Fiches individuelles


ADHÉMAR de MONTEIL de GRIGNAN Louis François
Père : CASTELLANE-ADHÉMAR de MONTEIL de GRIGNAN (de ) Louis ( ? - 1598 )
Mère : PONTEVÈS (de ) Isabelle ( ? - ? )

Union : ANCÉZUNE (d') Jeanne ( ? - ? )
Contrat de mariage : 1595
(Source : http://thierryhelene.bianco.free.fr/).
Enfant : CASTELLANE-ADHÉMAR de MONTEIL (de ) Louis Gaucher ( < 1599 - 1668 )
ADHÉMAR de MONTEIL de GRIGNAN Louis François
CASTELLANE-ADHÉMAR de MONTEIL de GRIGNAN (de ) Louis
CASTELLANE-ADHÉMAR de MONTEIL (de ) Gaspard
TOURNON (de ) Anne
PONTEVÈS (de ) Isabelle
 
 




ADHÉMAR de MONTEIL de GRIGNAN Pauline dite Pauline de GRIGNAN
Damede compagnie de son altesse royale la Duchesse d'ORLÉANS - Marquise de Simiane

Naissance : 9 septembre 1674 à Paris 75
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Inhumation : 3 juillet 1737 à Aix-en-Provence 13 dans l'église du premier monastère de la Visitation ( Source )
Décédée le même jour, accompagnée par messieurs du Chapitre de l'église métropolitaine Saint-laurent, en présence de messire François Alexis PIERRE, messire JEANDIDIER, prêtre, et messire Chritophle BARRALY, acolyte, qui signent.

Père : ADHÉMAR de MONTEIL de GRIGNAN François ( 1632 - 1714 )
Mère : SÉVIGNÉ (de ) Françoise Marguerite ( 1646 - 1705 )

Union : SIMIANE de CLARET (de ) Louis ( 1671 - 1718 )
Mariage religieux : 29 novembre 1695 à Grignan 26 au château ( Source )
Note individuelle : Dite marquise de La Garde, sur son acte de décès.

Marquise de Sévigné, comtesse de Grignan, baronne de Chantal et de Pleumeray, dame de Montélimar en Provence, de Bourbilly en Charollais, du Buron, de Saint-Poeer en Bretagne, etc…
(Source : site Internet penelope.uchicago.deu).
Vendit Grignan et ses dépendances à Jean-Baptiste FÉLIX, marquis du Muy, dont le fils, Louis Nicolas, connu sous le nom de Maréchal du MUY, mourut sans postérité, et laissa son héritage à son parent Jean-Baptiste Louis Philippe Félix d’OLLIÈRES. Quoique ce dernier fut général au service de la République pendant la Révolution, ses biens furent confisqués et son château de Grignan démoli, en 1793, par ordre des autorités de Valence et Montélimar. Plus tard, ces biens furent restitués à leur propriétaire ; mais le château ne fut jamais rétabli, et, lorsque l’héritier du Général du MUY vendit toutes ses propriétés de Grignan à une bande noire, les ruines du château furent achetées, en 1838, par M. Léopold FAURE, qui s’est fait un devoir de les conserver de son mieux.
(Source : Les Adhémar : généalogie. Première partie / par Charles Joseph Eugène, Marquis de Boisgelin, Draguignan, 1900, 1 vol. (336 p.) ; 28 cm, page 42).
Elle naît lors d'un séjour de sa mère à Paris, le 9 septembre 1674 (Roger Duchêne, Madame de Sévigné, Fayard, 2002, p. 378. Roger Duchêne hésite entre le 6 (p. 655) et le 9 septembre (p. 378, ainsi que dans Madame de Sévigné, Lettres choisies, coll. « Folio classique », Gallimard, 1988, p. 301, et dans Madame de Sévigné, Correspondance, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », Gallimard, 1972, t. I, p. xxviii et xxxviii)), et sera sa principale correspondante. Elle a pour parrain le cardinal de RETZ, et pour marraine la princesse d'HARCOURT (Saint-Surin, « Simiane (Pauline Adhémar de Monteil de Grignan, marquise de) », in Michaud, Biographie universelle ancienne et moderne, Paris, Desplaces, Leipzig, Brockhaus, s. d., t. XXXIX, p. 366 et 367.). Son enfance est « immortalisée par les éloges de sa grand-mère » (Saint-Surin, Monmerqué, « Grignan (Françoise-Marguerite de Sévigné, comtesse de) » in Michaud, op. cit., t. XVII, p. 540).
La comtesse de Grignan, lorsqu'elle veut se défaire de Pauline, la confie à la sœur du comte, Marie, abbesse de Saint-Benoît d'Aubenas. En octobre 1688, Pauline a quatorze ans. Mme de Grignan, qui vient d'en être séparée huit ans durant, envisage d'en faire une religieuse, comme elle a fait de sa sœur aînée Marie-Blanche. Mme de SÉVIGNÉ intervient, faisant valoir les côtés positifs du devoir maternel : du 26 octobre de cette année-là au 12 juillet 1690, son plaidoyer en faveur de Pauline est récurrent dans ses lettres (Roger Duchêne, in Madame de Sévigné, Correspondance, op. cit., 1978, t. III, p. 1334, note 2 de p. 378). Elle réussit à convaincre sa fille de garder l'enfant auprès d'elle (C. du Parquet, in Jean-Chrétien-Ferdinand Hœfer, Nouvelle Biographie générale, Copenhague, Rosenkilde et Bagger, 1969, t. XLIII, col. 1023).
Celle-ci épouse au château de Grignan, le 29 novembre 1695 (Roger Duchêne, Madame de Sévigné, op. cit., p. 532), Louis III de Simiane, marquis d'Esparron, dit le marquis de Simiane, gentilhomme du duc d'ORLÉANS, lieutenant des gendarmes écossais (1671-1718). Elle est nommée dame de compagnie de la duchesse d'ORLÉANS. Elle reste à la Cour jusqu'en 1704. Commence alors une série de deuils. Pauline perd son frère, Louis PROVENCE, marquis de Grignan (1671-1704) cette année-là, sa mère l'année suivante, son père en 1714.
En 1715, Louis de SIMIANE succède à son beau-père en tant que lieutenant-général de Provence (Saint-Surin, op. cit., t. XXXIX, p. 367). Mme de SIMIANE s'engage dans dix années de procès contre les créanciers de son père (C. du Parquet, in Jean-Chrétien-Ferdinand Hœfer, Nouvelle Biographie générale, Copenhague, Rosenkilde et Bagger, 1969, t. XLIII, col. 1023). En 1718, elle perd son mari (Saint-Surin, op. cit., t. XXXIX, p. 367).
En 1720, elle accompagne jusqu'à Antibes la fille du Régent, Mlle de VALOIS, qui va s'embarquer pour épouser François Marie d'ESTE (le futur François III de Modène). Pauline reste alors en Provence, où elle s'établit définitivement (Elle « demeura en Provence et n'en revint plus ». Saint-Simon, op. cit., 1987, t. VII, p. 602-604).
L'enfant gracieuse et de vive intelligence dont s'émerveillait sa grand-mère n'a pas connu la brillante existence à laquelle elle semblait promise (C. du Parquet, op. cit., t. XLIII, col. 1022 et 1023). Épreuves, tracas et procès ont fait d'elle une femme austère, sérieuse, aspirant à l'effacement et au repos. En 1727, elle acquiert à Saint-Giniez, quartier de Marseille, la bastide Belombre, sa « guinguette » où, de 1731 à 1737, elle va passer les étés. On a gardé ses lettres de cette époque. Elle les signe parfois « la Bastidane de Belombre ». En 1730, elle acquiert à Aix-en-Provence, rue Saint-Michel (devenue rue Goyrand), un hôtel aujourd'hui connu sous le nom d'hôtel de Simiane, ou de Grignan Simiane (« Jean Gaspard Goyrand », sur ruesdaix.ag13.pagesperso-orange.fr. L'hôtel de Simiane d'Aix-en-Provence ne doit pas être confondu avec l'hôtel de Simiane de Valréas). Elle se partage entre cette résidence et Belombre (Guy Liégeois, « Hôtel de Simiane », sur guyliegeois.fr, 21 mars 2013).
Pauline joue un rôle important dans l'édition de la correspondance de sa grand-mère, qui n'avait pas envisagé une publication (« La marquise introuvable », sur la-pleiade.fr, La Lettre de la Pléiade, no 8, avril-mai-juin 2001).
En 1725, vingt-neuf ans après la mort de Mme de SÉVIGNÉ, 28 lettres ou extraits de ses lettres paraissent à la sauvette. L'année suivante, paraissent 135 lettres. L'une d'elles décrit Pauline comme laide et bossue, ce qui est une erreur de transcription : dans l'original, il s'agit de sa sœur. Pauline proteste. La même année, paraît une troisième édition : 177 lettres. Ces trois « éditions furtives » comportent essentiellement des lettres à Mme de GRIGNAN. « Établies sur des copies faites à la hâte » (Roger Duchêne, in Madame de Sévigné, Lettres choisies, op. cit., p. 307), elles sont pleines de fautes, leur texte est « incomplet, arrangé ».
Furieuse, Pauline décide alors de prendre les choses en main. Elle charge un ami aixois, Denis-Marius, chevalier de PERRIN, d'établir une édition. Mais Pauline est sensible, délicate et dévote. Elle est « effrayée par l'audace des « réflexions » de sa grand-mère ». Sur ses instructions, PERRIN remanie considérablement. Il tronçonne les lettres jugées trop longues, pour en faire plusieurs. Il retranche ce qui paraît d'ordre purement domestique, inintéressant, inopportun, inconvenant ou d'un style trop négligé — soit, en tout, plus d'un tiers du texte (Roger Duchêne, in Madame de Sévigné, Lettres choisies, p. 310). Il publie 614 lettres en 1734-1737. Si calamiteuse qu'elle soit, cette édition est malgré tout moins corrompue que les trois éditions furtives de 1725 et 1726. En 1754, longtemps après la mort de Pauline, Perrin propose une deuxième édition comportant encore plus de modifications que la première, et 158 lettres de plus. Comme il a détruit tous les autographes et même ses propres copies de travail (toujours sur instruction de Pauline (Roger Duchêne, Madame de Sévigné, p. 568, la moitié des lettres de Mme de Sévigné à sa fille ne sont aujourd'hui connues que par ces éditions tronquées.
Un « miracle » se produit en 1873. Charles CAPMAS, professeur de droit, découvre par hasard chez une antiquaire de Dijon quelque 319 copies de lettres de Mme de SÉVIGNÉ à sa fille (soit près de la moitié des lettres à Mme de GRIGNAN que nous connaissons aujourd’hui) : Pauline avait confié les autographes au fils de Roger de BUSSY-RABUTIN, Amé-Nicolas ; ce dernier en avait pris copie, entre 1714 et 1719, avant de les restituer à Pauline (Roger Duchêne, Madame de Sévigné, p. 569-571). Ces copies manuscrites vont se révéler assez fidèles. Il faudra pourtant attendre 1953 pour qu'elles soient utilisées dans l'édition des lettres (Roger Duchêne, « Introduction aux lettres de Mme de Sévigné », sur web17.free).
Selon Roger Duchêne, c'est Pauline qui a exigé la destruction des lettres de Mme de GRIGNAN.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

ADHÉMAR de MONTEIL de GRIGNAN Pauline
ADHÉMAR de MONTEIL de GRIGNAN François
CASTELLANE-ADHÉMAR de MONTEIL (de ) Louis Gaucher
ORNANO (d') Marguerite
SÉVIGNÉ (de ) Françoise Marguerite
SÉVIGNÉ (de ) Henri
RABUTIN-CHANTAL (de ) Marie




Noble et égrège ADHÉMAR DU MONTEIL Catherine - 17 369
- Dame d'Aps et de Marsanne

Naissance :

Père : ADHÉMAR de MONTEIL Bertrand ( ? - J > 1518 )
Mère : ALLEMAN de TOLIGNY Béatrix ( ? - ? )

Union : BRUNIER (de ) Jacques ( J ~ 1460 - ? )
Mariage par contrat : 9 juillet 1508
En 1490 selon Philippe Bonnet.
Enfant : BRUNIER (de ) Jean ( J < 1525 - J < 1573 )
Note individuelle : Pour son ascendance, voir courrier de Christiane MAURY du 21 février 2007.

ADHÉMAR DU MONTEIL Catherine
ADHÉMAR de MONTEIL Bertrand
ADHÉMAR Giraud
PIERREFORT (de ) Blanche
ALLEMAN de TOLIGNY Béatrix
ALLEMAN de TOLIGNY Guillaume
 




ADT Véronique
Union : FIRMIN Jérôme ( 1963 - ? )




AEGERTER Anna
Naissance : juin 1911
(Source : voir fichier Geneanet d’Antoine Fernand Rocher).
Décès : juin 1913
(Source : voir fichier Geneanet d’Antoine Fernand Rocher).

Père : AEGERTER Jean Rudolphe ( 1884 - 1916 )
Mère : CHIRAT Antoinette Sophie ( 1889 - 1973 )

AEGERTER Anna
AEGERTER Jean Rudolphe
 
 
CHIRAT Antoinette Sophie
CHIRAT Jean-Baptiste
MEYRIEUX Marie


                     


Ces pages ont été créées par Heredis pour Windows , © BSD Concept