Fiches individuelles


BOYER de BOUILLANE Odile
Naissance : 1923
(Source : fichier Geneanet de Guy Boulianne).

Père : BOYER de BOUILLANE Charles Marie Camille ( 1885 - 1940 )
Mère : MOREAU de BONREPOS Paule ( 1888 - 1954 )

BOYER de BOUILLANE Odile
BOYER de BOUILLANE Charles Marie Camille
BOYER de BOUILLANE Pierre Paul Henri Dominique
NICOLET Jeanne Françoise Thérèse
MOREAU de BONREPOS Paule
 
 




BOYER de BOUILLANE Paul Marie Louis
Naissance : 21 janvier 1916 à Valence 26
(Source : Insee).
Décès : 24 septembre 2002 à Paris (7ème) 75
(Source : Insee).
Inhumation : 28 septembre 2002 à Marcols-les-Eaux 07
(Source : http://www.virnot-de-lamissart.com).

Père : BOYER de BOUILLANE Charles Marie Camille ( 1885 - 1940 )
Mère : MOREAU de BONREPOS Paule ( 1888 - 1954 )

Union : CHRISTEN (de ) Liliane Marie Aldonce Sarah ( 1920 - 2016 )
Mariage : 28 septembre 1945 à Ruoms 07
(Source : http://www.virnot-de-lamissart.com).
Enfants : BOYER de BOUILLANE Roselyne ( 1947 - ? )
BOYER de BOUILLANE Charles ( 1948 - ? )
BOYER de BOUILLANE Florence ( 1950 - ? )
BOYER de BOUILLANE Armelle ( 1954 - ? )
BOYER de BOUILLANE Emmanuel ( 1960 - ? )
Note familiale : Le château de Chabriol à Marcols-les-Eaux (Ardèche) fut transmis à la famille BOYER de BOUILLANE par François I de LA VALETTE-CORNUSSON, neveu du Jean de VALETTE, 49e grand maître des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Son fils, Jean Cadet de LA VALETTE-CORNUSSON (seigneur de Parisot) était venu s'y installer vers 1592. Selon la mère de Charles BOYER de BOUILLANE (Liliane de CHRISTEN), ce château était une maison forte ou plutôt d'un relais de chasse.
(Source : fichier Geneanet de Guy Boulianne).
BOYER de BOUILLANE Paul Marie Louis
BOYER de BOUILLANE Charles Marie Camille
BOYER de BOUILLANE Pierre Paul Henri Dominique
NICOLET Jeanne Françoise Thérèse
MOREAU de BONREPOS Paule
 
 




BOYER de BOUILLANE Philippe Marie François Augustin
Chef d'entreprise

Naissance : 17 avril 1921 à Montélimar 26
(Source : Insee).
Décès : 21 mai 2017 à Meudon 92
(Source : Insee).

Père : BOYER de BOUILLANE Charles Marie Camille ( 1885 - 1940 )
Mère : MOREAU de BONREPOS Paule ( 1888 - 1954 )

Union : DU PRÉ de SAINT-MAUR Jacqueline Suzanne Marie Layeta ( 1920 - 2005 )
Mariage : 28 juin 1948 à Saint-Péreuse 58
(Source : voir base Roglo). En juillet selon Hubert Martel.
Enfants : BOYER de BOUILLANE Bruno ( 1949 - ? )
BOYER de BOUILLANE Catherine ( 1952 - ? )
BOYER de BOUILLANE Arnaud ( 1954 - ? )
BOYER de BOUILLANE Thibault ( 1960 - ? )
BOYER de BOUILLANE Philippe Marie François Augustin
BOYER de BOUILLANE Charles Marie Camille
BOYER de BOUILLANE Pierre Paul Henri Dominique
NICOLET Jeanne Françoise Thérèse
MOREAU de BONREPOS Paule
 
 




BOYER de BOUILLANE Pierre Paul Henri Dominique dit Paul
Magistrat, avocat à la Cour d'Appel de paris, Substitut du Procureur de la République de Die en 1876 - Chevalier de Saint-Grégoire-le-Grand

Naissance : 4 août 1848 à Grenoble 38
(Source : http://richaud-bouillanne.wifeo.com).
Décès : 24 juillet 1908 à Saint-Jean-de-Soudain 38 au château de Cuirieu ( Source )
Inhumation : à La Tronche 38

Union : NICOLET Jeanne Françoise Thérèse ( 1859 - 1934 )
Contrat de mariage : 9 mai 1883 à Grenoble 38 devant Maître Silvy, notaire
(Source : voir base Roglo).
Mariage : 15 mai 1883 à Grenoble 38 ( Source )
Saint-Egrève selon Guy Boulianne
Enfants : BOYER de BOUILLANE Charles Marie Camille ( 1885 - 1940 )
BOYER de BOUILLANE Marie ( 1887 - 1979 )
BOYER de BOUILLANE Félix ( 1891 - 1896 )
BOYER de BOUILLANE Henry Marie Auguste ( 1895 - 1916 )
BOYER de BOUILLANE Geneviève Marie Félicie Inès ( 1897 - 1997 )
Note individuelle : Paul BOYER de BOUILLANE était le fils de Austremoine BOYER et de Marie Anne Julie Mathilde TROPENAS. Conçue en dehors des liens du mariage, cette dernière était la fille naturelle du magistrat Antoine Henri Etienne de BOUILLANE de LACOSTE, bien que sa mère fut mariée avec André MICHELLAND depuis le 29 juillet 1829. En effet, tous les éléments en notre possession indiquent que BOUILLANE de LACOSTE était le véritable père de Mathilde TROPENAS. Il l’adopta à sa majorité, le 28 octobre 1841, après que André MICHELLAND fut décédé.
Paul BOYER de BOUILLANE comprit rapidement l’importance d’adopter le nom de son grand-père naturel pour son avenir et celui de sa postérité. Le 9 septembre 1874, il reçut l’autorisation officielle d’ajouter à son patronyme le nom de sa famille de sang, de BOUILLANE, et de s’appeler à l’avenir BOYER de BOUILLANE, nom désormais transmissible. Paul BOYER de BOUILLANE était le demi-frère du célèbre homme de lettres Philoxène BOYER, né du premier mariage de Austremoine Léger BOYER avec Françoise Célinie MOUTET.
Il était magistrat (substitut du Pocureur de la République à Die), avosat (Valence, Paris).
(Source : fichier Geneanet de Guy Boulianne).
Louis XI, n’étant encore que dauphin, chassait dans la forêt de Quint, lorsqu’il fut assailli par un ours. À ses cris, deux bûcherons accoururent et lui sauvèrent la vie : c’étaient Pierre BOUILLANE et Gérenton RICHAUD. Quelques années après être monté sur le trône, en 1475, il leur conféra la noblesse. Anoblies en même temps, portant les mêmes armes, d’argent à la patte d’ours mise en bande d’or, ces deux familles sont restées étroitement unies, elles se sont alliées entre elles, elles ont formé de nombreuses branches, auxquelles la fortune est rarement venue en aide. L’historien du Dauphiné, CHORIER, disait d’elles, au dix-septième siècle : «Ce sont de pauvres gentilhommes, à qui la noblesse est un obstacle à toute meilleure fortune.» Aux états de Romans, en 1788, on a vu vingt-sept RICHAUD et quatorze BOUILLANE, la plupart vêtus en paysans et portant fièrement leurs vieilles rapières. II reste encore des BOUILLANE et des RICHAUD dans la vallée de Quint, et leurs châteaux, de la misère attendent leur Théophile GAUTIER. M. BOYER de BOUILLANE descend des sauveurs de Louis XI : il était substitut à Valence, lors des décrets contre les congrégations religieuses il donna sa démission pour ne pas ternir l’honneur de son nom, et il se fit inscrire au barreau de Nîmes.
Avec les quatorze BOUILLANE et les vingt-sept RICHAUD, figurait un ancêtre de M. le comte de SAULCES de FREYCINET : il était député du tiers (élection de Montélimar) aux états de Romans, sous la désignation de « Freycinet, négociant ». Ce FREYCINET était-il le père de Louis-Henri et de Louis-Claude de SAULCES, barons de Freycinet, tous deux officiers de marine, voyageurs, géographes, et nés à Montélimar, l’un en 1777 et l’autre en 1779 ? Ceux-ci ont-ils été anoblis par Napoléon 1er ? Et M. le ministre civil de la guerre est-il le fils ou le petit-fils de Louis-Claude ou de Louis-Henri ? On ne trouve, dans l’armorial du Dauphiné, ni famille FREYCINET ni famille SAULCES, et il n’y en a plus dans le Dauphiné. Mais il y a, près de Montélimar, une commune de Saulce, où se trouve un château ou maison bourgeoise qui porte le nom de Freycinet et dont le propriétaire porte celui de BOURRAS.
(Source https://guyboulianne.com/2021/08/02/le-11-novembre-1888-paul-boyer-de-bouillane-participa-a-lassemblee-commemorative-des-etats-generaux-du-dauphine-de-1788/).
Fils d'Austremoine BOYER (1798-1865), et de Mathilde de BOUILLANE (1820-1895).
Paul fit une carrière juridique, qu'il commença comme magistrat à Die puis Valence. Il fut révoqué en 1879, au moment des décrets Jules FERRY contre les congrégations. Il devint avocat, d'abord à Valence, puis à Nîmes, puis à Paris à partir de 1895.
Il se fit remarquer par sa participation aux procès de royalistes devant la Haute Cour en 1901 (comme Eugène de LUR SALUCES, comte de Sabran Pontevès). Par la suite, lors de la crise qui aboutit à la séparation de l'Eglise et de l'Etat, et qui culmina avec la rupture des relations entre la France et le Vatican et l'expulsion du nonce, Monseigneur MONTAGNINI, il fut l'avocat de celui-ci. Il défendit aussi de nombreuses congrégations.
Antoine Henri, peu avant son décès, proposa que son petit-fils, Paul, ajoute le nom de BOUILLANE à son patronyme, ce qui fut légalement autorisé par décret du 9 septembre 1874.
(Source : http://richaud-bouillanne.wifeo.com).
Substitut du procureur de la République à Die, puis avocat à Valence, à Paris, rue du Four. Membre correspondant, puis membre titulaire en 1884 de la Société d'archéologie, d'histoire et de géographie de la Drôme.
Publications : Consultation sur la saisie des biens des congrégations reconnues, 1896, Haute-Cour. Procès du Cte de Lur Saluces. Plaidoiries de Me Boyer de Bouillane, 901, Impôt progressif sur le revenu, ses conséquence, 1902, Notes à l'usage des étrangers plaidant en France, 1897.
(Source : http://cths.fr).
Le 9 septembre 1874, Pierre Paul Henri Dominique Boyer reçut l'autorisation d'ajouter à son nom celui de sa mère, de Bouillane, et de s'appeler à l'avenir Boyer de Bouillane, nom désormais transmissible. Jeanne de Bouillane, de qui vient le second patronyme, est la fille de Jean-David de Bouillane et de Françoise Jaussaud. Paul Boyer De Bouillane fut substitut du procureur de la République à Die (Drôme), avocat à Valence, ainsi qu'avocat à la Cour d'appel de Grenoble et de Paris. Chevalier de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand, il est décédé au Château de Cuirieu, à Saint-Jean-de-Soudain (Isère), à l'âge de 60 ans.
(Source : https://princefou.com/2016/06/14/ex-libris-de-lavocat-boyer-de-bouillane-a-nimes-et-de-franz-rudolf-von-planta/).
En fait, c'est le 9 septembre 1874, qu'un certain Pierre Paul Dominique Henri Boyer, substitut à Die (Drôme), reçut l'autorisation d'ajouter à son nom celui de sa mère, de Bouillane, et de s'appeler à l'avenir Boyer de Bouillane, nom désormais transmissible. Jeanne de Bouillane, de qui vient le second patronyme, est la fille de Jean-David de Bouillane et de Françoise Jaussaud. Ajoutons que la famille maternelle dauphinoise de Bouillane est de souche protestante.
(Source : http://daniel.cahen.free.fr/Moulins_Engilbert/Boyer_de_Bouillane.htm).
Armes : d'azur à une patte sénestre d'ours d'or mise en bande (alias en fasce).
Le roi Louis XI, n'étant encore que Dauphin, chassait seul dans la forêt de Quint, aux environs de Die, en Dauphiné, quand il fut attaqué par un ours. Le jeune prince allait succomber quand deux bûcherons de la paroisse de Saint-Julien-en-Quint, Pierre Bouillane ou Boliane et Gérenton Richaud, occupés à couper du bois à peu de distance, arrivèrent à son secours et lui sauvèrent la vie en tuant l'animal. Cet événement se passait en 1447 d'après la tradition (Tout porte à croire que l'épisode de Louis XI attaqué par un ours n'est qu'une légende). Louis XI n'oublia pas le service qui lui avait été rendu dans sa jeunesse ; en 1475 il envoya des lettres d'anoblissement aux deux bûcherons et à leurs enfants et leur accorda à tous deux les mêmes armoiries. Les familles Bouillane et Richaud, que cet anoblissement n'avait nullement enrichies, se perpétuèrent honorablement, mais très obscurément. Jean et Antoine de Boliane obtinrent en 1554 un arrêt déclaratif de noblesse, La souche se partagea en un grand nombre de branches qui, lors de la grande recherche de 1666, furent encore maintenues dans leur noblesse par jugement de l'intendant Dugué et dont l'une alla se réfugier à Genève après la révocation de l'édit de Nantes.
On peut voir dans la France protestante de Haag que le 6 novembre 1745 plusieurs membres de la famille de Bouillane, appartenant au culte protestant, furent condamnés par arrêt de la Chambre des vacations à être déchus de leur noblesse pour avoir contrevenu aux édits du Roi concernant la religion ; MM. de Bouillane formèrent le 6 octobre 1775 une opposition à cette condamnation l'affaire n'était pas encore terminée quand éclata la Révolution.
Quatorze membres de la famille de Bouillane, vinrent en 1788 prendre part dans les rangs de la noblesse à l'assemblée de Romans, vêtus pour la plupart comme des paysans, mais portant tous fièrement au côté l'épée des gentilshommes. La famille de Bouillane prit également part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Montélimar. Un Bouillane était à la même époque conseiller maître à la Chambre des comptes de Grenoble sa descendance est aujourd'hui éteinte.
M. de Bouillane de la Coste était sous Napoléon III conseiller honoraire à la Cour de Grenoble.
La famille de Bouillane a fourni des officiers, des gentilshommes verriers, des magistrats, etc.
Elle compte encore des représentants en Dauphiné.
En outre M. Pierre-Paul-Dominique-Henri Boyer né Grenoble en 1848, alors substitut du procureur de la République à Die, aujourd'hui avocat à Paris, fut autorisé par décret du 9 septembre 1874 à joindre à son nom celui de la famille de Bouillane à laquelle appartenait sa mère.
(Source ; http://gillesdubois.blogspot.com/2008/08/la-famille-de-bouillane.html).





BOYER de BOUILLANE Priscilla
Naissance : 1978
(Source : voir base Roglo).

Père : BOYER de BOUILLANE Arnaud ( 1954 - ? )
Mère : BERTRAND RAYNAUD de LAGE Florence ( 1955 - ? )

BOYER de BOUILLANE Priscilla
BOYER de BOUILLANE Arnaud
BOYER de BOUILLANE Philippe Marie François Augustin
DU PRÉ de SAINT-MAUR Jacqueline Suzanne Marie Layeta
BERTRAND RAYNAUD de LAGE Florence
 
 


                     


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