Fiches individuelles


VILLIERS (de ) N... - 19 336
Union : COULASSOT Anne ( ? - J ~ 1470 )
Enfant : VILLIERS (de ) François ( J ~ 1470 - ? )




VILLIETTE Claude
Union : BAUDOT Reine ( 1721 - ? )
Contrat de mariage : 21 septembre 1745 Maître Philibert FEBVRE, notaire à Mont-Saint-Vincent
Cote AD71 316842. Furent témoins Philibert, Mathieu et Philibert BAUDOT, frères de l'épouse, Jean BAUDOT, son oncle, Jean DESBROSSES, son cousin, Mathieu BAUDOT, son cousin, Antoine BAUDOT, son cousin.
Mariage religieux : 16 novembre 1745 à Saint-Vallier 71 ( Source )
Furent témoins Etienne VILLIETTE, oncle dudit Claude, Jean DESBROSSES, son cousin, Philibert et Philibert BAUDOT, frères de ladite Reine. Nota : rendues des sieurs curés de Pouilloux et t de Dompierre.
Note individuelle : Fils de feu Eloy VILLIETTE, en son vivant laboureur chez Coureau, paroissse de Dompierre, et de Marguerite NECTOUX.





VILLOT Benigne
Union : PATOUILLET Pierre ( ? - ? )
Enfant : PATOUILLET Anne Catherine ( 1745 - ? )
Note familiale : Ce couple eu deux filles prénommées Anne, nées le 8 février 1745 et le 2 août 1746, dont l'une est décédée le 17 février 1793 à Uchizy (71).




VILMORIN (de ) Louise dite Loulou
Femme de lettres

Naissance : 4 avril 1902 à Verrières-le-Buisson 91
(Source : https://www.babelio.com/auteur/Louise-de-Vilmorin/25032).
Décès : 26 décembre 1969 à Verrières-le-Buisson 91
(Source : https://www.babelio.com/auteur/Louise-de-Vilmorin/25032).

Père : LÉVÊQUE de VILMORIN Philippe Joseph ( ? - ? )
Mère : GAUFRIDY de DORTAN (de ) Mélanie ( ? - ? )

Note individuelle : Louise de VILMORIN est un auteur encore méconnu, dont l'œuvre a été aujourd'hui un peu oubliée et dont on a surtout retenu le caractère frivole, les frasques sentimentales et les bons mots.
Elle composa toutefois des poèmes, publiés dans un recueil, L'alphabet des aveux, et, au cours d'un séjour à Sélestat, dans le Bas-Rhin, elle écrivit Julietta et Madame de, qui lui apportèrent la notoriété.
Le salon bleu de Verrières devint le centre de son rayonnement.
Dans les années 1950, elle se lança dans le journalisme, collaborant à Vogue et à Marie-Claire.
En 1955, elle reçut le prix littéraire de Monaco.
Les années 1955-1960 furent une période de création littéraire intense.
(Source : https://www.babelio.com/auteur/Louise-de-Vilmorin/25032).
Fille d'une célèbre famille de grenetiers, Louise de VILMORIN est le premier grand amour d'Antoine de SAINT-EXUPÉRY et devient sa fiancée. Louise initie le Club GB (Groupe Bossuet) - une société humoristique - dont son frère Olivier est un des membres fondateurs. Pour sa part, Antoine reçoit le titre de Grand poète sentimental et comique.
Louise LÉVÊQUE de VILMORIN grandit avec ses frères et sa sœur entre le château de Verrières-le-Buisson et l'hôtel particulier parisien. Soignée d'une tuberculose osseuse à la hanche, elle boite un peu mais n'en reste pas moins un parti très intéressant pour les jeunes hommes qui lui font une cour assidue. Antoine est introduit chez les VILMORIN par Bertrand de SAUSSINE ou peut être Honoré d'ESTIENNE d'ORVES, ses condisciples à Saint-Louis. Louise les reçoit dans sa chambre située au 3ème étage où elle peint, joue du violoncelle, écrit des poèmes et fume des Craven. Antoine en tombe amoureux et réussit à la séduire.
Antoine éprouve des sentiments sincères pour Loulou. Ils se fiancent et le mariage est programmé pour la fin de l'année 1923. En août, Antoine rejoint Loulou à Reconvilier, dans le Jura suisse où les deux jeunes gens filent le parfait amour. Louise écrit à madame de SAINT-EXUPÉRY :
«Je veux vous dire que j'aime Antoine d'un vrai grand amour et que ma vie et toutes mes pensées sont à lui.(…) Quand nous serons mariés, nous serons pour vous les plus tendres enfants du monde».
Riches, parisiens et mondains, tout semble opposer les VILMORIN aux SAINT-EXUPÉRY sans fortune, provinciaux et naturalistes. Antoine est surnommé le Pachyderme incertain par «l'état-major des frères» comme COCTEAU les surnomme. Habituée à recevoir ministres et politiciens, Madame de VILMORIN considère Antoine comme un parti peu brillant. Il a échoué au concours d'entrée à Navale, de plus il est hospitalisé suite à un grave accident d'avion quelques semaines avant de terminer son service militaire. Ne s'imaginant pas future veuve, Louise lui demande de renoncer à sa passion : l'aviation. Il promet. Sans situation, la famille sollicite un de leur ami pour lui trouver un emploi de bureau aux Tuileries de Boiron.
Les fiançailles sont rompues après seulement quelques mois, plongeant Antoine dans une grande tristesse. Cette expérience amoureuse contrariée contribue à l'élaboration de ses premiers récits ; Louise lui inspire le personnage de Geneviève dans Courrier Sud. Il continuera de lui écrire durant de nombreuses années et ne l'oubliera jamais.
Louise de VILMORIN publiera des recueils de poèmes et nombres de ses œuvres seront adaptées pour le grand écran. Elle termine sa vie avec un amour de jeunesse, André MALRAUX.
(Source : https://www.antoinedesaintexupery.com/personne/louise-de-vilmorin-dite-loulou-1902-1969/).
Née dans le château familial (Précisément dans un bâtiment situé dans le domaine du château familial) d'une célèbre famille de botanistes et grainetiers, elle est la seconde fille de Philippe de Vilmorin et de son épouse, Mélanie de Gaufridy de Dortan (Mélanie est une arrière-arrière-petite-fille d'Auguste de Forbin). Elle se fiance en 1923 à Antoine de SAINT-EXUPÉRY mais épouse finalement en 1925 un Américain, Henry Leigh Hunt (1886-1972) et s'installe à Las Vegas, au Nevada.
Trois filles naissent de ce mariage : Jessica, Alexandra et Elena. Divorcée, elle a une liaison en 1933 avec André MALRAUX et Friedrich SIEBURG (séparément), puis épouse en secondes noces, en 1938, le comte Paul PÁLFFY ab ERDÖD (1890-1968), dont elle divorce en 1943. Ces années sont pour Louise «les plus belles de sa vie». Elle devient ensuite la maîtresse de Paul ESTERHÁZY de GALÁNTHA (1901-1964), à partir de 1942, puis de Duff COOPER, ambassadeur de Grande-Bretagne.
La femme de lettres voyage beaucoup et séjourne fréquemment en Suisse chez son ami le prince Sadruddin AGA KHAN. En 1961, elle fait la connaissance à Genève, par le biais d'un de leurs amis communs Jean-Louis MATHIEU, du peintre genevois Émile CHAMBON et se prend d'amitié pour lui. Le 10 mai 1962 se tient à son initiative le vernissage d'une grande exposition CHAMBON à la galerie Motte à Paris, dont elle préface le catalogue.
Louise de VILMORIN publie son premier roman, Sainte-Unefois en 1934, sur les encouragements d'André MALRAUX, puis, entre autres, Julietta (1951) et Madame de… (1951).
Elle publie aussi plusieurs recueils de poèmes dont Fiançailles pour rire (1939), mises en musique par Francis POULENC, Le Sable du Sablier (1945) et L'Alphabet des aveux (1954). Sa fantaisie se manifeste dans les figures de style dont elle est friande, notamment les holorimes (qu'elle écrit «olorime») et les palindromes dont elle a écrit un grand nombre et de grande taille.
Francis POULENC fait d'elle l'égale de Paul ELUARD et de Max JACOB. Il trouve dans ses poèmes «une sorte d'impertinence sensible, de libertinage, de gourmandise qui prolongeait dans la mélodie ce que j'avais exprimé, très jeune, dans Les Biches avec Marie LAURENCIN».
Elle a travaillé également comme scénariste et dialoguiste pour plusieurs longs métrages, Les Amants de Louis MALLE en 1957, La Française et l'Amour pour le sketch de Jean DELANNOY en 1960, et est apparue en tant qu'actrice dans Amélie ou le Temps d'aimer (1961) de Michel DRACH et Teuf-teuf (1963) de Georges FOLGOAS.
En 1964, le photographe Pierre JAHAN, qui la dit «de suite et totalement disponible en amitié», ayant en commun avec son frère André un culte pour Victor HUGO et douée pour la peinture, l'a représentée assise de profil à sa table de travail dans sa maison de Centuri, cliché qu'il publiera dans Objectif.
Elle termine sa vie avec son amour de jeunesse, André MALRAUX.
Toute sa vie, elle sera demeurée très attachée à sa fratrie dont elle était la seconde enfant. Parmi ses cinq frères et sœur figurent Mapie de TOULUSE-LAUTREC, Olivier, Roger et André de VILMORIN.
Œuvres :
Roman : Sainte-Unefois (1934); La Fin des Villavide (1937); Le Lit à colonnes (1941); Le Retour d'Erica (1948); Julietta (1951); Madame de... (1951); Les Belles Amours (1954); Histoire d'aimer (1955); La Lettre dans un taxi (1958); Migraine (1959); Le Violon de Crémone (1960); L'Heure maliciôse (1967); Le Lutin sauvage (1971, posthume).
Poésies : Fiançailles pour rire Gallimard (1939); Le Sable du sablier (1945); L'Alphabet des aveux (1954), illustrations de Jean Hugo; Carnets (1970, posthume); Poèmes (1970), posthume), préface d'André Malraux; Solitude, ô mon éléphant (1972, posthume).
Fratrasie : Louise de Vilmorin utilisait les holorimes dans certains de ses poèmes et des jeux de mots comme «J'ai la toux dans mon jeu» (Fiançailles pour rire) :
Étonnamment monotone et lasse
Est ton âme en mon automne, hélas !
On se veut
On s'enlace
On se lasse
On s'en veut
Je t'enlacerai
Tu t'en lasseras
Là les pères vont en mer
Là les mères vont en paire
Essais : Vision sur Kischka (1966), avec Robert Rey et Henri Gineste; Lolette, sur Lola Montès; Mémoires de Coco, sur Coco Chanel.
Cinéma : Une fée… pas comme les autres (1957) de Jean Tourane (scénario) ; Les Amants (1957) de Louis Malle (dialogues) ; La Française et l'Amour (1960), sketch L'Adolescence de Jean Delannoy (scénario et dialogues) ; Le Petit Garçon de l'ascenseur (1962) de Pierre Granier-Deferre (dialogues) ; Les esclaves existent toujours (1964) de Maleno et Roberto Malenotti (dialogues) ; Les Aventures de Saturnin, 78 épisodes réalisés par Jean Tourane pour l'ORTF à partir de 1964, dits par Ricet Barrier et Robert Lamoureux (dialogues) ; Une histoire immortelle (1968) d'Orson Welles (scénario).
Correspondance : Louise de VILMORIN a entretenu une importante correspondance, notamment avec Jean COCTEAU, Diana et Duff COOPER. Une partie d'entre elle est conservée dans les lieux suivants : à la Bibliothèque nationale de France (département des manuscrits, dans les fonds Porto-Riche et Valéry), la Bibliothèque littéraire Jacques-Doucet, la Bibliothèque historique de la Ville de Paris (fonds Jean Cocteau) et à la fondation Bernard Berenson, villa I Tatti à Florence.
Louise de Vilmorin, Jean Cocteau, Correspondance croisée annotée par Olivier Muth, coll. Le Cabinet des lettrés, Gallimard, Paris, 2003; Louise de Vilmorin, Diana et Duff Cooper, Correspondance à trois (1944-1953) annotée par Olivier Muth, coll. Le Promeneur, Gallimard, Paris, 2008; Louise de Vilmorin, Carnets, Gallimard, Paris; Louise de Vilmorin, Démone et autres textes, coll. Le Promeneur, Gallimard, Paris, 2001; Louise de Vilmorin, Intimités, coll. Le Promeneur, Gallimard, Paris, 2001.
Adaptations cinématographiques : Le Lit à colonnes (1942), film de Roland Tual avec Jean Marais et Fernand Ledoux; Madame de... (1953), film de Max Ophüls avec Danielle Darrieux, Charles Boyer et Vittorio De Sica; Julietta (1953), film de Marc Allégret avec Jean Marais et Dany Robin; La Lettre dans un taxi (1962), film de Louise de Vilmorin et François Chatel; Madame de… (2001), téléfilm de Jean-Daniel Verhaeghe, avec Carole Bouquet, Raoul Bova, Jean-Pierre Marielle.
(Source : Encyclopédie en lign Wikipédia).

VILMORIN (de ) Louise
LÉVÊQUE de VILMORIN Philippe Joseph
LÉVÊQUE de VILMORIN N...
 
GAUFRIDY de DORTAN (de ) Mélanie
 
 




VINCENT André
Naissance : 3 juillet 1884
Décès : 17 avril 1887 à Lyon 69

Père : VINCENT Isaïe Louis Marie ( ? - ? )
Mère : GROS Marie Louise Stéphanie Marguerite ( 1856 - 1936 )

VINCENT André
VINCENT Isaïe Louis Marie
 
 
GROS Marie Louise Stéphanie Marguerite
GROS Jacques Albert
SORAS (de ) Anne Louise


                     


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