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Note individuelle
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Branche éteinte avec lui, baron de Chambarlhac (L. P. 22 octobre 1810), donataire en Hanovre (r. 4000, 15 août 1810) (source : L'Assemblée de la Noblesse du Bailliage de Forez en 1789, par Henri de JOUVENCEL, page 139).
Général de brigade, inspecteur au corps impérial du génie, baron de l'Empire par lettres patentes du 6 octobre 1810.
(Source : http://www.heraldique-blasons-armoiries.com).
Il embrassa la carrière militaire. A 9 ans, dès le 1er janvier 1763, il est cadet au régiment du roi. 10 ans plus tard, il est promu lieutenant en second du génie à l'école de Mézières et reçu ingénieur le 18 janvier 1775. Le 8 novembre 1792, il est lieutenant-colonel. Il soutient le siège du fort Vauban. Il est fait prisonnier le 14 novembre 1793 et conduit en Hongrie. Le 23 septembre 1795, il rentre de captivité. Il est alors promu chef de brigade dans l'armée du Rhin et de la Moselle, il y officie comme directeur des fortifications de génie. La même année, il est blessé à la jambe par un boulet à ricochet au siège de Khiel, puis il participe à la démobilisation des places de Kassel, Erhenbreistein et Düsseldorf. Le 20 août 1804, il est promu lieutenant général et général en 1805. Durant la campagne de Prusse, il sert au siège de Gaète qui dura du 26 février au 19 juillet 1806, à la tête de l'armée de Naples, commandée par le général en chef MASSÉNA. Du 20 octobre au 11 novembre 1806, il participe au siège de Magdebourg. De janvier à juillet 1807, il est aux sièges de Straslund et Colberg, dans la grande armée d'Allemagne. En 1809, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. Il est commandant de génie en Hollande par ordre du 21 septembre 1810 et commandant du génie à Dantzig en 1811. Cette même année, il est fait Baron par NAPOLÉON et commandeur de la Légion d'honneur à Hanovre pour 2400 F. En 1812, il participe à la campagne de Russie et subit en novembre, la peu glorieuse retraite de Russie. Il est gravement atteint par la faim et le froid. Il est dit être sauvé par les soins de sa servante, Joséphine WOLMUTH à qui il lèguerera 1200 F lors de son testament. En 1813, il est commandant du génie à Stettin et à nouveau fait prisonnier. Libéré en 1814, il est admis à la retraite, il est alors âgé de 61 ans. (Georges VIGNAL).
(Source : http://fr.calameo.fr).
Militaire français des XVIIIe et XIXe siècles, il appartenait à une famille de petite noblesse de la Lorraine.
Il entre comme cadet le 1er juin 1763, dans le Régiment Royal Infanterie. Admis à l'École du génie de Mézières en 1769, il en sort le 31 janvier 1773 en qualité de lieutenant en second et reçoit le brevet d'ingénieur (lieutenant en premier) le 18 janvier 1775. Il sert successivement dans les places de Nancy, Verdun, Thionville, Landau et au Fort-Louis de 1776 à 1785, et obtient le 30 mars 1786, le grade de capitaine.
Il fait partie de l'armée des Vosges et commande le fort Vauban depuis le 11 août 1792, lorsque le 8 novembre suivant il est nommé lieutenant-colonel et ingénieur en chef de cette armée. Il est chargé en 1793 de la défense de ce fort, et il s'oppose pendant plusieurs jours aux efforts des Autrichiens, mais assaillie de toutes parts par des forces supérieures et dépourvue de munitions, la garnison doit se rendre. Prisonnier de guerre le 14 novembre, il n'est libéré que le 1er vendémiaire an IV. C'est pendant sa captivité et en récompense de sa belle défense que le 1er germinal an III, il reçoit le grade de chef de brigade et de directeur des fortifications.
Employé en cette qualité à Strasbourg depuis le 24 vendémiaire an IV, il est nommé le 19 ventôse suivant, commandant en chef du génie de l'armée de Rhin-et-Moselle, et se trouve à toutes les affaires qui ont lieu pendant cette campagne. Il sert en l'an V à la même armée, et contribue à la défense de la forteresse de Kehl, où il est blessé à la jambe.
Un ordre de service du 1er ventôse lui enjoignit d'aller prendre la direction de la place de Landau il la quitta le Année invalide (an VIII) pour aller prendre celle de Mayence. Le gouvernement le chargea, en l'an IX, de la démolition des places de Cassel, d'Ehrenbreitstein et de Düsseldorf.
Le 19 frimaire an XII, il reçut le brevet de membre de la Légion d'honneur, et celui d'officier de cet Ordre le 25 prairial suivant. Général de brigade le Année invalide (an XIII), il fit avec ce grade les campagnes d'Italie des ans XIII et XIV.
Envoyé à l'armée de Naples en 1806, il assista au siège de Gaète, et reçut, après la reddition de cette place, l'ordre de se rendre à la Grande Armée. Le 15 août de cette année, l'Empereur l'avait nommé commandeur de la Légion d'honneur. Il prit une part active au siège de Magdebourg, à la fin de 1806, à ceux de Colberg et de Stralsund, en 1807, et à la défense de la citadelle de Passau en 1808.
L'année suivante, le ministre de la Guerre lui confia la restauration des fortifications de cette place et l'établissement de la tête de pont de Lintz. L'inspection et la reconnaissance des places de la Hollande, dont il fut chargé en 1810, lui valut à son retour le titre de baron de l'Empire. En 1811, il compléta les fortifications de Dantzig et contribua, deux ans après, à sa brillante défense. Enfermé dans la place de Stettin en 1813 et 1814, il ne rentra en France qu'après l'abdication de Napoléon.
Le 27 juin 1814, Louis XVIII lui donna la croix de Saint-Louis et le nomma lieutenant-général honoraire le 20 août suivant. L'Empereur le confirma comme titulaire dans ce grade par décret du 18 avril 1815. Mis à la retraite le 18 octobre de la même année, il vécut loin des affaires, entouré de sa famille et de ses amis, et mourut le 4 août 1823.
Titres : Baron de Chambarlhac et de l'Empire (lettres patentes du 6 octobre 1810).
Décorations : Légion d'honneur : Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier (25 prairial an XII), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (15 août 1806) ; Ordre royal et militaire de Saint-Louis : Chevalier (27 juin 1814).
Armoiries : D'azur au chevron d'or, accompagné de trois colombes d'argent ; franc-quartier des barons tirés de l'armée (Louis de La Roque, Armorial de la noblesse de Languedoc, Généralité de Montpellier, vol. 1-2, F. Seguin, 1860).
(Source : http://fr.aigles-et-lys.wikia.com/wiki/Dominique-Andr%C3%A9_de_Chambarlhac).
Chevalier de la Légion d'honneur le 11 décembre 1803, puis officier le 14 juin 1804, il est promu commandeur, en qualité de lieutenant général du génie en retraite, pour prendre rang à dater du 15 août 1815, par brevet du 30 décembre 1816.
(Source : LH/472/41).
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CHAMBARLHAC (de )
Cyprien
NURY Henriette ( ? - ? )
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