Fiches individuelles


DOUHET de ROMANANGES (de ) Antoine Gustave
Chef de station, puis rentier

Naissance : 15 juin 1822 à Mauriac 15200 ( Source )
Décès : 27 avril 1869 à Moulins 03 ( Source )

Union : JOANNY Lucie Antoinette ( 1836 - 1920 )
Enfant : DOUHET de ROMANANGES (de ) Marguerite Marie Louise Julienne Agathe ( 1859 - 1922 )
Note individuelle : Fils de Dominique Antoine Georges de DOUHET, propriétaire, et de dame Amélie VIALLÈS de La SÉPOUZE, mariés le 21 août 1812 à Mauriac.

DOUHET d'AUZERS et de ROMANANGES (de)
Armes : d'azur à une tour d'argent maçonnée de sable.
La branche existante écartèle ces armes de celles de la famille de Bompart de gueules à une licorne passante d'argent. -- Couronne : de Comte (alias de Baron).
Supports : deux lions contournés d'or, armés et lampassés de gueules (alias deux griffons de sable, ailés d'argent).
Devise : Vires Ex ALTO. Autre devise : A juste guerre, Dieu combat.
Il existe en Auvergne deux familles de DOUHET qu'il importe de ne pas confondre et à chacune desquelles il sera consacré un article spécial.
Celle de ces deux familles qui donne lieu à la présente notice occupe depuis la fin du xv° siècle un rang distingué dans la noblesse de sa province.
On trouvera sur elle d'intéressants renseignements dans les manuscrits de CHÉRIN, dans le Nouveau d'Hozier, dans le Dictionnaire de la noblesse de la CHESNAYE des BOIS et dans les divers ouvrages que LAINÉ, BOUILLET, TARDIEU et le docteur de RIBIER ont consacrés à la noblesse de l'Auvergne.
On peut voir dans le Nobiliaire d'Auvergne de LAINÉ que la famille de DOUHET fut pendant plusieurs siècles attachée à la maison de la Tour, que ses premiers auteurs connus étaient en 1298 et 1320 notaires à Nonnette et à Riom et que Pierre Douhet était procureur à la Tour en 1459.
La famille de DOUHET fit en 1787, pour obtenir l'admission d'un de ses membres parmi les pages du duc d'Orléans, des preuves de noblesse qui sont conservées dans les manuscrits de CHÉRIN. Ces preuves font remonter la filiation au 23 juin 1470, date à laquelle noble homme Antoine DOHET, licencié ès lois, bachelier en décrets, demeurant à la Tour, en la paroisse de Saint-Pardoux, épousa demoiselle Alix BOMPARD, héritière de la seigneurie d'Auzers, située à deux lieues de Mauriac. Antoine DOHET avait épousé en premières noces, en 1464, demoiselle Marguerite de DUTAT, d'une famille d'ancienne noblesse qui s'est perpétuée jusqu'à nos jours. Il était conseiller de Jean, comte de Boulogne et d'Auvergne, quand il fut anobli par lettres patentes de décembre 1483.
La plupart des historiens, notamment BOUILLET et TARDIEU, ont passé sous silence ces lettres d'anoblissement et ont cherché à attribuer à la famille de DOUHET une origine chevaleresque. D'après leurs travaux Antoine DOHET, dont il vient d'être parlé, aurait eu pour frère Guillaume de DOUHET, chevalier de Rhodes, et aurait été l'aîné des trois fils d'un Pierre de DOUHET, Sgr de Marlat et d'Esteaux, qui aurait épousé en 1430 Jeanne de SAINT-CHAMANS et qui aurait fait son testament en 1472. Dans la réalité ce Pierre de DOUHET était vraisemblablement le même personnage qu'un Pierre DOUHET, mentionné plus haut, qui était en 1459 simple procureur à la Tour. BOUILLET en fait le fils d'un Jehan de DOUHET, chevalier, qui aurait épousé en 1398 Bonne de SÉRANT, et le fait descendre d'une vieille famille noble, originaire, d'après la tradition, d'Angleterre, ou d'Anjou, qui serait venue se fixer en Auvergne au cours du XIIIe siècle. Le même auteur mentionne un Etienne de DOHET, damoiseau, qui en 1283 prêta foi et hommage au comte d'Auvergne, pour sa seigneurie de Chareyre, située dans la paroisse de Picherande et le canton de la Tour, et un noble Jacques de DOUHET, qui était en 1295 le mari de Marguerite de BONNEVIE, héritière des châtellenies de Beaumont, de la Roche et de Rochefort.
Antoine DOHET, ou DOUHET, anobli en 1483, laissa, entre autres enfants, trois fils, Jean, né du premier lit, Gabriel et Pierre, nés du second lit, qui furent les auteurs de trois branches.
L'auteur de la branche aînée, Jean de DOUHET, vint se fixer en Limousin où il possédait divers biens du chef de sa mère. On ne sait sur lui que peu de chose et on ignore le nom de sa femme. Des preuves de noblesse faites par sa descendance en 1787 et conservées dans les manuscrits de CHÉRIN ne donnent la filiation qu'à partir de son fils, noble homme Martial de DOUHET, écuyer, Sgr du Puy-Molinier, près de Limoges. Celui-ci passa une transaction, le 22 juin 1523, avec son oncle, Gabriel de DOUHET, auteur de la seconde branche, et fit, le 22 novembre 1555, un testament dans lequel il cita sa femme, Catherine CHAULVET. Martial de DOUHET était décédé quand son frère, Guillaume de DOUHET, sieur du Chambon, un des cent gentilshommes de la maison du Roi, fit son testament le 7 février 1570. Une note de CHÉRIN apprend que la famille de DOUHET ne put fournir qu'une copie collationnée du testament de 1570, mais que
Guillaume de DOUHET figure bien dans l'état de la maison du roi Charles IX. Pierre de DOUHET, écuyer, Sgr du Puy-Molinier, fils de Martial, épousa d'abord, le 15 janvier 1583, Jeanne de BRUGEAS, puis, le 25 février 1S96, Françoise de MIOMANDRE. Il était dans les dernières années de sa vie conseiller du Roi, élu en l'élection du Haut-Limousin. Il laissa de sa seconde union, entre autres enfants, un fils, monsieur maître Jacques de DOUHET, écuyer, sieur de Martouseau, puis du Puy-Molinier, conseiller du Roi, lieutenant criminel à Limoges, marié, le 30 janvier 1629, à Charlotte MARTIN, qui fut nommé conseiller d'Etat par brevet du 29 mai 1653. Le petit-fils de celui-ci, Jacques de DOUHET, Sgr du Puy-Molinier, lieutenant général criminel en la sénéchaussée du Limousin, marié en 1682 à Suzanne de ROFFIGNAC, fut maintenu dans sa noblesse, le 9 janvier 1698, par jugement de M. de BERNAGE, commissaire subdélégué à la recherche des faux nobles. Jacques-François de DOUHET, petit-fils du précédent, était encore enfant quand il obtint de d'HOZIER, le 20 juillet 1730, un certificat attestant qu'il avait le droit de jouir des privilèges accordés aux gentilshommes du royaume. Il fut plus tard lieutenant général en la sénéchaussée de Limoges et épousa en 1762 Marie-Anne GARAT de Saint-Priest-Fourion. Celle-ci était veuve quand elle sollicita du Conseil d'Etat un arrêt de maintenue de noblesse. CHÉRIN fils, chargé d'examiner sa demande, émit en mai 1787 un avis favorable.
Cette branche s'éteignit en la personne de Jean de DOUHET du Puy-Molinier, chevalier de Saint-Louis, décédé en 1833. Deux de ses représentants, Jacques de DOUHET, lieutenant criminel, et Philippe de DOUHET, lieutenant en l'élection de Limoges, avaient eu leur blason enregistré d'office à l'Armorial général de 1696. Marie-Anne GARAT de SAINT-PRIEST, veuve de Jacques DOUHET, chevalier, Sgr du Puy-Molinier, le Palais et Panazol, prit part en 1789 aux assemblées
de la noblesse tenues à Limoges.
L'auteur de la seconde branche, Gabriel de DOUHET, Sgr d'Auzers, épousa d'abord Anne de ROCHEFORT, puis, par contrat du 30 juillet 1 832, Françoise de BATAGUIER de MONTSALÈS. Il laissa de sa seconde union, entre autres enfants, deux fils, Pierre de DOUHET, Sgr d'Auzers,
marié le 11 janvier 1581 à Marguerite de SALERS, et Jean de DOUHET, d'abord chanoine comte de Brioude, marié, le 20 février 1574, à Antoinette de GUY, dame de Veysset, qui furent les auteurs de deux rameaux actuellement existants. Les représentants de ces deux rameaux furent maintenus dans leur noblesse le 26 février 1667, sur preuves remontant à 1522, par un jugement de M. de FORTIA, intendant d'Auvergne, dont on trouvera le texte dans le Nouveau d'Hozier.
L'auteur du premier rameau, Pierre de DOUHET, prit part aux guerres de religion en qualité d'enseigne des hommes d'armes de M. de SAINT-HÉREM. En récompense des services qu'il rendit aux Etats d'Auvergne, il obtint en 1879 l'érection en baronnie de sa seigneurie d'Auzers par lettres patentes du roi Henri III qu'il fit enregistrer le 16 mai 1580 à la Chambre des Comptes. Son descendant, Jacques de DOUHET d'AUZERS, se fit accorder en 1712 par Charles d'HOZIER un
certificat attestant qu'il était d'une très noble et ancienne race de nom et d'armes de la province d'Auvergne, qu'il était issu d'Antoine de DOUHET, marié en 1470, et que celui-ci était fils de Pierre de DOUHET, Sgr d'Esteaux, vivant en 1430 avec sa femme, Jeanne de SAINT-CHAMANS, petit-fils de Jean de DOUHET, Sgr d'Esteaux, vivant en 1398 avec sa femme, Bonne de SERRANT, et arrière-petit-fils de Guy de DOUHET, Sgr de Singles, lequel, ayant été fait prisonnier à la bataille de Poitiers et conduit en Angleterre, dut aliéner son bien de la Tour pour payer sa rançon. On trouvera dans le Nouveau d'Hozier les preuves de noblesse que Jean-Louis de DOUHET d'AUZERS, né en 1769, fit en 1778 pour être admis à l'Ecole militaire. Jean-Louis de DOUHET d'AUZERS fut, sous le Premier Empire, directeur général de la police dans tous les départements au-delà des Alpes et mourut à Turin en 1831 sans laisser de postérité de son mariage avec Henriette de SELLON, tante du célèbre comte de CAVOUR. Il avait eu deux frères, Joseph de DOUHET, baron d'Auzers, dont la descendance subsiste, et Charles de DOUHET d'AUZERS, curé de Mauriac, évêque de Nevers en 1829, décédé en 1834. Ce rameau a conservé jusqu'à nos jours le château d'Auzers dans le département du Cantal.
Jean de DOUHET, auteur du second rameau, fut père de noble homme Jérome DOUHET, habitant du lieu de Veysset, au diocèse de Clermont, qui épousa, le 15 décembre 1595, Geneviève de MESCHIN, héritière de la seigneurie de Romananges. Un de leurs descendants,
Jacques-Barthélémy de DOUHET, Sgr de Romananges, prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Saint-Flour. Il avait épousé en 1771 Mlle DUFOUR de PRADT, sœur du célèbre abbé de PRADT, archevêque de Malines, qui joua un rôle politique important lors de la
Restauration. Il avait fait des preuves de noblesse en 1787 pour obtenir l'admission parmi les pages du duc d'Orléans de l'aîné de ses trois fils, Louis-Barthélémy. Celui-ci fut père de Ferdinand, connu sous le titre de comte de DOUHET, page de Charles X, sénateur inamovible, décédé en 1884, dont la fille unique a épousé le vicomte Edmond de LORGERIL. Octave de DOUHET, cousin germain du sénateur, épousa en 1847 Mlle du BOIS de SAINT-ETIENNE dont il a eu deux fils.
L'auteur de la troisième branche, Pierre de DOUHET, Sgr de Marlat et d'Estiaux, fut nommé en 1497 capitaine du château et de la châtellenie de Claviers. Il épousa, le 18 juin 1518, Antoinette AUTIÉ de VILLEMONTÉE et fut père de Gabriel de DOUHET, Sgr des mêmes domaines, qui épousa en 1542 Jeanne de SAILLANT et qui fut nommé en 1555 gouverneur de Clermont-Ferrand. Cette branche fut maintenue dans sa noblesse en 1667 par jugement de M. de FORTIA. Elle vint se fixer en Limousin après le mariage que son chef, Jérome de DOUHET de MARLAT, contracta en 1745 avec Françoise de LOYAC de la BACHELERIE. Elle s'éteignit en la personne de François, connu sous le titre de comte de DOUHET de MARLAT, chevalier de Saint-Louis, qui mourut en 1804 à Brünn, en Moravie, des suites des blessures qu'il avait reçues à l'armée des Princes.
Il a existé une quatrième branche de la famille de DOUHET, celle des seigneurs de Cussac. L'auteur de cette branche, Jacques de DOUHET, était un frère puîné d'Antoine de DOUHET, anobli en 1483, qui avait épousé en 1470 Alix BOMPARD, héritière de la seigneurie d'Auzers. Il épousa Hélips de BOMPARD sœur de sa belle-sœur, et s'agrégea à la noblesse sans qu'on lui connaisse de principe d'anoblissement régulier. Son descendant, Pierre de DOUHET, Sgr de
Cussac, en la paroisse de Chaussenac, marié, le 1er mars 1628, à demoiselle Françoise de PLAIGNES, en eut trois fils, Jacques, Sgr de Cussac, marié en 1659 à Marie de La BARRE, Louis, sieur de Chameyrac, marié à Marie de VERNET, et François, sieur de Lespinasse, qui
furent maintenus dans leur noblesse en 1667 par jugement de l'intendant FORTIA en même temps que les représentants des autres branches. Jacques de DOUHET de Cussac, né à Chaussenac en 1676, fils de l'aîné de ces trois frères, fit en 1692 des preuves de noblesse
pour être admis parmi les pages du roi Louis XIV; il épousa dans la suite Madeleine DANDIN, fille d'un conseiller au présidial d'Aurillac. Cette branche s'éteignit au XVIIIe siècle.
La famille de DOUHET a fourni, en dehors des personnages mentionnés au cours de cette notice, des chanoines comtes de Brioude, un mestre de camp, de nombreux officiers, dont plusieurs ont été tués à l'ennemi, des gouverneurs de places fortes, etc.
Quatre de ses membres ont été admis dans l'ordre de Malte : Jean de DOUHET de MARLAT en 1534, plus tard commandeur de Lormeteau, en Berry, Charles de DOUHET en 1691, Jean-Louis de DOUHET d'AUZERS en 1770 et Jean-François de DOUHET de MARLAT en 1780.
Principales alliances : de La CROIX de CASTRIES 1654, de DURÂT 1464, de SAINT-CHAMANS, de CAISSAC, de ROQUEMAUREL 1836, de MO NTBOISSIER 1669, AUTIÉ de VILLEMONTÉE, de ROFFIGNAC 1682, GRAVIER de VERGENNES 1872, de LORGERIL 1874, de SCORAILLES, de MONTMORIN, de MALET 1881, de CHALVET de ROCHEMONTEIX 1770, de La MAJORIE, DUFOUR de PRADT, de BELVEZER, du PRAT 1619, de LOYAC 1745, de SELLON, de ROCHEFORT, de BALAGUIER de MONTSALÈS, de MONTAGU 1909, etc.
(Source : Dictionnaire des familles anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, par Gustave Chaix d’Est-Ange, tome XIV, Des-Dug, 1915, pages 185-189).
DOUHET de VILLOSANGES et de PRADAT (de)
Armes : d'argent à un chevron de gueules.
Cette seconde famille de DOUHET, très honorablement connue en Auvergne depuis la fin du xvi° siècle, paraît être distincte de la précédente. Si dans un passé éloigné les deux familles ont eu une origine commune le point de jonction n'a pu être retrouvé. Celle qui donne lieu à cette notice est, en tout cas, demeurée non noble.
On trouvera sur elle quelques renseignements dans le Dictionnaire des anciennes familles de l'Auvergne de TARDIEU.
François DOUHET, auquel remonte la filiation, était en 1597 notaire royal et lieutenant général au bailliage du Montel de Gélat. Lors de la grande recherche des faux nobles, commencée en 1666, ses deux fils, Michel de DOUHET, prieur de Dontreix, et Annet de DOUHET, habitant du Montel de Gélat, furent, en raison du rang distingué occupé par leur famille, invités par M. de FORTIA, intendant de la province, à produire les titres justificatifs de leur noblesse mais ils déclarèrent qu'ils n'étaient pas nobles. On trouve qu'à la même époque, Jacques de DOUHET, sieur d'Alberoche, en la paroisse de Colandres, et Jean de DOUHET, sieur de Noualhat, demeurant à Journiac, en la paroisse de Riom-ès-Montagnes, probablement issus d'une autre branche de la même famille, furent condamnés comme usurpateurs de noblesse, par arrêt du Conseil d'Etat du 22 décembre 1667, le premier à 600 livres d'amende, le second à 200. La famille de DOUHET
ne chercha jamais à régulariser sa situation nobiliaire et on ne voit pas qu'elle ait pris part en 1789 aux assemblées de la noblesse d'Auvergne.
Elle s'est partagée en un certain nombre de branches dont deux, celle des anciens seigneurs de Villosanges et celle des anciens seigneurs de Pradat, se sont perpétuées jusqu'à nos jours.
Elle a fourni de nombreux officiers, des chevaliers de Saint-Louis, un garde du corps du roi Charles X, un avocat général à Riom, etc.
Deux de ses membres ont fait enregistrer à l'Armorial général de 1696 (registre de Riom) leur blason tel qu'il est décrit en tête de cet article.
Principales alliances : de CARONDELET, de BOUCHARD d'AUBETERRE 1874, RODDE de CHALANIAT, MOREL de La COLOMBE, de LAMBERTERYE du CROS 1900, etc.
(Source : Dictionnaire des familles anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, par Gustave Chaix d’Est-Ange, tome XIV, Des-Dug, 1915, pages 189-190).
La famille de Douhet olim Douhet est une famille subsistante de la noblesse française.
Cette famille compte parmi ses membres des gouverneurs, des pages, un évêque, des officiers, des magistrats d'Ancien Régime, un sénateur au XIXe siècle, etc.
Origines :
La famille de Douhet est originaire de la haute-Auvergne.
Le premières mentions de cette famille remontent aux années 1298 et 1320 où ils étaient notaires à Nonnette et à Riom (Douhet d'Auzers et de Romananges (de).).
Pierre DOUHET était procureur à La Tour en 1459 (Douhet d'Auzers et de Romananges (de).).
Noblesse :
La filiation débute avec noble homme Antoine DOHET, licencié ès lois, bachelier en décrets, demeurant à La Tour en la paroisse de Saint-Pardoux, où il épousa le 23 juin 1470 Alix BOMPARD héritière des terres d'Auzers et de Marlac situés à deux lieues de Mauriac. En premières noces il avait épousé Marguerite de DURAT en 1464. Il était conseiller de Jean, comte de Boulogne et d'Auvergne, quand il fut anobli par lettres patentes de décembre 1483 (Douhet d'Auzers et de Romananges (de) et Les généalogies imaginaires des Marillac (Les dossiers du Grihl).). Il est l'auteur de la branche de Douhet d'Auzers.
Une autre branche de cette famille, seigneurs de Cussac, issue d'un frère puîné d'Antoine DOHET s'est agrégée à la noblesse sans qu'on lui connaisse de principe d'anoblissement régulier (Douhet d'Auzers et de Romananges (de).).
Cette famille obtint différentes maintenues en la noblesse en 1667.
Elle comparut aux assemblées de la noblesse en 1789.
Elle est membre de l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) depuis 1967.
Généalogie simplifiée :
... DOHET (ou DOUHET)
Noble homme Antoine DOHET (ou DOUHET), conseiller de Jean de La TOUR, comte d'Auvergne et de Boulogne, il épousa en premières noces en 1464 Marguerite de DURAT, d'une famille d'ancienne noblesse, puis en secondes noces en 1470 Alix BOMPARD, héritière de la seigneurie d'Auzers. Il est anobli en 1483 (Les généalogies imaginaires des Marillac (Les dossiers du Grihl).). Du premier lit il laisse Jean, du second lit il laisse Gabriel et Pierre :
(du premier lit) Jean de DOUHET, va se fixer en Limousin, alliance inconnue.
Noble homme Martial de DOUHET, écuyer, seigneur du Puy-Molinier près de Limoges, épouse Catherine CHAULVET.
Pierre de DOUHET, écuyer, seigneur du Puy-Molinier, épouse en 1583 Jeanne de BRUGEAS puis en 1596 Françoise de MIOMANDRE, conseiller du roi, élu en l'élection du Haut-Limousin.
(du second lit) monsieur maître Jacques de DOUHET, écuyer, sieur de Martouseau puis du Puy-Molinier, conseiller du roi, lieutenant criminel à Limoges, il épouse en 1629 Charlotte MARTIN, conseiller d'État en 1653. Son petit-fils Jacques de DOUHET, seigneur du Puy-Molinier, lieutenant général criminel en la sénéchaussée du Limousin, il épouse en 1682 à Suzanne de ROFFIGNAC, maintenu en sa noblesse en 1698. Son petit-fils Jacques-François de DOUHET, chevalier, seigneur du Puy-Molinier, le Palais et Panazol, lieutenant général en la sénéchaussée de Limoges, il épouse en 1762 Marie-Anne GARAT de Saint-Priest-Fourion qui prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Limoges. (...) Jean de DOUHET du Puy-Molinier, chevalier de Saint-Louis, décédé en 1833, dernier de sa branche.
Guillaume de DOUHET, sieur du Chambon, l'un des cent gentilshommes de la maison du roi Charles IX.
(du second lit) Gabriel de DOUHET, seigneur d'Auzers, il épouse Anne de ROCHEFORT puis en 1532 Françoise de BALAGUIER de MONTSALÈS, de sa seconde union il laisse notamment deux fils :
Pierre de DOUHET, seigneur d'Auzers, il épouse en 1581 Marguerite de SALER, il prit part aux guerres de religion en qualité d'enseigne des hommes d'armes de M. de SAINT-HÉREM, en récompense de ses services pour les États d'Auvergne le roi Henri III érige la seigneurie d'Auzers en baronnie en 1579. Parmi ses descendants, trois frères : Jean-Louis de DOUHET d'AUZERS, né en 1769, en 1778 il fait ses preuves pour être admis à l'école militaire, sous le Premier Empire il est directeur général de la police dans tous les départements au-delà des Alpes, il meurt à Turin en 1831 sans laisser de postérité de son mariage avec Henriette de SELLON, tante du comte de CAVOUR ; Joseph de DOUHET, baron d'Auzers, dont la descendance subsiste ; Charles de DOUHET d'AUZERS curé de Mauriac, évêque de Nevers en 1829, décédé en 1834.
Jean de DOUHET, d'abord chanoine-comte de Brioude puis il épouse en 1574 Antoinette de GUY, dame de Veysset, il est le père de noble homme Jérôme DOUHET, habitant du lieu de Veysset au diocèse de Clermont, qui épouse en 1595 Geneviève de MESCHIN, héritière de la seigneurie de Romananges. Parmi ses descendants Jacques-Barthélémy de DOUHET, seigneur de Romananges, prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Saint-Flour, il avait épousé en 1771 mademoiselle DUFOUR de PRADT, sœur de l'abbé de PRADT, archevêque de Malines, l'aîné de ses trois fils Louis-Barthélémy de DOUHET fut reçu en 1787 page du duc d'Orléans, le fils de ce dernier Ferdinand de DOUHET, appelé "le comte de DOUHET", fut reçu page du roi Charles X, sénateur inamovible, décédé en 1884, il eut une fille unique qui a épousé Edmond de LORGERIL. Octave de DOUHET, cousin germain de Ferdinand de DOUHET, épousa en 1847 mademoiselle du BOIS de SAINT-ÉTIENNE et en eut deux fils.
(du second lit) Pierre de DOUHET, seigneur de Marlac et d'Estau, il fut nommé en 1497 capitaine du château et de la châtellenie de Claviers, il épousa en 1518 Antoinette AUTIÉ de VILLEMONTÉE, et fut père de Gabriel de DOUHET, seigneur des mêmes domaines, qui épousa en 1542 Jeanne de SAILLANT, et qui fut nommé en 1555 gouverneur de Clermont-Ferrand. Cette branche fut maintenue noble en 1667 et se fixa en Limousin où Jérôme de DOUHET de MARLAC épousa en 1745 Françoise de LOYAC de La BACHELERIE. Elle s'éteignit avec François appelé "le comte de Douhet de Marlac", chevalier de Saint-Louis, qui mourut en 1804 à Brünn en Moravie des suites de ses blessures reçues à l'armée des princes.
Jacques de DOUHET. Ses descendants s'agrègeront à la noblesse et s'éteindront au XVIIIe siècle. Pierre de DOUHET, seigneur de Cussac en la paroisse de Chaussenac, marié en 1628 à Françoise de PLAIGNES.
Jacques de DOUHET, seigneur de Cussac, marié en 1659 à Marie de La BARRE, maintenu en sa noblesse en 1667.
Jacques de DOUHET de CUSSAC, né à Chaussenac en 1676, page du roi Louis XIV, il épouse Madeleine DANDIN, fille d'un conseiller au présidial d'Aurillac.
Louis de DOUHET, sieur de Chameyrac, il épouse Marie de VERNET, maintenu en sa noblesse en 1667.
François de DOUHET, sieur de Lespinasse, maintenu en sa noblesse en 1667. Personnalités :
Antoine DOHET (ou DOUHET), conseiller de Jean de La TOUR, comte d'Auvergne et de Boulogne, anobli en 1483,
Guillaume de DOUHET, l'un des cent gentilshommes de la maison du roi Charles IX,
Pierre de DOUHET, enseigne des hommes d'armes de M. de SAINT-HÉREM, en récompense de ses services pour les États d'Auvergne le roi Henri III érige la seigneurie d'Auzers en baronnie en 1579,
Pierre de DOUHET, nommé en 1497 capitaine du château et de la châtellenie de Claviers,
Gabriel de DOUHET, nommé en 1555 gouverneur de Clermont-Ferrand,
Louis-Barthélémy de DOUHET, page du duc d'Orléans (1787),
Jean-Louis de DOUHET d'AUZERS (1769-1831), sous le Premier Empire il est directeur général de la police dans tous les départements au-delà des Alpes,
Charles de DOUHET d'AUZERS, évêque de Nevers en 1829,
Ferdinand de DOUHET, page du roi Charles X, sénateur inamovible,
Jacques de DOUHET (1945), scénariste de bande dessinée.
Possessions :
Fiefs : Auzers, Marlac, Estau, Romananges, Puy-Molinier, Martouseau, Chambon, Cussac, Chameyrac, Lespinasse, le Palais, Panazol, etc.
La famille de DOUHET a hérité du château d'Auzers au XVe siècle par le mariage en 1470 d'Antoine DOHET (ou DOUHET) avec Alix BOMPARD.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Le château d'Auzers est un château de style médiéval reconstruit au XVIe siècle, situé à Auzers dans le Cantal.
Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 21 mars 1983 (façades, toitures, peintures murales de l'oratoire) et d'une inscription depuis le 14 juin 2002 (décors intérieurs).
Construit au XIVe siècle, le château a été reconstruit au début du XVIe siècle. Mais sa conception architecturale reste d'esprit médiéval : il comporte un corps de logis rectangulaire flanqué de deux grosses tours d'angle et d'une tour d'escalier ; l'ensemble est couronné par une galerie de machicoulis. Il y a un chemin de ronde et des échauguettes.
À l'intérieur, des décors de différentes époques sont conservés : une cheminée monumentale, des boiseries, des cheminées et des parquets des XVIIIe et XIXe siècles. L'oratoire a de remarquables peintures murales du XVIe siècle.
La seigneurie appartenait à Bernard, seigneur de Marlat en 1364. Sa fille :
Blanche de MARLAT épouse en 1402 Blandin Bompart, qui lui donne un fils :
Blandin BOMPAR, seigneur d'Auzers et en 1469 de Cussac (à Cussac à Chaussenac). Il était régisseur du Comte de Boulogne, puis de son gendre Gilbert de Chabannes pour lequel il dirige la construction du château de Madic. Il épouse Hélène de FONTANGES, qui lui donne une fille qui se marie successivement à deux frères : Alix d'AUZERS, qui épouse en 1470 Antoine de DOUHET, licencié ès lois, chancelier de Jean, comte de Boulogne et d'Auvergne. Ils ont dix enfants ; ensuite Jacques de DOUHET dont trois autres enfants.
Gabriel de DOUHET d'AUZERS, seigneur d'Auzers, lieutenant du roi en Haute-Auvergne, fait reconstruire le château tel qu'on le voit aujourd'hui et dont descendent les actuels propriétaires.
Visites de Pâques à la Toussaint. La visite comporte aussi une exposition de soldats de plomb de la Grande Guerre, ainsi que de photographies du début du XXe siècle.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
La famille de DOUHET d’AUZERS est l’une des plus anciennes du Cantal, voire de France
Christian d’AUZERS, propriétaire du château situé dans la petite commune d’Auzers, dans le nord Cantal, est l’héritier de l’une des plus anciennes familles du Cantal, voire de France
La Guerre de cent ans a bien eu lieu. Débutée en 1337, elle ne s’achèvera qu’en 1453. Au cœur de ce conflit, en 1364, Charles V est couronné à Reims. A des centaines de kilomètres, au sud-est, un homme entreprend de bâtir une maison forte. Son nom est Géraud de BOMPAR. Et la maison forte deviendra le château d’Auzers.
Bien qu’ayant subi des transformations au fil des siècles, l’édifice est toujours debout et se dresse, majestueux et paisible, derrière une haie d’hortensias flamboyants.
Dans la salle à manger située dans la partie la plus ancienne et la plus basse du château, on devine à peine, au mur, une tapisserie, longue de plusieurs mètres. Elle représente l’arbre généalogique de la famille. Le père de l’actuel propriétaire l’a en grande partie réalisé à l’occasion d’un anniversaire célébré il y a tout juste un demi-siècle, en 1964. Celui du sixième centenaire de la famille.
Six cent cinquante ans de présence dans ce petit village du nord Cantal qui compte aujourd’hui moins de 200 âmes, mais qui au début du siècle dernier, dépassait le millier d’habitants. Et ils sont importants, les habitants de la commune dans la vie de la famille de Douhet d’Auzers. Dans les moments les plus durs de l’histoire de France, notamment pendant la Révolution, les villageois ont protégé le château, épargnant ses occupants d’une fin que d’autres familles nobles ont connue tragique.
Séduit par l’isolement
Plus que leur devise, c’est un principe de vie qui a guidé et guide encore les membres de cette famille : ils considèrent que la seule vraie noblesse est la noblesse du cœur. Christian d’Auzers, l’actuel propriétaire, ne déroge pas à ce principe. Quand un visiteur, pensant bien faire sans doute, l’appelle Monsieur le baron, sa réponse fuse invariablement, agrémentée d’un large sourire : « Il n’y a plus de baronnie depuis longtemps, appelez-moi Christian de Douhet ou d’Auzers, mais pas baron. » Les terres des seigneurs d’Auzers sont pourtant devenues baronnie en 1578, sur ordre du roi Henri III, en récompense des services rendus par Pierre III de Douhet d’Auzers.
Quand Antoine de Douhet épouse Alix de Bompar en 1470, et qu’il décide de s’y installer, il aménage la bâtisse en une maison familiale à force de reconstruction (vers 1510). De la maison forte que Géraud de Bompar, séduit par l’isolement et la tranquillité du site, fit édifie, il reste les fondations et le sous-sol.
Des seigneurs qui se sont succédé derrière les larges murs, plusieurs ont marqué l’histoire de France. Joseph, dont le portrait veille sur le grand salon (lire ci-dessous), est de ceux-là. Troisième fils de Jacques-François d’Auzers et de Marie-Charlotte de Saint-Chamans, il est maire de la commune sous la Restauration et commande la garde nationale de Mauriac. Son frère aîné, Charles, devient curé de Mauriac, puis grand vicaire d’Amiens, et enfin évêque de Nevers. Son autre frère, Jean-Louis, sera élève de l’école militaire de Paris en 1784, et aura comme condisciple Bonaparte, avec qui il nouera une solide amitié.
Souvenirs des Bourbon
Chevalier de Malte, il revient en France à la dissolution de l’ordre et entre dans l’administration de l’Empire. Directeur de la police des départements au- delà des Alpes, il devient un intime de la famille Borghèse, s’attache au jeune Camille de Cavour, devient un intime du futur roi de Sardaigne Charles- Albert de Savoir Carignan. Avec son épouse, il achète le domaine de Belangero, près d’Asti en Italie (en 1814). Tous deux sont enterrés dans le caveau des Cabour, dans l’église de Santena près de Turin. Le château regorge de souvenirs italiens de cette période.
La famille se rallie aux Bourbons au début du XIXe siècle, après l’abdication de Napoléon. Deux générations plus tard, par le mariage de Joseph II d’Auzers avec Marie de Vergennes, des souvenirs des derniers Bourbon arrivent au château. Ces souvenirs, comme tant d’autres retraçant la longue histoire de la famille d’Auzers, sont longuement détaillés lors des visites proposées par Jocelyne Passefons, qui assure également l’intendance.
Bruno-Serge Leroy, La Montagne,28/10/2014
(Source : https://www.france-pittoresque.com/spip.php?article12291).





DOUHET de ROMANANGES (de ) Marguerite Marie Louise Julienne Agathe dite Louise
Sans profession

Naissance : 7 juin 1859 à Gerzat 63360 ( Source )
Décès : 24 avril 1922 à Saint-Etienne 42 ( Source )

Père : DOUHET de ROMANANGES (de ) Antoine Gustave ( 1822 - 1869 )
Mère : JOANNY Lucie Antoinette ( 1836 - 1920 )

Union : GUINARD Joseph Marie Paul ( 1850 - 1936 )
Mariage : 29 mai 1883 à Lyon 69 ( Source )
Enfants : GUINARD Victor Marie Lucien ( 1884 - 1884 )
GUINARD Marie Joséphine Marcelle ( 1888 - 1979 )
GUINARD Aimé ( ? - ? )
Note individuelle : DOUET, parfois DOUHET, sgrs de La Boulaye, du Houssay, d'Argis, de Charmeil, de Vichy, de St-Germain-des-Fossés, de Beauregard (Bourbonnais), du marquisat d'Allègre, de la baronnie des Ignes, etc. (Auvergne).
Famille originaire de Vichy, remontant sa filiation à Charles DOUET employé des gabelles dans cette ville au XVIIe siècle. Son fils Gabriel, fermier du maréchal de VILLEROY et de Mgr de VILLEROY archevêque de Lyon, fit une grande fortune et acheta d'immenses terres. Il fut le père de Claude DOUET, fermier général, conseiller au parlement de Dombes, anobli (1722), lequel acquit par voie de retrait féodal la terre et marquisat d'Allègre du comte des MARETS de MAILLEBOIS et de son épouse Catherine de PAULMY de VOYER d'ARGENSON (1766). Il mourut à Paris, paroisse St-Roch le 14 avril 1778. Un de ses fils, aussi fermier général, né à Lyon, périt en 1795, victime de la Révolution laissant une soeur : Mme de LAMASSé et un frère qui eut deux filles : Claudine mariée à Louis comte de La TOUR du PIN-CHAMBLY et Gabrielle mariée à Armand-guillaume JOLY de FLEURY. ceux-ci ayant hérité par indivis des précédents, s'empressèrent, au retour de l'émigration, de dépecer et de vendre à la Bande Noire la terre d'Allègre qui avait pu leur être conservée intacte. Eteinte.
Armes : On trouve dans d'HOZIER (Arm. gén. du Bourbonnais) : d'azur, au chevron accompagné de trois couronnes, celle de la pointe surmontée d'une étoile, le tout d'or.
En 1722, les DOUET adoptèrent le blason qui suit : d'argent, à l'aigle au vol abaissé de sable.
(Source : Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, pages 156-157).
De DOUHET, baron d'Auzers, de Marlat, sgrs d'Esteaux, de Cussac, de St-Saturnin, de Veysset, de La Coste, de Védrine, de La Veix, de La Tourette, de Valmaison,de Méallet, du Chambon, barons de St-Pardoux, de Puymolinier, etc. (Auvergne), comtes de Douhet de Romananges.
Famille chevaleresque, originaire du château de ce nom (Charente), fixée en Auvergne pendant la guerre des Anglais. Etienne de DOUHET damoiseau, prête foi et hommage au comte d'Auvergne en 1283, pour la seigneurie de Chareyre. Nombreuses branches. Maintenue en Auvergne les 3 novembre 1666 et <2- février 1667, sur preuves remontant à Antoine de DOUHET sgr de Marlat-la-tour et d'Esteaux, chancelier du comte d'Auvergne, marié en premières noces (1464) à Hélips BOMPART, d'où branche en Auvergne. Neuf chanoines-comtes de Brioude (1407-1688). Plusieurs admissions dans l'ordre de Malte. Un capitaine de quinze lances des ordonnances du roi Louis XI; un mestre de camp de cavalerie (1669). Beaux services militaires. Un page du roi Charles X (1826); un évêque de Nevers (1829); un député et sénateur du puy-de-Dôme. Belles alliances.
Armes : Ecartelé : aux 1 et 4 d'azur, à la tour d'argent maçonnée de sable, aux 2 et " de gueules, à la licorne passante d'argent.
(Source : Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 157).
De DOUHET de VILLOSSANGES, sgrs de villossanges, des ramades, de La Fontète, de Villafavand, de Laurières, de La Gorce, des Vergnes, des Monneyroux, de Joux, de Mondeyrand, de Pradat, etc.
Noblesse issue de François DOUHET notaire royal et lieutenant-général du bailliage du Montel-de-Gelat (1597). Un prieur de Doutraix (1666); nombreux officiers et chevaliers de St-Louis; des magistrats distingués; un mousquetaire de la garde du Roi, gouverneur de la ville de Billon (1767); un garde du corps du roi Charles X, commandant au palais de la chambre des Pairs. Quatre branches : 1° de Villossanges, existante à Brioude et dans le Puy-de-Dôme; 2° des Monneyroux (éteinte); 3° de Joux et de Mondeyrand (éteinte); 4° de pradat (existante). Belles alliances.
Armes d'argent, au chevron de gueules.
(Source : Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 157).

DOUHET de ROMANANGES (de ) Marguerite Marie Louise Julienne Agathe
DOUHET de ROMANANGES (de ) Antoine Gustave
 
 
JOANNY Lucie Antoinette
 
 




DOUILLET Alexis
Naissance : 1 juillet 1964 à La Tronche 38

Père : DOUILLET Hubert ( 1932 - ? )
Mère : DELAFON Colette ( 1939 - ? )

DOUILLET Alexis
DOUILLET Hubert
DOUILLET Grégoire
JOCTEUR MONROZIER Alix
DELAFON Colette
 
 




DOUILLET Anne-Marie
Naissance : 16 février 1929 à Lyon (1er) 69

Père : DOUILLET Grégoire ( 1904 - 1971 )
Mère : JOCTEUR MONROZIER Alix ( 1905 - 1977 )

Union : PUTINIER Henry ( 1922 - ? )
Mariage : 16 juillet 1947 à Burcin 38
Enfant : PUTINIER Alix ( 1948 - ? )
DOUILLET Anne-Marie
DOUILLET Grégoire
 
 
JOCTEUR MONROZIER Alix
JOCTEUR MONROZIER Lucien
FAIDIDES Louise




DOUILLET Bénédicte
Naissance : 31 octobre 1965 à Montréal

Père : DOUILLET Jacques Michel ( 1930 - ? )
Mère : FORIEL DESTEZET Monique ( 1932 - ? )

DOUILLET Bénédicte
DOUILLET Jacques Michel
DOUILLET Grégoire
JOCTEUR MONROZIER Alix
FORIEL DESTEZET Monique
 
 


                     


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