Fiches individuelles


BROGLIE (de ) Laure Marie Victoria
Naissance : 17 novembre 1904 à Paris (8ème) 75
(Source : voir base Roglo).
Décès : 12 juin 1911 à Paris (8ème) 75
(Source : voir base Roglo). Ou le 11 selon les sources.

Père : BROGLIE (de ) Louis César Victor Maurice ( 1875 - 1960 )
Mère : BERNOU de ROCHETAILLÉE Marie Camille Françoise Charlotte ( 1883 - 1966 )

BROGLIE (de ) Laure Marie Victoria
BROGLIE (de ) Louis César Victor Maurice
 
 
BERNOU de ROCHETAILLÉE Marie Camille Françoise Charlotte
BERNOU de ROCHETAILLÉE Antoine Jean-Baptiste Camille
ROCHEFORT (de ) Marie-Constance




BROGLIE (de ) Louis César Victor Maurice dit Maurice
Officier de Marine, physicien, biographe, académicien - 6ème duc de Broglie, grand officier de la Légion d'honneur

Naissance : 27 avril 1875 à Paris (7ème) 75
8ème arrondissement selon la base Roglo.
Décès : 14 juillet 1960 à Neuilly-sur-Seine 92

Union : BERNOU de ROCHETAILLÉE Marie Camille Françoise Charlotte ( 1883 - 1966 )
Mariage : 12 janvier 1904 à Paris (8ème) 75
(Source : voir base Roglo).
Enfant : BROGLIE (de ) Laure Marie Victoria ( 1904 - 1911 )
Note individuelle : Fils de Louis Amédée Victor de BROGLIE, duc de Broglie (1846-1906), et de Pauline de La FORET d'ARMAILLÉ (1851-1928). Physicien, il étudia les spectres des rayons X.
En 1921, il découvre l'effet photoélectrique nucléaire.
Après des études au collège Stanislas, Maurice de Broglie fut reçu premier à l'École navale. Il en sortit major en 1895 et devint enseigne de vaisseau en 1898. Il passa deux ans sur une canonnière à Bizerte, et à partir de 1901 dans l'Escadre de la Méditerranée. Ayant poursuivi d'autre part des études de physique, il fit en 1902 sa première communication à l'Académie des Sciences, sur l'application des galvanomètres thermiques à l'étude des ondes électriques. Ayant abandonné la Marine en 1904, Maurice de Broglie travailla pendant un temps à l'observatoire de Meudon, puis au Collège de France, où il fut l'élève de Paul Langevin. Il devint docteur ès sciences en 1908, en soutenant une thèse intitulée "Recherches sur les centres électrisés de faible mobilité dans les gaz". Quand éclata la Première Guerre mondiale, il fut affecté à la station de radiotélégraphie des Saintes-Maries-de-la-Mer. On lui doit l'invention d un appareil permettant aux sous-marins de recevoir les signaux de la T.S.F.
Après la guerre, il poursuivit ses recherches sur les rayons X, et découvrit en 1921 les spectres corpusculaires des éléments (auxquels il allait donner son nom) permettant de pénétrer directement dans l'atome. Il devait succéder, en 1942, à son maître Paul Langevin à la chaire de physique générale du Collège de France.
Le duc Maurice de Broglie, l'un des grands maîtres français de la physique expérimentale, a laissé une importante et remarquable série de travaux qui lui valurent la reconnaissance de ses pairs. Fait docteur honoris causa de l'Université d Oxford en 1921, membre de l'Académie des Sciences en 1924, il fut élu à l'Académie française le 24 mai 1934, par 24 voix contre 9 à Edmond Jaloux et 2 à Maurice Larrouy, au fauteuil de Pierre de La Gorce. C'était sa seconde candidature après une tentative malheureuse, en 1930, au fauteuil Curel, pour lequel il n avait recueilli que 8 voix. En entrant à l'Académie, il renforçait non seulement le «parti des ducs» mais perpétuait également une tradition familiale : son arrière-grand-père, comme son grand-père, avaient été académiciens. C'est Maurice Paléologue qui le reçut le 31 janvier 1935, remplaçant Louis Barthou, assassiné en octobre 1934, et dont il lut le discours.
(Source Fichier Geneanet d'Alain Garric).
Capitaine de Corvette, grand officier de la Légion d'honneur le 25 mai 1954, il est élu à l'Académie Française en 1934, au fauteuil 37, succédant à Pierre de LA GORCE, et sera remplacé par Eugène TISSERANT. Il est aussi physicien et biographe.
Après des études au collège Stanislas, Maurice de Broglie entre dans la Marine en 1893, et fut reçu premier à l'École navale. Il en sort major en 1895. Il est sur le cuirassé Brennus, dans l'Escadre de la Méditerranée en 1897. Il s'intéresse aux premiers essais de la T.S.F., et réussit les premières communications entre les navires de l'escadre. Il devient enseigne de vaisseau en 1898. Il est, en 1900, sur la canonnière cuirassée Achéron, de la Division Navale de Tunisie, à Bizerte.
En 1901, il repasse dans l'escadre de la Méditerranée, sur le croiseur Lavoisier. Il embarque ensuite sur le Saint-Louis, appelé par l'amiral De MAIGRET qui le charge de la direction du service T.S.F. de l'Escadre lors de manœuvres en 1901 et 1902.
Ayant poursuivi d'autre part des études de physique, il fit en 1902 sa première communication à l'Académie des Sciences, sur l'application des galvanomètres thermiques à l'étude des ondes électriques. En 1903, il est de nouveau affecté sur le cuirassé Saint-Louis, dans l'Escadre de la Méditerranée Occidentale et du Levant.
Ayant abandonné la Marine en 1904, détaché en congé sans solde et Hors cadre dans l'industrie, Maurice de Broglie travailla pendant un temps à l'observatoire de Meudon, puis au Collège de France, où il fut l'élève de Paul Langevin. Il devint docteur ès sciences en 1908, en soutenant une thèse intitulée : Recherches sur les centres électrisés de faible mobilité dans les gaz. Il est versé dans le cadre de réserve cette même année.
Quand éclata la Première Guerre mondiale, il est mobilisé, et affecté à la station de radiotélégraphie des Saintes-Maries-de-la-Mer, comme commandant. On lui doit l'invention d'un appareil permettant aux sous-marins de recevoir les signaux de la T.S.F. Il commande ensuite la station de Bordeaux, puis attaché à la Direction des inventions intéressant la Défense Nationale.
Après la guerre, il poursuit ses recherches sur les rayons X, et découvrit en 1921 les spectres corpusculaires des éléments (auxquels il allait donner son nom) permettant de pénétrer directement dans l'atome. Il devait succéder, en 1942, à son maître Paul Langevin à la chaire de Physique Générale du Collège de France.
Le duc Maurice de Broglie, l'un des grands maîtres français de la physique expérimentale, a laissé une importante et remarquable série de travaux qui lui valurent la reconnaissance de ses pairs. Fait docteur honoris causa de l'Université d'Oxford en 1921, membre de l'Académie des Sciences en 1924, il fut élu à l'Académie Française le 24 mai 1934, par 24 voix contre 9 à Edmond Jaloux et 2 à Maurice Larrouy, au fauteuil de Pierre de La Gorce. C'était sa seconde candidature après une tentative malheureuse, en 1930, au fauteuil Curel, pour lequel il n'avait recueilli que 8 voix. En entrant à l'Académie, il renforçait non seulement le «parti des ducs» mais perpétuait également une tradition familiale : son arrière-grand-père, comme son grand-père, avaient été académiciens. C'est Maurice Paléologue qui le reçut le 31 janvier 1935, remplaçant Louis Barthou, assassiné en octobre 1934, et dont il lut le discours.
(Source : voir base Pierfit).
Né en 1875, Maurice de Broglie devient en 1906, à la mort de son père, le VIe duc de Broglie, chef d'une famille d'origine piémontaise installée en France depuis 1643. Entré et sorti premier de l'École navale, il suit une carrière dans la marine puis cède à l'appel de la science et présente un brillant doctorat en 1908 sur l'étude des particules en suspension dans les gaz. Dès cette époque, il donne des preuves de son habileté expérimentale, de l'ingéniosité et de la simplicité des moyens mis en œuvre au regard de l'importance des résultats obtenus. Le propre de l'activité scientifique de Maurice de Broglie est de passer des plus récentes théories de la science pure aux applications pratiques. Le traitement des fumées industrielles, la télégraphie sans fil, les ultra-sons, le radar, les rayons x bénéficient directement de ses travaux.
Il devance les développements futurs de la recherche avec agilité, audace dans ses hypothèses et sens de l'aventure dans l'action. Il sut créer une équipe de jeunes physiciens heureux de travailler collectivement sous la direction d'un « maître authentique » selon Louis Leprince-Ringuet. Cette cohorte comprit notamment Alexandre Dauvillier, Jean Trillat, Jean Thibaud, Bruno Rossi, le Père Dupré La Tour, Louis Leprince-Ringuet, Jean Crussard, Claude Magnan, Louis Cartan, René Lucas…
Maire de Broglie de 1911 à 1955, membre de nombreuses sociétés savantes, françaises - dont l'Académie des Sciences en 1924 - et étrangères, il est élu à l'Académie française en 1934.
Le titre scientifique le plus remarquable de Maurice de Broglie fut d'avoir ouvert à la science la fulgurante intelligence de son frère Louis, de 17 ans plus jeune que lui et engagé dans des études de lettres et de droit. Vers 1911, Louis de Broglie s'intéresse aux travaux du laboratoire de son frère et reçoit ses leçons et ses conseils. C'est à partir de ses réflexions sur les quanta, de ses expériences et de ses questionnements successifs qu'empiriquement le maître prépara les déductions de son frère, et le conduisit à la découverte solitaire, sans le secours de l'expérience, de la théorie de la mécanique ondulatoire.
Quelle page troublante dans l'histoire de la science que ce dialogue entre deux frères, fait d'entente profonde et de détachement réciproque, qui se poursuivit dans une parfaite harmonie jusqu'à la réception de Louis par son frère à l'Académie française en 1944 et à la mort de Maurice de Broglie en 1960.
(Source : Archives de France).
Il étudie au collège Stanislas puis est reçu à l'École navale en 1893, dont il sort major en 1895. Enseigne de vaisseau dans la Marine nationale, Maurice de Broglie soutient en 1908 une thèse de doctorat sur les gaz ionisés, il est le secrétaire du premier Congrès Solvay en 1911, il est élu membre de l'Académie des sciences en 1924 et de l'Académie française en 1934. Ses travaux sur les spectres de rayons X lui ont valu la médaille Hughes en 1928 et le Prix Félix Robin de la Société française de physique en 1922.
Il devient membre étranger de la Royal Society en 1940 et il est titulaire de la chaire de physique générale et expérimentale au Collège de France de 1942 à 1945.
Il épouse Camille de Rochetaillée (1883-1966), dont il a une fille qui est morte dans son enfance.
Son frère Louis de Broglie hérita à sa mort du titre de duc de Broglie.
Le collège de Broglie (Eure) porte son nom.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Né le 27 avril 1875 à PARIS VIIème (Seine) - Décédé le 14 juillet 1960 NEUILLY-sur-SEINE (Hauts-de-Seine). Il entre dans la Marine en 1893, nommé aspirant le 5 octobre 1896 au port de TOULON. Il sort major de sa promotion. Au 1er janvier 1897, il est affecté sur le cuirassé "BRENNUS", Escadre de Méditerranée (Cdt Eugène GADAUD). Il s'intéresse aux premiers essais de la T.S.F., et réussit à organiser les premières communications entre les navires de l'Escadre. Il est nommé enseigne de vaisseau le 5 octobre 1898. Il est affecté le 1er janvier 1899 au port TOULON. Au 1er janvier 1900, il est muté sur la canonnière cuirassée "ACHÉRON", Division navale de TUNISIE (Cdt Marc CLOT), puis au 1er janvier 1901, sur le croiseur "LAVOISIER", Escadre de Méditerranée (Cdt Raoul De BEAUSACQ). Il embarque ensuite sur le "SAINT-LOUIS", appelé par l'amiral De MAIGRET qui le charge de la direction du service T.S.F. de l'Escadre lors de manœuvres en 1901 et 1902. En 1903, il est à bord du cuirassé "SAINT-LOUIS", Escadre de la Méditerranée occidentale et du Levant. (Cdt Jules NÉNY). Il devient officier d'académie. Au 1er janvier 1904, il est muté au port de TOULON. Le 27 mars 1904, il est détaché en congé sans solde et Hors cadre dans l'industrie. Il est versé dans le cadre de réserve le 27 mars 1908 au port de TOULON. Il est nommé lieutenant de vaisseau de réserve le 28 février 1912. À la mobilisation, il est commandant la station radio des Saintes-Marie-de-la-Mer puis de celle de Bordeaux. Il est ensuite attaché à la Direction des inventions intéressant la Défense nationale. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur le 12 septembre 1917. Au 1er janvier 1918, il est affecté port de TOULON. Il est promu officier de la Légion d'honneur le 10 novembre 1920, et capitaine de corvette de réserve le 18 avril 1930. Par la suite il est président de l'Académie des sciences, puis président de l'Institut de France. Il est promu grand-officier de la Légion d'Honneur le 25 mai 1954. (Source : http://ecole.nav.traditions.free.fr).
Après des études au collège Stanislas, Maurice de BROGLIE fut reçu premier à l'École navale. Il en sortit major en 1895 et devint enseigne de vaisseau en 1898.
Il passa deux ans sur une canonnière à Bizerte, et à partir de 1901 dans l'escadre de la Méditerranée. Ayant poursuivi d'autre part des études de physique, il fit en 1902 sa première communication à l'Académie des Sciences, sur l'application des galvanomètres thermiques à l'étude des ondes électriques.
Ayant abandonné la Marine en 1904, Maurice de BROGLIE travailla pendant un temps à l'observatoire de Meudon, puis au Collège de France, où il fut l'élève de Paul LANGEVIN. Il devint docteur ès sciences en 1908, en soutenant une thèse intitulée Recherches sur les centres électrisés de faible mobilité dans les gaz.
Quand éclata la Première Guerre mondiale, il fut affecté à la station de radiotélégraphie des Saintes-Maries-de-la-Mer. On lui doit l'invention d'un appareil permettant aux sous-marins de recevoir les signaux de la T.S.F.
Après la guerre, il poursuivit ses recherches sur les rayons X, et découvrit en 1921 les spectres corpusculaires des éléments (auxquels il allait donner son nom) permettant de pénétrer directement dans l'atome. Il devait succéder, en 1942, à son maître Paul LANGEVIN à la chaire de physique générale du Collège de France.
Le duc Maurice de BROGLIE, l'un des grands maîtres français de la physique expérimentale, a laissé une importante et remarquable série de travaux qui lui valurent la reconnaissance de ses pairs. Fait docteur honoris causa de l'Université d'Oxford en 1921, membre de l'Académie des Sciences en 1924, il fut élu à l'Académie française le 24 mai 1934, par 24 voix contre 9 à Edmond JALOUX et 2 à Maurice LARROUY, au fauteuil de Pierre de La GORCE. C'était sa seconde candidature après une tentative malheureuse, en 1930, au fauteuil CUREL, pour lequel il n'avait recueilli que 8 voix. En entrant à l'Académie, il renforçait non seulement le «parti des ducs» mais perpétuait également une tradition familiale : son arrière-grand-père, comme son grand-père, avaient été académiciens. C'est Maurice PALÉOLOGUE qui le reçut le 31 janvier 1935, remplaçant Louis BARTHOU, assassiné en octobre 1934, et dont il lut le discours.
(Source : http://www.academie-francaise.fr).





BROISSAUD Agathe
Naissance : 26 février 1817 à Genlis 21

Union : BREDILLET Jean ( 1816 - ? )
Mariage : 3 novembre 1852 à Genlis 21
Enfants : BREDILLET Jacques ( 1844 - 1924 )
BREDILLET Marie ( 1849 - ? )
BREDILLET Charles ( 1851 - 1852 )
BREDILLET N... ( 1851 - ? )
BREDILLET Anne ( 1854 - 1855 )




BRON Anne Justine Adélaïde Marie Claudine dite Adélaïde
Naissance : 15 février 1750 à Vienne 38
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Décès : 2 juin 1845 à Paris (2ème) 75 4 rue de la Michodière
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).
Inhumation : après 6 juin 1845 à La Celle-Saint-Cloud 78
(Source : voir fichier Geneanet d'Yves Dreux).

Union : MONTGOLFIER Jacques Etienne ( 1745 - an VII )
Mariage religieux : 17 mai 1774 à Vienne 38
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Enfants : MONTGOLFIER (de ) Emilie Benoite ( 1775 - 1809 )
MONTGOLFIER (de ) Jacqueline Alexandrine ( 1777 - 1849 )
MONTGOLFIER (de ) Pauline ( 1780 - 1781 )
MONTGOLFIER (de ) Charlotte ( 1782 - ? )
MONTGOLFIER (de ) Hélène ( 1783 - 1784 )
MONTGOLFIER (de ) Adélaïde ( 1787 - 1880 )
Note individuelle : Fille de Claude BRON et de Benoîte de CHAZAL (Source : voir Roglo).





BRONAC (de ) Aelix (ou Alix)
Père : BRONAC (de ) Guigon ( ? - J < 1278 )
Mère : SAUSSAC (de ) Béraude ( ? - J > 1308 )

Union : SAINT-MARTIN (de ) Huet ( ? - ? )
Contrat de mariage : avant 1291
(Source : voir fichier Geneanet de Guy de Bronac).
Enfant : SAINT-MARTIN (de ) Gilet ( ? - ? )
Note individuelle : Citée en 1278.
(Source : voir fichier Geneanet de Guy de Bronac).

BRONAC (de ) Aelix (ou Alix)
BRONAC (de ) Guigon
BRONAC (de ) Guillaume
 
SAUSSAC (de ) Béraude
SAUSSAC (de ) Hélie
 


                     


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