Fiches individuelles


COURBON André
Laboureur des Atheux

Naissance : vers 1727
Décès : 17 novembre 1783 à Saint-Romain-les-Atheux 42

Père : COURBON Jean ( ? - < 1743 )
Mère : COLLARD Vitale Marie ( ? - <> 1757 & 1766 )

Union : COUTURIER Anne ( 1735 - > an XIII )
Mariage religieux : 15 février 1757 à Saint-Romain-les-Atheux 42
Enfants : COURBON Claude ( ~ 1763 - ? )
COURBON Marianne ( ~ 1770 - ? )
COURBON Claudine ( 1771 - 1814 )
COURBON Marie Rose ( ~ 1775 - ? )
COURBON Catherine ( ~ 1776 - ? )
COURBON Jeanne Marie ( ? - ? )
COURBON Marie ( ? - ? )
COURBON Pierre ( ? - ? )
COURBON André
COURBON Jean
 
 
COLLARD Vitale Marie
 
 




COURBON André
Cultivateur propriétaire au lieu de la Seuve

Naissance : vers 1768

Père : COURBON Barthélémy ( 1735 - 1807 )
Mère : ROBERT Catherine ( 1736 - an XI )

Union : RIVATON Jeanne Marie ( ? - ? )
Mariage religieux : 1 mars 1791 à Saint-Genest-Malifaux 42
Enfant : COURBON Jean Marie Régis ( 1814 - ? )
COURBON André
COURBON Barthélémy
COURBON Joseph
SAUVIGNET Marguerite
ROBERT Catherine
ROBERT Barthélemy
CELLE Antoinette




COURBON André
Cultivateur

Naissance : 2 mai 1827 à Saint-Romain-Lachalm 43
(Source : Voir fichier Geneanet de Jacqueline Saby).
Décès : 3 février 1878 à Saint-Just-Malmont 43
(Source : Voir fichier Geneanet de Jacqueline Saby).

Union : PEYRARD Catherine ( 1829 - ? )
Contrat de mariage : 29 octobre 1853 à Saint-Didier-la-Séauve 43 Maître RION
(Source : Voir fichier Geneanet de Jacqueline Saby).
Mariage : 9 novembre 1853 à Saint-Romain-Lachalm 43
(Source : Voir fichier Geneanet de Jacqueline Saby).
Enfant : COURBON Jean-Baptiste ( 1863 - ? )




COURBON André
Procureur d'office en la Cour de La Faye

Décès : 1580 à Saint-Genest-Malifaux 42
(Source : voir fichier Geneanet d'Isabelle Sagnes).

Père : COURBON Jacques ( ? - ? )

Union : TARDY Clauda ( ? - ? )
Enfant : COURBON DES GAUX André ( ? - 1597 )
Note individuelle : Les COURBON sont cités dans le Haut-Forez dès le XVe siècle.
Armes : D'azur à la fasce d'or chargée de trois étoiles de gueules, accompagnée de trois croissants d'or en chef et d'un croissant du même, en pointe.
(source : L'Assemblée de la Noblesse de la Sénéchaussée de Lyon en 1789, par Henir de JOUVENCEL, pages 347 à 351).

COURBON. Blénac, La Roche-Courbon. Saintonge, XIVe s. Lyon, XVIIIe s.
D'azur à trois fermaux d'or, les ardillons en pal. Tenants : deux anges. Cimier : aigle tenant dans son bec une palme de sinople. L'écu posé sur l'ordre de la Royale-Etoile surmontée de la couronne de France, par concession de Charles V, 1735.
COURBON. Lyon, XVIIes.
D'argent au coeur de gueules percé d'une flèche posée en barre d'or, la plume et la pointe d'azur, et surmonté d'une aigle volant de sable, au chef d'azur chargé de trois étoiles d'or, pour Antoine COURBON, marchand à Lyon, 1697, AG. 141.
Bandé d'or et d'azur de huit pièces, les bandes d'argent chargées de coeurs de gueules posés en bande, pour Jacques COURBON, prêtre, chanoine et prévôt de l'Ile-Barbe, 1697, AG. 284.
COURBON. St-Genest, Les Gaux, Faubert, Montviol, La Faye, Marlhes, La Trappe, Le Ternoy, Pérusel, Hauteville.
St-Etienne, Lyon, XVIIe s.
D'azur à la fasce d'or chargée de trois étoiles de gueules et accompagnée de quatre croissants d'or : trois en chef et un en pointe. Couronne de comte, supports : deux lions. Cachet 1784 de Jean-François COURBON de MONTVIOL, à St-Etienne. Tortil de baron, mêmes supports. Cachet 1788 d'Antoine COURBON de ST-GENEST (1752-1838) à St-Etienne. NRH. 1918, 30. -- Ex-libris d'Emile-Antoine COURBON de ST-GENEST, XIXe s. ABL. 151. -- Argenterie. GRAS, 83.
D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles du même et en pointe d'un croissant d'argent au chef d'or chargé d'une étoile de gueules. STEYERT, GRAS, PAUL. Ce sont exactement les armes des VAGINAY. Armes similaires, CARPENTIER, Plaques de cheminées, 256.
Etiquettes 1690, 1700 au nom de Jean COURBON sgr des Gaux 1650-1725 président-lieutenant en l'élection de St-Etienne ABL. 149, Archives 1932, p 71-72. L'AG. 1041 lui impose d'office en 1702 : d'or au chevron de sable chargé d'une larme d'argent. -- Etiquette au nom de Jean-Baptiste-Joseph COURBON 1748-1824, custode de Ste-Croix 1782, célèbre comme vicaire général de Fesch et de Pins, ABL. 150.
Statuette satirique du même en bois peint, ancienne collection Louis BRUN, libraire à Lyon.
COURBON. Lyon, XVIIIe s. Comédiens.
(source : Armorial et Répertoire Lyonnais, par Jean TRICOU, volume VII, Paris, pages 90-91).

Les traditions de la famille COURBON ou CORBON de SAINT-GENEST, la font venir dans les hautes montagnes qui séparent les anciennes provinces du Velay et du Forez au XIVe siècle, avec un cadet d'une famille noble de Normandie, qui y aurait épousé l'héritière du petit fief de Faubert, encore possédé par ses descendants et aujourd'hui connu sous le nom des GAUX.
Quoi qu'il en soit de cette origine assez difficile à prouver, il est certain que dès 1400, les COURBON occupaient déjà une place honorable dans la bourgeoisie locale, rang qu'ils n'ont jamais perdu, au moins pour les deux principales branches de la famille, les COURBON du BALAY et les COURBON de PLEYNEY, qui séparées à le fin du XIVe siècle, au troisième degré connu avec certitude, sont encore représentées.
L'auteur commun était Antoine, ou Jamet COURBON, notaire royal, que l'on trouve en 1486 vivant à Saint-Genest-Malifaux avec son petit-fils, marié à jeanne N... On le trouve cité dans plusieurs actes, entre autres dans un acte de partage, de 1473, où lui et son frère Pierre, font remise entre les mains de Mariette du BALAY, leur soeur de mère, beaucoup plus jeune qu'eux, de sa dot et de sa légitime, à l'occasion des fiançailles avec Jacques BLACHON de LA BLACHE.
C'est également cet acte de 1473 qui nous permet de connaître le nom du père de Pierre et d'Antoine COURBON; il s'appelait aussi Antoine, avait été notaire royal, et était né vers 1400, et très probablement un peu avant. Cette antiquité d'origine avec habitation ininterrompue au même lieu, et les nombreux rameaux secondaire dont la trace n'a pu être suivie, expliquent la fréquence du nom de COURBON sur les deux versants de la montagne, qui sépare Saint-Etienne d'Annonay, où il occupe, comme cela est facile à comprendre, à peu près tous les degrés de l'échelle sociale.
La branche des COURBON de PLENEY, dont nous nous occuperons exclusivement, resta dans le notariat et fournit plusieurs juges à la chatellenie et baronnie de La Faye en Fourest, dont dépendait Saint-Genest.
Au milieu du XVIe siècle, le château de La Faye fut brûlé pendant les guerres de religion, par un détachement de troupes protestantes que commandait COLIGNY. Dès lors La Faye qui ne fut plus rebâti perdit beaucoup de son importance et Saint-Genest devint le véritable chef-lieu de la baronnie, d'autant que les seigneurs étant absents, toute l'autorité demeura concentrée entre les mains des juges-châtelains qui résidaient dans ce gros bourg.
En 1581, André COURBON de PLENEY, sieur de La trappe, exerça une charge anoblissante, celle de secrétaire de la reine douairière Isabelle, ou Elisabeth d'Autriche, veuve de Charles IX mais il périt assassiné en 1596 sans laisser d'héritiers. Il était de la sixième génération. Son frère barthélemy, 1er du nom lui succéda comme chef de la famille. Il fut Greffier de la baronnie de La Faye et laissa dix enfants de son mariage avecd une de ses cousines de la branche des COURBON du BALAY, et fut l'auteur de la septième génération, dont voici les principaux représentants :
1. Guillaume, mort curé et chanoine de l'église d'Annonay;
2. Claudine (1599-1616), morte en odeur de sainteté au couvent de Sainte-Catherine de Sienne de l'ordre des Carmélites où elle était religieuse. Sa vie a été écrite dans le Vie des Saints et de Bienheureux de l'ordre des Frères Prècheurs, recueillie par Thomas de SORèGES, religieux du même ordre au couvent du faubourg Saint-Germain, à Paris, imprimée avec privilège du roi, à Amiens, en 1689. Parmi les miracles qu'on lui attribue après sa mort il faut citer la guérison de son frère aîné qu'une surdité avait empêché de rester dans l'ordre des Jésuites.
3. Antoine, religieux chartreux, né en 1605, mort à Rome. Ce fut, dit-on, un peintre d'un certain mérite.
4. Les autres enfants morurent jeunes ou entrèrent en religion, à l'exception de Barthélemy II.
Armes : D'azur, à la fasce d'or chargée de 3 étoiles de gueules, accompagnée de 4 croissants d'argent posés 3 et 1 en pointe.
(source : Bulletin Héraldique de France, par Louis de LA ROQUE, année 1894, pages 84-85).

COURBON André
COURBON Jacques
COURBON Antoine
N... Jeanne
 
 
 




COURBON André
Décès : après 4 février 1744

Union : LARCHER Magdelaine ( ? - > 1744 )
Enfants : COURBON Marie ( ~ 1722 - < 1761 )
COURBON Marianne ( ? - ? )


                     


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