
(Source : voir fichier Geneanet de Guy de Bronac).
14 Mai 1589, grosse en parchemin, passée devant François DOROI, notaire royal à Chaldand, paroisse de Rosière, du contrat de mariage, d’entre noble César de SAIGNARD, fils de feu noble Pierre, Coseigneur de Mortesagne et assisté de Demoiselle Suzanne de BONNISSOLLE, sa mère et de noble Guillaume de SAIGNARD, Hilaire Jean VEYRIER son oncle et beau-frère d’une part, et demoiselle Claude de LANGON, fille légitime de feu Claude Paul de LANGON, seigneur de Maumeyre et autres lieux, et de demoiselle Claude de BONNIERr, ses père et mère, d’autre, par lequel contrat pour satisfaire au testament dudit feu noble Pierre de SAIGNARD son mari, elle aurait institué pour son héritier universel, César de
SAIGNARD leur fils, aux charges et conditions y portées.
8 Juillet 1589, ensuite est insinuation avant contrat faite en la Cour Royale de...
4 Avril 1590, commission de capitaine commandant d’une compagnie de deux cents hommes de pied, accordée à César de SAIGNARD, en considération de sa fidélité et affection au service du Roi.
4 Juillet 1594, rolle de la montre et revue faite en la ville d’Yssingeaux de cent hommes de guerre, arquebusiers à pied français pour le service du Roi, commandé par César SAIGNARD.
Mai 1622, sentence arbitrale rendue contre Noble César de SAIGNARD, tant en son nom que comme mari de Demoiselle Claude de LANGON, et prenant le fait et cause de demoiselle Guionne de LANGON et demoiselle Antoinette CHAPTEUIL, veuve et héritière qui bénéficie d’inventaire de noble Louis LANGON, Seigneur de Maumeyre d’autre part, à l’effet de terminer les différents des parties pour raison de biens, de feu noble Paul de LANGON, Seigneur de Maumeyre, de Demoiselle Claude BLEYNIER, dame de Queyrière et de Noble Tanequin de CROUZET.
4 Mars 1628, grosse en papier, d’un bail passé devant DEMEURE, notaire royal à Maumeyre, au pays de Velay, par Noble César de SAIGNARD et demoiselle Claude de LANGON, seigneur dudit Maumeyre, SAIGNARD, coseigneurs de Mortesagne, habitants audit Maumeyre, dans la baronnie de Vaucance, au pays de Velay, au profit d’Antoine et Jacques RIVIÈRE, père et fils des terres et héritages y mentionnée devant le domaine noble desdits seigneurs de Maumeyre, à eux appartenant.
16 Avril 1628, grosse en papier, passée devant Jean DESFROIS, notaire royal et procureur en la juridiction de la ville d’Yssingeaux, d’une obligation faite pour les consuls et habitants de la ville d’Yssingeaux au profit de noble César de SAGNARD, coseigneur de Glavenas, Queyrière et autres places, au sujet de quatre fauconneaux appartenant audit seigneur de SAIGNARD pour lui prêté à ladite ville, pour le service du Roi, contre les rebelles de sa Majesté.
20 janvier 1641, emploi du testament de noble César de SAIGNARD, écuyer, seigneur au lieu, employé sur le quatrième degré.
6 juin 1641, grosse en papier, passée devant CHAILLOT, notaire royal, du testament de noble César de SAIGNARD, écuyer, seigneur dudit lieu de Saignard, Maumeyre, Glavenas, et autres places, habitants au lieu de Maumeyre, paroisse de ville et baronnie de Vaucance, par lequel
testament, il lègue par droit d’institution héréditaire particulière et par donation à demoiselle Claude de LANGON sa femme, cent livres de pension annuelle, sa vie durant. Lègue par le même droit que dessus à noble Jean de SAIGNARD, seigneur Despreaux son fils naturel et légitime, et a Noble Jean-Baptiste de SAIGNARD, seigneur de Glavenas et de Canson son autre fils naturel et légitime, les sommes y contenues, et institue son héritier universel, et noble Antoine de SIGNARD, seigneur de Maumeyre, son fils aîné, naturel et légitime.
(Source : http://sagnard.e-monsite.com/medias/files/genealogie-jean-joseph-de-sagnard-de-lafressange-1.pdf).
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