Fiches individuelles


SANHARD de CHOUMOUROUX (de ) Joseph Alphonse Raymond Marcellin Bénigne dit le Baron de Choumouroux
Député de la Haute-Loire en 1815 - Baron puis comte de Choumouroux, seigneur de Javaugues, chevalier de la Légion d'honneur

Naissance : 15 mars 1788 à Aubenas 07
(Source : LH/2432/60).
Décès : 21 février 1872 à Yssingeaux 43
Le 22 selon son dossier LH.

Père : SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Joseph Raymond Bénigne ( 1734 - 1812 )
Mère : COLONNA d'ORNANO Marie Catherine Pauline ( ? - ? )

Union : DU CROZET Marie Anne Françoise Angélique ( ? - ? )
Mariage : 11 janvier 1811
Enfants : SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Joseph Charles Ernest ( 1811 - 1895 )
SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Marie Léonie Charlotte ( ~ 1814 - 1884 )
SANHARD de CHOUMOUROUX (de ) Ernest Léon Alfred ( 1823 - 1906 )
Note individuelle : Vendit le château d'Etables en 1838 (cf armorial du Vivarais, page 199).
Maire d'Yssingeaux, il fut élu député de la Haute-Loire le 22 août 1815. Il vota avec la majorité, mais ne put être renommé aux élections de 1816 pour cause d'insuffisance d'âge car il n'avait pas encore trente ans. Au procès de MOUTON-DUVERNET, devant le conseil de guerre de Lyon, il eut une attitude très crâne. Il fut révoqué de ses fonctions de maire et de conseiller général (1825), par le gouvernement de juillet, en 1830. Réélu conseiller général en 1833, il fut rappelé à la mairie d'Yssingeaux en 1851.
Ses compatriotes l'avaient en grande estime et son administration fut marquée par des travaux d'utilité tels que la fondation d'une salle d'asile, la création d'une Caisse d'épargne, la constructon d'une nouvelle église paroissiale, etc...
Ami du monde paysan et lui-même agronome distingué, il s'est intéressé aux questions agricoles et écrivit notamment : Etude sur les avantages des plantations de mélèze en Velay.
(cf Dictionnaire Biographique de la Haute-Loire, par Gaston JOUBERT, page 355-356).
Il hérita, en 1810, de son oncle COLONNA, de la terre de Préveranges en Vivarais, et vendit en 1838 le château d'Etables. Député à la Chambre introuvable le 22 août 1815, au Grand Collège de la Haute-Loire, non réélu en 1816 pour insuffisance d'âge, maire d'Yssingeaux jusqu'à la Révolution de Juillet, il fut rappelé plus tard à ces fonctions en 1851. Il fut conseiller général de la Haute-Loire en 1825 et 1833, nommé chevalier de la Légion d'honneur le 19 mai 1825 ( source : L'Assemblée de la Noblesse du Bailliage de Forez en 1789, par Henri de JOUVENCEL, page 560).
A servi en Espagne, et fut député du département de la Haute-Loire, à la chambre de 1815. Armes : écartelé: aux 1 et 4, d'azur, à trois chevrons d'or; aux 2 et 3 d'azur, au sautoir d'or. Couronne de comte. (source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XIII, page 403).
Il hérite de son oncle Jacques Henri COLONNA d'ORNANO, né en 1754, maréchal de camp, mort en service en Espagne, de la terre de Préveranges en Vivarias. Il vend le château d'Estables en 1838. Il possédait avec son épouse deux lots, situés en Isère, estimés chacun à 82 500 Livres, comprenant un corps de domaine et des terres (source : Les SAGNARD de CHOUMOUROUX, par Jérôme SAGNARD, page 19).
Il vendit en 1864 le domaine de Diretal (Saône-et-Loire) (source : Notices Généalogique, par le baron de Woëlmont de Brumagne, septième série, Paris, 1930, page 318).
Maire d'yssingeaux, conseiller général, chevalier de la Légion d'honneur par décret du 19 mai 1825 (Source : LH/2432/60).
Il sera un des élus du département. Nommé maire d'Yssingeaux par la première puis la seconde Restauration, il appartient à une famille d'émigrés et une de ses tantes, arrêtée et transportée à Paris, n'a été sauvée de la guillotine que par la chute de Robespierre.
(Source : Cahiers de la Haute-Loire, année 1986, page 157).
Homme politique français, issu d'une vieille famille noble du Velay et propriétaire à Yssingeaux, il est élu député du grand collège du département de la Haute-Loire le 22 août 1815.
Il vota avec la majorité de la Chambre introuvable. Mais comme il n'avait que vingt-huit ans, il ne fut pas réélu en 1816, pour cause d'insuffisance d'âge.
Il devint alors maire d'Yssingeaux, et occupa ces fonctions jusqu'à la révolution de juillet 1830 ; il y fut rappelé plus tard en 1851.
Il devint conseiller général de la Haute-Loire en 1825 et en 1833, et chevalier de la Légion d'honneur du 19 mai 1825.
Il est le neveu du général Jacques-François-Henri Colonna d'Ornano et le gendre du marquis Charles Jean-Baptiste François du Crozet de Cumignat.
(Source : Dictionnaire des parlementaires français, Robert et Cougny, 1889).

SANHARD de CHOUMOUROUX (de ) Joseph Alphonse Raymond Marcellin Bénigne
SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Joseph Raymond Bénigne
SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis
BONNEFOUX Catherine Françoise
COLONNA d'ORNANO Marie Catherine Pauline
 
 




Noble SANHARD de FONCLAIRE (de ) François Louis
Baptême : 8 avril 1743 à Saint-Hostien 43 Queyrières ( Source )
Né le 6, il eut pour parrain Amable GUERIN, notaire de Saint-Julien-Chapteuil, et pour marraine Françoise GUERIN, qui signent.

Père : SANHARD (de ) Michel Louis ( 1713 - < 1776 )
Mère : GUERIN Marie ( ~ 1711 - 1770 )

SANHARD de FONCLAIRE (de ) François Louis
SANHARD (de ) Michel Louis
SANHARD (de ) Jacques
ARNAUD Théreze
GUERIN Marie
 
 




SANHARD de FONCLAIRE (de ) Françoise
Baptême : 30 octobre 1780 à Saint-Hostien 43 ( Source )
Née le même jour à Queyrières, elle eut pour parrain noble François de SANIHARD de FONCLAIRE, son oncle paternel, et pour marraine Françoise MALLET, du lieu de Villaret, paroisse de Saint-Julien-Chapteuil, qui ne savent signer.

Père : SANHARD (de ) Jean-Louis ( 1744 - an X )
Mère : MALET Jeanne-Marie ( 1753 - 1825 )

SANHARD de FONCLAIRE (de ) Françoise
SANHARD (de ) Jean-Louis
SANHARD (de ) Michel Louis
GUERIN Marie
MALET Jeanne-Marie
 
 




SANHARD de SASSELANGE (de ) Charles, dit le Chevalier de Sasselange
Capitaine au régiment d'Auvergne - Dit le Chevalier de SASSELANGE, chevalier de Saint-Louis

Naissance : 14 mai 1722 à Craponne-sur-Arzon 43
Ou 1727, selon les sources.
Décès : 16 juin 1761 à Villinghausen tué à la bataille

Père : SANHARD de SASSELANGE (de ) Jean-Joseph ( 1672 - 1746 )
Mère : DU FAVET de MONTAGIER Louise ( ? - 1766 )

Note individuelle : Il entra comme volontaire au régiment d'Auvergne, lieutenant en second en 1741, lieutenant en 1743, capitaine en 1744, capitaine de grenadiers en 1759, chevalier de Saint-Louis en 1759 (source : La Noblesse de la Sénéchaussée de Villeneuve de Berg en 1789, par Raymond de GIGORD, page 392).
Il entra comme volontaire au régiment d'Auvergne en 1739, servit avec distinction pendant la guerre de Sept Ans, et mourut glorieusement à la bataille de Filinghausen.
Il entra comme volontaire au régiment d'Auvergne en 1739 à 17 ans, selon MAZAS, en 1742 selon ROUSSEL, lieutenant en second en 1741, lieutenant en 1743, capitaine en 1744, selon MAZAS, en 1746 selon ROUSSEL, chevalier de Saint-Louis en 1758, capitaine de grenadiers en 1759. Il meurt à la bataille de Filingausen, emporté par un boulet de canon, à l'occasion de la cuisante défaite des troupes des maréchaux de SOUBISE et de BROGLIE, écrasées par les forces, pourtant inférieures en nombre, du prince héréditaire Charles Guillaume de BRUNSWICK.
Charles SAGNARD (cf SASSELANGE): Est de Craponne en Velay, né le 22 mai 1727. Auvergne, volontaire en décembre 1729 (sic), Lieutenant en second le 1er décembre 1741[14 ans], Lieutenant le 27 mai 1743, Capitaine le 25 février 1744 [mention] "a abandonné" au registre 120, Capitaine de grenadiers le 12 juin 1759, mort en 1781 (source : notices SHAT Yb 120 f° 63, Yb 123 f° 62v, Yb 121 f° 80v).
SASSELANGE (Charles SAGNARD), +, 14 ans, né le 22 mai 1727 à Craponne en Velay. Auvergne, volontaire en déc 1729 (sic) [sans doute 1739], Lieutenant en second le 1er décembre 1741 [14 ans], Lieutenant le 27 mai 1743, Capitaine le 25 février 1744 [17 ans], a abandonné [registre 120], Capitaine de Grenadiers le 12 juin 1759 [32 ans], mort en 1761 [34 ans] (source : Notice SHAT Yb 123 f° 62, Yb 120 f° 62, Yb 121 f° 80v).
Nominations faites en 1747.
Au mois de mars précédent, mais sans date précise, le registre constate encore la réception par le roi de M. de SASSELANGE, capitaine au régiment d'Auvergne (il s'appelait SANHARD DE SASSELANGE).
Campagne de 1758, bataille de Crevelt.
Le nouveau commandement eut l'honneur (juin 1758) de remettre la croix de Saint-Louis aux officiers suivants, signalés comme ayant été blessés ou comme s'étant distingués :
Infanterie : les capitaines d'ASSAS (François), de CHOUMOUROUX et de SASSELANGE (1), du régiment d'Auvergne.
(1)SASSELANGE (Charles SAGNARD), né en 1727, volontaire au régiment d'Auvergne, 1739; lieutenant en second, 1741, lieutenant, 1743; capitaine, 1744; capitaine de grenadiers, 1759; mort en 1761. (Registre, rang des capitaines, 1748 à 1763) -- SANHARD, orthographe de la famille.
(source : Histoire de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, par Alex MAZAS, Paris, 1860, tome I, pages 466-467).
Chevaliers de diverses époques
......SASSELANGE-SANIART, commandant de bataillon au régiment d'Auvergne, nommé avant 1720 (4); CHAMOUROUX, capitaine au même régiment, nommé de 1730 à 1734 (1); de SASSELANGE, capitaine au régiment d'Auvergne, nommé en 1747 (2); de CHOUMOUROUX (Joseph-Raimon-Benigne--SANIARD), nommé en 1780 (3).
(2) A ce moment seulement, il y eut quelques officiers inscrits au registre de l'ordre, avec cette mention: reçus par le roi; M. de SASSELANGE est un de ces privilégiés, et il est porté t. I, p. 389. -- SASSELANGE est de Craponne, en Veslay; lieutenant en second en 1741, lieutenant en 1743, était âgé de vingt ans; capitaine en 1744; a abandonné. (Registre de 1734 à 1748, fol 62, régiment d'Auvergne.) Le registre ne fait pas mention de sa croix, mais le registre de l'ordre répare cet oubli.
(source : Histoire de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, par Alex MAZAS, Paris, 1860, tome III, pages 502-503).
Date : 15-16 juillet 1761. Lieu : Vellinghausen, près de Hamm en Allemagne. Issue : Victoire des coalisés. Bélligérants : Royaume de France d'un côté, et Royaume de Prusse, royaume de Grande-Bretagne, électorat de Hannovre de l'autre. Commandants : Victor-Ferdinand de BROGLIE et Charles de ROHAN coté français, Ferdinand de BRUNSWICK-LUNEBOURG côté coalisés. Forces en présence 135 000 hommes côté coalisés, 100 000 côté de BROGLIE, 140 000 côté de ROHAN. Pertes : 1 400 hommes côté coalisés, 5 000 côté français, dont 4700 chez BROGLIE, et 300 chez SOUBISE.
La bataille de Villinghausen est un épisode de la guerre de Sept Ans qui se déroula les 15 et 16 juillet 1761 entre la France et une coalition réunissant la Prusse, la Grande-Bretagne et le Hanovre dirigée par le prince Ferdinand de Brunswick.
Au départ, deux armées françaises dirigées par les maréchaux Victor-François de Broglie et le Charles de Rohan, prince de Soubise, se réunirent en juillet 1761 avec comme but la prise de la ville de Lippstadt. En face, les Alliées s'étaient établis le long d'une série de colline avec à leur droite la rivière Lippe ainsi que la rivière Ahse en leur centre. Pendant ce temps, le maréchal de Broglie progresse au nord de l'Allemagne repoussant les troupes allemandes de Wutginau. Cependant, les troupes britanniques commandées par John Manners positionnées juste au sud de Wutginau résistèrent à l'assaut français et bloquèrent celui-ci. À ce moment, des renforts arrivèrent des deux côtés et Ferdinand décida de renforcer sa gauche au détriment de sa droite.
Le lendemain matin, De Broglie poursuivit son attaque sur la gauche adverse en espérant que Soubise attaquerait à droite. Mais ce dernier ne se limita qu'à de petites actions contre l'aile droite adverse. Ce problème de commandement s'explique par le grade équivalent des deux hommes, aucun n'a le droit de commandement sur l'autre. Très vite, les renforts alliés commandés par Wolff arrivent du côté de la rivière Lippe. Cela permet à Ferdinand d'attaquer le flanc français et de stopper l'offensive de Broglie. Assez vite, les Français sont contraints au repli.
(Source : encyclopédie en ligne Wikipédia).

SANHARD de SASSELANGE (de ) Charles, dit le Chevalier de Sasselange
SANHARD de SASSELANGE (de ) Jean-Joseph
SAIGNARD (de ) Pierre
PETIOT Jeanne
DU FAVET de MONTAGIER Louise
 
 




SANHARD de SASSELANGE (de ) Denyse Jeanne
Naissance : 24 octobre 1844 à Veauchette 42 au domicile parental, au château de Veauchette ( Source )
Décès : vers 11 septembre 1918 à Orléans 45 35 rue Saint-Euverte
(Source : l'Action Française etla Gaulois du 11 septembre 1918).

Père : SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Antoine Jean François Régis ( 1807 - 1893 )
Mère : BERTRAND de RIVIÈRE Adélaïde Charlotte Nathalie ( 1815 - 1888 )

Union : GEFFRIER (de ) Marie Denis Raoul ( 1843 - 1902 )
Contrat de mariage : 13 septembre 1869 à Montbrison 42 reçu PRONY, notaire
Mariage : 13 septembre 1869 à Veauchette 42 ( Source )
Enfants : GEFFRIER (de ) Marie Augustine Adèle Denyse ( 1870 - 1942 )
GEFFRIER (de ) Guy Marie Amédée ( 1872 - 1898 )
GEFFRIER (de ) Antoine Joseph Marie Georges ( 1873 - 1925 )
GEFFRIER (de ) Marie Ernestine Gabrielle ( 1876 - 1957 )
Note familiale : ILs étaient cousins germains.

Ils habitèrent le château de la Rivière, dans la commune de Larochemillay, canton de Villapourçon, dans la Nièvre. Ce château reste aujourd'hui encore dans la famille GEFFRIER (source : Les SAGNARD de SASSELANGE et leurs héritiers les de JERPHANION, par Jérôme SAGNARD, page 27).
Note individuelle : Sans profession, domiciliée au château de Veauchette à son mariage ne 09/1869.

SANHARD de SASSELANGE (de ) Denyse Jeanne
SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Antoine Jean François Régis
SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Jean François Régis
COURBON de SAINT-GENEST Louise Antoinette Gabrielle Hortense
BERTRAND de RIVIÈRE Adélaïde Charlotte Nathalie
BERTRAND de RIVIÈRE Denis Zacharie
ROUIN de BOUVILLE (de ) Anne-Marie


                     


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