Fiches individuelles


TARDY Jean Fleury
Père : TARDY de MONTRAVEL Jacques Louis Damien ( 1713 - > 1755 )
Mère : DU PLESSIS Marie Pélagie ( ? - ? )

TARDY Jean Fleury
TARDY de MONTRAVEL Jacques Louis Damien
TARDY de MONTRAVEL Damien
DU PLESSIS Marie-Louise
DU PLESSIS Marie Pélagie
 
 




TARDY Jean François Augustin
Marchand

Décès : 27 pluviôse an IV
(Source : voir fichier Geneanet de Jacqueline Saby).

Père : TARDY Antoine ( 1703 - < 1762 )
Mère : DIDIER Claudine ( 1707 - 1742 )

Union : PEYRON Marie-Madeleine ( ? - > an VIII )
Contrat de mariage : 4 septembre 1762 reçu maître GUIGONNET, notaire
Furent témoins Antoine TARDY, oncle, curé, Jean TARDY, Antoine PEYRON, oncle, Louise TARDY, mariée à Barthélémy THIVILIER. (Cote CHMS 1335 AD Loire).
Mariage religieux : 14 février 1764 à Saint-Just-lès-Velay 43
(Source : voir fichier Geneanet de Gilles Boutte).
Enfant : TARDY Marie ( ? - ? )
TARDY Jean François Augustin
TARDY Antoine
TARDY Jean
TAMET Marie
DIDIER Claudine
DIDIER Jean
PERILHON Madeleine




TARDY puis TARDY de MONTRAVEL de La BROSSY Jean Louis Damien
Directeur général des Gabelles - Comte de Montravel 1er du Titre, seigneur de Bressac, Fontblachère, les Motets, Saint-Lager et autres lieux..., décoré de l'ordre du Lys

Naissance : 2 octobre 1750 à Valence 26 ( Source )
Ou à La Voulte-sur-Rhône selon les sources.
Décès : 16 janvier 1840 à Joyeuse 07 dans sa maison ( Source )

Père : TARDY de LA BROSSY Jean Fleury ( 1717 - an VII )
Mère : CHANTEREAU Marie Hélène ( ? - ? )

Union : PELLIER de SAMPZON Marie Rosalie Dorothée ( 1763 - 1832 )
Contrat de mariage : 5 novembre 1780 à Joyeuse 07
Mariage : 8 novembre 1780 à Joyeuse 07 ( Source )
Enfants : TARDY de MONTRAVEL Louis Antoine Fleury ( 1781 - 1861 )
TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice ( 1784 - 1856 )
TARDY de MONTRAVEL Marie Philippe Adèle ( 1787 - 1788 )
TARDY de MONTRAVEL Louis Victor Eugène ( 1790 - 1856 )
TARDY de MONTRAVEL Marie-Thérèse Madeleine Elisabeth ( an IV - 1883 )
TARDY de MONTRAVEL Louis Philippe ( an XII - an XII )
Note familiale : Jean-Louis-Damien TARDY de MONTRAVEL épousa par contrat du 5 novembre 1780, à Joyeuse, Demoiselle Marie-Rosalie-Dorothée PELLIER de SAMPZON (1763- 1832), fille unique et héritière d'Antoine Pellier, seigneur de la Bastide et Sampzon, et d'Anne-Dorothée de GASQUE de COMBES.
Elle apporta à son mari plus de quarante mille livres de rentes assises sur les terres et château de la Bastide, Sampzon, Sousperret, Arleblanc, La Charve, Auriolles, les moulins à blé de Joyeuse, Rosières, et nombre de terres, vignes prés, bois etc. constituant pour cette époque une fortune considérable.
Femme d'un esprit supérieur, brillante dans le monde, fort instruite, pleine de talents d'agrément, administrant elle-même ses grandes propriétés, elle sut élever et diriger ses enfants pendant les temps difficiles de la Révolution et en faire des hommes distingués.
Homme du monde et d'esprit, très peu au courant des choses matérielles de l'existence, il fut heureux de trouver en la compagne de sa vie, une femme d'un esprit et d'une intelligence supérieurs, qui sut faire l'honneur, l'ornement et le bonheur de sa maison.
Il avait quitté la ville de La-Voulte où il était né, pour aller demeurer dans la maison de sa femme à Joyeuse. Il vendit aussi son château de Fontblachère, ses terres de Bressac, Saint-Lager etc., et acquit à la vente des terres du duché de Joyeuse, celles de la Baume près de Ruoms, consistant principalement en droits seigneuriaux, qui furent perdus à la Révolution, et la terre d'Auriolles, constituée par de grandes et fertiles propriétés au bord de la rivière de Chassezac et de nombreux moulins.
(Source : http://medarus.org/Ardeche/07celebr/07celTex/montravel.htm#).
Note individuelle : Il fut maintenu dans sa noblesse avec ses frères par jugement souverain de monsieur de SAINT-PRIEST, le 18 février 1786, et prit part aux dernières assemblées de la noblesse tenues à Villeneuve-de-Berg en 1789. Premier comte de Montravel, dont le titre lui fut conféré par ordonnance royale du 6 décembre 1814. Les lesttres patentes du 23 décembre 1815 portent que cette grâce lui a été accordée par le Roi, "pour récompenser un courageux et constant dévouement pour la personne de Sa Majesté".
(Sources : La Noblesse de la Sénéchaussée de Villeneuve de Berg en 1789, par Raymond de GIGORD, page 702).
Maintenu noble avec ses frères en 1786, sur preuves de 1316 (selon WOËLMONT), créé comte héréditaire par L.P. de 1815 (source : Grand Armorial de France, par Henri JOUGLA de MORENAS, Paris, tome VI, page 267).
S'établit à Joyeuse, assista aux assemblées de la noblesse tenues à Villeneuve-de-berg, en 1789, et fut crée comte par Louis XVIII (source : La France Moderne, par Jules VILLAIN, tome II Drôme-Ardèche, page 693).
Titre de comte héréditaire par lettres patentes du 23 décembre 1815, avec règlement d'armoiries : Ecartelé : aux 1er et 4e, contrecartelé d'or et d'azur; aux 2e et 3e, d'argent à trois cyprès de sinople, arrachés et rangés en pal, au chef de gueules chargé de trois besans d'or.
Avait été maintenu avec ses frères dans sa noblesse à l'intendance du Languedoc, le 18 février 1786.
(Source : Titres Anoblissements et Pairies de la Restauration, par le vicomte A. de REVEREND, Paris, 1974, tome 5, page 315).
Jean Louis Damien de Tardy, 1er Comte de Montravel, seigneur de Bressac, Saint-Lager, Fontblachère, La Baume, Auriolles, Les Motets, Sampzon etc. né le 2 octobre 1750 à Valence. 1er fils de Jean-Fleury de Tardy de Montravel et de Marie-Louise du Plessis.
Il fut décoré du Lis par lettre du ministre de la guerre le 26 juin 1814. Il était directeur général des gabelles lorsqu'il vint habiter à Joyeuse en Vivarais, ayant succédé à son père et à son grand-père dans cette charge.
Il eut à soutenir plusieurs procès contre l'Administration des Domaines et fut admis à faire ses preuves de noblesse, devant le vicomte de Saint-Priest, intendant du Languedoc, qui par jugement souverain du 18 février 1786, le maintint lui et les siens dans leur noblesse. Il assista, ainsi que ses frères, aux dernières assemblées de la noblesse pour les élections aux états généraux de Villeneuve-de-Berg, en 1789. Suivant décision royale du 6 décembre 1814, il fut créé comte héréditaire par Sa Majesté Louis XVIII, en récompense des services rendus à l'état par ses aïeux. A cette occasion il fit, devant le comte de Méry, référendaire de la chancellerie de France, les preuves de sa filiation noble depuis le commencement du XIII siècle. Le 15 décembre 1814, à midi et demi, il fut présenté à Sa Majesté au Palais des Tuileries, par Monsieur le Duc d'Aumont.
Pendant l'émigration il demeura à Joyeuse et au château de la Bastide-de-Sampzon, où il fut souvent menacé par les révolutionnaires tant à cause de sa qualité de noble, qu'à cause de l'émigration de ses frères. Son beau-père lui fut enlevé pour être conduit à Paris et emprisonné, en attendant l'échafaud. Sa fille se rendit dans cette ville, affrontant mille périls, afin de lui porter secours et y arriva heureusement le jour de la chute et de la mort de Robespierre quand les prisons s'ouvraient devant ceux qui n'espéraient plus que la mort.
Jean Louis Damien épousa par contrat du 5 novembre 1780, à Joyeuse, Demoiselle Marie-Rosalie-Dorothée Pellier de Sampzon, fille unique et héritière d'Antoine Pellier, seigneur de la Bastide et Sampzon, et d'Anne-Dorothée de Gasque de Combes. Rosalie était né à Joyeuse, le 3 septembre 1763, elle y mourut le jour de l'ascension, 31 mai 1832. Elle apporta à son mari plus de quarante mille livres de rentes assises sur les terres et château de la Bastide, Sampzon, Souspéret, Arleblanc, La Charve, Auriolles, les moulins à blé de Joyeuse, Rosières, et nombre de terres, vignes prés, bois etc. constituant pour cette époque une fortune considérable. Femme d'un esprit supérieur, brillante dans le monde, fort instruite, pleine de talents d'agrément, administrant elle-même ses grandes propriétés, elle sut élever et diriger ses enfants pendant les temps difficiles de la révolution et en faire des hommes distingués.
(Source : http://gw.geneanet.org/massiliensis).
Les armes de la maison de Tardy de Montravel sont : "écartelé d'or et d'azur", qui est de Montravel ; "sur le tout : d'argent à trois cyprès arrachés et rangés en pal de sinople; au chef de gueule chargé de trois besants d'or", qui est de Tardy.
Supports : Un lion armé et lampassé de gueules à dextre, qui est de Montravel, et une licorne à sénestre de l'écu, qui est de Tardy.
Timbre : Couronne comtale.
Cimier : Un casque d'argent à neuf grilles d'or, les bords du même, posé en tiers.
Lambrequins : D'or, d'azur, de gueules, d'argent et de sinople.
Devises : "Sanguine nobilis, virtute nobilior", "Noble par le sang, plus noble par la vertu" Qui est de Tardy, "In eo, aut cum eo", "sur lui, ou avec lui" qui est de Montravel.
(Source : http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Louis_de_Montravel&oldid=93978837).
La Famille Tardy de Montravel, Branche dite de Joyeuse en Vivarais, descend en droite ligne du Chevalier Richard de Montravel qui s'est illustré à la bataille de Bouvines, fondateur de la Dynastie.
Famille de Montravel : "In eo, aut cum eo" "sur lui, ou avec lui".
Famille de Tardy : "sanguine nobilis, virtute nobilior" "Noble par le sang, plus noble par la vertu".
La devise de la famille de Montravel est tirée de la maxime athénienne qui fait allusion au bouclier sur lequel les braves étaient portés après leur mort, ou avec lequel ils devaient revenir victorieux.
Plusieurs membres, fidèles à leur devise "In eo, aut cum eo" ont laissé leur vie dans les guerres dont sont remplies les pages de l'histoire héroïque de notre pays; d'autres ont conquis leurs grades sur les champs de bataille des croisades, Bouvines, Azincourt, Fleurus, Puisset, Rosebecque, Cérisoles, La Rochelle, Montmélian, en Flandre, Franche-Comté, Piémont, Allemagne etc., et, dans les temps modernes, aux armées de Condé, de Soubise, en Portugal, à la guerre de l'indépendance des Etats-Unis, à celles d'Afrique, de Cochinchine, Crimée, Chine, Tonkin, Siège de Sébastopol, la campagne contre la Prusse 1870-1871, etc. etc.
Chaque génération a fait ses preuves de fidélité et de bravoure: depuis les ancêtres tombés, il y a huit siècles, à Mansourah, pour le Christ, et à Bouvines pour le roi, jusqu'aux enfants dont l'un fut martyr de sa foi aux champs éternellement glorieux de Castelfidardo, et d'autres défenseurs de la patrie, à Château-Robert, Nuits, Beaune et Sébastopol, c'est le même élan patriotique et religieux. Le soldat de Pie IX est le digne fils du croisé de saint-Louis; au cri de : Dieu le veut ! répond celui de : Vive le Pape ! Vive la France ! Ces héros donnèrent leur vie avec courage; ils ne furent donc pas seulement nobles par leur naissance, mais aussi par leur mâle vertu : "sanguine nobilis, virtute nobilior".
(Source : site Beauzons.fr).
Vers la fin du 1er millénaire, après les grandes invasions, les rois ne
suffisent plus à la défense du pays. Les grands propriétaires, ceux que l'on appelle déjà les « seigneurs », se mettent en devoir de se défendre eux-mêmes en faisant construire des camps retranchés derrière d'épaisses murailles. Le pays
commence à se couvrir de châteaux forts. Très vite, Labeaume voit naître un château sur un point haut, donc stratégique, inaccessible et invulnérable. On peut apercevoir des vestiges de la base d'une enceinte maçonnée du XIIème siècle comportant des trous de boulin, surmontée de murs du XVème siècle, tout autour de la roche réutilisée comme mur de terrasse. Le château, accroché solidement à ses falaises abruptes percées de grottes refuges convoitées depuis des temps immémoriaux, est accessible uniquement du côté nord, par un étroit passage que surveillait une meurtrière de XVIème siècle (encore visible), permettant de tirer à l'arc, à l'arbalète, ou à l'arquebuse en toute sécurité.
On devine aussi deux points d'appui sur des rochers avoisinants. Ces postes de surveillance viennent renforcer sa défense. Sur un coté quelques rares vestiges de construction maçonnée se dressent au dessus de la rivière. Sur l'autre côté l'on aperçoit les vestiges de la Tourrasse, autre point d'appuis de surveillance. C'est aussi le vestige d'une ancienne tour carré, en belle appareillage régulier. Seul subsiste l'angle nord-est de cette construction. L'accès se faisait au niveau du 1er étage qui est encore percé d'une archère et d'une baie géminée. Cette tour présente plusieurs réutilisations : la partie la plus ancienne du XIIème, la plus récente du XVème et la partie moderne du XXème. Un bourg castral en partie
troglodytique s'étalait tout autour de ces châteaux. Au sortir du Moyen Age, l'évêque de Viviers exerce sa suzeraineté sur Labeaume. Des familles puissantes se constituent des seigneuries étendues ou multiples. Ainsi Guillaume, seigneur de Sampzon, coseigneur de Labeaume. On disait la Balma-soubz-Sampzon, non pour des raisons de lieu géographique mais de rang de possession. Ce personnage aurait été le fondateur de la lignée des de La BAUME. Dès 1288, on dénombre huit coseigneurs. Ceux-ci se partagent la seigneurie de la baume, dans des proportions diverses. L'un deux, Raymond de La BAUME en possède un douzième seulement, en 1305.
L'un va très vite prendre la suprématie sur les autres, et la gardera jusqu'à la révolution, Dragonnet de JOYRUSE. Le 18 mars 1302, les coseigneurs lui rendent hommage comme seigneur supérieur du château. Cette seigneurie demeure, au fils des siècles, la propriété du duché de Joyeuse, fief de la maison de ROHAN-SOUBISE.
Peu de temps avant la Révolution, la comtesse de MARSAN, héritière des ducs de JOYEUSE, décide de vendre la plupart de ses biens en Vivarais afin de payer les dettes de son fils. La seigneurie de La Baume, le château, les moulins, les terres et autres avantages seigneuriaux se trouvent cédés pour la somme de 133 250 livres à J.L. TARDY, fils de Jean Fleury TARDY de La BROSSY (nom de MMONTRAVEL), receveur des gabelles, (impôt sur le sel) à Joyeuse. Cette acquisition, lui confère le titre de seigneur de la Baume. Il se montre déjà assez puissant pour figurer parmi la délégation de la noblesse aux Etats Généraux du Bas-Vivarais, tenu à Villeneuve-de-Berg en 1789, où il sera représenté par Jean-Louis Damien TARDY de La BAUMR, son fils. (Source : Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Labeaume sans jamais oser le demander, par Georges Beaulieu, 2001, et http://www.mairiedelabeaume.fr).
Historique du Domaine Arleblanc.
Un lieu de refuge et de vie depuis le VIIIème siècle. Domaine situé autour d'une bâtisse du XIème dans les Gorges de Labeaume (sud Ardèche).
Arleblanc et sa riche histoire : Le nom d'Arleblanc serait en rapport avec la couleur des falaises bordant la vallée de La Beaume, affluent de l'Ardèche. A l'origine, Arleblanc était une vallée recouverte d'oseraies d'une superficie de 160 hectares.
C'est vers 730 après J.C. que les envahisseurs arabes venant d'Espagne ont commencé à défricher le domaine. En 739, Charles MARTEL vint livrer une bataille victorieuse contre les arabes à Rosières. C'est alors que le domaine fut pris en main par un ordre monastique; les moines construisirent un prieuré avec échauguettes pour se défendre. Au XVIème siècle, Rosières et Joyeuse devinrent des villages prospères avec une agriculture basée sur : l'élevage, vignes, châtaignes et l'élevage du ver à soie.
Le Domaine devint la propriété du Vicomte de TARDY De MONTRAVEL De La BROSSY. Il fit construire la seconde aile de la bâtisse avec de magnifiques voutes en pierres taillées ainsi qu'un parc avec une roue à aubes. Les magnifiques tilleuls et noisetiers qui dispensent en été une ombre bienfaisante datent de cette époque. La famille est installée à Arleblanc depuis 1887.
(Source : http://www.arleblanc.com).
La Famille TARDY de MONTRAVEL, branche dite de Joyeuse en Vivarais, descend en droite ligne du Chevalier Richard de MONTRAVEL qui s'est illustré à la bataille de Bouvines (27 juillet 1214 sous Philippe-Auguste), fondateur de la dynastie. Deux branches se sont constituées qui relient entre eux les parents.
Branche dite de Joyeuse en Vivarais :
Jean-Louis-Damien TARDY de fut décoré du Lis par lettre du ministre de la guerre le 26 juin 1814.
Il était directeur général des gabelles du Languedoc et Roussillon, lorsqu'il vint habiter à Joyeuse en Vivarais, ayant succédé à son père et à son grand-père dans cette charge.
Il avait été éduqué au collège des Pères Jésuites de Tournon, d'où il sortit pour vivre au milieu des siens, adulé par ses frères comme étant le chef de famille ; formé dès le collège à être servi et respecté par ses frères qui ne le tutoyaient pas, lui préparaient le samedi ses vêtements pour le dimanche.
Il assista, ainsi que ses frères, aux dernières assemblées de la noblesse pour les élections aux états généraux de Villeneuve-de-Berg en 1789.
Par une ordonnance du 6 décembre 1814, le Roi Louis XVIII lui accorda le titre de comte héréditaire de Montravel, avec l'autorisation de porter comme armoiries : "D'argent à trois cyprès arrachés de sinople, rangés en pal, au chef de gueules chargé de trois besants d'or". Le 15 décembre 1814, il fut présenté à Sa Majesté au Palais des Tuileries par le Duc d'Aumont.
Pendant la "Terreur" il demeura à Joyeuse et au château de la Bastide-de-Sampzon, où il fut souvent menacé par les révolutionnaires tant à cause de sa qualité de noble, qu'à cause de l'émigration de ses frères. Son beau-père fut enlevé et conduit à Paris et emprisonné ; il fut sauvé par la chute et la mort de Robespierre.
Jean-Louis-Damien TARDY de MONTRAVEL mourut à Joyeuse le 16 janvier 1840, à l'âge de 89 ans et trois mois, après avoir procédé au partage de ses biens, le 31 juillet 1832.
Sources : Histoire d'une famille ardéchoise de Joyeuse : Les MONTRAVEL de Joyeuse, par Jean-Antoine-Louis TARDY, vicomte de Montravel, dans Cévennes Magazine n° 1701 et 1702, samedi 16 février 2013 et samedi 23 février 2013.
(Source : http://medarus.org/Ardeche/07celebr/07celTex/montravel.htm#).

TARDY Jean Louis Damien
TARDY de LA BROSSY Jean Fleury
TARDY de MONTRAVEL Damien
DU PLESSIS Marie-Louise
CHANTEREAU Marie Hélène
 
 




TARDY Jean Maire Gabriel
Naissance : 11 août 1889 à Saint-Genest-Malifaux 42
(Source : voir fichier Geneanet de Gilles Boutte).

Père : TARDY Régis Barthélemy ( 1859 - 1935 )
Mère : TERRAT Marie-Louise ( 1866 - 1928 )

TARDY Jean Maire Gabriel
TARDY Régis Barthélemy
TARDY Jean-Marie
SAUVIGNET Jeanne-Marie
TERRAT Marie-Louise
 
 




TARDY Jean-Antoine ou Jean-Baptiste Antoine
Naissance : 21 mai 1720 à Saint-Just-lès-Velay 43
(Source : voir fichier Geneanet de Jean-Marc Janin).

Père : TARDY Jean ( 1665 - < 1720 )
Mère : TAMET Marie ( ~ 1683 - > 1766 )

TARDY Jean-Antoine ou Jean-Baptiste Antoine
TARDY Jean
TARDY Georges
PRUDHOMME Catherine
TAMET Marie
TAMET Jean
ROUCHON Claudine


                     


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