Fiches individuelles


JERPHANION (de ) Gabriel
Père : JERPHANION (de ) Gabriel Marie Alfred ( 1910 - 2000 )
Mère : GAUTIER de BREUVAND Marie Madeleine Elisabeth ( 1914 - ? )

JERPHANION (de ) Gabriel
JERPHANION (de ) Gabriel Marie Alfred
JERPHANION (de ) Adolphe Marie Jean
VEYRE de SORAS Marie Françoise Marthe
GAUTIER de BREUVAND Marie Madeleine Elisabeth
 
 




JERPHANION (de ) Gabriel Joseph
- Seigneur de cluzel et de St-Eble, baron de Jerphanion

Naissance : 1758
(Source : http://alban.dejerphanion.free.fr).
Décès : 1832
(Source : http://alban.dejerphanion.free.fr).

Père : JERPHANION N... ( ? - ? )

Autre enfant : JERPHANION (de ) Louise ( 1801 - 1863 )
Note individuelle : Il avait acquis ses terres de la maison de BOUILLé. Il fut incarcéré sous la Terreur, puis devint préfet de la Lozère en 1800, puis de la haute-Marne (1802) et fut créé baron par la roi Louis XVIII (Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 232).
Gabriel-Joseph (1758-1832, 10ème degré), alors préfet de la Haute-Marne, fut nommé chevalier de l'Empire par lettre patente du 13 septembre 1808, puis baron de l'Empire par lettre patente du 09 mars 1810. Ce titre, fut confirmé par Louis XVIII « dans toute sa descendance mâle » par ordonnance du 18 novembre 1815 et lettre patente du 06 janvier 1816.
Dès 1778, Gabriel-Joseph seconda son père dans sa fonction de Syndic du Velay. Puis, en 1785, il assura la charge en survivance de son père. Il fut ainsi le cinquième et dernier de la famille à l'assurer, car la Révolution l'abolit en 1790 en supprimant les Etats du Languedoc.
En l'an VIII (1800), BONAPARTE, alors Premier Consul, créa le corps préfectoral. Le 3ème Consul, LEBRUN, présenta Gabriel-Joseph pour la préfecture de la Lozère comme "connu de CAMBACÉRÈS", son parent, alors 2ème Consul. BONAPARTE ratifia ce choix et nomma Gabriel-Joseph préfet de Lozère. Puis, le 23 germinal an X (13 avril 1802), Gabriel-Joseph fut nommé préfet de la Haute-Marne, fonction qu'il conserva jusqu'en mai 1815, avec une absence de quelques mois en 1814 provoquée par la guerre et l'invasion.
Par lettre patente du 13 septembre 1808, Gabriel-Joseph fut fait chevalier de l'Empire et par lettre patente du 09 mars 1810, baron de l'Empire.
Après la Restauration, Gabriel-Joseph demanda confirmation à Louis XVIII de son titre de baron. Celui-ci, par ordonnance du 18 novembre 1815 et lettre patente du 6 janvier 1816, lui conféra le titre de baron héréditaire "dans toute sa descendance mâle".
En 1816, Gabriel-Joseph modifia définitivement les armes familiales qui devinrent ainsi celles qui existent aujourd'hui : "D'azur au chevron d'or accompagné en pointe d'un lys d'argent, tigé et feuillé de sinople ; au chef dentelé d'or, chargé d'un lion léopardé de gueules".
Dès 1825, Gabriel-Joseph quitta définitivement la vie publique et se fixa à Lyon où, à la suite de son mariage avec un Lyonnais, habitait sa fille, Louise ALLUT (1801-1863). Il y acheta des biens et vendit ce qu'il possédait encore au Puy. La famille quitta ainsi définitivement la Haute-Loire.
(Source : http://alban.dejerphanion.free.fr).

JERPHANION (de ) Gabriel Joseph
JERPHANION N...
JERPHANION Jean
CAMBACÉRÈS (de ) Anne
 
 
 




JERPHANION (de ) Gabriel Marie Alban dit Alban
Zouave pontifical, propriétaire - Baron de Jerphanion

Naissance : 30 octobre 1835 à Lyon 69
Décès : 29 mai 1870 à Lyon (2ème) 69

Père : JERPHANION (de ) Jules ( 1807 - 1894 )
Mère : CHOLIER de CIBEINS (de ) Gabrielle Louise ( 1811 - 1871 )

Union : SANHARD de SASSELANGE (de ) Marie Philippe Gabrielle ( 1839 - 1919 )
Contrat de mariage : 14 février 1859
Contrat signé par le comte et la comtesse de CHAMBORD.
Mariage : 15 février 1859 à Veauchette 42 au château
Enfants : JERPHANION (de ) Louise Marie Marguerite ( 1859 - 1941 )
JERPHANION (de ) Louise ( 1861 - 1866 )
JERPHANION (de ) Adèle Marie Ivanne ( 1863 - 1938 )
JERPHANION (de ) Charles ( 1864 - 1870 )
JERPHANION (de ) Louise Marie Jeanne ( 1867 - 1942 )
JERPHANION (de ) Adolphe Marie Jean ( 1869 - 1943 )
JERPHANION (de ) Albane ( 1870 - 1943 )
JERPHANION (de ) Gabriel ( 1870 - 1872 )
Note familiale : JERPHANION (de)
Velay : d'azur, au chevron d'or, accompagné en pointe d'un lis d'argent, tigé et feuillé de sinople; au chef denché d'or, charé d'un lion léopardé de gueules.
JERPHANION (Baronne Alban de), née SASSELANGE, château de Veauchette, demeurant Sury-le-Comtal Sant-Galmier, Veauche (Loire), et 9 rue Saint-Pierre à Montbrison.
(Source : Annuaire Héraldique 1902 p 618).
Note individuelle : Etait décoré de la médaille de Montana.
En 1859, Alban de JERPHANION (1835-1870, 12ème degré) qui est à l'origine de la branche aînée des JERPHANION, épousa Gabrielle SANHARD de SASSELANGE (1839-1919).
Celle-ci était la fille d'Antoine SANHARD, marquis de SASSELANGE, dernier héritier mâle du nom. Avec lui devait disparaître une illustre famille qui s'était distinguée au service du Roi depuis le XVème siècle. Cette vieille famille de la noblesse d'épée avait en effet fourni de très nombreux serviteurs à la France et s'était distinguée sur les champs de bataille au service du Roi. L'un de ces serviteurs, Jean François Régis, grand-père de Gabrielle, fut page de Louis XV, puis premier page de Louis XVI.
Le comte de CHAMBORD (1820-1883), dernier représentant de la branche aînée des Bourbons et prétendant au trône de France, et la comtesse apposèrent leur signature au bas du contrat de mariage d'Alban, l'autorisant à reprendre le titre, le nom et les armes des SANHARD de SASSELANGE.
C'est ainsi que les membres de la branche aînée des JERPHANION portent les armes JERPHANION écartelées avec les armes SASSELANGE, ainsi que la couronne de marquis.
Les armes des SANHARD de SASSELANGE portent : « D'azur au sautoir d'or ».
(Source : http://alban.dejerphanion.free.fr).
Les Zouaves pontificaux
Créé le 1er janvier 1861 sur le modèle des troupes de zouaves de l'armée française, dont l'uniforme exotique est très populaire au milieu du XIXe siècle, le bataillon des zouaves pontificaux, devenu régiment au 1er janvier 1867 est constitué de volontaires, majoritairement français, belges et néerlandais, venus défendre l'État pontifical dont l'existence est menacée par la réalisation de l'Unité italienne au profit du Piémont. Son histoire est corrélée à la dernière décennie de l'État du Saint-Siège (1860-1870). Le régiment est licencié le 21 septembre 1870 à la suite de la disparition des États pontificaux.
La création du corps des zouaves pontificaux
En 1860, le sort de l'État pontifical paraît critique. Les puissances catholiques se désintéressent de la question, aussi le camérier secret du pape Pie IX, Mgr Xavier de Mérode, ancien militaire devenu pro-ministre des armes, décide de faire appel au général de Lamoricière pour réorganiser et commander l'armée pontificale. Pour augmenter les effectifs, Lamoricière recourt à l'enrôlement volontaire et fait appel aux États catholiques. Belges et Français constituent un bataillon des tirailleurs franco-belges sous les ordres du vicomte Louis de Becdelièvre. Celui-ci tient personnellement à les doter de l'uniforme inspiré des zouaves, et adapté à la chaleur romaine. Assez mal accueilli par Lamoricière qui a bien d'autres problèmes plus urgents, il a le soutien de Mgr de Merode et du pape lui-même ; les tirailleurs sont donc appelés zouaves pontificaux avant même la création officielle du corps. Les Piémontais écrasent les Pontificaux à la bataille de Castelfidardo (18 septembre 1860) et l'État du pape se trouve réduit au seul Latium. Le désastre fait affluer les volontaires à Rome : le bataillon des zouaves pontificaux est constitué d'une partie des tirailleurs franco-belges et des Irlandais du bataillon de Saint-Patrick, auxquels s'étaient ajoutés, avant la bataille, les quelques «croisés» d'Henri de Cathelineau.
Il est à noter que le 11 avril 1866 une circulaire du Maréchal Randon avait autorisé la création de la Légion d'Antibes qui à côté des zouaves pontificaux, fournit des effectifs à l'armée pontificale, surtout en soldats de nationalité française.
Les effectifs et l'origine géographique
Jusqu'en 1864, les zouaves comptent entre 300 et 600 hommes puis l'effectif monte à 1 500 hommes puis 1 800 avant d'atteindre le maximum de 3 200 hommes peu avant la chute de Rome. Entre 1861 et 1870, il y a plus de 10 000 nouveaux engagés issus de 25 nationalités différentes. Les plus nombreux sont les Hollandais, ensuite les Français et les Belges mais on trouve aussi des Suisses, des Allemands, des Italiens, des Canadiens et même des Américains. Sur 170 officiers, on compte 111 Français et 25 Belges. Leur aumônier est Mgr Jules Daniel, un Nantais, assisté par deux Belges, Mgr Sacré et Mgr de Woelmont.
L'un des engagés les plus connus est John Surratt (1844-1916), impliqué en 1865 dans l'assassinat d'Abraham Lincoln : ayant fui en Europe, il servit quelque temps dans la neuvième compagnie de zouaves pontificaux, sous le nom de John Watson (Howard Marraro, « Canadian and American Zouaves in the Papal Army, 1868-1870 », Canadian Catholic Historical Association Report, vol. 12,ý 1944-45, p. 83-102).
L'effectif français est issu pour plus du tiers des départements constituant les actuelles régions de la Bretagne et des Pays de la Loire. Cette affluence masque les apports non négligeables du Nord, de la région de Nîmes, et du sud du Massif Central. Si Belges néerlandophones et Hollandais sont souvent d'origine populaire, la noblesse est bien représentée chez les Français et les volontaires belges francophones. Le duc de La Rochefoucauld-Doudeauville et son frère, le duc de La Rochefoucauld-Bisaccia soutiennent financièrement l'entreprise en équipant complètement 1 000 hommes. Leur point commun est leur attachement à l'Église catholique romaine : leur combat est vu comme une croisade pour défendre la capitale du catholicisme et la liberté du pape contre le révolutionnaire Garibaldi et le roi anticlérical Victor-Emmanuel II. Leur engagement religieux est souvent inséparable de leur engagement politique : nombreux sont les Français qui se réclament du légitimisme.
L'uniforme
De couleur gris-bleu, l'uniforme se compose d'une courte veste à soutaches rouges au col dégagé, d'un grand pantalon bouffant retenu par une large ceinture rouge et d'un petit képi à visière carrée. Les officiers portent des soutaches noires. La tiare et les clés croisées de Saint-Pierre sont gravées sur les boutons de cuivre. Les officiers portent des bottes et les soldats des molletières jaunes.
Il a été prévu une coiffure de grande tenue, sorte de colback en faux astrakan de laine noire, sans visière, à calot de drap rouge; une courte fourragère, terminée par un gland pendant à droite, le tout en laine rouge, en fait le tour. Pour les officiers, le talpack est en astrakan véritable et le calot porte un nœud hongrois en soutache d'or.
Très similaire à celle des zouaves de l'armée française, cette tenue n'enthousiasme pas la Curie, où l'on a ce mot : «C'est bien une idée de Français de vêtir les défenseurs du Pape en mahométans !» (Quentin Chazaud, « Les zouaves, légendes de l'armée d'Afrique », Guerres & Histoire, no 14,ý août 2013, p. 78-82). Mais l'idée plaît à Pie IX. La solde est élevée, d'où le qualificatif de mercenaires utilisé par les adversaires des zouaves pour les discréditer.
Un corps remis en question
Le commandement est confié de nouveau au colonel de Becdelièvre. À la suite d'un désaccord avec Mgr de Mérode, il démissionne et il est alors remplacé par le colonel Allet, un Suisse depuis longtemps au service du Pape. La ligne intransigeante et belligérante défendue par Mérode et qu'incarnent les zouaves paraît désavouée en 1865 : par la convention franco-italienne du 15 septembre 1864, l'Italie s'engage à respecter l'État pontifical et la France s'engage à retirer ses troupes dans les deux ans. Le 20 octobre 1865, le camérier secret se voit retirer son ministère au profit du général Hermann Kanzler. Mais si les Piémontais, en effet, ne peuvent plus bouger officiellement, ils soutiennent en sous-main le harcèlement que mènent Garibaldi et ses «chemises rouges». C'est avec eux que les zouaves vont connaître divers «accrochages» dans la défense des frontières du Latium, jusqu'à l'affrontement de 1867.
En mai 1868, il y avait 4 592 hommes au matricule soit 1 910 Hollandais, 1 301 Français, 686 Belges, 157 «Pontificaux», 135 Canadiens, 101 Irlandais etc. En 1869, le régiment reçut son organisation définitive : 4 bataillons à 6 compagnies et 4 compagnies de dépôt. C'était donc une unité de la force d'une brigade.
La campagne de 1867 et Mentana
Avec la cession de la Vénétie par l'Autriche battue par la Prusse en 1866 et le retrait des troupes françaises, l'aile radicale des patriotes italiens relance les projets d'annexion. Garibaldi déclare venu le temps de «faire crouler la baraque pontificale» et au Congrès international pour la paix à Genève le 9 septembre 1867, il qualifie la papauté de «négation de Dieu (…) la honte et la plaie de l'Italie». Pour les zouaves, Garibaldi est vu comme l'Antéchrist. Il organise une petite armée de volontaires de 8 000 hommes et il essaie de rééditer l'expédition des Mille qui avait réussi en Sicile en 1860. En décembre 1866, Athanase de Charette de la Contrie devient lieutenant-colonel des zouaves toujours sous le commandement d'Allet.
En octobre, avec la complicité du gouvernement italien, les garibaldiens envahissent l'État pontifical et tentent d'organiser l'insurrection de Rome. Le 22 octobre, le projet de soulèvement échoue, faute d'un soutien populaire, et la destruction par une mine souterraine de la caserne Serristori, logement habituel des zouaves, fait peu de victimes. Les garibaldiens s'emparent de Monte Rotondo le 26 octobre tandis qu'un corps expéditionnaire français débarque à Civitavecchia le 29 pour venir au secours du Pape.
La bataille de Mentana
Le général Kanzler mène la contre-offensive pontificale. Le 3 novembre 1867, dans la localité de Mentana, les zouaves et les carabiniers pontificaux soutenus par la légion romaine (ou légion d'Antibes) constituée de volontaires français enfonce la petite armée de Garibaldi. Ils sont suivis par la brigade de l'armée française du général Polhès, qui armée du redoutable chassepot modèle 1866, fusil qui permet de tirer 12 coups à la minute, donne le coup de grâce. Ce sont les zouaves qui apparaissent comme les véritables vainqueurs de la journée : lors du défilé victorieux du 6 novembre, les généraux se découvrent à leur passage et la foule crie : « Vive Pie IX, Vive la France, Vivent les zouaves, Vive la religion ! ». Mentana assure à l'État pontifical un répit de trois ans qui va permettre la réunion du concile de Vatican I.
La chute de Rome
La guerre franco-prussienne de 1870 entraîne le retrait des militaires français affectés à la protection du pape. En revanche, les volontaires français (officiers ou hommes de troupe) engagés dans le corps des Zouaves pontificaux restent sur place, commandés par le colonel de Charette . En septembre 1870, la défaite de la France contre la Prusse, alliée de l'Italie, provoque l'invasion de ce qui reste des États pontificaux par une armée italienne de 70 000 hommes sous le commandement du général Raffaele Cadorna. En face, les effectifs pontificaux ne dépassent pas 13 000 hommes dont 3 000 zouaves, aussi Kanzler choisit-il de concentrer ses efforts dans la défense de Rome. Le 20 septembre, l'artillerie italienne bombarde les fortifications romaines. Le pape demande à Kanzler de cesser le feu dès les premiers coups de canon au grand dépit des zouaves souhaitant se battre. Onze zouaves seulement sont tués lors des combats. Le lendemain, le régiment des zouaves est licencié et les Français sont rapatriés à Toulon.
La légion des volontaires de l'Ouest 1870-1871
De retour en France, Charette propose ses services au gouvernement de la Défense nationale qui l'autorise à fonder un corps franc en lui laissant toute liberté et l'uniforme de zouave mais à condition de changer le nom en Légion des volontaires de l'Ouest. Le nouveau corps se fait remarquer à la bataille d'Orléans (11 octobre). Les deux bataillons sont rattachés au 17e corps d'armée du général Louis-Gaston de Sonis à la mi-novembre. Le 2 décembre 1870, pendant la bataille de Loigny, les zouaves, sous la bannière du Sacré-Cœur, tentent de reprendre le village de Loigny dans une charge restée célèbre : Charette, blessé est fait prisonnier mais réussit à s'évader peu après. Le 11 janvier 1871, les zouaves chargent à nouveau, avec à leur tête le général Gougeard, et parviennent à reprendre aux Prussiens le plateau d'Auvours, tout proche du Mans. Dans l'afflux des mauvaises nouvelles, ces exploits locaux impressionnent l'armée, bien qu'ils soient sans influence sur la suite des évènements. Charette étant devenu général, il refuse que sa « légion » participe à la répression de la Commune de Paris, non par sympathie pour cette cause mais parce qu'il n'accepte pas de se battre contre d'autres Français : il l'a déjà montré en démissionnant de l'armée d'Autriche en 1859 au moment où celle-ci est opposée à la France. Finalement les Volontaires de l'Ouest sont toujours à Rennes en mai 1871. Le 28 mai, la légion des zouaves est consacrée au Sacré-Cœur de Jésus et, la guerre étant terminée, les bataillons sont dissous le 13 août.
L'engagement des zouaves pontificaux
Sur le plan diplomatique et idéologique, les zouaves pontificaux se rattachent à la ligne la plus dure de la Curie romaine de l'époque. Ils suscitent une mobilisation financière non négligeable de la part des catholiques, notamment en France, même les officiers doivent souvent payer leur équipement (ce qui peut expliquer qu'ils bénéficient d'un équipement relativement moderne). Dans tout le monde occidental, de nombreux prêtres lancent des appels à s'engager dans ce corps, et les zouaves morts au combat apparaissent aux yeux de beaucoup comme des martyrs modernes. De fait, le serment que prêtent les soldats est assez représentatif des motivations qui les animent :
«Je jure à Dieu Tout-Puissant d'être obéissant et fidèle à mon souverain, le Pontife Romain, Notre Très Saint Père le Pape Pie IX, et à ses légitimes successeurs. Je jure de le servir avec honneur et fidélité et de sacrifier ma vie même pour la défense de sa personnalité auguste et sacrée, pour le maintien de sa souveraineté et pour le maintien de ses droits.»
Principaux combats livrés par les zouaves pontificaux
Campagne de 1867 contre les garibaldiens : combat de Bagnorea, Bataille de Montelibretti, combat de Nerola, combat de Farnese, bataille de Mentana.
Campagne de 1870 contre l'Italie : Siège de Civita-Castellana, siège de Rome.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

JERPHANION (de ) Gabriel Marie Alban
JERPHANION (de ) Jules
 
 
CHOLIER de CIBEINS (de ) Gabrielle Louise
 
 




JERPHANION (de ) Gabriel Marie Alfred
- Baron de Jerphanion

Naissance : 24 janvier 1910 à Lyon (3ème) 69
(Source : Insee).
Décès : 17 février 2000 à Saint-Laurent-de-Vaux 69670
(Source : Insee).

Père : JERPHANION (de ) Adolphe Marie Jean ( 1869 - 1943 )
Mère : VEYRE de SORAS Marie Françoise Marthe ( 1874 - 1962 )

Union : GAUTIER de BREUVAND Marie Madeleine Elisabeth ( 1914 - ? )
Contrat de mariage : 3 juillet 1937
Mariage : 5 juillet 1937 à Lyon 69
Enfants : JERPHANION (de ) Monique ( 1950 - 1999 )
JERPHANION (de ) Philippe ( 1953 - ? )
JERPHANION (de ) Alain ( ? - ? )
JERPHANION (de ) Bernard ( ? - ? )
JERPHANION (de ) Chantal ( ? - ? )
JERPHANION (de ) Gabriel ( ? - ? )
JERPHANION (de ) Jean-Louis ( ? - ? )
JERPHANION (de ) Marguerite ( ? - ? )
JERPHANION (de ) Michel ( ? - ? )
JERPHANION (de ) René ( ? - ? )
Note individuelle : Ecole Centrale de Lyon (1934).

JERPHANION (de ) Gabriel Marie Alfred
JERPHANION (de ) Adolphe Marie Jean
JERPHANION (de ) Gabriel Marie Alban
SANHARD de SASSELANGE (de ) Marie Philippe Gabrielle
VEYRE de SORAS Marie Françoise Marthe
VEYRE de SORAS François Alexandre Arthur Alfred
PEILLON Appolonie Charlotte Marie




JERPHANION (de ) Guilhem Marie Dominique
Naissance : 12 juillet 1995 à Bayonne 64

Père : JERPHANION (de ) Antoine Marie Ivan Joseph ( 1959 - ? )
Mère : ORTOLO Marie-Agnès Anne ( 1961 - ? )

JERPHANION (de ) Guilhem Marie Dominique
JERPHANION (de ) Antoine Marie Ivan Joseph
JERPHANION (de ) Alban Jean Marie
LESQUEN DU PLESSIS CASSO (de ) Aliette Marie Mercédès Thérèse
ORTOLO Marie-Agnès Anne
 
 


                     


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