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Note individuelle
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Domicilié 60 rue de Londres à Paris (IXème) en janvier 1884, 7 rue de Mailly à Paris (8ème) en décembre 1886, puis 3 rue du Boccador à Paris (8ème) de 1888 à 1892.
Chevalier de la Légion d'Honneur le 7 février 1878, Officier le 28 décembre 1882, Commandeur le 12 juillet 1890.
Etudes secondaires à Cluny. Licencié en Droit et reçu au barreau de Dijon en 1855, puis à celui de de Chalon-sur-Saône en 1860, où il est élu bâtonnier en 1868. Conseiller municipal de Chalon-sur-Saône, maire de du 12 août au 4 septembre 1870. Représentant de la Saône-et-Loire à l'Assemblé Nationale (élu le 3e sur 12, par 69639 voix) au 31 décembre 1875. Il fonde le groupe des républicains conservateurs du centre-gauche, soutient de Thiers. Plusieurs fois secrétaire de l'Assemblée, il est rapporteur en 1873 de la loi sur les contributions indirectes. Il vote pour la Paix, contre l'abrogation des lois d'exil, contre la pétition des évêques, contre le service de trois ans, contre la démission de Thiers, contre le septennat, contre le Ministère de Broglie, pour l'amendement Wallon et pour les lois constitutionnelles de 1875.
Appelé à la Préfecture du Lot-et-Garonne en mars 1876. Il est appelé à celle de la Somme au lendemain des élections du 16 mai 1977, mais refuse de servir le gouvernement royaliste de Broglie. Nommé préfet de la Loire en décembre 1877, puis de la Seine-Inférieure en novembre 1880. En mai 1882, il est nommé Directeur général des Contributions Indirectes du Ministère des Finances. Conseiller d'Etat en service extraordinaire le 17 janvier 1884, Procureur Général près la Cour des Comptes le 15 janvier 1887, il en devient le Premier Président le 9 juillet 1901, poste qu'il occupe jusqu'à sa retraite, le 9 mars 1907. Il est décédé à Paris, le 28 avril 1907.
Une rue de Chalon-sur-Saône porte son nom.
Publications :
Discours prononcés devant la Cour à l'occasion d'audiences solennelles publiés par l'Imprimerie nationale :
La Compatibilité des fabriques et le décret du 27 mars 1803, Paris 1883
Etude sur les rapports publics de la Cour des comptes, 1887
La Cour des comptes depuis 1870, Etudes sur les réformes proposées par elle, 1888
L'Amortissement en France, 1891
Le Contrôle de l'ordonnancement des dépenses publiques par la Cour des comptes, 1896
Les Finances de la France pendant la guerre de 1870-1871, 1896
L'oeuvre budgétaire de la IIIe République en matière d'assistance et de prévoyance sociale, 1897
Statistiques sur les travaux de la Cour des Comptes de 1870 à 1900, 1900
Sources :
Dictionnaire bibliographique des Magistrats de la Cour des Comptes 1807-2007
Dictionnaire des Parlementaires Français de 1789 à 1889 (A. Robert et G. Cougny)
Dictionnaire Biographique des Préfets - septembre 1870 - mai 1982 (René Bargeton)
Installation de M. le Premier Président Renaud, Cour des Comptes, Audience solennelle du 22 juillet 1901, Imprimerie Nationale, MDCCCCI.
Bibliographie de l'histoire de la justice française (1789-2009) - Criminocorpus
(source : voir fichier Geneanet de Xavier Gille).
De 1855 à 1860 il est avocat à la Cour de Dijon (21), puis de 1860 à 1871, à Chalon-sur-Saône (71), Bâtonnier de l'ordre en 1868, et fut aussi maire de Chalon. Du 8 février 1871 au 31 décembre 1875 il est député. De mars 1876 à mai 1877, il est préfet du Lote-et-Garonne, démissionnaire le 16 mai. De décembre 1877 à novembre 1880, il est préfet de la Loire. Il est nommé Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 7 février 1878, promu officier par décret du 28 décembre 1882. Depuis mai de la même année il était directeur général des Contributions Directes. Il était officier d'Académie depuis avril 1879. 0 partir de janvier 1886, il est Conseiller d'Etat en service extraordinaire. Il est officier de l'Instruction Publique en date du 13 juillet 1889. Procureur général près la Cour des Comptes, du 4 au 15 janvier 1887, il est promu commandeur de la Légion d'honneur par décret du 12 juillet 1890. Il est premier président honoraire de la Cour des Compte à son décès.
(Source : LH/2296/34).
Représentant en 1871, né à La Guiche (Saône-et-Loire) le 29 octobre 1832, avocat à Chalon-sur-Saône et bâtonnier de l'ordre, était sans antécédents politiques lorsqu'il fut élu, le 8 février 1871, représentant de Saône-et-Loire à l'Assemblée nationale, le 3e sur 12, par 70,063 voix. Partisan de la politique de Thiers, il prit place au centre gauche, fut plusieurs fois secrétaire de l'Assemblée, rapporteur on 1873 de la loi sur les contributions indirectes, et vota pour la paix, contre, l'abrogation des lois d'exil, contre la pétition des évêques, contre, le service de trois ans, contre la démission de Thiers, contre le septennat, contre le ministère de Broglie, pour l'amendement Wallon, pour les lois constitutionnelles. Au mois de mars 1876, M. Ricard, ministre de l'Intérieur, l'appela à la préfecture du Lot-et-Garonne, fonctions qu'il conserva jusqu'à sa destitution, en mai 1877. Nomme préfet de la Loire le 18 décembre 1877, M. Renaud fut fait chevalier de la Légion d'honneur l'année suivante, et passa, en 1880, à la préfecture de la Seine-Inférieure qu'il quitta au commencement de 1882. (Sourc : Assemblée Nationale).
Félix Renaud est un homme politique et magistrat français. Il est Licencié en Droit et reçu au barreau de Dijon en 1855, puis à celui de Chalon-sur-Saône en 1860, où il est élu bâtonnier en 1868. Conseiller municipal de Chalon-sur-Saône, maire de du 12 août au 4 septembre 1870. Représentant de la Saône-et-Loire à l'Assemblé Nationale (élu le 3e sur 12, par 70063 voix) au 31 décembre 1875. Il fonde le groupe des républicains conservateurs du centre-gauche, soutient de Thiers. Plusieurs fois secrétaire de l'Assemblée, il est rapporteur en 1873 de la loi sur les contributions indirectes. Il vote pour la Paix, contre l'abrogation des lois d'exil, contre la pétition des évêques, contre le service de trois ans, contre la démission de Thiers, contre le septennat, contre le Ministère de Broglie, pour l'amendement Wallon et pour les lois constitutionnelles de 1875.
Appelé à la Préfecture du Lot-et-Garonne en mars 1876. Il est appelé à celle de la Somme au lendemain des élections du 16 mai 1977, mais refuse de servir le gouvernement royaliste de Broglie. Nommé préfet de la Loire en décembre 1877, puis de la Seine-Inférieure en novembre 1880. En mai 1882, il est nommé Directeur général des Contributions Indirectes du Ministère des Finances. Conseiller d'Etat en service extraordinaire le 17 janvier 1884, procureur général près la Cour des comptes le 15 janvier 1887, il en devient le Premier Président le 9 juillet 1901, poste qu'il occupe jusqu'à sa retraite, le 9 mars 1907. Il est décédé à Paris, le 28 avril 1907.
Une rue de Chalon-sur-Saône porte son nom.
Commandeur de la Légion d'honneur le 12 juillet 1890.
Discours prononcés devant la Cour à l'occasion d'audiences solennelles publiés par l'Imprimerie nationale : La Compatibilité des fabriques et le décret du 27 mars 1803, Paris 1883, Etude sur les rapports publics de la Cour des comptes, 1887, La Cour des comptes depuis 1870, Etudes sur les réformes proposées par elle, 1888. L'Amortissement en France, 1891. Le Contrôle de l'ordonnancement des dépenses publiques par la Cour des comptes, 1896. Les Finances de la France pendant la guerre de 1870-1871, 1896. L'œuvre budgétaire de la IIIe République en matière d'assistance et de prévoyance sociale, 1897. Statistiques sur les travaux de la Cour des Comptes de 1870 à 1900, 1900.
(Source : Wikipedia).
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RENAUD
Claudine
RENAUD Marie ( 1765 - 1843 )
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