Fiches individuelles


RABEYRIN Jean
Décès : avant 17 juillet 1707

Union : CELLE Marguerite ( 1671 - 1707 )
Mariage religieux : 1 février 1695 à Sainte-Sigolène 43 ( Source )
Note individuelle : Fils de Jacques RABEYRIN, marchand, et de Marguerite TRANCHAND, du lieu de la Chanale, paroisse du Mazel.





RABILLOUD Victoire
Naissance : 24 août 1831 à Les Eparres 38

Union : VINCENT Joseph ( 1822 - ? )
Mariage : 21 juin 1854 à Les Eparres 38
Enfant : VINCENT Joséphine ( ? - ? )




RABOTTEAU Dominique
Naissance : 15 juillet 1952 à Jonzac 17 la Haute-Grave
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).

Union : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Dominique Serge Jacques Marie ( 1947 - ? )
Mariage : 8 octobre 1976 à Meaux 77
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Divorce : 7 janvier 1982
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Enfant : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Martin Robert Frédéric Germain ( 1977 - ? )
Note individuelle : Fille de N. RABOTTEAU, et de Monique LELIÈVRE. (Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).





RABUTIN-CHANTAL (de ) Marie dite Madame de Sévigné ou la Marquise de Sévigné
- Marquise de Sévigné

Baptême : 6 février 1626 à Paris (4ème) 75 en l'église Saint-Paul, dans le Marais ( Source )
Née la veille à l'hôtel Coulanges, chez ses grands-parents maternels, Place des Vosges. (Source : site Internet vivreparis.fr).
Décès : 17 avril 1696 à Grignan 26 au château ( Source )
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia). Des suite de la grippe. (Source : site Internet vivreparis.fr).
Inhumation : à Grignan 26 dans le tombeeau de la maison de GRIGNAN
(Source : http://www.tourisme-paysdegrignan.com).

Union : SÉVIGNÉ (de ) Henri ( 1623 - 1651 )
Contrat de mariage : juillet 1644
(Source : https://www.histoire-pour-tous.fr/histoire-de-france/4674-monsieur-de-sevigne-epoux-de-la-marquise.html).
Mariage religieux : 4 août 1644 à Paris (4ème) 75 en l'église Saint-Gervais-Saint-Protais
(Source : site Internet vivreparis.fr).
Enfant : SÉVIGNÉ (de ) Françoise Marguerite ( 1646 - 1705 )
Note individuelle : Baronne de Chantal et de Pleumeray, Dame Haute Justicière, Châtelaine et Patronne de Bourbilly, Suilly, Trans et autres lieux, fille de Celse Bénigne de RABUTIN, baron de Chantal, etc., et de Marie de COULANGE.
(Source : site Internet penelope.uchicago.deu).
Contemporaine du siècle de Louis XIV (le Grand Siècle). Ce n'est que 30 ans après sa mort (à 70 ans à Grignan où elle est ensevelie dans la crypte de la collégiale Saint Sauveur) que sa correspondance est éditée et s'impose comme une référence de l'art épistolaire et demeure un modèle de notre langue française.
Sa fille Françoise Marguerite épousera le Comte François ADHÉMAR de MONTEIL, seigneur du château de Grignan.
La majorité des lettres de la Marquise sont adressées à sa fille à Grignan, elle mentionne souvent le château de Grignan dans ses écrits
" Je pense sans cesse à Grignan, à vous tous, à vos terrasses, à votre belle et triomphale vue " " Je crus être dans un château enchanté " " Mais enfin la Provence m'est devenue fort chère ".
(Source : http://www.tourisme-paysdegrignan.com).
Nous sommes le 5 février 1626 à Paris. Dans le 4ème arrondissement, Marie de Rabutin-Chantal vient de naître. Fille du baron et de la baronne de Chantal, elle voit le jour à l’hôtel Coulanges, la maison ses grands-parents maternels, sur la place des Vosges. La petite grandit dans cette somptueuse demeure jusqu’à ses 11 ans.
Le lendemain de sa naissance, elle est baptisée à l’église Saint-Paul dans le Marais. Orpheline très tôt, elle est élevée par ses grands-parents. Au décès de son grand-père, elle va vivre chez l’aîné de ses oncles maternels : Philippe II de COULANGES. Elle étudie les langues, les « belles lettres »et lit beaucoup.
Le 4 août 1644, Marie a 18 ans. Elle épouse un noble breton : Henri de SÉVIGNÉ, 21 ans, à l’église Saint-Gervais Saint-Protais (75004). Si le mariage est arrangé, les deux jeunes semblent se satisfaire l’un l’autre. Elle est curieuse et romantique, lui dépensier et fougueux. Henri fait de Marie la Marquise de SÉVIGNÉ et ensemble ils mènent la grande vie, se montrent dans les salons et y font sensation !
La jeune et sublime Marquise devient de ces femmes à la mode dont la noblesse parisienne recherche la compagnie.
Si elle réside aux Rochers, la propriété bretonne de son mari, Marie de SÉVIGNÉ se rend souvent à Paris pour retrouver son cercle d’illustres ami(e)s de la société de l’hôtel de Rambouillet, parmi lesquels : Madame de La FAYETTE, La ROCHEFOUCAULD, ou encore FOUQUET. Lorsqu’elle n’est pas à la capitale, elle correspond beaucoup avec son entourage.
Après avoir eu ses deux enfants : Françoise (née en 1646) et Charles (né en 1648) la marquise décide d’imposer la chasteté à son mari. Leur idylle a fané il y a longtemps, quand son époux a décidé de lancer la rumeur de sa frigidité. Celui-ci va voir ailleurs et tout Paris le sait. C’est d’ailleurs pour la beauté des yeux de sa maîtresse Charlotte de GONDRAN, dite « La belle Lolo » qu’Henri de SÉVIGNÉ meurt en duel, en 1651.
Veuve (et riche) à vingt-cinq ans, Marie décide de déménager à Paris, rue Saint-Avoye (l’actuelle rue du Temple, 75003).
Elle refuse de se remarier et se consacre à sa vie mondaine et religieuse (elle se rend régulièrement à Saint-Louis, ancienne église des jésuites, pour assister avec ferveur aux sermons du célèbre BOURDALOUE).
Mais la seule vraie passion de la marquise, c’est Françoise. Sa place actuelle dans la littérature française, elle la doit justement à sa fille, dont elle est éperdument attachée. Mais cette dernière vit mal d’être dans l’ombre de cette mère qui adore se montrer.
Quand Françoise déménage, en 1671, à Grignan (Auvergne-Rhône-Alpes) pour rejoindre son mari, un lieutenant général, la marquise supporte très mal cette séparation. C’est d’ailleurs un tel choc émotionnel que Marie se met à souffrir d’algodystrophie (douleurs articules qui découlent d’un traumatisme).
Malade de chagrin, elle commence alors une correspondance avec sa fille. Celle-ci durera un quart de siècle et traitera majoritairement des potins de la cour royale. Les lettres seront aussi un moyen pour madame de SÉVIGNÉ de montrer encore et toujours son amour dévorant à sa fille chérie.
Scandales politiques, événements mondains, mariages… La marquise dépeint avec exactitude et talent la vie parisienne du 17ème siècle dans quelques 1500lettres. Bien qu’aucune d’elles n’était destinée à être rendue publique, les lettres furent conservées par la famille de la marquise et publiées clandestinement au 18ème siècle.
La petite fille de Marie de SÉVIGNÉ, Pauline de GRIGNAN, marquise de Simiane décide finalement de confier leur publication officielle à un éditeur d’Aix-en-Provence, Denis-Marius PERRIN. Sauf qu’avant cela, elle modifia certaines lettres et fit disparaître tous les écrits de sa mère Françoise. Ne reste donc que les discours (devenus monologue) de la marquise.
On raconte que si l’on avait pu lire l’intégralité de la correspondance, bien des mystères de l’époque du Roi Soleil aurait été percé. Notamment l’identité du fameux Masque de Fer, qui se serait trouvée écrite noire sur blanc dans une des lettres de Françoise de SÉVIGNÉ à sa mère.
Dans ces lettres adressées à sa fille, Madame de SÉVIGNÉ se libère des règles d’écriture de l’époque. Elle raconte elle-même : « C’est une chose plaisante à observer que le plaisir qu’on prend à parler, quoique de loin, à une personne que l’on aime, et l’étrange pesanteur qu’on trouve à écrire aux autres. » En décrivant ainsi son époque à sa fille et à ses ami(e)s, madame de SÉVIGNÉ est devenue une des plus grandes épistolières de toute la littérature française.
Aux environs de 1677 la marquise emménage dans l’hôtel Carnavalet au 23 rue du Val (actuelle rue de Sévigné). Elle y vit jusqu’à sa mort (de la grippe) en 1696.
L’actuelle salle des Estampes de l’hôtel, devenu en 1866 le musée municipal de la ville de Paris consacré à l’histoire de la capitale, témoignage du passage de la Marquise entre ces murs.
Quant à Madame de SÉVIGNÉ, elle est enterrée au château de Grignan. En 1793 au moment de la Terreur, sa tombe est pillée (pour le plomb). Ironiquement, le crâne de celle qui n’avait jamais quitté le quartier du Marais fut renvoyé à Paris pour être étudié…
(Source : site Internet vivreparis.fr).
Fille de Celse-Bénigne de RABUTIN(1596-1627), baron de Chantal, et de Marie de COULANGES (1603-1633), son épouse, elle naît à l'hôtel Coulanges, domicile de ses grands-parents maternels, Philippe Ier de COULANGES (1565-1636) et Marie née de BÈZE (1576-1634), au n° 1 bis de la place Royale (actuellement entre le 1 bis place des Vosges et le 11 bis, rue de Birague) en plein cœur de la capitale (Le petit livre de Paris, éd. du Chêne, Paris, 2013, p. 60), où demeurent alors ses parents. Baptisée le lendemain, 6 février à l'église Saint-Paul de Paris, son certificat d'ondoiement ou de baptême révèle qu'elle a pour parrain Charles Le NORMAND (Charles Le NORMAND, seigneur de Beaumont, premier maître d'hôtel (en 1624), meurt en 1630), seigneur de Beaumont, « maître de camp d'un vieux régiment, gouverneur de La FÈRE et premier maître d'hôtel du Roi » et pour marraine sa grand-mère « dame Marie de BÈZE, femme de messire Philippe de COULANGES, conseiller du Roi en ses conseils d'État et privé ». On donne à l'enfant le prénom de sa grand-mère (et marraine), Marie.
Celse-Bénigne de RABUTIN de CHANTAL est tué en 1627 au siège de La Rochelle, sous les ordres du marquis de TOIRAS (M. Suard, Notice sur Madame de Sévigné, Paris, Librairie de Firmin Didot frères, 1846), laissant Marie de COULANGES veuve et la petite Marie orpheline de père à l'âge d'un an. Six ans plus tard, elle perd aussi sa mère.
Marie de RABUTIN de CHANTAL vit néanmoins une jeunesse choyée et heureuse, d’abord auprès de ses grands-parents maternels, qui l'élèvent jusqu'à ses huitième et dizième années, puis, après la mort de Philippe de COULANGES, en 1636, chez l'aîné de ses oncles maternels, Philippe II de COULANGES (1595-1659). Celui-ci est le père de Philippe-Emmanuel COULANGES (1633-1716), futur « chansonnier », jeune cousin germain inséparable de Marie de RABUTIN. Il épousera en 1659 Marie-Angélique du GUÉ de BAGNOLS (1641-1723), également connue comme épistolière de renom sous son nom de femme mariée Marie-Angélique de COULANGES.
Un autre oncle, frère benjamin de sa mère, l'abbé Christophe de COULANGES (v. 1607-1687), dit « le Bien bon », sera son ami paternel et l'administrateur de ses biens. La future Madame de SÉVIGNÉ doit à sa solide éducation, en partie guidée par l'oncle Christophe, une connaissance parfaite de l’italien et assez bonne du latin et de l'espagnol.
Quant à sa grand-mère paternelle, Jeanne FRÉMYOT, baronne de Chantal (1572-1641), veuve en 1601, elle avait fondé l'ordre de la Visitation et un grand nombre de couvents tant en France que dans les pays limitrophes (Lorraine et Barrois) et prit le voile sous la direction spirituelle de l'évêque de Genève François de SALES. Elle mourut de la variole (Donald R. Hopkins, The greatest killer : smallpox in history, Chicago et Londres, University of Chicago Press, 2002, p. 37) en 1641, après un entretien avec la reine Anne d'Autriche (elle sera canonisée en 1767).
Le 28 février 1687, Roger de BUSSY-RABUTIN écrivait : « J'ai cherché nos Rabutin, je les ai trouvés fort bons et fort anciens ». Deux ans plus tôt, le 22 juillet 1685, la marquise avait écrit à son cousin BUSSY : « Ce commencement de maison me plaît fort. On n'en voit point la source et la première personne qui se présente est un fort seigneur, il y a plus de 500 ans, des plus considérables de son pays, dont nous découvrons la trace jusqu'à nous. Il y a peu de gens qui peuvent trouver une si belle tête. ». Madame de SÉVIGNÉ évoquait Mayeul de RABUTIN, qui possédait au XIIe siècle en Charolais le premier fief connu des RABUTIN, ainsi que le fief de Montessus, situé à proximité (« Madame de Sévigné et notre département », article de Denise Ruffin paru dans la revue Images de Saône-et-Loire, juin 1996, no 105, p. 3-6).
Sa devise était : « Le froid me chasse » avec pour emblème « l'hirondelle » (Jacques Bourgeat, Mille et un petits faits vrais, Hachette, 1966, p. 236).
Le 4 août 1644, âgée de dix-huit ans, elle épouse Henri de SÉVIGNÉ (1623-1651), de vieille et bonne noblesse bretonne (Voir lettre à Bussy-Rabutin du 4 décembre 1668. La famille est maintenue dans sa noblesse lors de la Réformation, le 7 novembre 1670. Roger Duchêne, in Madame de Sévigné, Lettres choisies, coll. « Folio classique », Gallimard, 1988, p. 316, note 5), possédant le fief de Sévigné (Michel de Mauny, Le Château des Rochers et Madame de Sévigné, Y. Floc'h, 1988, p. 21). Le mariage est célébré en l'église Saint-Gervais de Paris. Selon Roger DUCHÊNE, les SÉVIGNÉ n'ont pas de titre de noblesse, mais ont fini par sacrifier à l'usage en se faisant appeler barons (Roger Duchêne, Madame de Sévigné, Fayard, 2002, p. 96). C'est Henri qui, le premier, adopte le titre de marquis (Selon certains, le titre d'Henri de SÉVIGNÉ serait baron. Ainsi, apprenant le mariage d'Henri et de Marie, le généalogiste Guy AUTRET de MISSIRIEN écrit-il à son confrère Pierre d'HOZIER : « Je me réjouis de la bonne rencontre du baron de Sévigné… » Cité par Roger Duchêne, Madame de Sévigné, op. cit., p. 90. « La jeune fille épousa un gentilhomme, le baron (qui depuis peu se faisait donner le titre de marquis) Henri de Sévigné. » Alain Viala, in Laffont, Bompiani, Le Nouveau Dictionnaire des auteurs, coll. « Bouquins », Laffont, 1994, t. III, p. 2950. « Lorsque Henri de Sévigné parut à la Cour, il ne prit pas le titre de baron, peu en usage au XVIIe siècle, et il n'eut garde de se dire chevalier banneret, qualification que les Parisiens auraient trouvée provinciale et « gothique ». Conformément à un usage très répandu dès cette époque, il s'octroya le titre de marquis. Il ne demanda point au Roi une confirmation légale qui aurait été vraisemblablement refusée. » Henri BOURDE de La ROGERIE, cité in « La terre patrimoniale : Sévigné » sur infobretagne.com. Madame de SÉVIGNÉ, quand elle écrit à sa fille, appelle parfois son fils « le Baron » (lettre du 16 juin 1677) ; et Roger DUCHÊNE l'explique ainsi en note : « C'est son vrai titre. Mme de Sévigné n'est marquise que par façon de dire. » Roger Duchêne, in Madame de Sévigné, Lettres choisies, op. cit., p. 339, note 14. Mais le spécialiste de madame de Sévigné va changer d'avis sur ce point : quatorze ans plus tard (en 2002), il affirme que la famille était « sans titre nobiliaire français » : Henri n'était ni baron ni marquis. Roger Duchêne, Madame de Sévigné, p. 96.). En l'épousant, Marie devient donc marquise « par approximation bien plus que par usurpation » (« Ces désignations, ajoute Roger Duchêne, comptaient peu chez les gens de qualité du moment qu'on était reconnu de bonne et ancienne maison. Dans la noblesse d'épée, la seule ligne de partage passait entre les ducs et tous les autres. » Roger Duchêne, Madame de Sévigné, op. cit., p. 96).
Elle devient veuve à vingt-cinq ans, le 5 février 1651, quand son époux est tué lors d’un duel avec François AMANIEU, seigneur d'Ambleville, chevalier d'Albret, pour les beaux yeux de Mme de GONDRAN, sa maîtresse. Il est inhumé à Paris, rue Saint-Antoine, dans l'église du couvent des Filles de la Visitation Sainte-Marie (de nos jours, le Temple du Marais).
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).





RACINE Lucie
Naissance : 30 septembre 1986 à Audincourt 25
(Source : voir base Roglo).

Union : KIENER-CALVET Benjamin ( 1981 - ? )
Mariage religieux : 31 juillet 2010 à Athesans 70 église paroissial
(Source : voir base Roglo).


                     


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