Fiches individuelles


TARDY de MONTRAVEL Emmanuel Marie Joseph Gordien Louis Maurice Théodore
Mort jeune

Naissance : 24 décembre 1886 à Vers 30
(Source : http://www.beauzons.fr).

Père : TARDY de MONTRAVEL Louis François Théodore ( 1837 - 1923 )
Mère : LÉAUTAUD de MABLAN (de ) Marie Elisabeth Clémentine ( 1846 - 1934 )

TARDY de MONTRAVEL Emmanuel Marie Joseph Gordien Louis Maurice Théodore
TARDY de MONTRAVEL Louis François Théodore
TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice
CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise
LÉAUTAUD de MABLAN (de ) Marie Elisabeth Clémentine
 
 




TARDY de MONTRAVEL Emmanuel Marie Louis Eugène
Capitaine d'Artillerie - Vicomte de Montravel, officier de la Légion d'honneur

Naissance : 25 décembre 1866 à Joyeuse 07 ( Source )
Décès : 19 juillet 1946 à Rosiers-de-Juillac 19
(Source : http://www.beauzons.fr).

Père : TARDY de MONTRAVEL Antoine Jean Louis ( 1823 - 1909 )
Mère : VÉTILLART DU RIBERT Marie Amélie Henriette ( 1835 - 1909 )

Union 1 : AMOREUX (d') Marie Louise Amélie ( ? - 1907 )
Contrat de mariage : 26 septembre 1896 à Uzès 30 reçu maître MOULIHN, notaire
(Source : http://www.beauzons.fr).
Mariage religieux : 28 septembre 1896 à Uzès 30 en la cathédrale de la ville
Le mariage fut béni par Monseigneur BONNET, évêque de Viviers (Source : http://www.beauzons.fr).
Mariage : 27 décembre 1896 à Uzès 30
Avec autorisation du général commandant le 15ème Corps d'Armée en date du 5 septembre 1896 (Source : LH/19800035/750/85100).
Enfants : TARDY de MONTRAVEL Louis Marie Joseph Eugène ( 1897 - ? )
TARDY de MONTRAVEL Pauline Louise Ursule Marie Antoinette ( 1903 - ? )
Union 2 : COMOLET Marie Elisabeth Juliette Yvonne ( ? - ? )
Mariage : 10 juin 1911 à Nîmes 30
Note individuelle : Troisième et dernier du nom de la branche dite de Joyeuse en Vivarais.
Il fit ses études en partie chez les Pères maristes de la Seyne, en partie chez ceux de Saint-Chamond et les a achevées par le baccalauréat ès-sciences auquel il a été reçu en avril 1885 à Lyon.
Engagé volontaire au mois de juillet 1885 dans l'Artillerie de Marine, à Lorient, il conquiert rapidement ses premiers grades de brigadier et sous-officier dans le courant de 1887. Au mois de décembre de cette même année, il est désigné pour faire partie de deux batteries destinées à maintenir dans l'ordre la nouvelle colonie du Tonkin. Il s'embarque donc à Toulon sur l'Amérique et, après une traversée de 38 jours, débarque à Haï-Phong d'où il est dirigé, avec un détachement d'une quarantaine d'hommes, sur le petit poste de Mon-Cay, à la frontière de Chine. Ce poste était alors dépourvu de toutes ressources et les troupes qui avaient le devoir de s'y maintenir étaient mal nourries et logées dans de misérables paillotes; aussi furent-ils décimés par les fièvres et la dysenterie.
Emmanuel de Montravel, alors maréchal des logis, resta bientôt seul à la tête d'une vingtaine d'artilleurs pour défendre, de concert avec une compagnie de la légion étrangère, le poste sans cesse attaqué par les pirates qui infestent ces régions. Cette position dangereuse est ainsi maintenue jusqu'au mois d'octobre 1888, époque à laquelle des renforts arrivent de Mon-Cay.
Rappelé alors à Hanoï, après avoir payé son tribut à la fièvre paludéenne, Emmanuel encore secoué par la maladie, se présente devant ses chefs qui le reconnaissent apte à passer élève-officier. Il est donc rapatrié sur le transport de l'Etat le Bien-Hoa et débarque à Toulon en février 1889, après 45 jours de traversée et 14 mois de campagnes.
A son arrivée, les examens pour l'école d'Artillerie de Versailles étaient terminés ; force lui fut d'attendre le concours suivant et de perdre ainsi une année.
En août 1889, il abandonne l'Artillerie de Marine pour reprendre son service au 11e régiment d'Artillerie, à Versailles. En avril 1890, il est reçu n° 1 de sa brigade à l'école des élèves-officiers de Versailles, d'où il sort le 1er avril 1891 avec le n° 8 sur 90 et le grade de sous-lieutenant au 19e régiment d'Artillerie, à Nîmes. Ses bonnes notes le firent désigner pour suivre en 1894-1895 les cours de l'Ecole d'Application de l'Artillerie et du Génie de Fontainebleau avec les officiers sortis de l'Ecole Polytechnique.
Il fut promu successivement : Lieutenant en second le 1er avril 1893, à Nîmes, au 19e d'Ertillerie, lieutenant en premier le 1er janvier 1897, à Nîmes, au 38e d'Artillerie, Capitaine le 13 juillet 1902, à Nîmes, au 19e d'Artillerie.
Il avait obtenu un congé le 5 septembre 1900, pour aller en Russie, se perfectionner dans la langue de ce pays, et y fut cordialement reçu par les généraux Bilderling et Sakharoff, qui devinrent depuis les héros de la guerre Russo-japonaise. Il revint de Russie le 30 janvier 1901.
Il a épousé par contrat reçu chez Me Moulihn, notaire à Azès, le 26 septembre 1896, Mlle Marie-Louise-Amélie-d'Amoreux, fille de Louis-Jean-Marie et de Dlle Eugénie Correnson. Le mariage religieux fut béni par Mgr Bonnet, évêque de Viviers, et célébré dans la cathédrale d'Uzès le 28 septembre 1896.
Le vicomte et la vicomtesse de Montravel habitent à Nîmes et en été au château des Fouzes près d'Uzès.
(Source : http://www.beauzons.fr).
Il avait les cheveux et les sourcils châtains, ainsi que les yeux, le front découvert, un nez long, une bouche moyenne, un menton à fossette, le visage rond, mesurant 1m735.
Engagé volontaire pour 5 ans le 17 juillet 1885 à Lyon (2ème arrdt), il a étét compté sur la liste de recrutement de la classe 1886 de la subdivision de Pont-Saint-Esprit, sous le n° 65 du tirage dans le canton de Joyeuse. Il est affecté le 24 juillet comme 2ème canonnier servant au régiment d'Artillerie de Marine, puis promu 2ème canonnier conducteur le 15 décembre, puis brigadier le 16 mai 1886, enfin maréchal-des-logis le 20 décembre. Il Part en congé renouvelable le 6 juin 1889, sur décision ministérielle du 23 février précédent et décision préfectorale du 29 mai précédent. Il est incorporé au 11ème régiment d'Artillerie à compter du 9 août 1889, après avoir contracté un engagement de 5 ans, selon les conditions de la loi du 18 mars 1889, avec le grade de maréchal-des-logis. Le 1er avril 1890, il entre à l'Ecole Militaire Préparatoire de l'Artillerie et du Génie, comme sous-officier élève officier. Le 1er avril 1891, il est affecté au 19ème régiment d'Artillerie avec le grade de sous-lieutenant, promu lieutenant le 1er avril 1893. Le 30 décembre 1896, il est affecté au 38ème régiment d'Artillerie, avec le grade de lieutenant en 1er. Le 17 mars 1897, il est blessé, atteint d'arthrite traumatique du genou gauche, son cheval s'étant abattu au cours d'une reprise de manège. Le 29 octobre 1901, il est muté au 19ème régiment d'Artillerie, avce le même grade, comme officier d'Etat-major. Il est promu capitaine en second le 13 septembre 1902, avec la fonction d'adjudant-major, puis directeur du Parc le 26 septembre 1905, puis affecté le 28 mars 1906, à la 4ème batterie. Il est muté le 1er octobre 1907 au 6ème régiment d'Artillerie, affecté à la 14ème batterie, puis de nouveau muté le 24 mars 1908 au 38ème régiment d'Artillerie, affecté à la 4ème batterie.
Il est nommé chevelier de la Légion d'honneur par décret 30 décembre 1908, il était alors capitaine en second au 38ème régiment d'artillerie. Il est promu officier par arrêté du 9 juillet 1919. Lors de cette promotion, il était chef d'escadron territorial au 8ème escadron du Train des Equipages Militaires.
Il avait fait campagne sur le paquebot l'Amérique du 29 décembre 1887 au 21 février 1888, puis lors de la guerre du Tonkin 5 février 1888 au 6 décembre 1888, enfin sur le transport de l'Etat Bin-Hoa du 7 décembre 1888 au 19 janvier 1889.
(Source : LH/19800035/750/85100).

TARDY de MONTRAVEL Emmanuel Marie Louis Eugène
TARDY de MONTRAVEL Antoine Jean Louis
TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice
CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise
VÉTILLART DU RIBERT Marie Amélie Henriette
 
 




TARDY de MONTRAVEL Eugénie Marie Rosalie
Religieuse

Naissance : 18 novembre 1832 à Joyeuse 07
(Source : site Beauzons.fr).
Décès : 1913
(Source : http://gw.geneanet.org/massiliensis).

Père : TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice ( 1784 - 1856 )
Mère : CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise ( an VIII - 1857 )

Note individuelle : Elle a pris l'habit des dames religieuses de la Retraite dites N.D. du cénacle, rue du regard à Paris, le 2 février 1861. Elle a passé successivement dans les couvents de Lalouvesc, Lyon, Nancy, Paris, Versailles, Tours et Paray-le-Monial. Au mois de juillet 1904, elle est rentrée au couvent de Fribourg après avoir passé trois ans dans sa famille, chassée qu'elle avait été de sa sainte retraite en septembre 1901, par les lois promulguées contre les associations par le ministère Waldeck-Rousseau. (Source : site Beauzons.fr).

TARDY de MONTRAVEL Eugénie Marie Rosalie
TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice
TARDY Jean Louis Damien
PELLIER de SAMPZON Marie Rosalie Dorothée
CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise
DU ROUCHET de CHAZOTTE-CARRIÈRE Jean Joseph Athanase
CLAVIÈRES (de ) Marie Anne Françoise Thérèse




TARDY de MONTRAVEL Félix Joachim
Ingénieur civil des Mines, directeur de la compagnie d'électricité à Montpellier

Naissance : 12 novembre 1865 à Bourg-Saint-Andéol 07
(Source : http://www.beauzons.fr).

Père : TARDY de MONTRAVEL Maurice Joseph ( 1829 - 1900 )
Mère : SALADIN de CHAURAS Isabelle ( 1843 - 1936 )

Union : PELLIER Marie-Thérèse ( ? - ? )
Mariage : 28 avril 1904
TARDY de MONTRAVEL Félix Joachim
TARDY de MONTRAVEL Maurice Joseph
TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice
CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise
SALADIN de CHAURAS Isabelle
 
 




TARDY de MONTRAVEL Fleury Gabriel Félix
Administrateur des Chemins de Fer, zouave pontifical

Naissance : 23 octobre 1831 à Joyeuse 07
(Source : http://gw.geneanet.org/massiliensis).
Décès : 18 septembre 1860 à Castelfidardo tué à la bataille de Castelfidardo, au service de Pie IX, d'une balle au-dessus de l'oeil gauche
(Source : http://gw.geneanet.org/massiliensis et Beauzons.fr).

Père : TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice ( 1784 - 1856 )
Mère : CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise ( an VIII - 1857 )

Note individuelle : Il est le 6e enfant et 4e Fils de Antoine Maurice de Tardy, Vicomte de Montravel et de Fanny du Rouchet de Chazotte-Carrière.
Il fut employé quelques temps dans l'administration du chemin de fer de Lyon à Genève, puis il partit pour Rome, de Lyon, le 24 juin 1860. Félix arriva à Marseille le lendemain et y écrivit à sa sœur Amélie :
"Deux mots pour m'excuser de ne vous avoir pas mis au courant de mes projets que vous avez dû cependant apprendre par Philippe (son frère Joseph-Philippe 3e enfant né à Joyeuse le 6 avril 1826). J'ai quitté hier, ce cher frère un peu souffrant et lui sais beaucoup de gré d'avoir fait, dans cet état, le voyage de Genève à Lyon, etc ... Pour moi, mon départ s'est décidé si rapidement, que je n'ai pu faire ni le voyage de Joyeuse, ni celui du Haut-Vivarais. Je suis engagé depuis mardi dernier, 19 juin, sous les ordres de monsieur de Cathelineau, auquel je fus présenté lors de son voyage. C'est un engagement sur parole pour six mois dans un corps franc tout composé de français, que monsieur de Cathelineau doit venir organiser à Rome dans la huitaine courante et qui doit prendre bientôt l'offensive contre les envahisseurs des états romains, etc...".
Dans une autre lettre à sa sœur Amélie, on trouve l'enthousiasme et le dévouement qui l'animaient :
"Je ne vais à Rome que comme simple soldat et je t'assure que c'est avec bonheur que je verserais mon sang pour une cause si sainte et si belle".
Partie de Rome le 6 septembre, la phalange de héros arriva à Terni le 9 et après plusieurs marches et contremarches pénibles, elle vint camper le 17 au soir à Porto di Recanati à deux kilomètres de Lorette. Quelques heures après, monsieur de Becdelièvre (le bataillon des tirailleurs franco-belges était sous les ordres du vicomte Louis de Becdelièvre) vint apprendre qu'on se battrait le lendemain et engagea vivement chacun à se mettre en règle avec Dieu. Félix alla donc se confesser, et, en sortant de la tente de l'aumônier, il fut commandé pour une reconnaissance. Ce ne fut que deux heures après, tard dans la soirée, qu'il rentra dans sa tente et put prendre, mourant de faim, le fond d'une gamelle. Le 18 septembre 1860, au matin, il communia avec ses camarades à la messe du camp, les escouades et compagnies se formèrent; il fut désigné pour faire partie de la 5e escouade, 4e compagnie.
La bataille commença entre 9 et 10 heures du matin entre un ennemi supérieur en nombre et la vaillante cohorte harassée par les privations (le bataillon des zouaves pontificaux). Au moment du départ de Lorette, Félix embrassa son cousin Ferdinand de Chazotte, et prenant son rang, se mit à gravir, un des premiers, la trop fameuse colline, au sommet de laquelle la petite maison fut prise d'assaut. Alors quelques uns se séparèrent de leur escouade pour y demeurer et défendre la position conquise, tandis que le reste de la troupe, se déployant en tirailleurs, s'avance au devant des Piémontais. Félix se trouve au premier rang: arrivé à treize pas de l'ennemi, on met un genou en terre pour épauler et, soudain, une balle vient le frapper mortellement au-dessus de l'œil gauche. Ce fut la première victime de cette mémorable hécatombe de martyrs. Ferdinand de Chazotte était derrière son cousin, monsieur de Ferron tout près de lui aussi s'empressa de le relever et d'étancher son sang : ils entendirent distinctement le mourant leur dire alors d'une voix encore claire "Vive la France ! Vive l'Ardèche ! " et face à l'ennemi, le soldat du pape expira. Son corps retomba en arrière, la main gauche crispée sur son fusil, sa belle figure calme et à peine ensanglantée sur le front, les yeux demi-clos. Les camarades penchés au-dessus de sa dépouille se relevèrent en criant: "Vengeons-le !", mais trop peu nombreux, ils durent bientôt se replier sans pouvoir relever les corps de ceux qui étaient tombés et, malgré les vives insistances de monsieur de Becdelièvre, les Piémontais refusèrent de laisser reconnaître les morts. L'acte officiel de décès ne put être délivré que plus d'une année après.
C'est ainsi que sut mourir pour l'église et pour la France, Félix de Montravel.
Il a fait au camp des tirailleurs pontificaux l'admiration de ses chefs et de ses camarades par ses hautes qualités de dévouement et d'endurance, jointes à la franchise du plus heureux caractère : il restera dans l'avenir une des plus pures, des plus nobles et des plus héroïques figures dont peut se glorifier la maison qui lui a donné le jour.
Quelques années après une souscription spontanée permit d'élever en sa mémoire, dans la chapelle Saint-Louis de l'église paroissiale Saint-Pierre de Joyeuse, sa patrie, une plaque commémorative en marbre blanc. Ajoutons que la place laissée vide par sa mort dans les rangs des défenseurs de l'église fut aussitôt comblée par son frère Théodore au mois de décembre suivant.
(Source : http://gw.geneanet.org/massiliensis).
La bataille de Castelfidardo a lieu le 18 septembre 1860, à Castelfidardo, petite ville de la région des Marches. Les troupes piémontaises menant la guerre d'unification italienne y défont les troupes pontificales, ce qui leur permet dès lors d'annexer Marches et Ombrie et de faire ainsi la jonction avec les troupes de Garibaldi qui viennent de conquérir tout le sud de la péninsule italienne.
À la suite de cette bataille qu'il perdent en laissant 600 prisonniers, les États pontificaux sont réduits à la surface de l'actuel Latium.
La bataille est restée dans les mémoires a été livrée dans des conditions des plus inégales (moins de 10 000 Pontificaux mal équipés contre près de 39 000 Piémontais). L'armée pontificale compte dans ses rangs des volontaires de différents pays d'Europe, parmi lesquels les ressortissants français et belges constituaient un bataillon franco-belge. Parmi les volontaires français figuraient nombre de nobles de l'Ouest de la France : en consultant, après la bataille, la liste des morts (61 piémontais pour 88 pontificaux) et des blessés pontificaux (184 piémontais pour 400 pontificaux) le général piémontais Cialdini dit, avec un humour des plus noirs, « L'on dirait une liste d'invités à un bal de Louis XIV ! ... ».
Le bataillon franco-belge donne naissance au corps des Zouaves pontificaux.
(Source : Wikipedia).

TARDY de MONTRAVEL Fleury Gabriel Félix
TARDY de MONTRAVEL Antoine Maurice
TARDY Jean Louis Damien
PELLIER de SAMPZON Marie Rosalie Dorothée
CHAZOTTE-CARRIÈRE (de ) Marie Suzanne Françoise
DU ROUCHET de CHAZOTTE-CARRIÈRE Jean Joseph Athanase
CLAVIÈRES (de ) Marie Anne Françoise Thérèse


                     


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