Fiches individuelles


CAMARET (de ) Michel
Militaire, résistant, diplomate et député européen - Commandeur de la Légion d'honneur, Compagnon de la Libération, Croix de guerre 39-45, Croix de Guerre TOE

Naissance : 18 janvier 1915 à Vienne 38
Décès : 24 juin 1987 à Neuilly-sur-Seine 92
(Source : http://www.ordredelaliberation.fr).
Inhumation : à Paris 75 cimetière de Passy
(Source : http://www.ordredelaliberation.fr).

Père : CAMARET (de ) Louis Marie Henri ( 1881 - 1955 )
Mère : LACGER CAMPLONG (de ) Marie-Thérèse ( 1888 - 1977 )

Union 1 : H. de MACHADO Théodora ( ? - ? )
Mariage : 1948 à Paris 75
Enfants : CAMARET (de ) Francis ( 1950 - ? )
CAMARET (de ) Patrice ( 1952 - ? )
Union 2 : MEYER Francine ( ? - ? )
Mariage : 29 juin 1963 à New-York
Note individuelle : Député européen (24.07.1984 au 24.06.1987), Groupe des droites européennes, membre du Front national, président de la Délégation pour les relations avec les Etats du Golfe (12.02.1985 au 20.01.1987), membre de la Commission institutionnelle (26.07.1984 au 18.04.1986), de la Commission des relations économiques extérieures (26.07.1984 au 18.04.1986), de la Commission des budgets (18.04.1986 au 20.01.1987), et de la Commission économique, monétaire et de la politique (21.01.1987 au 24.06.1987), membre suppléant de la Commission économique, monétaire et de la politique industrielle (24.09.1984 au 17.12.1985).
(Source : Parlement Européen).
Unités : 2ème Régiment de Chasseurs Parachutistes, 4ème BIA, 1er BIA.
Après le Baccalauréat, il est incorporé en septembre 1938 au 17e Dragons de Reims. En 1940, il suit les cours de l'Ecole de Cavalerie de Saumur dans le cadre de réserve et en sort aspirant en avril 1940.
Nommé sous-lieutenant, affecté au 12e groupement provisoire de cavalerie motorisée, il se bat sur le front de l'Aisne et de la Marne jusqu'au 10 juin 1940 comme commandant d'un peloton de chars. Blessé le 8 juin 1940 à Montmort, il est hospitalisé.
Dès sa démobilisation, fin juillet 1940, Michel de CAMARET s'efforce de rejoindre la France libre. En septembre, avec son camarade Pierre de BÉNOUVILLE, comme lui militant de l'Action française, il se rend à Vichy et y rencontre le colonel GROUSSARD, inspecteur général des services de la Sûreté nationale.
Ce dernier, sous le couvert de ses fonctions officielles, fédère des groupes destinés à combattre l'occupant. Au cours d'une de ses réunions, Michel de CAMARET fait la connaissance de Roger de La GRANDIÈRE avec lequel il recherche rapidement une filière pour passer en Afrique du Nord.
En décembre 1940, les hommes des groupes de Protection du colonel GROUSSARD qui, quelques jours plus tôt, ont participé à l'arrestation de Pierre LAVAL et de ses collaborateurs, sont recherchés par la Police. Caché à Paris pendant quelque temps, CAMARET, avec BÉNOUVILLE, passe en zone libre et s'installe à Nice puis à Marseille en janvier 1941.
Le 9 février 1941, il passe clandestinement en Algérie dans une cheminée de bateau. A Oran, il se met en recherche d'un bateau pour Gibraltar mais il est arrêté, le 15 mars 1941, par la police de Vichy. D'autres camarades, dont La GRANDIÈRE, arrêtés également, sont placés avec lui en résidence surveillée. Après une évasion qui les conduit au Maroc, les membres du groupe sont de nouveau interpellés et incarcérés à Rabat puis à Casablanca. Condamnés à un an de prison, ils sont transférés en septembre 1941 à la prison d'Alger.
En mai 1942, après plus d'une année de détention, Michel de CAMARET et ses camarades parviennent à s'évader de nouveau et à rejoindre le Maroc. Grâce à des complicités, il embarque à Tanger sur un petit bateau portugais qui le conduit à Gibraltar le 8 juillet 1942. De là, il gagne Londres où il s'engage, en août 1942, dans les Forces aériennes françaises libres (FAFL).
Promu sous-lieutenant en septembre 1942, il obtient son affectation dans l'infanterie de l'air à Camberley. Incorporé chez les parachutistes, il commence l'entraînement et est breveté parachutiste en janvier 1943. En juillet 1943 son unité devient le 1er Bataillon d'infanterie de l'Air (1er BIA) puis, en novembre 1943, le 4e Bataillon d'infanterie de l'Air (4e BIA) placé sous les ordres du commandant BOURGOIN.
Il saute sur la France dans la nuit du 7 au 8 juin 1944, en Bretagne dans le secteur de Redon en Ille-et-Vilaine. Chef de mission, il réussit avec quatre hommes, un sabotage particulièrement délicat en faisant dérailler un train de DCA dans le tunnel, gardé par les Allemands, de Corbinière, près de Langon, sur la voie Rennes-Redon.
Il rejoint la base du maquis de Saint-Marcel dans le Morbihan et se bat avec une bravoure extraordinaire lorsque le camp est attaqué. Blessé deux fois par balle dans l'affrontement, il a un bras cassé mais refuse de cesser le combat. Il se révèle chef et entraîneur d'hommes de premier ordre.
Remis de ses blessures, il organise, entraîne et galvanise un bataillon FFI du Morbihan qui, sous ses ordres, réalise un excellent travail de sabotage et de harcèlement des troupes d'occupation. Dans le Nivernais, en septembre 1944, il est un des éléments les plus actifs et son action amène la reddition de plusieurs milliers d'Allemands.
Ensuite, il est parachuté en Hollande avec son unité devenue le 2e Régiment de chasseurs parachutistes (2e RCP) et ne cesse pendant cinq jours de harceler les garnisons et convois ennemis. Des documents trouvés sur les Allemands établissent qu'ils estimaient à 800 le groupe de 20 hommes du lieutenant de CAMARET. En liaison avec des unités canadiennes, il effectue une série d'attaques et d'actions de nettoyage. Le 13 avril 1945 il prend part à l'attaque du bois de Borgen et du village de Stadskanaal. Le lendemain, en patrouille sur Noordbroek, il capture trois prisonniers et obtient de nombreux renseignements. Il reçoit pour son action les félicitations enthousiastes du commandement canadien.
Démobilisé, il se lance dans une carrière diplomatique. En 1945 il est deuxième secrétaire d'Ambassade à Rio de Janeiro.
En 1947, il fait partie du corps expéditionnaire français en Indochine. Il est affecté à la ½ Brigade parachutiste SAS et se trouve promu au grade de capitaine.
En 1950, il devient conseiller diplomatique du Haut-commissaire à Madagascar. En 1955, il est secrétaire puis conseiller d'Ambassade à la mission française auprès de l'ONU.
En 1963, Michel de CAMARET est consul général à Tanger puis, en 1966, conseiller politique à l'OTAN.
De 1968 à 1972, il est représentant permanent de la France auprès du Conseil de l'Europe à Strasbourg avec rang d'ambassadeur. En 1971, il est ministre plénipotentiaire et, de 1972 à 1978, consul général à Sao Paulo. Il termine sa carrière de diplomate comme ambassadeur en Birmanie (1979).
Le 17 juin 1984, il est élu représentant à l'Assemblée européenne sur la liste du Front national.
Décorations : Commandeur de la Légion d'Honneur, Compagnon de la Libération (décret du 26 septembre 1945), Croix de Guerre 39/45 (7 citations), Croix de Guerre des TOE, Médaille de la Résistance, Médaille des Evadés, Military Cross (GB), Croix de Guerre (Pays-Bas).
(Source : http://www.ordredelaliberation.fr).
Origine sociale : libéral / cadre; Point de départ vers la France Libre : Afrique; Engagement dans la France Libre : Gibraltar en juillet 1942; Affectation principale : FAFL / parachutiste; Grade atteint pendant la guerre : lieutenant; N° FAFL 35.144.
Au sein du Parlement européen, la décision d'assigner la présidence à M De CAMARET ressortait d'un accord des Présidents des groupes politiques. M De CAMARET a réuni plusieurs fois la délégation et a pu suivre un programme de travail malgré les problèmes provoqués par les représentants du groupe communiste et du groupe socialiste du PE qui n'acceptaient qu'un membre du groupe des droites puisse exercer les fonctions de président. M De CAMARET a porté fin a son mandat avec dignité et honneur.
"Un grand nombre de SAS (FAFL ou pas ?) dans le décret du 29 octobre 1946 - signé Georges BIDAULT - conférant la médaille des évadés avec attribution d'une lettre de félicitations (JORF du 13 décembre 1946 - pages G. 1639 et 1640 G) ".
(Source : http://www.francaislibres.net).
Militaire, résistant, Français libre, diplomate, et homme politique français, Il était membre du Front national (FN) de Jean-Marie Le PEN, fut élu député européen en 1984 comme second de liste et siégea dans le Groupe des droites européennes.
Il milite dans sa jeunesse dans les Camelots du roi, branche jeune de l'Action française (AF), où il rencontre notamment Pierre de BÉNOUVILLE. Pendant la guerre d'Espagne, il sert comme volontaire dans une unité de Requetés carlistes.
Sous-lieutenant en 1940, il est blessé le 8 juin. Démobilisé, il rejoint la Résistance, en compagnie de Pierre de BÉNOUVILLE : avec l'aide de Georges GROUSSARD, ils gagnent Alger. CAMARET est arrêté en 1941 par la police de Vichy, s'échappe puis rejoint Londres en 1942, où il est intégré dans les Forces aériennes françaises libres (FAFL), au 4e bataillon de l'infanterie de l'air. Membre d'un commando parachutiste SAS des Forces françaises libres (FFL), il participe aux opérations SAS en Bretagne précisément dans l'est du Morbihan, à partir du 8 juin 1944 jusqu'à la Libération début août ; il fut blessé au bras au cours de la bataille de Saint-Marcel, le 18 juin, puis aux Pays-Bas en avril 1945.
Il sera décoré à la Libération de la Croix de Guerre, de la Croix du Combattant Volontaire de la Résistance, de la médaille de la Résistance française et de l'Ordre de la Libération. Il commence à peine une carrière diplomatique, qu'il participe en tant que Capitaine à la Guerre d'Indochine, où il est à la tête d'un commando de parachutistes de 1947 à 1949.
Il reprend par la suite ses activités diplomatiques, en étant conseiller politique à l'OTAN, représentant permanent, ministre plénipotentiaire, ambassadeur de France au Conseil de l'Europe, enfin ambassadeur en Birmanie.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Michel de Camaret (1915-1987) est avant-guerre Camelot du roi. Il quitte l'Action française jugée trop modérée et combat en Espagne dans les rangs des Requetes. Après la débâcle s'engage dans les F.F.L. et sert dans les commandos parachutés en juin 1944. Il est décoré à la Libération de la Croix de guerre, de la Croix du combattant volontaire de la Résistance, de la Médaille de la Résistance et de l'Ordre de la Libération. Il commence à peine une carrière diplomatique, qu'il participe en tant que Capitaine à la Guerre d'Indochine. Compagnon de la Libération, il est un temps député européen du Front National. Alain de CAMARET, frère de Michel, vient lui aussi des franges cagoulardes de l'Action française et suit BÉNOUVILLE et meurt en déportation.
(Source : http://fr.guyderambaud.wikia.com).

CAMARET (de ) Michel
CAMARET (de ) Louis Marie Henri
 
 
LACGER CAMPLONG (de ) Marie-Thérèse
LACGER CAMPLONG (de ) Jean
LA POIX de FRÉMINVILLE (de ) Yvonne




CAMARET (de ) Patrice
Naissance : février 1952 à Paris 75

Père : CAMARET (de ) Michel ( 1915 - 1987 )
Mère : H. de MACHADO Théodora ( ? - ? )

CAMARET (de ) Patrice
CAMARET (de ) Michel
CAMARET (de ) Louis Marie Henri
LACGER CAMPLONG (de ) Marie-Thérèse
H. de MACHADO Théodora
 
 




CAMARET (de ) Yvonne
Naissance : 15 septembre 1909 à Tarbes 65

Père : CAMARET (de ) Louis Marie Henri ( 1881 - 1955 )
Mère : LACGER CAMPLONG (de ) Marie-Thérèse ( 1888 - 1977 )

Union : BARRUEL-BAVAS (de ) Jean ( 1883 - 1973 )
Mariage : 28 septembre 1950 à Paris (18ème) 75
Enfant : BARRUEL-BAVAS (de ) Patrick ( 1944 - ? )
CAMARET (de ) Yvonne
CAMARET (de ) Louis Marie Henri
 
 
LACGER CAMPLONG (de ) Marie-Thérèse
LACGER CAMPLONG (de ) Jean
LA POIX de FRÉMINVILLE (de ) Yvonne




CAMBACÉRÈS (de ) Anne
Naissance : vers 1688 à Lunel 34
(Source Cahiers de la Haute-Loire, année 1999, page 334).

Union : JERPHANION Jean ( ~ 1680 - ? )
Mariage par contrat : 7 mars 1706 à Le Puy-en-Velay 43
(Source Cahiers de la Haute-Loire, année 1999, page 334).
Mariage religieux : 19 mars 1706 à Le Puy-en-Velay 43 église Saint-Pierre-le-Monastier
(Source Cahiers de la Haute-Loire, année 1999, page 335).
Enfants : JERPHANION Marguerite Esther ( 1706 - ? )
JERPHANION N... ( ? - ? )
Note familiale : Lors du contrat de mariage, puis au mariage religieux, dans léglise de Saint-Pierre-le-Monastier (Arch. Mun. du Puy, T 90, p 124) les principaux notables de la ville seront présents.
Ces apparences brillantes n'encadrent pas moins un piquant mystère que les assistants ne pouvaient guère ignorer (naissance d'une fille baptisée le 7 mars 1706).
Sans qu'on puisse connaître les circonstances précise de l'épisode, les familles ont donc été mise devant le fait accompli, et s'y sont résignées fort tard. Où résidait la difficulté? C'est ce qu'on ne saurait dire aujourd'hui. Toujous est-il que cette affaire mal engagée se poursuivit ensuite dignement et pieusement. Et le crédit des CAMBACÉRÈS et des JERPHANION leur permit de faire enregistrer sans sourciller comme légitime cette naissance un peu rapide.
Anne de CAMBACÉRÈS va bénéficier d'une fécondité remarquable en donnant à son mari 15 enfants en 21 ans. Et comme dans beaucoup de familles chrétiennes de cette époque, on peut constater qu'aucun enfant ne sera conçu pendant les périodes liturgique de l'Avent et du Carême.
(Source Cahiers de la Haute-Loire, année 1999, page 335).
Note individuelle : Vers la fin du XVIIe siècle, une branche de la famille CAMBACÉRÈS s'installait au Puy-en-Velay. C'est dans cette ville que le généalogiste de la famille, Joseph DESPETIS, situe le mariage protestant de François de CAMBACÉRÈS avec Esther d'ATGIER le 11 octobre 1679.
Cette famille venait de Montpellier où elle possédait la charge de pocureur à la cour. D'origine prtestante, elle veniat au Puy pour exercer la charge de receveur des tailles du diocèse. Le mariage de François de CAMBACÉRÈS aurait eu lieu au Temple (Mais il n'existait probablement pas au Puy de temple, au sens architectural de ce mot tout au plus un culte clandestin) ou dans une maison particulière de la ville du Puy. Il épousait la fille de David d'ATGIER, ministre de la religion prétendue réformée, de la famille des seigneurs de la Bastide de Meyrueis.
On situe mal le passage de François de CAMBACÉRÈS au catholicisme. Nous savons que son frère, Jacques de CAMBACÉRÈS, abjura le protestantisme le 17 juin 1681 dans la chapelle du palais épiscopal de Montpellier. François abjura-t'il au Puy vers la même époque? La révocation de l'Edit de Nantes, en 1685, impliquait un retour au catholicisme de tous les officiers civils et militaores, le souverain ne supportant pas l'esprit d'indépendance des Réformés!
Du mariage de François de CAMBACÉRÈS avec Esther d'ATGIER, nous connaissons l'existence de sept enfants dont le premier, Jacques, naît au Puy, les suivants à Montpellier et enfin Anne, à Lunel, si nous devons faire confiance à une notice imprimée en 1788.
Si les enfants naissent en bas-Languedoc, BOUDON-LASHERMES (Le vieux Puy, Jourda de Vaux et Boudon-Lashermes, Saint-Etienne, 1911) situe la maison des CAMBACÉRÈS au Puy, rue Montpeyroux. françois de CAMBACÉRÈS fera son testament devant le notaire du Puy ROCHETTE en 1708 (AD43 2J36). on n'a pas trouvé au Puy son acte de décès, ni celui de son épouse.
Anne connut une enfance partagée entre Montpellier et Le Puy, avec les joies d'une famille nombreuse. C'est au Puy, à l'âge de 18 ans Jean JERPHANION en 1706.
Cette jeune femme semble avoir joué un rôle dans la vie sociale, mondaine du Puy en son temps. Elle a laissé le souvenir d'une belle personne, pleine de dynamisme et de joie de vivre.
(Source Cahiers de la Haute-Loire, année 1999, page 333 à 335).





CAMBUZAT Marie Gabrielle dite Gabrielle
Naissance : 30 septembre 1848 à Clamecy 58
(Source : voir fichier Geneanet Cdri).
Décès : 21 mars 1889 à Mâcon 71 1 rue Chailly-Guéret
(Source : voir fichier Geneanet de Jean-Pierre de Palmas).

Union : DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Louis Auguste ( 1838 - 1928 )
Mariage : 19 juin 1872 à Paris (7ème) 75
(Source : voir fichier Geneanet Cdri).
Enfants : DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Marguerite Marie ( 1873 - 1955 )
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN René ( 1876 - 1958 )
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Marie Edmée Caroline ( 1877 - 1963 )
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Marie Henriette ( 1878 - 1969 )
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Marie Josèphe Stéphanie ( 1880 - 1956 )
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Alphonsine Marie Thérèse ( 1882 - 1977 )
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Marie Louise ( 1883 - 1965 )
Note familiale : Ce couple eut 7 enfants.
Note individuelle : Fille de Jacques Edme CAMBUZAT (1814-1887), et de Stéphanie TENAILLE de SALIGNY (1826-1900) (Source : voir base Roglo).



                     


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