Note individuelle
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Guillaume de Tournemire lui donne par erreur comme parents Serge (1869-?), Jeanne de GEFFRIER (1873-1954).
Demeurait 89 rue de la Pompe à Paris (XVIème arrdt) en 1923.
Demeurait 16 rue Oswaldo Cruy à Paris (XVIème arrdt) en 1944.
Seignard : Porté en Bretagne (44, 56), pourrait être un nom de personne germanique, *Siginhard (sigin = victoire + hard = dur), mais celui-ci n'est pas documenté. À envisager aussi un dérivé de "sein(g)" = cloche ou signe, signature.
Seignard de La Fressange : Seignard est une déformation graphique de Saignard, nom qui s'est aussi écrit Sanhard, Sagnard et qui semble originaire du Massif Central. Signification : étang, marécage (dérivé de l'occitan "sanha"). Fressange vient de la même région. C'est un toponyme fréquent désignant une frênaie. On pensera notamment au petit village de Fressanges, à Neuvéglise (15). (Source : http://www.jeantosti.com).
Par décret en date du 25 juillet, rendu sur la proposition du ministre de la guerre, ont été promus dans le cadre des officiers de réserve, et par décision ministérielle du même jour ont été affectés, savoir :
Au rang de sous-lieutenant (pour prendre rang du 15 juillet 1915)
M. de SEIGNARD de LA FRESSANGE (Marie-Alfred-Paul-Henri), adjudant réserviste au 22e rég. de dragons. Maintenu.
(Source : Journal Officiel de la République Française, 27 juillet 1915, page 5156).
Par décision ministérielle du 11 août 1915 : M. de SEIGNARD de La FRESSANGE, sous-lieutenant de réserve au 22e rég. de dragons, est affecté au 12e rég.de dragons.
(Source : Journal Officiel de la République Française, 17 août 1915, page 5759).
Par décret du Président de la République en date du 8 juin 1917, rendu sur la proposition du ministre de la guerre, les officiers de complément dont les noms suivent sont titularisés dans le cadre des officiers de l'armée active, savoir : Avec le grade de sous-lieutenant (pour prendre rang du 15 juillet 1915)
M. de SEIGNARD de La FRESSANGE (Paul-Henri) sous-lieutenantau 12e rég de dragons (détaché aviation).
(Source : Journal Officiel de la République Française, 10 juin 1917, page 4521).
Par décret du 15 août 1917, sont nommés dans l'arme de la cavalerie, au grade de sous-lieutenant, les sous-lieutenants dont les noms suivent, savoir :
(Pour prendre rang du 15 juillet 1917)
M. de SEIGNARD de La FRESSANGE (Paul-Henri), du 12e rég. de dragons, détaché aviation.
(Source : Journal Officiel de la République Française, 19 août 1917, page 6602).
Par décret du Président de la République en date du 12 avril 1920, rendu sur la roposition du ministre de la guerre, sont nommés dans le cadre des officiers de réserve et, par décision ministérielle du même jour, reçoivent les affectations indiquées ci-après : Avec le grade de lieutenant (à dater du 14 mars 1920)
M. de SEIGNARD de LA FRESSANGE (Marie-Alfred-Paul-Henri), au 12e rég. de dragons, lieutenant de cavalerie démissionnire.
(Source : Journal Officiel de la République Française, 21 avril 1920, page 6216).
Par décision ministérielle en date du 10 janvier 1923, M. de SEIGNARD de La FRESSANGE (Marie-Alfred-Paul-Henri), lieutenant hors cadre (santé),en résidence à Paris, 89, rue de la Pompe, est réintégré dans les cadres et affecté au 13e rég. de dragons.
(Source : Journal Officiel de la République Française, 3 février 1923, page 1177).
Par décret du 23 décembre 1936, rendu sur proposition du ministre de la défense nationale et de la guerre; vu la déclaration duconseil de l'ordre de la Légion d'honneur portant que les nominations et promotions du présent décret sont faites en conformité des lois, décrets et règlements en vigueur, sont nommés ou promus dans l'ordre national de la légion d'honneur, au titre de la loi du 3 août 1936, avec traitement, les militaires des réserves dont les noms suivent : Chevalier. Cavalerie.
De SEIGNARD de La FRESSANGE (Marie-Alfred-Paul-Henri), lieutenant au centre de mobilisation de cavalerie n° 41; 27 ans de services, 5 campagnes. A été cité.
(Source : Journal Officiel de la République Française, 30 décembre 1936, page 13576).
Mariage d'automobiles
Rue de Versailles à Ville d'Avray, l'auto de M. de La FRESSANGE Paul, banquier à Paris, 69, rue de la Pompe, est entrée en collision avec cellede M. Emile GRANJON, mécanicien, 39, rue de Cambrai, à Paris. Un choc violent se produisit et l'auto de M. GRANJON fut renversée et fortement endommagée, ainsi que celle de M. de La FRESSANGE. Il n'y a pas eu d'accident de personnes.
(Source : L'Homme Libre du 31 mars 1921, page 4).
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