Fiches individuelles


LAZARD Robert
Associé de la banque Lazard

Naissance : 1869
(Source : http://www.wikiwand.com/fr/Famille_Lazard#).
Décès : 1943 en déportation
(Source : http://www.wikiwand.com/fr/Famille_Lazard#).

Père : LAZARD Elie ( 1831 - 1897 )
Mère : GOUDCHAUX Marie ( 1847 - 1931 )

LAZARD Robert
LAZARD Elie
LAZARD Elie
ARON Esther
GOUDCHAUX Marie
 
 




LAZARD Rosalie, ou Rachel
Naissance : 23 octobre 1829

Père : LAZARD Elie ( an V - 1832 )
Mère : ARON Esther ( an VII - 1875 )

LAZARD Rosalie, ou Rachel
LAZARD Elie
LAZARD Abraham
SIXKINT Leizen, ou Leÿgen
ARON Esther
ARON Jonas
CERF Sara




LAZARD Simon
Commerçant, banquier

Naissance : 8 avril 1828 à Frauenberg 57
(Source : http://www.geni.com). Ou 1829.
Décès : 22 février 1898 à Paris 75
(Source : http://www.geni.com). Dans le 16ème selon Dominique Bourg.

Père : LAZARD Elie ( an V - 1832 )
Mère : ARON Esther ( an VII - 1875 )

Union : FOY Eve Rose Hélène ( 1844 - 1915 )
Mariage : 22 juin 1868 à Bayonne 64
(Source : Geni.com)
Enfants : LAZARD Léonce Elie André ( 1869 - 1931 )
LAZARD Jean ( 1871 - 1950 )
LAZARD Elizabeth Sara Marie ( 1873 - 1945 )
LAZARD Max Sylvain Philippe ( 1875 - 1953 )
LAZARD Esther ( 1878 - 1944 )
LAZARD Jacques Henri Christian ( 1880 - 1943 )
Note individuelle : Simon Lazard rejoint aux Etats-Unis son frère Alexandre qui avait émigré à la Nouvelle-Orléans et y avait ouvert une quincaillerie avant de transférer son activité à San Francisco où il fera fortune grâce aux chercheurs d'or. Alexandre Lazard fondera plus tard Lazard Frères.
(source : Site Web de Bertrand Lizeray ).
Simon Lazard est né à FRAUENBERG, à coté de SARREGUEMINES où ses parents étaient probablement dans le commerce des bestiaux.
Son père meurt quand il a trois ans, son grand-père peu après. Sa mère se remarie. Elle eu sept enfants, elle en aura quatre autres.
Dès l'âge de seize ans, en 1844, il décide d'aller rejoindre son frère aîné et un cousin qui tiennent un magasin de cotonnades importées, à la Nouvelle-Orléans. Un autre frère viendra plus tard.
Un grand incendie ravage la ville en 1848. Une partie de la population émigre. Leur magasin a brûlé. Ils partent.
Pour où ? Pour SAN FRANCISCO où le rush de l'or attire des foules de chercheurs : clientèle assurée. Ils prennent la ferme décision de ne jamais les imiter. Comment se rendre en Californie quand le Canal de Panama n'existe pas encore ? C 'est un autre problème !
Les conditions de vie sur place sont des plus précaires. Tout manque. C'est le Far West.
Documents à l'appui, la réalité dépasse la fiction. Bien au-delà des cotonnades, ils sont amenés à fournir à la population les marchandises les plus diverses. Ils créent bientôt à PARIS un magasin de commission.
Leur réputation d'honnêteté devient telle… que des chercheurs d'or confient un jour aux Frères Lazard leurs trouvailles, pour qu'elles soient mises en sûreté dans le coffre-fort du magasin.
On leur demande ensuite de transférer cet or en France, pour qu'il profite aux familles. Ils ne sont pas banquiers, ils ne le seront que bien des années plus tard, mais ils sont bons commerçants : ils acceptent.
De proche en proche, avec un sens des affaires qui ne cesse de se développer, ils multiplient leurs activités, trouvent des collaborateurs qui leur resteront fidèles toute leur vie, acquièrent peu à peu une vision mondiale.
Simon Lazard revient à PARIS en 1861. Il a déjà fait le voyage plusieurs fois. Il s'installe, citoyen américain, non loin du quartier du Sentier, " négociant ". En Californie, à NEW-YORK, d'autres membres de la famille continuent à mener les affaires. Il participe activement. On a conservé le souvenir des correspondances hebdomadaires échangées entre les trois points d'ancrage des Frères et Cousins.
Lors de la Guerre de 1870, les Frères ouvrent en urgence un Bureau de correspondance à LONDRES, pour que se maintiennent, quoiqu'il advienne, les contacts financiers entre les États-Unis et l'Europe. Toujours le sens des affaires.
Simon Lazard, volontairement, sans faire jouer sa nationalité américaine, reste à PARIS pendant le siège, pour " mettre au service de la cause française, et la population parisienne, ses ressources et son activité personnelles ".
Son bébé, qui sera Chef de Maison après lui, vient d'avoir dix-huit mois.
Après toutes les affaires qu'ils ont créées à SAN FRANCISCO ensuite, la Banque LAZARD FRERES ouvre ses portes. NEW-YORK suivra quelques années plus tard, LONDRES également.
Dès les premiers débuts et plus que jamais ensuite, la vision de la Banque est mondiale. Son action également.
Seconde caractéristique essentielle : une rigueur morale sans faiblesse.
Jamais le nom de la Banque n'est mêlé à quoi que ce soit qui ne soit pas de première qualité.
Le choix des hommes et des orientations est donc essentiel : troisième point. Aucun souci de dimensions croissantes. La discrétion en tout est la règle.
(Les éléments biographiques sont extraits de l'ouvrage de monsieur Didier Lazard, maître de conférences à Sciences Politiques et petit-fils de Simon Lazard).
(Source : http://lpsimonlazard.free.fr/about3.html).
Lazard est une banque d'affaires franco-américaine dont les trois principaux bureaux se situent à New York, Paris et Londres, par ordre d'influence. La banque a été fondée aux États-Unis en 1876 par trois banquiers juifs ashkénazes émigrés aux États-Unis depuis leur ville natale de Phalsbourg en Lorraine : Alexandre, Elie et Simon Lazard, bientôt associés à leur beau-frère Alexandre Weill.
Bien que son métier historique soit la gestion d'actifs , Lazard est surtout connue pour son métier de conseil en fusion-acquisitions. Son caractère secret, la qualité des connexions de ses associés-gérants et de ses conseils, et dans une moindre mesure, ses tarifs plutôt en dessous du marché lui ont permis pendant longtemps de maintenir une influence sans commune mesure avec la taille de la banque elle-même. Sur le marché français, elle a même été incontournable jusqu'en 1997, la date de son dernier classement comme numéro un des banques-conseils en fusions-acquisitions. Certains de ses associés-gérants, parmi lesquels Antoine Bernheim, Felix Rohatyn, Raymond Philippe et André Meyer sont à l'origine d'empires industriels tels que LVMH ou Cap Gemini, ou ont été décisifs dans des dossiers très délicats tels que la remise en ordre des finances de la ville de New York, la défense du franc dans les années 1930, ou encore… la gestion du portefeuille de valeurs mobilières de Jackie Kennedy.
La culture de la banque Lazard, sa structure de capital (société de personnes), ses légendaires conflits entre associés ont fini par limiter les options de la société et écorner l'image de toute-puissance dont a longtemps bénéficié la banque. Son PDG pendant presque 25 ans, Michel David-Weill (1977-2001), qualifié de « Dernier Empereur » à Wall Street tant son influence a été décisive jusque dans les années 80, et dernier héritier d'une fabuleuse dynastie de banquiers, a dû finalement céder sa place à Bruce Wasserstein, un deal-maker américain qui a pris une part active à la restructuration des entreprises américaines dans les années 80 et 90 au sein de First Boston (devenu CSFB) puis de Wasserstein, Perella & Co (devenu Dresdner Kleinwort Wasserstein). Wasserstein a pris « à la hussarde » le contrôle capitalistique de la banque en introduisant certaines de ses activités en bourse, afin de racheter la participation au capital des familles historiques, non sans difficultés puisque cette opération s'est soldée par le départ de certains associés décisifs, tel Gerardo Braggiotti (qui a propulsé Lazard au rang de numéro un des banques-conseils en Italie en quelques années).
La banque d'affaires a clos l'année 2007 sur un résultat net record de 155 millions de dollars, en hausse de 67% par rapport à 2006. La banque a récemment recruté comme directeur exécutif senior de sa division banque d'investissement l'ancien directeur général du Fonds monétaire international Rodrigo Rato.
(Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_Lazard).
Emigré à 16 ans, pionnier du Far-West, fondateur de la banque Lazard.
(Source : Les Origines de la banque Lazard, par Didier Lazard, Paris, Edition du Félin, 1988).


LAZARD Simon
LAZARD Elie
LAZARD Abraham
SIXKINT Leizen, ou Leÿgen
ARON Esther
ARON Jonas
CERF Sara




LAZARD Simon Jean
Polytechnicien, ingénieur des Mines, ingénieur conseil

Naissance : 22 novembre 1901 à Paris (7ème) 75
(Source : Insee).
Décès : 23 juillet 2004 à Paris (16ème) 75
(Source : Insee).

Père : LAZARD Max Sylvain Philippe ( 1875 - 1953 )
Mère : ELLISSEN Sophie Rebecca ( 1878 - 1965 )

Union : HELBRONNER Jacqueline ( 1902 - 1983 )
Note familiale : Ce couple eut 3 enfants (Source : voir fichier Geneanet de Dominique Bourg).
Note individuelle : Simon Lazard est né en 1901. Il est à Paris, au lycée, lorsque l'armistice de 1918 est signé. En 1945, il a 44 ans lorsqu'il découvre Berlin en ruines. En 2000, Simon Lazard continue à vivre entre la France et l'Allemagne. Portrait d'un passeur de frontières du siècle.
Une lumière douce de fin d'après midi illumine son appartement, dans le XVIe arrondissement de Paris. Les baies vitrées du salon cossu où il reçoit ses visiteurs donnent sur l'ouest. Pourtant, toute sa vie durant, Simon Lazard n'a cessé de regarder vers l'est. Et quelle vie! Une vie la valise à la main, faite d'allers-retours incessants entre la France et l'Allemagne. Simon Lazard n'a jamais été diplomate du Quai d'Orsay. Et cependant il a tout d'un ambassadeur. Il l'a d'ailleurs été, à sa manière. Le regard empreint d'une attention bienveillante, il sait écouter l'autre. Et le comprendre.
Aujourd'hui, Simon Lazard voyage un peu moins qu'avant. Cela ne l'empêche pas de continuer à s'engager dans les relations franco-allemandes, et même au-delà. Son premier stage, c'était en 1924 à Katowice, en Silésie polonaise. Il était alors, après un passage à Polytechnique, à l'Ecole des Mines de Paris. Ses études terminées, Simon Lazard obtient en 1925 son premier emploi, en tant qu'ingénieur dans les mines... de la Sarre. Il aurait pu travailler dans des mines françaises. Mais l'idée de franchir des frontières avait quelque chose d'attirant. «En fait, je préférais partir à l'étranger plutôt que de rester en France... Par curiosité. Et puis, j'avais un grand souci d'indépendance...». Le sourire bienveillant de Simon Lazard devient malicieux, il ajoute: «J'avais besoin de me décrasser». Entendez l'esprit comme le corps. Ingénieur au fond, il descendait tous les jours dans les galeries, discutait avec le personnel et prenait, sa journée terminée, ses douches à la mine...
Simon Lazard maîtrisait l'allemand: son père le lui avait fait apprendre. Atout précieux qu'il appréciera à d'innombrables reprises. Comme ce jour de juin 1940 où, officier de l'armée française en déroute, il est enfermé par les Allemands dans un lycée de jeunes filles à Nantes. Il obtient de se rendre à la Kommandantur et propose ses services d'interprète... «J'étais un horrible collabo!», relève-t-il non sans humour. Pendant deux jours, à l'aide d'un brassard blanc, il fait l'intermédiaire entre les Nantais et l'occupant. «J'essayais d'arranger les choses.... Mais j'avais un but très précis.» Le brassard lui donne liberté de mouvement. Une liberté qu'il utilise après s'être remis en civil pour rejoindre sa famille, laissant plantés là les Allemands. Pendant l'occupation, Simon Lazard a fait un choix fondamental: rester en France. «Cela peut paraître prétentieux... Mais si j'étais parti - je le dis avec le recul - j'aurais eu l'impression de déserter...» Il obtient dans un premier temps un travail dans un ministère. Travail qu'il doit cesser d'exercer en mai 1941, en application de la loi sur le Statut des Juifs. «C'est seulement ce jour-là que j'ai réalisé que j'étais Juif», souligne le petit-fils du fondateur de la Banque Lazard.
Parvenu à se réfugier en zone libre, il deviendra cultivateur en Savoie. Du jour au lendemain, lui et sa famille se mettent à traire une vache, cultiver des pommes de terre... «Nous avons été admis par nos voisins parce que nous nous sommes intégrés», remarque Simon Lazard. Observer comment fonctionnent les autres pour mieux s'intégrer. Grâce à cette méthode, Monsieur Lazard parviendra à s'intégrer dans ses multiples fonctions... Peu après la libération, il part pour Berlin travailler au Conseil de Contrôle des Alliés chargé de gérer l'Allemagne occupée. «Je me suis dit: les Allemands m'ont empoisonné la vie pendant quatre ans. Je veux essayer de comprendre pourquoi.». Là, il découvre la réalité d'une Allemagne ravagée. «Je voyais ces 'Trümmerfrauen', mal vêtues, travailler dans le froid de l'hiver 45-46». Sur le terrain, il doit affronter les exigences des autorités et de l'industrie françaises, obnubilées par la volonté de désarmer et «faire payer» l'Allemagne. Réaliste, Simon Lazard milite en faveur d'une vision de long terme. En aidant l'économie allemande à se redresser, la France pourra ensuite en tirer les bénéfices, par les participations et les échanges... Il deviendra administrateur séquestre de l'usine IG Farben de Ludwigshafen... jusqu'à ce qu'elle devienne l'actuelle BASF. A cette date, Simon Lazard est nommé par le gouvernement français membre du Conseil de Surveillance de BASF, en application des décisions des Alliés. Une carte de visite qui lui ouvrira de nombreuses portes en Allemagne et en France.
Progressivement, ses compétences et son expérience feront de lui une sorte d'«ambassadeur industriel» entre les deux pays. Les industriels français le chargent de mission en Allemagne. Et Simon Lazard leur donne des clés pour comprendre la mentalité des industriels allemands. Dans ce choc des cultures, il est une fois de plus un interprète. Il se familiarise avec une façon de travailler qui souvent le séduit: «Dans 9/10e des cas, les propositions allemandes me semblaient réalistes, davantage que les solutions françaises». A partir de 1974, atteint par la limite d'âge à BASF, il commence à abandonner progressivement la «vie active». Mais c'est pour continuer d'exercer ses talents dans différentes institutions, comme la Chambre de commerce franco-allemande ou le Cercle franco-allemand, pour lequel il organisera notamment un voyage... en Allemagne de l'Est, en 1977. Une première dans l'histoire du Cercle. Encore cette soif de traverser les frontières... Les frontières? Pour Simon Lazard, «on les passe comme on veut. Ou comme on peut.» Signé Yann Ollivier (
Source : http://www.agkv.org/parisberlin/archives/n3/lazard.html).

Fils de Max Lazard, Simon Lazard est né en 1901. Polytechnicien et ingénieur des mines, il débute sa carrière en 1925 dans les Mines de la Sarre, alors sous administration française. De 1927 à 1933, il occupe le poste d'attaché à la direction générale des Forges et Aciéries de Pompey, avant de rejoindre la Banque Lazard Frères et Cie. Mobilisé en 1939, S. Lazard est affecté au service de l'Etat-Major, puis devient contrôleur principal auxiliaire de la main d'œuvre au ministère du Travail, avant d'être révoqué par le gouvernement de Vichy en mai 1941. Il se réfugie alors avec sa famille dans un chalet savoyard, où il restera jusqu'à la fin de la guerre. Dès la Libération, en raison de son expérience des questions économiques et de ses connaissances sur l'Allemagne, il est nommé chargé de mission auprès du Commandant en chef français en Allemagne, puis du secrétariat d'Etat aux Affaires allemandes et autrichiennes. Il s'occupe en particulier du démantèlement du géant allemand I.G. Farben, et dirige les services responsables du séquestre des usines situées en zone d'occupation française, notamment celle de Ludwigshafen.
D'autre part, S. Lazard dirige la délégation française chargée de superviser en Allemagne avec les Britanniques et les Américains la constitution des trois nouvelles sociétés issues de l'I.G. Farben, à savoir BASF, Bayer et Höchst, respectivement sous tutelle française, anglaise et américaine. De 1948 à 1974, S. Lazard travaille pour les grandes sociétés françaises de l'industrie chimique, en tant qu'ingénieur-conseil ou administrateur. Chevalier de la Légion d'Honneur, décoré par les gouvernements français et allemand, Simon Lazard a consacré la plus grande part de sa carrière professionnelle à la promotion des relations économiques franco-allemandes.
Fonctions occupées par Simon Lazard après la seconde guerre mondiale :
1948 - 1953, vice-président de l'administration, créée par le gouvernement français, de l'I.G. Farben Industrie A.G. en dissolution.
1952 - 1974, membre du conseil de surveillance de la nouvelle société BASF, créée en janvier 1952, pour y représenter les intérêts de l'industrie chimique française.
1954 - 1961, administrateur de la Compagnie française de produits chimiques et industriels du Sud-Est.
1955 - 1974, ingénieur-conseil à la société l'Air Liquide, en particulier pour les affaires concernant l'Allemagne.
1963 - 1971, membre du conseil d'administration de la Chambre officielle franco-allemande de commerce et d'industrie.
1966 - 1977, président-directeur général de la COCHIME.
1971 - 1988, membre du comité directeur de la Chambre officielle franco-allemande de commerce et d'industrie.
1975 - 1988, délégué Général du Cercle franco-allemand.
(Source : http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/camt/fr/egf/lettrel.html#laboratoireelectriques).

LAZARD Simon Jean
LAZARD Max Sylvain Philippe
LAZARD Simon
FOY Eve Rose Hélène
ELLISSEN Sophie Rebecca
 
 




LAZARD Simone Marie Elisa
Maire de Guillestre (05)

Naissance : 24 octobre 1899 à Paris (16ème) 75 au domicile parental, 81 avenue Victor Hugo ( Source )
Déclaration faite le lendemain par le père de l'enfant, qui signe.
Décès : 5 juin 1991 à Paris (16ème) 75

Père : LAZARD Léonce Elie André ( 1869 - 1931 )
Mère : GOLDSCHMIDT Lucie Jeanne ( 1876 - 1963 )

Union 1 : SEIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Marie Alfred Henri Paul ( 1889 - 1946 )
Mariage : 16 décembre 1918 à Paris (16ème) 75 ( Source )
Divorce : 11 mars 1937
Enfants : SEIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Christiane Sibylle Lucie Aliette ( 1919 - 2009 )
SEIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Jean Marie André Hubert ( 1923 - 1944 )
SEIGNARD de LA FRESSANGE (de ) André Jean Bernard ( 1932 - ? )
SEIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Gérard, dit Frère Joël Nathan ( ? - ? )
Union 2 : PETSCHE Maurice Eugène Jean ( 1895 - 1951 )
Mariage : 7 juillet 1937 à Paris (16ème) 75
Union 3 : JACQUINOT Louis Lucien Raymond ( 1898 - 1993 )
Mariage : 25 août 1953 à Paris (16ème) 75
Note individuelle : Fille de Léonce Elie André LAZARD, le célèbre banquier André LAZARD, de la banque LAZARD et Frères, elle se remaria deux fois. Elle avait une soeur (Voir site Généastar pour la source de cette généalogie).
Héritière de la banque Lazard-Frères (Source : voir fichier Geneanet de Guillaume de Tournemire).

LAZARD Simone Marie Elisa
LAZARD Léonce Elie André
LAZARD Simon
FOY Eve Rose Hélène
GOLDSCHMIDT Lucie Jeanne
GOLDSCHMIDT Ferdinand
HERMANN Julie Rachel


                     


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