Fiches individuelles


TARDY de MONTRAVEL Anne
Père : TARDY de MONTRAVEL Marc ( 1636 - ? )
Mère : LUZY-PÉLISSAC (de ) Marie Françoise ( ? - ? )

TARDY de MONTRAVEL Anne
TARDY de MONTRAVEL Marc
TARDY François
BOUCHE Antoinette
LUZY-PÉLISSAC (de ) Marie Françoise
 
 




TARDY de MONTRAVEL Anne-Marie
Naissance : 11 août 1902 à Avignon 84
(Source : voir fichier Geneanet de la base Pierfit).
Décès : 20 avril 1957 à Neuilly-sur-Seine 92
(Source : voir fichier Geneanet de la base Pierfit).

Père : TARDY de MONTRAVEL Marie Joseph Eugène Marc ( 1871 - 1950 )
Mère : TRAPPE Marie Elisa ( 1877 - 1902 )

Union : MOREL de FOUCAUCOURT Guy ( 1897 - ? )
Mariage : 9 mai 1925 à L'Albenc 38
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle). Le 10 selon base Pierfit.
Enfant : MOREL de FOUCAUCOURT Andrée ( 1927 - ? )
Note familiale : Ce couple aurait eu 4 enfants (Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
TARDY de MONTRAVEL Anne-Marie
TARDY de MONTRAVEL Marie Joseph Eugène Marc
TARDY de MONTRAVEL Louis Henri César André
BOREL Marie Virginie
TRAPPE Marie Elisa
 
 




TARDY de MONTRAVEL Antoine François
Prêtre, curé de Riotord en 1708, puis curé de Saint-Sauveur-en-Rue

Naissance : 10 juillet 1659 à Saint-Sauveur-en-Rue 42
(Source : voir base Roglo).

Père : TARDY de MONTRAVEL Jean ( 1637 - ? )
Mère : ROCHETTE Jeanne ( ? - ? )

TARDY de MONTRAVEL Antoine François
TARDY de MONTRAVEL Jean
TARDY François
BOUCHE Antoinette
ROCHETTE Jeanne
 
 




TARDY de MONTRAVEL Antoine Jean Louis dit Louis
Homme de Lettres et archéologue, historien et généalogiste - Vicomte de Montravel

Naissance : 7 mars 1823 à Joyeuse 07
(Source : site Promenades en Ardèche).
Décès : 28 février 1909 à Thueyts 07 au château de Blou
Il est inhumé dans le caveau familial au cimetière de Joyeuse (Source : voir Wikipedia).
Inhumation : à Joyeuse 07 dans le caveau familial
(Source : http://medarus.org/Ardeche/07celebr/07celTex/montravel.htm#).

Père : TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice ( 1784 - 1856 )
Mère : CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise ( an VIII - 1857 )

Union : VÉTILLART DU RIBERT Marie Amélie Henriette ( 1835 - 1909 )
Contrat de mariage : 10 janvier 1861 à Lyon 69
(Source : site Promenades en Ardèche).
Mariage : 12 mars 1861
(Source : http://gw.geneanet.org/massiliensis). Ou juillet, selon les sources.
Enfants : TARDY de MONTRAVEL Elisabeth Françoise Marie Louise Pauline ( 1863 - ? )
TARDY de MONTRAVEL Marie Jeanne Antonine Louise ( 1865 - ? )
TARDY de MONTRAVEL Emmanuel Marie Louis Eugène ( 1866 - 1946 )
TARDY de MONTRAVEL Jean ( 1868 - ? )
TARDY de MONTRAVEL Marie Joseph Charles Pierre ( 1871 - ? )
TARDY de MONTRAVEL Jacques Marie Antoine Henri ( 1873 - 1960 )
TARDY de MONTRAVEL de LA BROSSY Françoise ( ? - ? )
Note individuelle : Deuxième du nom de la branche dite de Joyeuse en Vivarais.
Élevé par son père et par des précepteurs, il alla successivement à Paris, Lyon et Grenoble, pour y suivre des cours de littérature, de droit, d'histoire naturelle et de botanique. Il parcourut pendant deux ans, avec des professeurs, les Alpes dauphinoises et la Savoie, y recueillant les plantes qui devaient former son très complet herbier français.
Revenu à Joyeuse au début de l'année 1848, il fut élu à l'unanimité membre du conseil municipal de cette ville; mais il refusa, après le coup d'état, de prêter le serment à Napoléon III et fut, pour cette cause, tenu en suspicion pendant tout le temps de ce règne. Réélu à la chute de l'empire, mais pour peu de temps, il resta le chef du parti conservateur en qualité de président des comités catholiques et du conseil de fabrique.
Le 12 août 1854, il reçut une lettre de félicitations du ministre de l'agriculture au sujet du mémoire qu'il avait été chargé de faire, sur l'enquête agricole et industrielle, dans le Vivarais.
Le 3 janvier 1861, il avait fait dresser un acte de notoriété du titre de Vicomte.
Il a laissé des études géologiques non publiées, et une "Monographie sur des paroisses du diocèse de Viviers" (Revue du Vivarais, 1893 à 1913).
(Source : site Promenades en Ardèche).
Il s'est consacré à l'histoire de la noblesse du Vivarais, sur laquelle il a réuni de nombreux documents, la plupart inédits. Membre de la Société archéologique de France et de plusieurs sociétés savantes, il se fixa au châteu de Blou à Thueyts. (source : La France Moderne, par Jules VILLAIN, tome II Drôme-Ardèche, page 694).
Membre de la Société Archéologique de France, de la Société des Arts et Belles Lettres de la Loire, du Conseil héraldique de France, etc... (source : Les Châteaux historiques du Forez, par Emile SALOMON, volume 1, page 53).
Il est le fils aîné d'Antoine Maurice de Tardy, vicomte de Montravel et de Fanny du Rouchet de Chazotte-Carrière. Élevé par son père et par des maîtres d'agréments, il alla successivement à Paris, Lyon et Grenoble, pour y suivre des cours de littérature, de droit, d'histoire naturelle et de botanique. Il parcourut pendant deux ans, avec des professeurs, les Alpes dauphinoises et la Savoie, y recueillant les plantes qui devaient former son très complet herbier français.
Rentré à Joyeuse au commencement de l'année 1848, il fut élu à l'unanimité membre du conseil municipal de cette ville ; mais il refusa, après le coup d'État, de prêter le serment à Napoléon III et fut, pour cette cause, tenu en suspicion pendant tout le temps de ce règne. Réélu à la chute de l'empire, mais pour peu de temps, il resta le chef du parti conservateur en qualité de président des comités catholiques et de conseil de fabrique.
Il se fixa dans sa maison paternelle de Joyeuse où il s'adonna entièrement à l'histoire de la noblesse du Vivarais, à celle des paroisses de ce diocèse et à d'autres travaux archéologiques. Parmi ses travaux, ce fut à l'histoire de sa propre famille qu'il donna tous ses soins, et ce ne fut pas sans peine qu'il parvint à la reconstituer par des recherches patientes, continues et considérables. C'est grâce aux documents nombreux et aux titres authentiques qu'il a pu réunir, qu'il a dressé cette complète généalogie, conforme en tous points à l'histoire et à la tradition.
Le 12 août 1854, une lettre de félicitations lui fut adressée par le ministre de l'agriculture au sujet du mémoire qu'il avait été chargé de faire, sur l'enquête agricole et industrielle, dans le Vivarais.
Il fut nommé successivement : Membre de la société archéologique de France et inspecteur des monuments historiques pour l'Ardèche, par diplôme du 2 mai 1856, membre de la société des sciences et des belles lettres de l'Ardèche, le 20 mars 1859, membre de la société linnéenne de Lyon, le 13 février 1860, membre de la société zoologique d'acclimatation, le 2 novembre 1860, membre de la société des belles lettres de la Loire, membre de la société archéologique de la Drôme, membre honoraire du Conseil héraldique de France, le 2 mars 1892, membre de l'Istituto araldico italiano de Rome qui le gratifia de sa décoration.
Le 3 janvier 1861, il avait fait dresser un acte de notoriété du titre de Vicomte.
Bibliographie : Vicomte Louis de Montravel, Histoire Généalogique de la Maison DE TARDY DE MONTRAVEL, Lacour Rediviva, 1992, 322 p. (ISBN 2-86971-631-7). Tirage de 50 exemplaires sur vélin ivoire et 300 exemplaires destinés à la vente.
(Source : http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Louis_de_Montravel&oldid=93978837).
A acquis en 1902, de Pierre Joachim Marie de CASSIN, le château de Blou et ses dépendances (Source : http://www.thueyts.fr/personnages.html).
Deuxième du nom de la branche dite de Joyeuse en Vivarais. Elevé par son père et par des maîtres d'agréments, il alla successivement à Paris, Lyon et Grenoble, pour y suivre des cours de littérature, de droit, d'histoire naturelle et de botanique. Il parcourut pendant deux ans, avec des professeurs, les Alpes dauphinoises et la Savoie, y recueillant les plantes qui devaient former son très complet herbier français.
Rentré à Joyeuse au commencement de l'année 1848, il fut élu à l'unanimité membre du conseil municipal de cette ville; mais il refusa, après le coup d'état, de prêter le serment à Napoléon III et fut, pour cette cause, tenu en suspicion pendant tout le temps de ce règne. Réélu à la chute de l'Empire, mais pour peu de temps, il resta le chef du Parti Conservateur en qualité de président des Comités Catholiques et du Conseil de Fabrique.
Il se fixa dans sa maison paternelle de Joyeuse où il s'adonna entièrement à l'histoire de la noblesse du Vivarais, à celle des paroisses de ce diocèse et à d'autres travaux archéologiques. Parmi ses travaux ce fut à l'histoire de sa propre famille qu'il donna tous ses soins, et ce ne fut pas sans peine qu'il parvint à la reconstituer par des recherches patientes, continues et considérables. C'est grâce aux documents nombreux et aux titres authentiques qu'il a pu réunir, qu'il a dressé cette complète généalogie, conforme en tous points à l'histoire et à la tradition.
Le 12 août 1854, une lettre de félicitations lui fut adressée par le ministre de l'Agriculture au sujet du mémoire qu'il avait été chargé de faire, sur l'enquête agricole et industrielle, dans le Vivarais.
Il fut nommé successivement : Membre de la Société Archéologique de France et inspecteur des Monuments Historiques pour l'Ardèche, par diplôme du 2 mai 1856, membre de la Société des Sciences et des Belles Lettres de l'Ardèche, le 20 mars 1859, membre de la Société Linnéenne de Lyon, le 13 février 1860, membre de la Société Zoologique d'Acclimatation, le 2 novembre 1860, membre de la Société des Belles Lettres de la Loire, membre de la Société Archéologique de la Drôme, membre honoraire du Conseil Héraldique de France, le 2 mars 1892, membre de l'Istituto Araldico Italiano de Rome qui le gratifia de sa décoration.
Le 3 janvier 1861, il avait fait dresser un acte de notoriété du titre de Vicomte.
(Source : site Beauzons.fr).
La maison était habitée par son grand-père, sa grand-mère, son grand oncle, le maréchal dit M. de la BROSSY, son oncle Eugène et ses parents.
Élevé par son père et par des précepteurs, il alla successivement à Paris, Lyon et Grenoble, pour y suivre des cours de littérature, de droit, d'histoire naturelle et de botanique. Il parcourut pendant deux ans, avec des professeurs, les Alpes dauphinoises et la Savoie, y recueillant les plantes qui devaient former son très complet herbier français. Ses goûts le portaient à toutes les branches de l'agriculture ; plus tard il s'occupa de la gestion de la terre d'Arleblanc. En même temps, il s'occupait des affaires de son oncle Eugène, pour son domaine de Sousperret et de son moulin de Joyeuse. Puis il fallut vendre les biens de cet oncle pour payer l'héritage de sa femme, ce qui ne fut pas une petite affaire ; tout en continuant à surveiller le moulin de Joyeuse et le pré du château indivis entre son père, ses oncles et sa tante. Il fallait de plus surveiller la terre de Logères et surtout Arleblanc qui l'intéressait bien davantage.
En 1843, il tira au sort le numéro 60 qui le plaçait dans la réserve ; mais son père qui ne voulait absolument pas qu'il serve sous aucune forme le gouvernement de Louis-Philippe, acheta un remplaçant qui fut le nommé SÉVERNIÉ de ROSIÈRES, le domestique des TARDY de MONTRAVEL, qu'il paya 1 500 francs ; il revint au bout de six mois et songea à se marier pourvu d'un beau magot.
Il commença alors à s'occuper à la rédaction de l'histoire de la noblesse du Vivarais, en écrivant de tous côtés, classant les renseignements en attendant de pouvoir consulter les registres communaux et ceux des notaires.
Revenu à Joyeuse au début de l'année 1848, il fut élu à l'unanimité membre du conseil municipal de cette ville, inspecteur des écoles du canton, membre du Conseil de Fabrique et du bureau de Bienfaisance ; mais il refusa, après le coup d'état, de prêter le serment à Napoléon III et fut, pour cette cause, tenu en suspicion pendant tout le temps de ce règne. Réélu à la chute de l'Empire, mais pour peu de temps, il resta le chef du parti conservateur en qualité de président des comités catholiques et du conseil de fabrique.
Le 12 août 1854, il reçut une lettre de félicitations du ministre de l'Agriculture au sujet du mémoire qu'il avait été chargé de faire, sur l'enquête agricole et industrielle, dans le Vivarais.
Il alla rendre visite à son oncle Eugène, à Vif, près de Grenoble ; il y resta deux ans et revint à Joyeuse, à la demande de son père. Il eut le temps et le loisir de prendre des cours de botanique et de taxidermie et fit une belle collection de plantes rares et d'oiseaux empaillés.
De retour à Joyeuse, son père l'envoya à Marseille et à Paris faire les démarches nécessaires pour déposer des brevets pour son invention de moteur à air comprimé. C'est alors qu'en septembre 1856 survint une inondation considérable qui ravagea la propriété d'Arleblanc : terres, bâtiments et bétail ainsi qu'une plantation de mûriers. Des travaux furent engagés en vue du partage. L'aménagement de la maison qui lui revint fut plus laborieux.
Sollicité par le garde-mite (magasinier) d'acheter la moitié de la mine de charbon de Jaujac, d'un certain ANDRÉ, homme peu estimable, qu'il ne connaissait pas, il engagea 1 500 francs et se retrouva gérant. Cette triste affaire fut la cause de nombreux tourments pendant 40 ans, qui le conduisirent à la ruine.
Le 3 janvier 1861, il avait fait dresser un acte de notoriété du titre de Vicomte.
Il a laissé des études géologiques non publiées, et une "Monographie sur des paroisses du diocèse de Viviers" (Revue du Vivarais, 1893 à 1913).
(Source : http://medarus.org/Ardeche/07celebr/07celTex/montravel.htm#).

TARDY de MONTRAVEL Antoine Jean Louis
TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice
TARDY Jean Louis Damien
PELLIER de SAMPZON Marie Rosalie Dorothée
CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise
DU ROUCHET de CHAZOTTE-CARRIÈRE Jean Joseph Athanase
CLAVIÈRES (de ) Marie Anne Françoise Thérèse




TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice dit Maurice de MONTRAVEL
Sous-lieutenant aux Gardes du Roi, maire de Boyens, coneiller général de l'Ardèche - Vicomte de Montavel, décoré de l'ordre du Lys

Naissance : 8 mai 1784 à Joyeuse 07 dans la maison paternelle ( Source )
(Source : voir base Roglo).
Décès : 19 octobre 1856 à Lyon 69
(Source : voir base Roglo).
Inhumation : 22 octobre 1856 à Joyeuse 07
(Source : site Beauzons.fr).

Père : TARDY Jean Louis Damien ( 1750 - 1840 )
Mère : PELLIER de SAMPZON Marie Rosalie Dorothée ( 1763 - 1832 )

Union : CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise ( an VIII - 1857 )
Contrat de mariage : 25 avril 1822 à Saint-Félicien 07
(Source : site Beauzons.fr).
Mariage : 25 avril 1822 à Saint-Félicien 07
(Source : voir base Roglo).
Enfants : TARDY de MONTRAVEL Antoine Jean Louis ( 1823 - 1909 )
TARDY de MONTRAVEL Louise Marie Hélène ( 1824 - ? )
TARDY de MONTRAVEL Joseph Philippe ( 1826 - 1895 )
TARDY de MONTRAVEL Amélie Jeanne Philippine Amélie ( 1828 - 1902 )
TARDY de MONTRAVEL Maurice Joseph ( 1829 - 1900 )
TARDY de MONTRAVEL Fleury Gabriel Félix ( 1831 - 1860 )
TARDY de MONTRAVEL Eugénie Marie Rosalie ( 1832 - 1913 )
TARDY de MONTRAVEL Marie Adélaïde ( 1834 - 1835 )
TARDY de MONTRAVEL Louis François Théodore ( 1837 - 1923 )
Note individuelle : Auteur de la branche dite de Joyeuse en vivarais.
Fut décoré du lis en 1816, et fut membre du Conseil Général de l'Ardèche.
Auteur de la branche de Joyeuse, il fut Conseiller général de l'Ardèche de 1829 à 1900. (source : La France Moderne, par Jules VILLAIN, tome II Drôme-Ardèche, page 693).
Il est une personnalité de l'Ardèche. Il a été maire de Joyeuse jusqu'en 1810. À partir de cette date, il se consacre à l'archéologie. Il est par la suite conseiller général de l'Ardèche. Il est fait Chevalier de l'Ordre du Lys.
Dessinateur, il fut chargé sous la Restauration, par le préfet PAULZE d'IVOY (en poste de 1819 à 1823), de réaliser l'inventaire descriptif et dessiné des monuments du département. Il était le père du vicomte Louis de MONTRAVEL (1823-1909), historien et généalogiste vivarois.
(Source Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Vicomte de Montravel, premier du nom de la branche dite de Joyeuse en Vivarais.
Les persécutions contre les honnêtes gens et les prêtres, les lâches dénonciations, la suppression du culte et les crimes dont il fut témoin, contribuèrent dans une large mesure à l'affermissement de sa foi et à la fidélité traditionnelle de sa famille pour ses souverains légitimes.
Il fut élève au collège de Tournon sous la direction des pères de l'Oratoire, et y fit complètement ses études sans prendre un congé pendant neuf ans.
Les 5 et 14 février 1804, il lui fut délivré des certificats d'études fort honorables signés par les professeurs et le maire de Tournon, équivalant alors aux diplômes universitaires du début du XXe siècle.
Le 22 avril 1808, à l'âge de 24 ans, sa réputation était déjà grande et bien établie, comme savant mathématicien, littérateur et polyglotte. Il fut admis comme membre de la célèbre Académie de Mâcon, par diplôme signé CORTEMBERT, le 22 avril 1808.
A l'âge de 30 ans il fut décoré du Lis.
Le 3 janvier 1816, il reçut, ainsi que son frère aîné, étant à Orléans, un certificat du Comte de COËTLOSQUET constatant ses bons services au roi. Le 14 janvier et le 23 août il reçut des certificats du Comte de VOGÜÉ pour ses services, soit comme volontaire, soit comme officier des volontaires royaux.
Le 15 octobre 1823, il fut nommé par le roi conseiller général de l'Ardèche en remplacement de monsieur de BERNARDY. Le 15 septembre 1830, il refusa de prêter serment au gouvernement de Louis-Philippe, sans pour cela donner sa démission.
Pendant la période de ce règne, Maurice de MONTRAVEL resta étranger aux affaires publiques, ne s'occupant que le l'éducation de ses enfants.
Lors de la révolution de 1848, il fut vivement sollicité de prendre la direction des comités pour le choix des candidats à envoyer à l'Assemblée Constituante. Le 3 avril 1848, une réunion à cet effet eut lieu au Pouzin pour la formation de la liste des huit candidats de l'Ardèche. Maurice de MONTRAVEL fut élu à l'unanimité, président de cette assemblée.
Le vicomte Maurice de MONTRAVEL a laissé de nombreux mémoires manuscrits, fruits de ses études, recherches et inventions. Ces écrits traitent de questions physiques, mathématiques et géométriques; d'autres de moteurs nouveaux.
La mort le surprit à Lyon où il demeurait depuis quelques mois, surveillant les expériences qu'il tentait sur un moteur à air comprimé. Ce fut lui, le père ignoré de cette découverte dont l'industrie moderne a tiré un si beau parti.
(Source : site Beauzons.fr).
Il fut élève au collège de Tournon sous la direction des pères de l'Oratoire, et y fit ses études complètes. À l'âge de 24 ans, sa réputation était déjà grande et bien établie, comme savant mathématicien, littérateur et polyglotte. Il fut admis comme membre de la célèbre académie de Mâcon, par diplôme signé CORTEMBERT, le 22 avril 1808. Maire de Joyeuse de 1810 à 1827.
En 1816, il reçut des certificats du Comte de VOGÜÉ pour ses services, soit comme volontaire, soit comme officier des volontaires royaux. En 1823, il est nommé par le roi conseiller général de l'Ardèche. Il refusa de prêter serment au gouvernement de Louis-Philippe.
Lors de la révolution de 1848, il fut sollicité de prendre la direction des comités pour le choix des candidats à envoyer à l'assemblée constituante.
Il a épousé, par contrat du 25 avril 1822, à Saint-Félicien, Demoiselle Marie-Françoise-Suzanne, dite Fanny, du ROUCHET de CHAZOTTE-CARRIÈRE.
Le vicomte Maurice de MONTRAVEL a laissé de nombreux mémoires manuscrits, fruits de ses études, recherches et inventions. Ces écrits traitent de questions physiques, mathématiques et géométriques ; d'autres de moteurs nouveaux (moteur à air comprimé dont il est l'inventeur méconnu).
(Source : http://medarus.org/Ardeche/07celebr/07celTex/montravel.htm#).

TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice
TARDY Jean Louis Damien
TARDY de LA BROSSY Jean Fleury
CHANTEREAU Marie Hélène
PELLIER de SAMPZON Marie Rosalie Dorothée
 
 


                     


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