Fiches individuelles


MONTGOLFIER Elisabeth
Naissance : 1746
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).
Décès : 1748
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).

Père : MONTGOLFIER Pierre ( 1700 - 1793 )
Mère : DURET Anne Catherine ( 1701 - 1760 )

MONTGOLFIER Elisabeth
MONTGOLFIER Pierre
 
 
DURET Anne Catherine
 
 




MONTGOLFIER Jacques Etienne dit etienne
Papetier, aérostier, inventeur de la montgolfière avec son frère Joseph - Chevalier de l'Ordre de Saint-Michel

Naissance : 6 janvier 1745 à Davézieux 07 Vidalon
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr). Le 7 à Vildalon selon Alain Garric.
Décès : 15 thermidor an VII à Balaruc-les-Bains 34
Ou à Serrières-sur-Rhône (07) selon les sources.

Père : MONTGOLFIER Pierre ( 1700 - 1793 )
Mère : DURET Anne Catherine ( 1701 - 1760 )

Union : BRON Anne Justine Adélaïde Marie Claudine ( 1750 - 1845 )
Mariage religieux : 17 mai 1774 à Vienne 38
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Enfants : MONTGOLFIER (de ) Emilie Benoite ( 1775 - 1809 )
MONTGOLFIER (de ) Jacqueline Alexandrine ( 1777 - 1849 )
MONTGOLFIER (de ) Pauline ( 1780 - 1781 )
MONTGOLFIER (de ) Charlotte ( 1782 - ? )
MONTGOLFIER (de ) Hélène ( 1783 - 1784 )
MONTGOLFIER (de ) Adélaïde ( 1787 - 1880 )
Note individuelle : Académie des Sciences (1796), franc-maçon membre de la Loge des 9 Soeurs (1784).
En 1792, inventeur d'une machine servant à élever l'eau : dite bélier hydrolique et intruisit la fabrication du papier velin.
Étienne Jacques de Montgolfier excelle en mathématiques et étudie l'architecture avec Jacques Germain Soufflot. Il prend en 1772 la direction de la papeterie familiale d'Annonay, où il s'attache à perfectionner les procédés de fabrication du papier. Homme d'affaires avisé, il en devient le propriétaire en 1787.
Avec son frère aîné Michel Joseph, il invente en novembre 1782 le ballon à air chaud. Le 5 juin 1783, ils lancent un aérostat d'une douzaine de mètres de diamètre, qui s'élève jusqu'à 2 000 mètres au-dessus d'Annonay.
Étienne Jacques vient à Paris rendre compte de leurs expériences à l'Académie royale des sciences, qui les nomme correspondants le 20 août. Il fait construire par le fabricant parisien de papiers peints Réveillon un ballon qui est lancé le 19 septembre à Versailles, devant Louis XVI ; le roi donne à Étienne Jacques le cordon de Saint-Michel ainsi que des lettres de noblesse pour son père.
(Source : voir fichier Geneanet d'Alain Garric).
Étienne et Joseph Montgolfier sont les fils de Pierre Montgolfier, papetier de Vidalon en Ardèche dont la manufacture familiale est réputée dans toute l'Europe, et d'Anne Duret. Étienne est le 15e enfant d'une fratrie de 16 enfants. Il se marie en 1774 avec Adélaïde Bron à Vienne en Isère et de leur mariage naquirent six enfants.
En 1782, il inventa la Montgolfière avec son frère Joseph. Son esprit méthodique et l'intuition de Joseph leur attribue chacun le mérite respectif de la conception de cet aérostat.
Au printemps 1784, il revient à Annonay pour s'occuper de la papeterie familiale qui, négligée pendant tout ce temps, se porte assez mal. Il continue à s'intéresser aux ballons et fait construire une montgolfière par Réveillon à des fins scientifiques, elle est d'ailleurs utilisée par Jean-François Pilâtre de Rozier, le 23 juin 1784, où elle bat un record d'altitude mais ne peut être récupérée.
De 1785 à 1787, Il essayera avec Joseph et un autre frère, Alexandre, de réunir des fonds pour construire un ballon qu'ils veulent diriger. Mais le projet s'enlise.
En juin 1796, Étienne est nommé Membre associé à l'Académie des sciences.
(Source : Wikipédia).
Négociant (1796), architecte, aérostier, maire de Davézieux (1er maire).
Étienne Jacques de Montgolfier excelle en mathématiques et étudie l'architecture avec Jacques Germain Soufflot. Il prend en 1772 la direction de la papeterie familiale d'Annonay, où il s'attache à perfectionner les procédés de fabrication du papier. Homme d'affaires avisé, il en devient le propriétaire en 1787.
Avec son frère aîné Michel Joseph, il invente en novembre 1782 le ballon à air chaud. Le 5 juin 1783, ils lancent un aérostat d'une douzaine de mètres de diamètre, qui s'élève jusqu'à 2 000 mètres au-dessus d'Annonay.
Étienne Jacques vient à Paris rendre compte de leurs expériences à l'Académie royale des sciences, qui les nomme correspondants le 20 août. Il fait construire par le fabricant parisien de papiers peints Réveillon un ballon qui est lancé le 19 septembre à Versailles, devant Louis XVI ; le roi donne à Étienne Jacques le cordon de Saint-Michel, ainsi que des lettres de noblesse pour son père.
(Source : voir Roglo).
Quinzième de la fratrie. Avec son frère Joseph, il fit s'élever le premier ballon à air chaud, le 4 juin 1783, devant l'assemblée des Etats du Vivarais à Annonay.
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Etienne de MONTGOLFIER, inventeur et éponyme de la montgolfière avec son frère Joseph, est mort le 1er août 1799, et l'État a fait du bicentenaire de cette mort une célébration nationale. Étienne et Joseph de MONTGOLFIER étaient frères d'Augustin de MONTGOLFIER, dont une petite-fille était la grand-mère paternelle de Constance JAILLARD-GOYBET, mère d'Henri JAILLARD, Magdeleine LEPERCQ et Lison (Louise) de RAUCOURT.
Né à Vidalon-lès-Annonay (Vivarais), Étienne­ Jacques excelle en mathématiques et étudie l'architecture avec Jacques-Germain SOUFFLOT. Il prend en 1772 la direction de la papeterie familiale d'Annonay, où il s'attache à perfectionner les procédés de fabrication du papier. Homme d'affaires avisé, il en devient le propriétaire en 1787. Avec son frère aîné Michel-Joseph, il invente en novembre 1782 le ballon à air chaud. Le 5 juin 1783, ils lancent un aérostat d'une douzaine de mètres de diamètre, qui s'élève jusqu'à 2 000 mètres au-dessus d'Annonay. Etienne-Jacques vient à Paris rendre compte de leurs expériences à l'Académie royale des Sciences, qui les nomme correspondants le 20 août. Il fait construire par le fabricant parisien de papiers peints RÉVEILLON un ballon qui est lancé le 19 septembre à Versailles, devant Louis XVI ; le roi donne à Étienne-Jacques le cordon de Saint-Michel ainsi que des lettres de noblesse pour son père. Etienne sera membre de l'Académie des Sciences en 1796.
(Source : http://www.jaillard.net).
Joseph de Montgolfier né à Vidalon-les-Annonay en Ardèche en 1740, mort à Balaruc-les-Bains dans l'Hérault en 1810 et Etienne de Montgolfier né à Vidalon-les-Annonay en 1745, mort à Serrières en 1799, sont issus d'une famille de papetiers installée depuis quatre siècles dans la région ardéchoise.
Douzième d'une famille de seize enfants, Joseph Montgolfier, exploite les manufactures de papier familiales de Rives et de Voiron, en Dauphiné. Il sera aussi à l'origine de nombreuses inventions dont le bélier hydraulique.
Etienne étudie d'abord l'architecture à Paris, puis revient à Vidalon en 1773, où, en collaboration avec Joseph, il développe la manufacture familiale et transforme l'industrie papetière d'alors en introduisant des techniques nouvelles, telle la fabrication du papier vélin.
Leur entreprise prospère reçoit le titre de « manufacture royale » : cette distinction leur vaut un revenu supplémentaire qui leur permet de consacrer une partie de leur temps à des expériences personnelles.
C'est à partir de novembre 1782, à Avignon que Joseph commence à étudier la question du plus léger que l'air. C'est en jetant un papier dans la cheminée qu'il s'aperçoit que ce dernier est aspiré. Il pense tout d'abord que c'est la fumée qui est responsable de cet effet, mais, il va très vite se rendre compte que c'est le fait de la dilatation de l'air sous l'effet de la chaleur.
Joseph de MONTGOLFIER se livre à un nouvel essai en brûlant un mélange de paille humide et de laine cardée hachée : avec l'âcre fumée qui s'en dégage, il remplit un globe de papier et le regarde s'envoler. C'est la première «montgolfière». Immédiatement il en parle à Etienne et les deux frères conçoivent et lancent un ballon plus gros, puis, fascinés, s'emploient à le perfectionner.
Le 14 décembre 1782, dans leur usine d'Annonay, ils gonflent avec de l'air chaud une sphère de trois mètres cubes. Le 5 juin 1783, une démonstration est effectuée à Annonay, devant les membres des états du Vivarais. Le ballon fait 11,70 m de diamètre pour un poids de 245 kg. Il se compose de pièces de toile doublées de papier, assemblées par 1 800 boutons et cousues sur un réseau de ficelles.
L'ensemble est fixé, à la base, autour d'un châssis circulaire. L'enveloppe, contenant 800 mètres cubes d'air chaud, est gonflée au-dessus d'un feu de paille et de laine, tandis que huit hommes la maintiennent par des cordes. La machine s'élèvera jusqu'à 2 000 mètres, évoluant une dizaine de minutes, et se posera, parmi les vignes, à 2,5 km d'Annonay.
Pour les persévérants inventeurs, c'est la consécration. Les spectateurs sont ébahis, et la nouvelle de cet exploit se répand comme une traînée de poudre jusqu'à Paris. L'Académie des Sciences est vivement intéressée, et Louis XVI demande à voir un ballon s'envoler.
La présentation au roi a lieu le 19 septembre 1783 à Versailles. Devant une foule de curieux, Etienne prépare un ballon de toile bleu et jaune, orné du chiffre de Sa Majesté et grand comme une maison de six étages. La forme est très étrange, la partie moyenne est prismatique ; son sommet est une pyramide et la partie inférieure en forme de cône tronqué.
Pendant que la famille royale visite cette sorte de tente à la Turque, Louis XVI se fait expliquer le dispositif : un immense réchaud alimenté par un feu de paille produit l'air chaud destiné à propulser le ballon.
Sous l'enveloppe de toile est arrimé un panier d'osier, où ont été installés un mouton, un coq et un canard ! En quatre minutes, la machine est remplie, tout le monde lâche prise en même temps et la machine s'élève majestueusement.
A peine a-t-elle quitté le sol qu'une bourrasque la couche sur le côté, mais le ballon se redresse et vole pendant huit minutes, avant de se poser en douceur trois kilomètres plus loin, dans le bois de Vaucresson.
Le roi et la Cour sont enchantés, les animaux sont retrouvés sains et saufs. En souvenir de ce premier vol «habité», Louis XVI décide d'honorer les trois valeureux «pionniers» de l'aérostation en les accueillant à la Ménagerie royale.
Après la démonstration de septembre 1783 à Versailles, Joseph de MONTGOLFIER fabrique le Flesselles, un ballon géant de quarante-­deux mètres de hauteur et trente-quatre mètres de diamètre, équipé d'une galerie pour accueillir des passagers. C'est à bord de cet engin, piloté par PILÄTRE de ROZIER, qu'il embarque avec cinq autres personnes le 19 janvier 1784 à Lyon, et expérimente lui-même son invention au cours de ce qui restera son seul vol.
Les deux frères, qui partagent les idées réformatrices de 1789, tout en restant modérés, traversent la Révolution sans être inquiétés. Joseph MONTGOLFIER n'obtient pas des différents gouvernements les moyens nécessaires à la poursuite de ses travaux. Napoléon BONAPARTE lui confère cependant la Légion d'honneur et le nomme administrateur du Conservatoire des arts et métiers. Il est reçu à l'Académie des sciences en 1807 (son frère Étienne l'avait été en 1796).
Etienne MONTGOLIER meurt le 2 août 1799 à Serrières, dans l'Ardèche ; son frère Joseph, le 26 juin 1810 à Balaruc-les-Bains, dans l'Hérault.
(Source : http://www.histoire-en-ligne.com).
Les frères MONTGOLFIER (Etienne) (1745-1799) et Joseph (1740-1810) se sont rendus à jamais célèbres par l'invention des aérostats.
Rien n'avait pu faire pressentir encore une découverte de ce genre, lorsque, le 4 juin 1773, les MONTGOLFIER firent leur première expérience publique.
Liés tous deux par la plus profonde amitié, ils firent tous leurs travaux en commun. Il serait donc hors de propos de chercher à établir auquel des deux MONTGOLFIER appartint l'idée première de l'invention des aérostats, puisqu'ils ont, tous les deux, constamment tenu à honneur de repousser les investigations de ce genre.
Joseph MONTGOLFIER naquit à Vidalon-lez-Annonay (Ardèche), en 1740.
Comme son frère Etienne, il ressentit de bonne heure un goût très vif pour les mathématiques, mais il avait un genre d'esprit particulier qui l'éloignait des règles et des méthodes de travail habituelles aux géomètres; il combinait lui-même certaines formules dont il se servait pour résoudre les problèmes les plus compliqués. Sa faculté dominante était l'invention. Son père voulut le faire participer aux travaux de sa fabrique de papier, à Annonay.
Mais ses idées étaient si hardies, si nouvelles, que l'esprit d'ordre et d'économie de son père s'en effraya à bon droit ; on dut souvent contenir son ardeur en de sages limites. Cette brillante faculté d'invention, unie à l'esprit calme et méthodique d'Etienne, devait produire une des plus fructueuses associations que l'on eût jamais vues. La première expérience publique de leur aérostat eut lieu à Annonay, le 4 juin 1783; la même année, l'expérience se répétait devant la cour, à Versailles, et excitait un enthousiasme indescriptible.
Ce fut à la bataille de Fleurus que l'on fit, pour la première fois, une heureuse application de la Montgolfière, pour observer les mouvements de l'ennemi.
Etienne mourut prématurément, à l'âge de cinquante-quatre ans, dans la ville où il était né, laissant un nom immortel.
Joseph, après la mort de son frère, quitta Annonay, vint s'établir à Paris, où il fut nommé administrateur du Conservatoire des arts et métiers.
(Source : http://www.traces-h.net).
Né à Vidalon-lès-Annonay (Vivarais) le 6 janvier 1745, Étienne Jacques de MONTGOLFIER excelle en mathématiques et étudie l'architecture avec Jacques-Germain SOUFFLOT. Il prend en 1772 la direction de la papeterie familiale d'Annonay, où il s'attache à perfectionner les procédés de fabrication du papier. Homme d'affaires avisé, il en devient le propriétaire en 1787. Avec son frère aîné Michel-Joseph, il invente en novembre 1782 le ballon à air chaud. Le 5 juin 1783, ils lancent un aérostat d'une douzaine de mètres de diamètre, qui s'élève jusqu'à 2 000 mètres au-dessus d'Annonay. Etienne-Jacques vient à Paris rendre compte de leurs expériences à l'Académie royale des Sciences, qui les nomme correspondants le 20 août. Il fait construire par le fabricant parisien de papiers peints REVEILLON un ballon qui est lancé le 19 septembre à Versailles, devant Louis XVI ; le roi donne à Étienne-Jacques le cordon de Saint-Michel ainsi que des lettres de noblesse pour son père. MONTGOLFIER sera membre de l'Académie des Sciences en 1796.
(Source : http://goybet.e-monsite.com/pages/famille-des-freres-montgolfier.html).

MONTGOLFIER Jacques Etienne
MONTGOLFIER Pierre
 
 
DURET Anne Catherine
 
 




MONTGOLFIER Jean-Baptiste
Négociant à Davézieux en 1797, puis fabricant de papier - Chevalier de la Légion d'honneur

Baptême : 11 février 1767 à Paris 75 ( Source )
Né le même jour, il eut pour parrain Jean-Baptiste SERVAT, cousin maternel, bourgeois de Paris, et pour marraine Hélène HERBERT, épouse de Jacques MONTGOLFIER, tante de l'enfant, qui signent.
Décès : 18 septembre 1831 à Saint-Marcel-lès-Annonay 07
(Source : voir base Roglo).

Père : MONTGOLFIER Jean-Pierre ( 1732 - an IV )
Mère : GIRAULT Charlotte Pierrette ( 1736 - 1814 )

Union : MONTGOLFIER (de ) Marie Pierrette ( 1780 - 1851 )
Mariage : 25 ventôse an V à Lyon 69
(Source : voir base Roglo).
Enfants : MONTGOLFIER (de ) Charles Michel ( an VI - 1864 )
MONTGOLFIER (de ) Auguste Michel ( an VIII - 1859 )
MONTGOLFIER (de ) Etienne Simon ( 1801 - 1859 )
MONTGOLFIER (de ) Alexandre Jacques ( 1803 - 1866 )
MONTGOLFIER (de ) Carine Anne Catherine ( 1806 - 1863 )
MONTGOLFIER (de ) Charles Joseph ( 1808 - 1874 )
MONTGOLFIER (de ) Paul Elie ( 1810 - 1886 )
MONTGOLFIER (de ) Vincent ( 1813 - 1854 )
MONTGOLFIER (de ) Louis Jean Baptiste ( 1814 - ? )
MONTGOLFIER (de ) Eugène Christophe ( 1817 - 1878 )
Note familiale : Etaient cousins germains.
Note individuelle : Nommé chevalier de la Légion d'honneur à compter du 20 décembre 1814, brevet signé le 9 décembre 1814. (Source : LH/1919/56).
Chevalier de la Légion d'honneur, chef de la branche ainée, fondateur des Manufactures de papier de Saint-Marcel, Grosberty, et Saint-Maur-des-Fossés (94). Il épouse sa cousine germaine Méranie.
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).

MONTGOLFIER Jean-Baptiste
MONTGOLFIER Jean-Pierre
MONTGOLFIER Pierre
DURET Anne Catherine
GIRAULT Charlotte Pierrette
 
 




MONTGOLFIER Jean-Pierre
Fabricant de papier

Naissance : 12 juin 1732 à Vidalon 07
(Source : voir base Roglo).
Décès : 5 frimaire an IV à Boulieu-lès-Annonay 07
(Source : voir base Roglo).

Père : MONTGOLFIER Pierre ( 1700 - 1793 )
Mère : DURET Anne Catherine ( 1701 - 1760 )

Union : GIRAULT Charlotte Pierrette ( 1736 - 1814 )
Mariage religieux : 31 janvier 1762 à Paris 75
(Source : voir base Roglo).
Enfants : MONTGOLFIER (de ) Jean-Marie ( 1765 - 1815 )
MONTGOLFIER Jean-Baptiste ( 1767 - 1831 )
Note familiale : Demeuraient rue de la Feronnerie en 2/1767 (Source : LH/1919/56).
Ce couple eut 6 enfants (Source : voir base Roglo).
Note individuelle : Il entra au collège d'Annonay, il s'initia à la fabrication du papier et entreprit le tour de France. Il parvint à Paris , son oncle Jacques le reçut et l'attacha à sa maison de commerce qu'il lui céda plus tard. C'est là que Jean Pierre obtint la main de Charlotte GIRAULT, dite Pierrette fille du premier secrétaire du chancelier MAUPEOU. il revint à Vidalon et organisa un atelier pour la fabrication de cartes.
Il liquida l'association avec son frère Joseph en assignats qu'il cacha dans la doublure de sa culotte. En repartant à pied pour St Marcel, à la sortie de Boulieu, il fut prit d'une crise d'asthme et mourut sans secours. Son linge fut lavé et les assignats n'étaient qu'une pâte sans valeur.
(Source : voir base Roglo).

MONTGOLFIER Jean-Pierre
MONTGOLFIER Pierre
 
 
DURET Anne Catherine
 
 




MONTGOLFIER Marguerite
Naissance : 1743
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).
Décès : 1811
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).

Père : MONTGOLFIER Pierre ( 1700 - 1793 )
Mère : DURET Anne Catherine ( 1701 - 1760 )

MONTGOLFIER Marguerite
MONTGOLFIER Pierre
 
 
DURET Anne Catherine
 
 


                     


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