Fiches individuelles


MONTGOLFIER (de ) Emile Paul
Fabricant de papier à Charavines (Isère), maire de Charavines - Chevalier de la Légion d'honneur

Naissance : 7 novembre 1842 à Paris 75 ( Source )

Père : MONTGOLFIER (de ) Vincent ( 1813 - 1854 )
Mère : ARTRU Marie Catherine Amélie ( 1811 - 1883 )

Union : DESARBRES Marie Claire Mathilde ( 1848 - ? )
Contrat de mariage : 14 septembre 1865 à Lyon 69 devant maître BOISSONNET, notaire ( Source )
(Source : 5E83/9 AD Isère).
Mariage : 15 septembre 1865 à Charavines 38 ( Source )
Note individuelle : Marié il eut 1 enfant (Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).
Dirige avec son frère la manufacture de papier de Tour-Clermont, fondée par leur père Vincent de MONTGOLFIER en 1848 à Charavines (Isère). Cette usine, la plus ancienne de Charavines, très modeste au début elle s'est s'est considérablement augmentée et est, en 1894, installée avec tous les perfectionnements exigés par les progrès considérables qu'à fait cette industrie en France depuis quelques années. La valeur incontestée de ses produits a été reconnue par 1 médaille d'argent à l'exposition universelle de 1878, et 1 médaille d'or à l'exposition universelle de 1889. Emile Paul de MONTGOLFIER a organisé des logements industriels gratuits pour le personnel, lequel est aussi assurés des soins gratuits de médecin, de pharmacie et autres en cas de maladie. Il est conseiller municipal de sa commune depuis 1867, et maire de Charavines depuis le 4 septembre 1870. Il est également président du Comité de Patronage de l'Ecole Professionnelle Nationale de Voiron, président et fondateur de la Société d'Agriculture de Voiron créée en 1885, secrétaire du Syndicat Industriel de la vallée de la fure depuis 1870, président de la délégation cantonale, conseiller général du canton de Vieu-sur-Bourbre depuis 1885, membre de la Commission Départementale depuis 1887, délégué du Conseil Général à la Commission de Contrôle des Chemeins de Fers départementaux, officier d'Académie depuis le 14 juillet 1890. Depuis qu'il est maire, la commune de Charavines a été dotée de tous les établissements publics qui faisaient défaut, mairie, écoles, église, Postes et télégraphes, chemins vicinaux et en dernier lieu, une ligne de chemin de fer de Vienne à Charavines.
Emile Paul de MONTGOLFIER est nommé chevalier de la Légion d'honneur par décret du 7 janvier 1894, en qualité de fabricant de papier à Charavines (Isère).
Il se marie le 15 septembre 1865 à Charavines. (Source : LH/1919/55).

MONTGOLFIER (de ) Emile Paul
MONTGOLFIER (de ) Vincent
MONTGOLFIER Jean-Baptiste
MONTGOLFIER (de ) Marie Pierrette
ARTRU Marie Catherine Amélie
 
 




MONTGOLFIER (de ) Emilie
Naissance : 6 octobre 1845 à Marmagne 21 ancienne abbaye de Fontenay
(Source : voir fichier Geneanet de Françoise Etard-Monneteau).
Décès : 3 décembre 1876 à Davézieux 07
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux). Le 4 selon Françoise Etard-Monneteau.

Père : MONTGOLFIER (de ) Laurent Pierre ( 1816 - 1883 )
Mère : SEGUIN Hélène ( 1821 - 1868 )

Union : ROSTAING Joseph Marie Léon ( 1837 - 1916 )
Mariage : 4 juin 1876 à Vidalon 07
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux). Le 14 juin 1865 à Davézieux selon Françoise Etard-Monneteau.
Enfants : ROSTAING Marie Camille Hélène ( 1866 - 1920 )
ROSTAING Marie Berthe Augustine Laure ( 1868 - 1943 )
ROSTAING Jean Marie Marcel ( 1870 - 1940 )
ROSTAING Marie Léon Camille ( 1872 - 1942 )
ROSTAING Berthe Marie Blanche ( 1874 - 1874 )
ROSTAING Jean Marie Joseph ( 1876 - 1876 )
MONTGOLFIER (de ) Emilie
MONTGOLFIER (de ) Laurent Pierre
MONTGOLFIER (de ) Louis Simon Elie Ascension
DURET Pauline Claudine
SEGUIN Hélène
SEGUIN Marc François
DURET Rose Augustine




MONTGOLFIER (de ) Emilie Benoite
Naissance : 16 février 1775 à Davézieux 07
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).
Décès : 8 décembre 1809 à Lyon 69
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).

Père : MONTGOLFIER Jacques Etienne ( 1745 - an VII )
Mère : BRON Anne Justine Adélaïde Marie Claudine ( 1750 - 1845 )

Union : BODIN Melchior André ( 1769 - 1846 )
Mariage : 13 fructidor an IV à Lyon 69 section Midi
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).
Enfant : BODIN Alexandre Marcel Melchior ( an XII - 1893 )
MONTGOLFIER (de ) Emilie Benoite
MONTGOLFIER Jacques Etienne
MONTGOLFIER Pierre
DURET Anne Catherine
BRON Anne Justine Adélaïde Marie Claudine
 
 




MONTGOLFIER (de ) Emmanuel Marcel Marie
Ingénieur, puis professeur, puis prêtre du Prado

Naissance : 20 juillet 1920 à la maison de Varagne
Décès : 7 janvier 2021
Obsèques : 11 janvier 2021 à Boulieu-lès-Annonay 07 église Saint-Martin ( Source )
L'inhumation a eu lieu ensuite au cimetière de Boulieu-lès-Annonay.

Père : MONTGOLFIER (de ) Joseph ( 1881 - 1964 )
Mère : MIGNOT Jeanne Mathilde ( 1888 - 1987 )

Note individuelle : Dans une entrevue intimiste, le Père Emmanuel de Montgolfier retrace sa vie avec humour et philosophie.
C'est avec les yeux emplis de malice que le Père Emmanuel de MONTGOLFIER nous a ouvert les portes de sa vie. Du haut de ses (bientôt) 99 printemps, l'homme de foi continue d'aider son prochain au travers de plusieurs occupations quotidiennes ; même s'il avoue avoir du mal à transporter sa « carapace ». Une carapace qu'il a accepté de briser le temps de quelques heures. Né à la Maison de Varagne en juillet 1920, il grandit dans la lignée des MONTGOLFIER avec trois frères et deux sœurs. Une naissance attendue bien que ses sœurs espéraient une petite fille : « Elles ont été envoyées à la neuvaine par maman mais ça n'a pas fonctionné ! » commente-t-il avec humour. Après avoir obtenu l'équivalent du baccalauréat, il part à Paris pour étudier à l'école centrale où, trois ans plus tard, il sort avec son diplôme d'ingénieur. Au service de l'Église à l'âge de 23 ans, le religieux part vivre 44 ans au Maroc où il devient enseignant. En 2000, à l'âge de la retraite, il décide de revenir vivre en France pour continuer sa mission auprès des plus démunis, en devenant bénévole au Emmaüs de Bögy. Une vie entière tournée vers les autres qu'il raconte avec philosophie, ponctuée d'anecdotes croustillantes illustrant ses valeurs et sa foi.
Sur la table de sa modeste cuisine, il rassemble quelques notes crayonnées sur une feuille, en guise d'antisèche, et déclare sans transition : « Nous pouvons accomplir beaucoup de choses avec l'amour et je vais vous expliquer pourquoi. Un soir, le téléphone sonne pendant que nous mangions en famille. Mon frère décroche et nous annonce qu'il doit aller chercher, sans attendre, un ami à la gare de Valence. Une mission qu'il exécute à la minute. Quelques jours après, la même situation se répète mais cette fois-ci, c'était tante Lily qui nous appelait pour aller la chercher à la gare d'Annonay. Une femme que nous redoutions car elle avait pour habitude de nous faire la morale. Si vous aviez vu mon frère se lever comme un vieillard ! » S'exclame-t-il en riant. Un précepte qu'il enseignera à ses élèves bien des années plus tard : « Je leur disais toujours que quand on aime, la vie est belle et simple. Il faut tout faire avec amour, c'est important ». Membre d'une famille aimante et bourgeoise, Emmanuel de MONTGOLFIER grandit sans manquer de rien et entre en école d'ingénieur avec une idée bien en tête : « J'étais convaincu que la production était la clé pour accéder au bonheur et lutter contre la pauvreté ». Jusqu'à ce que la providence lui montre un autre chemin.
Un soir, en rentrant de l'école, il aperçoit de la lumière dans une petite chapelle : « Je cherchais un endroit pour prier alors je suis entré. J'ai assisté à une homélie d'un prêtre qui affirmait que les pays où la production était forte, beaucoup d'inégalités subsistaient et nourrissaient le malheur des pauvres. Alors que dans un pays où l'on partage, tout le monde est heureux ». Une réflexion qui a changé le cours de sa vie et fait naître sa vocation de prêtre : « Ça m'est tombé dessus. Je n'y avais jamais songé ; j'aimais beaucoup faire la fête et danser notamment. Devoir arrêter cela m'a fait réfléchir... ». Cette activité l'a fait hésiter à rentrer dans les ordres. Alors, pour se décider, il entre au Séminaire en 1947 pour un exercice de Sainte-Ignace (retraite) près de Lyon. Là encore, c'est la parole du Père TEILHARD CHARDIN, qui, lors d'une conférence, le convainc de s'engager. Il débute aussitôt son sacerdoce au Diocèse de la même ville. Dix belles années passent où le Père Emmanuel de MONTGOLFIER prend à cœur ses obligations. En juillet 1956, une mission au Maroc lui est proposée par la société du Prado avec deux autres confrères qu'il affectionne. Les trois prêtres débarquent d'abord à Casablanca où ils ne restent que trois ans. Une culture à laquelle il s'adapte sans avoir le mal du pays, habitué à être « bien là où je suis ». Là-bas, ils réalisent leur mission qui consistait à « être présent et aimer ». Il continue son exercice en partant vivre sur la côte atlantique, dans un port de pêche industriel nommé Safi. Grâce à son diplôme d'ingénieur, il devient enseignant. Ce n'est qu'en 2000 qu'il rentre en France, se sentant appelé pour aider les plus démunis.
De retour, il propose alors son aide au local d'Emmaüs, fervent admirateur de l'Abbé Pierre. Il répare les vélos, l'électroménager et tient le stand de livres et donnait également des cours de français à des sans-papiers. Il dit d'Emmaüs que c'est une machine à raccommoder le monde et se prête volontiers à la comparaison : « Je suis comme un garagiste qui reçoit du matériel à raccommoder » levant les bras au ciel. Tous les jours, lui et sa carapace, donnent encore la messe et se rendent auprès de personnes à qui la vie n'a pas fait de cadeau. Il continue « de donner sans attendre en retour ». Peut-être est-ce là, le secret d'une vie longue et épanouie qui le conduira à souffler ses 100 bougies en juillet 2020.
( Source : https://www.hebdo-ardeche.fr/actualite-7641-donner-sans-attendre-en-retour).

MONTGOLFIER (de ) Emmanuel Marcel Marie
MONTGOLFIER (de ) Joseph
MONTGOLFIER (de ) Emile Louis
BOYER Antoinette Elise Angèle
MIGNOT Jeanne Mathilde
MIGNOT Marie Ludovic Louis
MONTGOLFIER (de ) Marie Julie Marcelle




MONTGOLFIER (de ) Eric
Magistrat

Naissance : 11 août 1946 à Lyon 69
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

Père : MONTGOLFIER (de ) Marcel Etienne Jacques ( 1914 - 2004 )
Mère : DURET Danièle ( 1921 - 1984 )

Union : GEMERIE Elisabeth ( ? - ? )
Enfants : MONTGOLFIER (de ) Thibault ( ? - ? )
MONTGOLFIER (de ) Sophie ( ? - ? )
MONTGOLFIER (de ) Laure ( ? - ? )
MONTGOLFIER (de ) Charlotte ( ? - ? )
MONTGOLFIER (de ) Isabelle ( ? - ? )
Note familiale : Ce couple a 5 enfants (Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).
Note individuelle : Eric de MONTGOLFIER (Descendant de la famille de Montgolfier dont sont issus les frères MONTGOLFIER, inventeurs de la montgolfière) est né en 1946 à Lyon. Malgré le conseil de son père (Patron d'une usine de produits chimiques), il étudie le droit à l'Université Paris II et suit l'enseignement de l'École Nationale de la Magistrature dont il sort diplômé en 1975.
De 1977 à 1985, il travaille au ministère de la Justice à Paris. Il a connaissance d'affaires économiques et financières sensibles dont «certaines impliquaient des hommes politiques d'importance».
Sa notoriété médiatique en tant que magistrat du Parquet est due aux nombreuses «affaires» sensibles qu'il a eues à gérer dans le cadre de ses fonctions ainsi que son indépendance d'esprit ; elle lui a conféré dans l'opinion une image de magistrat rigoureux et incorruptible.
En 1993, alors qu'il est procureur de la République du Tribunal de Grande Instance de Valenciennes (Nord), il instruit l'affaire VA-OM (Union Sportive Valenciennes-Anzin - Olympique de Marseille), où est impliqué Bernard TAPIE. Il confie en 1994 à Télérama : «J'ai eu beaucoup de dossiers étouffés et j'ai eu la tentation, à plusieurs reprises, de m'adresser au Canard enchaîné. Je ne l'ai pas fait parce que je travaillais pour le ministère», puis, interrogé par les journalistes de France Télévision en 2009 (émission France 2 juin 2009 : un jour un destin consacrée à Bernard TAPIE), Éric de MONTGOLFIER, déclare : «Si le Président de l'OM n'avait pas été Bernard TAPIE, il ne serait jamais allé en prison. Les faits ne le méritaient pas».
En 1999, Éric de MONTGOLFIER devient procureur de la République du Tribunal de Grande Instance de Nice par décision d'Élisabeth GUIGOU, alors Garde des Sceaux, ministre de la Justice, «pour y faire le ménage».
Sophie COIGNARD, dans son ouvrage L'État dans l'État (Albin Michel, 2009, p. 69-74), avance qu'il est alors la victime d'une contre-attaque maçonne.
Dans un entretien au Nouvel Observateur (« Nice, la main dans le sac... », Le Nouvel Observateur, 9 octobre 1999), le magistrat laisse entendre son intention de croiser le fer avec la sulfureuse loge niçoise.
L'une des affaires suivies par Éric de MONTGOLFIER concerne le juge d'instruction Jean-Paul RENARD, suspecté, entre autres, d'avoir transmis des éléments de casiers judiciaires à une loge maçonnique de la GLNF (Sophie Coignard, op. cit., p. 70-71).
A la même époque, à la suite d'élections, la majorité change, et Dominique PERBEN devient le nouveau Garde des Sceaux. L'enquête de l'Inspection Générale des Services Judiciaires (IGSJ) demandée par Éric de MONTGOLFIER est acceptée, mais apparaît faussée aux yeux du procureur («Le devoir de déplaire», Éric de Montgolfier, 2006). Des doutes sur la sincérité de cette enquête sont relevés par la presse. Un journaliste commentera : «Le directeur des services judiciaires réussit toutefois l'exploit, en une heure, de ne pas prononcer une seule fois le terme franc-maçonnerie, pourtant au cœur des griefs faits au juge RENARD. Certains inspecteurs chargés de faire la lumière sur les dysfonctionnements de la justice azuréenne étaient eux-mêmes maçons » («La dernière audience pour le juge Renard ?», R. Lecadre pour Libération le 14 octobre 2004).
Pour la première fois de l'histoire de l'IGSJ, ce rapport, d'une centaine de pages, est publié sur le Net. La majorité des journaux se focalise sur la conclusion : «Le maintien de M. de MONTGOLFIER à son poste ne paraît pas compatible avec le redressement qui s'impose » («Paris réclame la tête de Montgolfier», F. Tassel pour Libération, le 27 juin 2003).
Malgré la pression, le procureur décide de ne pas démissionner et reste en place.
Ultérieurement le Conseil supérieur de la Magistrature (CSM) lance sa propre enquête, dont les conclusions contrediront celles de l'IGSJ ((«La dernière audience pour le juge Renard ?», R. Lecadre pour Libération le 14 octobre 2004) et mettront en évidence les «relations» entre le juge RENARD et la franc-maçonnerie. Cette enquête met en effet au jour les relations du juge RENARD avec des personnes liées à la mafia calabraise (Marcel ALLIES), avec un franc-maçon impliqué dans un trafic de fausse monnaie ou encore avec un sénateur poursuivi pour favoritisme, et la libération d'une personne impliquée dans un trafic de cocaïne mais qui menaçait de donner le nom de deux magistrates. Le juge RENARD sera en conséquence mis à la retraite d'office, puis condamné à 5 000 euros d'amende pour violation du secret professionnel.
Eric de MONTGOLFIER publie en 2006 «Le devoir de déplaire» (Éditions Michel Lafon 2006) et se trouve être mis en examen en 2007 pour des faits liés à l'exercice de ses fonctions (affaire d'acte attentatoire à la liberté individuelle concernant un homme incarcéré en raison de la non exécution d'une décision de remise en liberté ; l'homme est décédé depuis durant une autre détention, des années plus tard). Le 25 août 2008 Éric de MONTGOLFIER est renvoyé en correctionnelle pour «atteinte à la liberté individuelle» («Le procureur Eric de Montgolfier renvoyé en correctionnelle», Le Monde, 26 août 2008).
Mais le parquet lui-même réclame une relaxe le 18 décembre 2008. Le tribunal rend son jugement le 6 février 2009 en suivant l'avis du parquet.
Le 26 juin 2009 à Bruxelles, il reçoit des mains de la princesse Astrid de Belgique le prix de la fondation du Forum de Crans-Montana.
En février 2012, il est nommé avocat général à la Cour de Cassation pour exercer les fonctions de procureur général près la cour d'appel de Bourges (Décret du 22 février 2012, J.O.R.F. du 24 février 2012, texte n° 47).
Puis, à 66 ans il prend sa retraite à compter du 30 juin 2013 (Décret du 30 juillet 2012 portant admission à la retraite, JORF n°0177 du 1er août 2012, texte n° 55) et retourne en famille dans le sud de la France.
Il rédige régulièrement des chroniques pour le magazine Le Point.
En février 2017, il rejoint l'équipe de la campagne présidentielle de Benoît HAMON comme conseiller justice («L'ancien procureur Eric de Montgolfier rejoint Benoît Hamon», liberation.fr, 15 février 2017). Il explique : «Benoît HAMON me paraît disposer d'une réelle volonté de réformer l'institution judiciaire sans prétendre la mettre à sa botte («Éric de Montgolfier - Pourquoi je rejoins Benoît Hamon», lepoint.fr, 18 février 2017)».
Ouvrages : Le Devoir de déplaire, document, Michel Lafon, 2006, 342 p; Une morale pour les aigles, une autre pour les pigeons, coll. Documents, Michel Lafon, 2014, 304 p; On ne peut éternellement se contenter de regarder passer les cadavres sous les ponts, Le Cherche Midi, 2017, 64 p.
Prix : Prix du livre incorrect 2007.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

MONTGOLFIER (de ) Eric
MONTGOLFIER (de ) Marcel Etienne Jacques
MONTGOLFIER (de ) Jacques Joseph
BÉCHETOILLE Marie Thérèse
DURET Danièle
 
 


                     


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