Note individuelle
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Il fonde un atelier de fabrication de rubans (Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Compagnon menuisier en 1784, passementier en 1788, conseiller municipal de 1814 à 1819 et de 1826 à 1831.
Menuisier avec son oncle en 1778, passementier en 1788, marchand de rubans, siège aux Prud'hommes 1812-1816, vice président des Prud'hommes, conseiller municipal 1814-1819 & 1826-1831, (Fils de vigneron. Rejoint son oncle Christophe en 1778, devient Passementier dés 1788, en 1796 , il est fabricant rue Froide à Saint-Etienne, plus tard, grande rue Saint-Jacques à Saint Etienne. Au XVIII siècle, Jean-François Balaÿ, ancien compagnon menuisier chez son oncle Christophe à Annonay, se fixe à Saint-Étienne par son mariage avec Agathe Vial (Notre-Dame, 21.1.1784), En même temps qu'une famille de 13 enfants, il fonde un atelier de fabrication de rubans qui acquiert rapidement une grande importance, et que ses fils développent. À commencer par Jean-Baptiste, qui fait figure de chef de la Maison Balaÿ frères, banquiers, marchands de soie et fabricants, et à qui l'on attribue la création à Saint-Étienne du ruban satin grège teint en pièces. Les vastes ateliers de tissage de la soie des établissements Balaÿ ouvrent les terrains environnant la me qui porte aujourd'hui le nom de la famille. Habitait le Bas Verney à St Etienne en 1784, en 1789 il était Passementier. Naissance: Jean François, siége aux Prud'hommes de 1812 à 1816 dont il est même vice-président et au conseil municipal à deux reprises de 1814 et 1819 et de 1826 et 1831.En 1816, il fait partie des électeurs qui paient plus de 1 000 Frs de contributions,sa patente étant une des plus élevées ( 311 Frs). Testament: 4.3.1834 [AD de la Loire : 5E entrée 27/53 n° 972, pour prévenir toutes contestations entre ses neuf enfants, Jean-françois procède le 4.3.1834 au partage de ses biens, tout en s'en réservant la jouissance. Il possède alors deux domaines à la Fouillouse (acheté 20 000 F en 1821), la Berthonniére et la Parapeliére, des emplacements de terrains à Saint Etienne dans le quartier de Marengo et place du Palais Justice, d'importants bois dans la commune de Tarentaise avec scierie, sans compter la somme de 140 400 francs. Il a déjà distribué en avancement d'hoirie à ses enfants 200 000 francs. Il demande à ses héritiers de verser l'année de son décès 1 000 francs à l'Etablissement de la Providence, 1 000 francs aux pauvres de la Confrérie des Pénitents et 3 000 francs au bureau de bienfaisance).
(Source : voir fichier Geneanet Cdri).
Fabricant passementier, conseiller municipal, vice-président du Conseil des Prudhommes.
Fils de vignerons, Jean-François Balaÿ rejoint son oncle Christophe Balaÿ vers 1778 à Saint-Etienne où il s'établi comme compagnon menuisier. En 1796, il est fabricant rue Froide, puis plus tard, Grande-Rue Saint-Jacques : il figure dans la liste des 94 marchands de rubans du Didot-Bottin de 1805. Le chiffre d'affaires de son commerce est alors estimé à 500 000 francs. La maison Balaÿ manqua de peu d'être victime de la chute de l'Empire selon Descreux: "Lorsque les armées alliées bloquèrent Leipzig qui avait une garnison française, la maison Balaÿ avait dans cette ville un dépôt considérable de rubans formant la majeure partie de sa fortune. D'un autre côté ses débiteurs ne présentaient presque plus de solvabilité par suite des évènements militaires en sorte que pendant tout le temps que dura cette situation, la maison Balaÿ n'avait plus de crédit et ne pouvait satisfaire à ses engagements. Heureusement que le traité de paix qui survint ramena la confiance. Les débiteurs se libérèrent en peu de temps et la maison Balaÿ se releva".
Jean-François Balaÿ siège aux Prud'hommes (1812-1816) dont il est même vice-président et au conseil municipal à deux reprises (1814-1819; 1826-1831). En 1816, il fait partie des électeurs qui paient plus de 1000 francs de contributions, sa patente étant une des plus élevées (311 francs). Les six garçons de Jean-François feront tous carrière dans le négoce à la fin de la Restauration et au début de la Monarchie de juillet. Pour prévenir toutes contestations entre ses neufs enfants, Jean-François Balaÿ procède le 4 mars 1834 au partage de ses biens, tout en s'en réservant la jouissance. Il possède alors deux domaines à la Fouillouse (acheté 20000 francs en 1821), la Berthonnière et la Papelière, des emplacements de terrains à Saint-Etienne dans le quartier de Marengo et place du Palais de Justice, d'importants bois dans la commune de Tarentaise avec une scierie, sans compter la somme de 140400 francs. Il a déjà distribué en avancement d'hoirie à ses enfants 200000 francs. Il demande à ses héritiers de verser l'année de son décès 1000 francs à l'Etablissement de la Providence, 1000 francs aux pauvres de la Confrérie des Pénitents et 3000 francs au bureau de bienfaisance.
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Colin de Verdière).
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