Naissance : 30 mars 1971 à Grenoble 38
Père : NEYRET Patrick ( 1937 - ? )
Mère : REPITON-PRENEUF Monique ( 1941 - ? )
NEYRET Xavier
NEYRET Patrick
NEYRET Henri
JOCTEUR MONROZIER Madeleine
REPITON-PRENEUF Monique
Naissance : 24 pluviôse an XIII à Saint-Etienne 42
(Source : voir fichier Geneanet de Patrick Epitalon).Décès : 20 février 1886
(Source : voir fichier Geneanet de Patrick Epitalon).
Père : NEYRON André ( 1772 - 1854 )
Mère : ROYET Claudine Lucie ( 1781 - 1862 )
Union : COLCOMBET André Thomas ( 1792 - 1864 )
Mariage : 19 novembre 1827 à Saint-Etienne 42
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
Enfants : COLCOMBET Marie Anne Elisabeth ( 1828 - 1881 )
COLCOMBET Adrien André Régis ( 1830 - 1907 )
Note familiale : Le couple habite le château du Minois à St-Genest-Lerpt, puis en prend possession en 1838, il devient alors le château Colcombet, aujourd'hui propriété de la commune, qui abrite le lycée hôtelier Le Renouveau. (Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
NEYRON Aglaé Marie Anne
NEYRON André
NEYRON Antoine
JOURJON Marie Anne
ROYET Claudine Lucie
Négociant en rubans, concessionnaire de minesde charbon, maire de Saint-Etienne puis d'Outre-Furan - Chevalier de Légion d'honneur
Naissance : 4 août 1772 à Saint-Etienne 42
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).Décès : 24 octobre 1854 à Outre-Furan 42 Méons
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
Père : NEYRON Antoine ( 1738 - 1807 )
Mère : JOURJON Marie Anne ( 1747 - 1774 )
Union : ROYET Claudine Lucie ( 1781 - 1862 )
Mariage : 20 frimaire an XI à Saint-Etienne 42
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
Enfants : NEYRON Aglaé Marie Anne ( an XIII - 1886 )
NEYRON de MÉONS Claude Simon Ferdinand ( 1809 - 1876 )
NEYRON de MÉONS Marguerite ( 1813 - 1813 )
Note individuelle : Il n'a que deux ans lorsque sa mère disparaît. Fabricant de rubans, maire de Saint-Étienne du 27/09/1809 au 10/04/1813, puis maire d'Outre-Furan. Il obtient la concession des mines de Méons par ordonnance royale du 4 novembre 1824. Chevalier de la Légion d'honneur.
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
Négociant influent, il a été élu maire de Saint-Etienne sous le 1er Empire. Il a participé au mouvement fédéraliste en 1793 et à la défense de Lyon. Ayant échappé aux jacobins, il participe avec son oncle François Jourjon-Robert à la Terreur blanche. Fabricant de rubans, il reprend l'entreprise familiale, Veuve Marcellin Neyron.
Il exerce tour à tour ou successivement les fonctions de juge au tribunal de commerce, maire de Saint-Genest-Lerpt (1808), président du canton du Chambon et de commandant de la Garde d'Honneur de Saint-Étienne avant d'être nommé maire de Saint-Étienne le 27 septembre 1809. Colonel de la Garde nationale en 1814-1815 (ce qui lui vaut la Légion d'honneur en 1816), puis de nouveau en 1830, s'il siège de nouveau au conseil municipal de Saint-Étienne entre 1813 et 1815, puis en 1819, il va désormais vivre à Outre-Furens, dont il devait être nommé maire à deux reprises : sous la Restauration (de 1815 à 1826) et surtout sous la Monarchie de Juillet (de 1836 à 1848).
Il est actionnaire des premières sociétés qui se constituent dans la Loire : la Compagnie des Mines de fer (1818), la Compagnie des Mines de Roche-la-Molière(1820), la Compagnie du Chemin de fer. En 1826 il s'associe avec les frères Seguin pour la réalisation d'un port sec à l'arrivée du chemin de fer de Lyon sur des terrains qu'il possède à l'entrée de la ville. Il obtient de Charles X, le 4 novembre 1824, la concession houillère de Méons et abandonne son activité dans la rubanerie. Il possède aussi des intérêts dans la mine du Gagne-Petit et dans la concession de Berard. Sous la direction de l'ingénieur Harmet, Méons est vite considérée comme une exploitation modèle, visitée par la duchesse d'Angoulême (1826) et le duc d'Orléans (1830).
Ayant vendu sa concession en 1838, il contribue financièrement à la construction de l'église Sainte-Barbe du Soleil. Maire d'Outre-Furens, il essaie de s'interposer entre les grévistes et la troupe lors de la grève de 1846 et manque de peu d'être tué lors de la fusillade.
(Source : encyclopédie en ligne Wikipédia).
André-Antoine NEYRON naît en 1772 de l ’union d’Antoine NEYRON et Marie Anne JOURJON. Une jeunesse quelque peu tumultueuse le mène à Lyon lutter contre la Convention. En 1799, il est finalement acquitté et revient à une vie plus calme. Il épouse Claudine ROYET CHAPELON en 1803 et développe son activité de rubanerie. Bientôt, il se met à spéculer sur les terres de Méons et devient maire de Saint-Etienne de 1809 à 1813.
On lui doit l’aménagement de la place Marengo en promenade et la construction d’une fontaine place de l’Hôtel-de-Ville.
Il vend son négoce de rubans à ses neveux et se lance dans l’exploitation du charbon sur ses terres de Méons. Il
guidera d’ailleurs la duchesse d’Angoulême, sœur de Louis XVI, dans ses galeries. En 1838, il revend toutes ses concessions et devient maire de la commune d’Outre-Furan.
Son souhait : aménager un quartier digne de ce nom mais il se heurte à son cousin, BERNOUD de ROCHETAILLÉE pour une histoire de clocher. Le différend finira en duel… avorté. Il meurt en 1854 non s’en s’être désolé du peu d’ambition de son fils Ferdinand.
(Source Le Progrès).
André, dit André-Antoine, fils d'Antoine NEYRON et de Marie Anne JOURJON, né à St-Etienne le 04/08/1772, mort à Méons, commune d'Outre Furan le 24/10/1854. Il perd sa mère à l'âge de deux ans. Fabricant de rubans, maire de St-Etienne du 27/09/1809 au 10/04/1813, puis maire d'Outre-Furan. Chevalier de la Légion d'honneur. Sa fille, Marie Anne, a épousé le 19/11/1827 à St-Etienne, André Thomas COLCOMBET. Le couple habite le château du Minois à St-Genest-Lerpt, puis en prend possession en 1838. Il devient alors le château Colcombet, aujourd'hui propriété de la commune, qui abrite le lycée hôtelier Le Renouveau.
(Source : voir fichier Geneanet de Patrick Epitalon).
NEYRON André
NEYRON Antoine
NEYRON Marcellin
THIOLLIÈRE Marie Anne
JOURJON Marie Anne
Naissance : 18 novembre 1733 à Saint-Etienne 42
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).Décès : 11 novembre 1737 à Saint-Etienne 42
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
Père : NEYRON Marcellin ( 1701 - 1753 )
Mère : THIOLLIÈRE Marie Anne ( 1707 - 1793 )
NEYRON Antoine
NEYRON Marcellin
THIOLLIÈRE Marie Anne
Marchand et fabricant de rubans, administrateur des Hospices, premier maire de Saint-Etienne
Naissance : 8 juin 1738 à Saint-Etienne 42
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).Décès : 1 mars 1807 à Lyon 69
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
Père : NEYRON Marcellin ( 1701 - 1753 )
Mère : THIOLLIÈRE Marie Anne ( 1707 - 1793 )
Union : JOURJON Marie Anne ( 1747 - 1774 )
Mariage religieux : 10 janvier 1769 à Saint-Etienne 42
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
Enfants : NEYRON Marianne Josèphe ( 1770 - 1826 )
NEYRON Antoinette ( 1771 - 1858 )
NEYRON André ( 1772 - 1854 )
NEYRON Marcellin ( 1773 - ? )
Note individuelle : Marchand et fabricant de rubans, administrateur des Hospices. Premier maire élu de Saint-Étienne du 02/03/1790 au 14/11/1791 puis de nouveau du 31/03/1797 au 19/11/1797 et enfin, nommé par le premier Consul le 12/04/1800 jusqu'au 03/06/1800. Il a acquit une propriété et fait construire le château du Minois à St-Genest-Lerpt en 1804. (Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/neyron.html).
Frère cadet de Jacques Neyron, il épouse en 1769 Marie-Anne Jourjon, fille d'un des entrepreneurs de la Manufacture d'armes de guerre et sœur de Jourjon-Robert : trois enfants naissent de cette union dont André-Antoine Neyron.
Il dirige la société Veuve Marcellin Neyron & fils ce qui fait de lui un des plus importants marchands de rubans de Saint-Étienne. Il achète une charge de secrétaire du Roi mais n'ayant pas atteint les vingt ans d'exercice, il n'est pas accepté dans l'Assemblée de la noblesse du Forez en 1789.
Il est élu maire de Saint-Étienne au suffrage censitaire le 2 mars 1790. Cette première municipalité élue réalise une œuvre considérable en un laps de temps assez bref : numérotation des maisons, pavage et éclairage des rues par des réverbères et surtout achat d'une partie des biens des couvents vendus comme biens nationaux pour servir d'hôtel de ville et surtout pour ouvrir de nouvelles places et rues, à l'origine du centre-ville actuel. La première municipalité d'Antoine Neyron s'achève officiellement par la passation de pouvoir du 20 novembre 1791. Élu notable de la municipalité Praire-Royet, le 6 décembre 1792, Antoine Neyron prend une part active à la révolte fédéraliste.
Après la chute de Lyon et la victoire des Jacobins, il doit s'enfuir : il figure au premier rang des suspects recherchés et sa maison est réquisitionnée pour accueillir les représentants de la Convention tels que Claude Javogues. Lors des élections municipales du 1er germinal an V (21 mars 1797), il est élu à la municipalité par 498 voix et le conseil le choisit pour maire le 31 mai.
Le coup d'État anti-royaliste du 18 fructidor (14 septembre) entraîne la suspension de la municipalité, qui cesse de fonctionner le 24 septembre. Antoine Neyron est, enfin, nommé une troisième fois, maire de Saint-Étienne, par le Premier consul, le 12 avril 1800, mais il refuse cet honneur. Il remplit cependant quelques fonctions dans ces dernières années : au Conseil d'Agriculture, Commerce et Arts de la ville (1801) et au conseil général de la Loire (1803) où il joue un grand rôle pour obtenir la réalisation de la route de Roanne au Rhône. Il fait construire le château du Minois sur ses propriétés de Saint-Genest-Lerpt.
(Source : encyclopédie en ligne Wikipédia).
NEYRON Antoine
NEYRON Marcellin
THIOLLIÈRE Marie Anne