Fiches individuelles


SANGOIRE Andrée
Naissance : 1898
(Source :Jeannine Monnier).
Décès : 1972
(Source :Jeannine Monnier).

Union : MONNIER Louis ( 1892 - 1957 )
Enfant : MONNIER Louis ( 1923 - ? )




SANHARD (de ) Alexandre
Baptême : 10 juin 1750 à Saint-Hostien 43 ( Source )
Né la veille à Queyrières, il eut pour parrain Amable de SANHARD, son frère, et pour marraine Marie-Thérèse de SANHARD, présents maître Etienne MAIZONNET, écclésiastique, gouverneur du parrain, qui signent.

Père : SANHARD (de ) Michel Louis ( 1713 - < 1776 )
Mère : GUERIN Marie ( ~ 1711 - 1770 )

SANHARD (de ) Alexandre
SANHARD (de ) Michel Louis
SANHARD (de ) Jacques
ARNAUD Théreze
GUERIN Marie
 
 




SANHARD (de ) Alexandre Dominique
Baptême : 9 février 1741 à Saint-Hostien 43 Queyrières ( Source )
Né le 7, il eut pour parrain Alexandre LAMOUD, de Saint-Julien-Chapteuil, et pour marraine Marianne ROYER, de Saint-Julien-Chapteuil, qui signent.

Père : SANHARD (de ) Michel Louis ( 1713 - < 1776 )
Mère : GUERIN Marie ( ~ 1711 - 1770 )

SANHARD (de ) Alexandre Dominique
SANHARD (de ) Michel Louis
SANHARD (de ) Jacques
ARNAUD Théreze
GUERIN Marie
 
 




SANHARD (de ) Amable Dominique
- Seigneur de Fonclair (ou Fontclerc)

Baptême : 29 mars 1739 à Saint-Hostien 43 Queyrières ( Source )
Né la veille, il eut pour parrain sieur Amable GUERIN, et pour marraine demoiselle Marie Magdelaine GUERIN, frère et sœur, de Saint-Julien-Chapteuil.
Nota : dans l'acte, son père est prénommé Michel Louis.


Père : SANHARD (de ) Michel Louis ( 1713 - < 1776 )
Mère : GUERIN Marie ( ~ 1711 - 1770 )

Note individuelle : Fut maire de Saint-Julien-Chapteuil en 1790.

L’affaire des grains de Saint-Julien-Chapteuil
1790 l'affaire des grains de St-Julien-Chapteuil (43) récit de Pierre CHAPUIS dans le Bicentenaire de la Révolution dans la Haute-Loire édité en 1989 par la société académique du Puy et de la Haute Loire. Il faut attendre mai 1790 pour trouver aux archives départementales les traces d'une "cherté" et d'un attroupement suivi de troubles à St-Julien-Chapteuil. Il s'agit d'une pétition plus d'un an après les faits aux administrateurs du département de la Haute-Loire par le Sieur Ignace LASHERMES fermier du ci-devant comté de Chapteuil (Ref: IQ105). Gaspard CHARRIER et Ignace LASHERMES avaient affermé en 1787 pour 6 ans tous les revenus cens rentes redevances boirades pour 2750 livres par an (Ref: 3E2277). Ignace LASHERMES se plaint de l'attitude de la première municipalité de St-Julien-Chapteuil et des vexations subies par ses préposés sa femme son fils et son associé. Voici le résumé de ce document d'archive.
Fermier depuis dis ans de la terre ci devant Comté de Chapteuil (sic...) faisant partie de l'apanage du seigneur évêque du Puy de même que du prieuré de St Julien Chapteuil appartenant à ci devant abbaye Royale de la Chaise Dieu j'ai régi l'un et l'autre pendant 10 ans à satisfaction des contribuables par moi même ou par mes préposés. Ennemi des vexations partisan zélé des Cultivateurs je voyais peine les sueurs de toute l'année du censitaire mal
aisé suffire à peine à liquidation d'une charge qui souvent lui enlevait en un instant sa subsistance et celle de toute sa famille. Frappé de ce tableau malheureux trop multiplié je renonçais personnellement a une perception que mon coeur rejetait et je donnai des ordres pour que ceux qui me remplaceraient dans cette opération favorisent les contribuables gênés par des délais; les indigents par des petites remises; pour les aisés difficiles souvent par
habitude quelquefois par mauvaise volonté ne fussent que menacés et jamais poursuivis qu'à dernière extrémité.
Ignace LASHERMES précise que son grain était toujours revendu deux sols au dessous du prix en cours "même s'il devait en éprouver de la perte". Le 4 mai 1790 Noble Amable Dominique de SANHARD faisant office de maire ordonna à Ignace LASHERMES résidant au Puy en Velay (43) de faire vendre tout le grain que ce dernier avait entreposé dans son grenier de St Julien Chapteuil. Cette mesure apparaît injuste et illégale au plaignant. Injuste parce qu'elle ne touche pas les autres propriétaires de la paroisse qui possèdent du blé à
vendre tels que MM. SOUTEYRAND du Puy, REYMOND de Chanalès, EXBRAYAT du Betz, SABATIER de Saint-Marsal, et plusieurs autres non précisés. LASHERMES ajoute :
"... Pour favoriser le peuple mon épouse mon fils et le Sieur CHARRIER arrivèrent à St Julien Chapteuil le 13 du mois et le 14 le grenier fut exposé au besoin du public qui prévenu de la modération des prix s'empressa d'en profiter au point que de ce jour au 20 mai il fut enlevé 350 mesures à 4 livres 10 sols. Une Mesure illégale parce que le grain se vendait 5 livres 18 sols au Monastier le maire de St Julien voulait en fixer le prix à 4 livres. Il outrepasse ses pouvoirs et semble ignorer les nouveaux décrets qui prohibent aux municipalités de fixer le prix des grains au dessous du cors. Tous les grains étaient entreposés dans la maison du Sieur MOLLEYRE officier municipal de St Julien Chapteuil. Le dit MOLLEYRE avait proposé au Sieur LASHERMES de lui racheter tout son blé l'intention de le revendre à un prix supérieur à celui pratiqué. Il refusa la proposition de ce profiteur pour " ne pas nuire à l'intérêt du Peuple". Dépité le Sieur MOLLEYRE va s'employer à provoquer une sédition contre les préposés d'Ignace LASHERMES... le 22 mai aux foires de Fay il fait croire à des habitants de St Julien que dans la nuit de 21 au 22 mai quatre chars sont partis secrètement de St Julien pour le Puy chargés de seigle. Il ajoute que le reste de la réserve environ 100 sacs va être évacué et qu'il faut s'y opposer par la force. A son retour MOLLEYRE va informer le maire de l'inquiétude du peuple et de ses dispositions en faveur d'une action. Le même jour à dix heures du soir M. de SANHARD fait investir le grenier par des gens armés ainsi que le logement de Mme LASHERMES et de son fils. Dans les jours qui suivirent Mme LASHERMES refusa toujours de laisser vendre le blé de son mari au prix fixé par le maire et uniquement aux porteurs de billets signés par la municipalité. Ces billets portent la quantité de mesures à délivrer à chaque porteur. Le maire fit alors compter le nombre de mesures encore entreposées : on en dénombra 736. Le peuple mal informé des bonnes intentions du plaignant et influencé par le Sieur MOLLEYRE commençait à murmurer et à s'agiter si bien que M. de SANHARD avertit Mme LASHERMES et M. CHARRIER qu'ils seraient gardés à vue car leur vie était en danger… Mme LASHERMES son fils et M. CHARRIER furent conduits par le Sieur CHEVALIER officier municipal dans la maison du maire (La maison SANHARD était située au quartier du ruisseau. Elle appartient aujourd'hui à la famille MONTAGNE ancien notaire) où la municipalité était rassemblée. M. de SANHARD réitéra en vain sa demande à Mme LASHERMES. Exaspéré par son refus il lui reprocha d'abord de vouloir faire venir la troupe à St Julien contre la municipalité. Mme LASHERMES répondit qu'elle
"sacrifierait 100 greniers plutôt que d'être la cause du moindre événement fâcheux". Alors le maire la chassa de son appartement en criant aux armes ! qu'on l'arrête ! il la poussa dans sa cour pleine d'une soixantaine de gens armés de haches pioches bâtons marteaux fusils et qui avaient été alertés par le sieur MOLLEYRE. Mme LASHERMES et M. CHARRIER furent sauvés grâce à l'intervention courageuse de M. MAURAS procureur de la commune qui fût blessé à main d'un coup de tranchet qu'un furieux portait par derrière à Mme LASHERMES et celle de M. CHEVALIER officier municipal et GUYOT secrétaire qui parèrent un coup de marteau que le nommé BARRIOL maréchal ferrant portait à tête de M. CHARRIER. Mme LASHERMES et ses deux compagnons furent ramenés au logement par leur défenseurs suivi par la foule des mutins qui exigèrent et obtinrent un écrit les dispensant de tout arrérage avant le 25 Mai. La veille de cet événement MOLLEYRE avait dit au marché du Monastier que Mme LASHERMES et M. CHARRIER " devraient danser au bal qu'on leur préparait à St Julien avant le leur départ pour le Puy ". Dans la nuit du 25 au 26 Mai le tocsin avait sonné pour empêcher Mme LASHERMES de partir avant le jour. Mme LASHERMES et M. CHARRIER purent s'en aller au Puy en Velay (43) mais le maire força Melle VAZEILLE au service de M. LASHERMES depuis 25 ans et le fils LASHERMES à délivrer tout le grain aux indigents. La vente par petite quantités dura jusqu'au 23 Juin.
(Source : http://karl.montagne.free.fr/KM_2003/note3.html).

SANHARD (de ) Amable Dominique
SANHARD (de ) Michel Louis
SANHARD (de ) Jacques
ARNAUD Théreze
GUERIN Marie
 
 




SANHARD (de ) Antoine
- Ecuyer, baron de Queyrières, seigneur de Mortesagne, Marmignac, Maumeire et Glavenas

Naissance : vers 1591
Décès : après 27 juillet 1695
(Source : voir fichier Geneanet de Christophe de Magnitot).

Père : SANHARD (de ) César ( J ~ 1560 - > 1641 )
Mère : LANGON (de ) Claude, ou Clauda ( J ~ 1570 - ? )

Union 1 : CRÉMEAUX (de ) Isabeau ( ? - < 1629 )
Mariage par contrat : 20 août 1625
Enfant : SAIGNARD (de ) Claudine ( <> 1625 & 1629 - ? )
Union 2 : DES BOSCS de SOLIGNAC Claire ( ~ 1605 - 1680 )
Mariage par contrat : 1 décembre 1629 à Montfaucon-en-Velay 43
(Source : voir fichier Geneanet de Christophe de Magnitot). A Gilhoc-sur-Ormèze(07) selon Guy de Bronac.
Enfants : SAIGNARD (de ) Louise ( 1642 - 1735 )
SANHARD (de ) Marie ( ? - ? )
SAIGNARD de QUEYRIÈRES (de ) François ( ? - > 1695 )
SAIGNARD (de ) Izabeau ( ? - 1711 )
SAIGNARD (de ) Pierre ( ? - < 1668 )
SANHARD (de ) Catherine ( ? - ? )
SAIGNARD (de ) Claire ( ? - 1683 )
SANHARD (de ) Claudine ( ? - ? )
SANHARD (de ) Suzanne ( ? - ? )
Note individuelle : Deuxième enfant du couple. Est l'auteur de la branche de Glavenas dite des barons de Queyrières.
Tige de la branche aînée, dite des barons de Queyrières, existante, maintenue le 20 décembre 1668.
(Source : Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 409).
Le 22 février 1638, Nicolas du PELOUX vendit à Antoine SAIGNARD, coseigneur de Queyrières, habitant à Maumeyre, mandement de Vocance, plusieurs fonds à La Grangette et au Marthoret, pour le prix de 10 276 livres. Il fut déchargé du droit de franc fief en décembre 1667, comme il l'avait déjà été par arrêt du 13 janvier 1661.
(Source : La Noblesse de la Sénéchaussée de Villeneuve de Berg en 1789, par Raymond de GIGORD, pages 387-388).
Assista au mariage de Jean-Baptiste de SAIGNARD, son frère, le 14 janvier 1636, fut déclaré exempt du droit de franc-fief, par M. de BEZONS, intendant en Languedoc, laquelle rapporte sa filiation depuis Jean de SAIGNARD, son trisaïeul, écuyer de l'écurie du Roi; fit une acquisition de Claude MERLE, de divers héritages situés près de Glavenas, le 18 décembre 1652; fut déclaré exempt, ainsi que Pierre de SAIGNARD, écuyer, seigneur de Choumouroux, de Montméa et de Chazaux, du payement du droit de franc-fief, par arrêt du 13 janvier 1661.
(Source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, page 218).
Du 12 décembre 1668. Nobles Antoine de SAIGNARD, escuyer, seigneur de Maumeyrac, Glavenas, et autres places, François de SAIGNARD, seigneur et baron de Quenesres son fils, lieutenant de la compagnie colonnelle du régiment de Navarre, Jean et Gabriel Elie de SAIGNARD, sieur des Préaux et de la Fossange père et fils, Jean-Baptiste de SAIGNARD, sieur de Glavenas, habitant de Beauregard, paroisse de Vocance, et Cezard de SAIGNARD, seigneur du Vernet et Christophe SAIGNARD, frères, du diocèse du Puy, ses titres de noblesse ont esté confirmés par jugement souverain, monsieur VILLERASE rapporteur, porte d'azur au sautoir d'or.
(Source : Catalogue Général des Gentils-Hommes de la Province de Languedoc, par Henry de CAUX, pages 36-37).
Les états du Velay se tinrent au Puy, le 20 de juillet (An 1620 de J.C.). Du nombre de ceux qui se trouvèrent à l'assemblée, furent Hector de FAY, baron de la Tour Maubourg; Antoine de LA TOUR, BARON DE Saint-Vidal; Léonard de PONS, sieur de Grippel, commis du baron de Bouzols; Jean de LA RODDE, sieur de Châteauneuf, commis du baron de Saint-Haon; Antoine de SANHARD, sieur de Marminhac, commis du baron de Queyrières.
(Source : Histoire du Velay Jusqu'à la Fin du Règne de Louis XV, par J.A.M. ARNAUD, tome II, pages 113-114).
An 1624 de J.C. : Les états du Velay s'assemblèrent dans cette vile (Le Puy) le 17 juin 1624. Parmi les membres présents, furent Just de SERRES, évêque du Puy, comte de Velay, abbé et baron de Moutebourg, qui les présida; Gaspard-Armand, vicomte de POLIGNAC; Antoine de SANHARD, baron de Queyrières.
(Source : Histoire du Velay Jusqu'à la Fin du Règne de Louis XV, par J.A.M. ARNAUD, tome II, page 123).
Antoine SANHARD (1677) (1B15/72 à 74).
Antoine SANHARD, marchand (5octobre 1657) (1B910 folio 72 verso).
Donations, rémissions, émancipations, pactes de mariage, testaments, etc..., au sujet desquels sont nommés entre autres : NAVETTE (de), noble Aymard, écuyer, seigneur des Olières paroisse de Beauzac; ... SAIGNARD (de) Antoine, seigneur et baron de Queyrières, maulmeyre et autres places ; ... etc... (1674-1678) (B29).
Assignation donnée à la requête de l'évêque du Puy, contre Antoine de SAIGNARD, seigneur de Marminhac et de Queyrières, en paiement des droits et lods réclamés par l'évêque, au sujet de la vente consentie par le seigneur de Pélissac au profit dudit de SAIGNARD, de la moitié de la terre de Queyrières (1608-1646, s.d.). (G35, article manquant).
(Source : Archives Départeamntales de la Haute-Loire).
Il habitait le domaine de Brezenaud, paroisse de Quintenas (07).
Il est maintenu noble le 20 décembre 1668 avec ses fils et ses neveux par Claude BAZIN, chevalier, sgr de Bezons, intendant du Languedoc
Décharge de franc-fief du 12 décembre 1637 en faveur d'Anthoine de SANHARD : "Robert Miron, conseiller du Roy en ses conseils, et Barthélémy du Pré aussi conseiller du Roy es dits conseils, mestre des requestes ordinaires de son hostel, Intendant de la justice police et finances du Languedoc, commissaire des parties par Sa Majesté, sur le fait des francs-fiefs et nouveaux acquets au ressort du parlement de Tholouze, et entre noble Anthoine de Sanhard, sr de Marminhac, Maumeyre et Mortesaigne, demandeur par requeste du premier du présent moys pour estre desclairé exempt des droits de francs fiefs avec deffances à mre Charles Froger traictant et procureur du Roy et aultres, de luy en faire demande pour raison des fiefs et terres nobles par luy possédées à payer de cinq centz livres d'amande, attendu que luy et ses prédécesseurs ont toujours vescu noblement, et mre Charles Froger qui a traicté avec Sa Majesté des dicts droits, deffandeur d'aultre en la dite requeste, lettres patantes portant don de l'estat d'escuyer du Roy, faict par Sa Majesté à Jean de Sanhard le XXIXe apvril 1439, mariage de Pierre Sanhard, escuyer, conseigneur de Mortessaigne et demoiselle Suzanne Bonissolle du 29e novembre 1550, donation faicte par ledict Pierre Sanhard à delle Suzanne Bonissolle sa femme de tous et chacuns ses biens aux conditions y apposées du 15e febvrier mil cinq cens quatre vingt quatre, l'extaict d'arrest de la cour de parlement de Tholouze par lequel résulte Pierre de Sanhard y avoir esté qualiffié d'escuyer du 20e febvrier mil cinq cens soixante treize, pacte de mariage de noble Cezard de Sanhard et dmelle Claude de Langon du 19e may mil cinq cens quatre vingt neuf, commission bailhée par Sa Majesté audict sr de Sanhard pour faire une compagnie de deux cens hommes de pied soubs l'authorité de monsieur le duc d'Epernon, pair et colonel de l'infanterie françoyse du quatriesme apvril mil cinq cens quatre vingt dix, pacte de mariage de noble Anthoine de Sanhard, sr de Marminiac, avec damelle Ysabeau de Cresmeaux, filhe de noble Anthoine de Cresmaux, chevalier, seigr de Mons le Betz, Chambilhac, baron de Polhone, et de dame Louise de Rebé, dame du dict Polhone du 20e aoust 1625, deument susignné le dernier octobre au dict an, attestation faicte par devant les officiers de Toulhouse par laquelle il résulte que tant le dict sieur de Sanhard que ses devanciers ont toujours vescu noblement du 6e septembre dernier, response faicte par le traictant par laquelle il dict après avoir heu communication des dicts actes qu'il n'a poict de mémoyres contraires pour les contredire, et qu'il n'empesche que le procès ne soict jugé en l'estat, nostre ordonnance pourtant que la requeste présantée par le dict de Sanhard seroit communiquée au dict traictant et procureur du Roy avec les conclusions du dict procureur du roy, Nous avec l'advis d'aultres officiers, magistrats au siège présidial de Béziers, au nombre de de l'ordonnance par nostre jugement souverain ayant esgard à la requeste présante par le dict Anthoine de Sanhard, l'avons déchargé et déchargeons de l'assignation à luy donnée à la requeste du dict Froger pour les droicts de franc fief, et faisons inhibition et deffence tant au dict traictant que procureur du Roy et tous aultres de l'inquieter pour raison de ceci, sans despens, signé R. Miron, R. du Pré, De Montaignac, Le Noir, Gonnet, de Jessé et Clapier rapporteur, mandant au premier huissier ou sergent sur ce requis faire tous exploits nécessaires, faict à Beziers le douziesme jour de décembre mil six cens frente sept, par ordonnance de mes dicts seigneurs commissaire, Rieumal pour le greffe collationné."
(Source : voir fichier Geneanet de Guy de Bronac).
1er septembre 1637, requête présentée à monsieur MIRON, intendant en Languedoc, commissaire de député, par noble Antoine de SAIGNARD, seigneur de Marminhac, Maumeyre et Mortesagne, contenant que quoique noble Jean de SAIGNARD, écuyer, son trisaïeul, écuyer de l’Ecurie du Roi, et que ses successeurs jusqu’au suppliant ayant toujours vécu noblement et ne puissent être tenus des droits de franc fiefs, pour les biens nobles pour eux et attendu ladite qualité de noble, le déclare exempt du droit de franc fief pour les fiefs et terres nobles, par eux possédé. Au bas de laquelle elle soit communiquée au procureur du Roi, de la Commission et au traitant.
4 octobre 1637, ensuite est la réponse du traitant de ses droits de franc fiefs, partant que les actes et production faites devant le commissaire et délégué soient reçues et être ordonné ce qu’il approuva.
6 décembre 1637, au bas sont les conclusions du procureur du Roi   , de la commission n’empêche la décharge requise.
12 décembre 1637, ordonnance de monsieur MIRON, intendant en Languedoc, commissaire a ce député, rendue entre le traitant des francs-fiefs, et noble Antoine de AIGNARD, seigneur de Marmignac, Maumeyre et Mortesagne, le décharge de l’assignation, à lui donner pour paiement desdits droits de franc fief.
18 décembre 1652, expédition en papier passée par RECHATIN, notaire royal, d’un contrat de vente faite par Claude MERLE du lieu Joux Colombets vers Glavenas au profit de Noble Antoine de SAIGNARD, seigneur, le Baron de Queyrière, Marmignac et autres places des terres et héritages y mentionnées.
13 janvier 1661, arrêt de la Chambre Souveraine établie pour les francs fiefs nouveaux acquis et amortissements en la généralité de Montpellier, rendu entre Noble Antoine de SAIGNARD, seigneur de Marminhac, baron de Queyrière, Maumeyre et autres places et noble Pierre de SAIGNARD, écuyer, seigneur de Choumouroux, Montmea et Chazaux d’une part et le traitant des francs-fiefs d’autre part, par lequel ladite chambre déclare lesdits Pierre et Antoine de SAIGNARD du paiement des taxes sur eux faite pour le droit de franc-fief.
15 Juillet 1661, grosse en papier, passée devant PORTE, notaire royal du diocèse du Puy, entre monseigneur illustrissime et révérendissime Henry de MEN du TOUR, évêque du Puy, comte du Velay, abbé de Saint-Denis, de Rhanne, et commissaire du Roi, et tous ses conseils d’une
part, et messire Antoine de SAIGNARD, seigneur et baron de Queyrière, Marmignac, Glavenas et Maumeyre d’autre part : par laquelle transaction Antoine de SAIGNARD, reconnaît tenir des seigneurs évêque et ses successeurs en foi et hommage, les terres, seigneuries et baronnie de Queyrière et qu’il promet de renouveler toutes les fois qu’il en sera requis conformément aux titres des dits évêché et Comté.
20 décembre 1668, inventaire des titres de noblesse produit devant M. BAZIN, intendant de Languedoc par Antoine de SAIGNARD, écuyer, seigneur de Marmignac, Maumeyre, Glavenas et autres places à François de SAIGNARD, seigneur et baron de Queyrière, lieutenant de la lieutenance colonelle au régiment de Navarre, père et fils, habitants du lieu de M...
20 décembre 1668, ordonnance de M. BAZIN, intendant en Languedoc, rendus entre le préposé de la recherche des usurpateurs du titre de noble d’une part, et noble Antoine de SAIGNARD, écuyer, seigneur de Marmignac, Maumeyre, Glavenas et autres places, François de SAIGNARD, seigneur et baron de Queyrière son fils, lieutenant de la compagnie colonelle au
régiment de Navarre, assigné en reprise d’intense au lieu de feu Pierre de SAIGNARD, fils dudit Antoine et pour feu César de SAIGNARD son père, et encore Noble Jean et Gabriel ALLIER de SAIGNARD, seigneur Despreaux et Lafressange père et fils, Jean-Baptiste de SAIGNAD, seigneur de Glavenas, noble César de SAIGNARD, seigneur Duvernet et Christophe de SAIGNARD, frères assignés d’autre part, ordonnance que lesdits SAIGNARD et leur postérité nés et à naître en légitime mariage jouiront des privilèges immunités et exemptions des rolles de la Province de Languedoc, et qu’il en sera fait mention dans le Catalogue.
(Source : http://sagnard.e-monsite.com/medias/files/genealogie-jean-joseph-de-sagnard-de-lafressange-1.pdf).

SANHARD (de ) Antoine
SANHARD (de ) César
SANHARD (de ) Pierre
BONNISSOLLE (de ) Suzanne
LANGON (de ) Claude, ou Clauda
LANGON (de ) Claude Paul
BLEYNIER Claude


                     


Ces pages ont été créées par Heredis pour Windows , © BSD Concept