Père : LANGON (de ) Claude Paul ( J 1530 - <> J 1576 & 1589 )
Mère : BLEYNIER Claude ( J 1535 - > 1589 )
Note individuelle : Citée aussi le 28 janvier 1576. (Source : voir fichier Geneanet de Guy de Bronac).
LANGON (de ) Jeanne
LANGON (de ) Claude Paul
LANGON (de ) Etienne
MAUMEYRE (de ) N...
BLEYNIER Claude
BLEYNIER Annet
LA ROCHENÉGLY (de ) Marguerite
Père : LANGON (de ) Nicolas ( ? - J > 1549 )
Mère : FASSION (de ) Jehanne ( ? - ? )
Union : TIVOLEY (de ) Jacques ( ? - ? )
Contrat de mariage : 2 mai 1538
(Source : Dictionnaire de la noblesse : contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois (1699-1783) et Jacques Badier, Paris, 1863-1876, Tome 11, page 431).
LANGON (de ) Jeanne
LANGON (de ) Nicolas
LANGON (de ) François
DU RIVAIL Catherine
FASSION (de ) Jehanne
- Chevalier, seigneur de Langon
Père : LANGON (de ) Pierre ( J > 1361 - J > 1400 )
Mère : BUISSIÈRE (de ) Béatrix ( ? - ? )
Union : CHARPEY (de ) Jehanne ( J < 1390 - ? )
Mariage par contrat : 27 août 1407 reçu maîtres VOURAY, GUGI et MOREL, notaires
(Source : Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois (1699-1783) et Jacques Badier, Paris, 1863-1876, Tome 11, page 429).
Enfants : LANGON (de ) Perrette, ou Peyronnette ( J > 1407 - J > 1440 )
LANGON (de ) Didier ( J > 1407 - <> J 1478 & J 1482 )
LANGON (de ) Pierre ( ? - ? )
LANGON (de ) Louis ( ? - J 1430 )
Note familiale : "Jean de Langon fils de noble Pierre épousa le 27 juillet 1407 Jeanne de Charpey fille de Pierre de Charpey & Françoise Bachasson", sur une autre source : "Jean de LANGON.. avait épousé le 27 juillet 1405... Jeanne de CHARPEY fille de Noble Pierre & Françoise BACHASSON." (Source : voir fichier Geneanet famille Etienne).
Note individuelle : Rendit hommage au Roi, le 30 août 1405, entre les mains d'Etienne FARAVEL, notaire et commissaire dépité par la Chambre des Comptes de Dauphiné, descens, hommes et servis, ainsi que son père l'avait fait en 1383. Il est qualifié noble Jean de LANGON, fils de noble Pierre de LANGON, et rendit encore le même hommage le 27 novembre 1413. Ses enfants sont nommés dans un arrière-ban de 1436.
(Source : Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois (1699-1783) et Jacques Badier, Paris, 1863-1876, Tome 11, page 429).
Jean de Langon, II° du nom, Chevalier, rendit hommage au Roi, entre les mains d'Etienne Faravel, Notaire & Commissaire député par la Chambre des Comptes de Dauphiné, des cens, hommes & servis, ainsi que son père l'avait fait en 1383. Il est qualifié Noble Jean de Langon, fils de Noble Pierre de Langon, & rendit encore le même hommage le 27 novembre 1413...
(Source : voir fichier Geneanet famille Etienne).
Il hommage le 30 août 1405 devant me Etienne FARAVEL notaire et commissaire de la chambre des comptes du Dauphiné, et encore le 27 novembre 1413.
(Source : voir fichier Geneanet de Guy de Bronac).
La bataille de Verneuil fut une bataille de la guerre de Cent Ans, qui se déroula le 17 août 1424, à 3 km au nord de Verneuil, à proximité du château de Charnelles, en Normandie. Elle se solda par une victoire de l’armée anglaise.
À la suite de l’assassinat de Jean sans Peur à Montereau, le 10 septembre 1419, les Bourguignons s’allient aux Anglais, ce qui permet à ceux-ci d’envisager d’achever la conquête du royaume de France.
Un partisan du roi de France Charles VII s'empare par surprise du château d'Ivry, ce qui entraîne en réaction un siège anglais. Les assiégés proposent de se rendre le 15 août (1424) si aucun secours ne leur parvient.
L’armée de Charles VII, constituée d’un fort détachement écossais (7 000 hommes), se réunit à Châteaudun avant de se mettre en route pour les secourir. Les éclaireurs ayant démontré la trop forte position anglaise, les Français décident de se détourner d’Ivry.
Il leur paraît alors opportun de prendre la ville proche de Verneuil. Déguisant les archers écossais en archers anglais, ils occupent la ville, par surprise.
Le duc de BEDFORD, régent du Royaume d'Angleterre, furieux, marche sur Verneuil. Après avoir parlementé, les Franco-Écossais acceptent de livrer bataille plutôt que de subir un siège intenable. 11 000 Français et quelque 7 000 Écossais affrontent 14 000 Anglais.
Après de longues heures d’attente et d’observation, les archers anglais décident de provoquer les Français. Cependant, ces derniers chargent avant que les archers aient pu se fixer sur leurs nouvelles positions, faisant voler en éclats l’aile droite anglaise.
L’une des spécificités qui réduit l’avantage traditionnel des archers anglais, ce sont les armures milanaises pratiquement invulnérables, portées par la cavalerie lombarde. Celles-ci permettent à 2 000 cavaliers de fondre sur plus de 8 000 archers et de les enfoncer pratiquement sans perte.
Au même moment, sur la droite franco-écossaise, les archers écossais s’avancent et engagent un « formidable duel d’archerie », 12 000 archers s’affrontant pendant près de trois quarts d’heure. Plus à droite, les mercenaires espagnols et lombards, contournant ce combat d’archers, s’attaquent aux bagages anglais. Et cette troupe s’éloigne avec son butin.
Plutôt que de protéger ses valets, l’escorte (intacte) des bagages anglais, encouragée par BEDFORD, contre-attaque victorieusement et bouscule l’aile gauche française, épuisée.
Les Français battent en retraite tandis que les Anglais encerclent les Écossais et les massacrent. Le connétable de France l'Écossais John STUART, comte de Buchan, son frère cadet Robert, son beau-père Archibald DOUGLAS, 4e comte de Douglas et le fils de ce dernier, James DOUGLAS, sont tués. Découvert sur le champ de bataille, le corps du vicomte Guillaume de NARBONNE (conseiller du roi et capitaine des Armagnacs) est écartelé sur ordre des Anglais avant d'être pendu au gibet en raison de sa participation à l'assassinat du duc de Bourgogne Jean sans Peur (Contamine, Bouzy et Hélary 2012, p. 1031), à Montereau (Chroniques d'Enguerrand de Monstrelet, in Choix de chroniques et mémoires sur l'histoire de France, XVe siècle, par J. A. C. Buchon, Panthéon littéraire, A. Desrez, Libraire-Éditeur, Paris, 1836, p. 559).
Lors de cette bataille, les prises et rançons effectuées par le chevalier John FASTOLF lui firent gagner 13 400 livres.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
LANGON (de ) Jehan
LANGON (de ) Pierre
LANGON (de ) Jean
COLONEL (de ) Béatrix
BUISSIÈRE (de ) Béatrix
BUSSIÈRE (de ) Didier
MORAS (de ) Marguerite
Commandeur de Ville-Dieu, et capitaine des vaisseaux du Roi - Chevalier de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem
Père : LANGON (de ) François ( ? - > 1687 )
Mère : BOFFIN (de ) Thérèse ( ? - ? )
Note individuelle : Reçu en 1682 dans l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, il eut le commandement de 100 gentilshommes gardes de la Marine, qui furent envoyés à Naples en 1702 et, en récompense des services qu'il avait rendus, il fut fait capitaine de haut bord des vaisseaux du Roi, le 1er janvier 1703.
Il alla, en 1704, avec permission de la Cour, qui lui conserva son rang dans la Marine de France, commander un des vaisseaux de son Ordre. Il introduisit, en 1707, avec son seul vaisseau et 300 hommes, un convoi de munitions de guerre et de bouche dans Oran, place d'Afrique, passant au travers des sept plus gros vaisseaux d'Alger, eten présence de leur Roi, ou Dey d'Alger, il essuya le feu de leur mousqueterie et de leurs canons pendant trois heures. Ilfut fait lieutenant général des escadres de son ordre, et en commandant les vaisseaux, il combattit, le 19 juillet 1708, corps à corps, le vaisseau l'Amiral de Tripoli, monté de 60 canons et 700 hommes d'équipage, qui avait à sa suite une barque armée en guerre avec 200 hommes. Après un combat qui dura une grande partie du jour, où l'ennemi avait perdu la moitié de son monde, les turcs aimèrent mieux mettre le feu à leurs vaisseauxet à leurs barques que de sa rendre. On pêcha 300 hommes, au nombre desquels était le Capitaine Bacha de Tripoli, très grand homme de mer, et vice-amiral des flotte du Grand-Seigneur.
Il prit, en 1710, sur les côtes d'Espagne, la Capitane d'Alger, montée de 56 canons et 500 hommes, et fut tué d'un coup de fusil après que le vaisseau se soit rendu. Son corps fut porté à Carthagène, et enterré dans le choeur de la cathédrale. Le gouverneur lui fit rendre les plus grands honneurs, et la reine Marie de SAVOIE dit, en apprenant sa mort, qu'il y avait des personnes qui ne devraient jamais mourir. Le Grand Maître lui a fait mettre, aux dépends de l'ordre, une pierre sépulcrale dans l'eglise de Malte. Il y a aussi un mausolée à Carthagène avec pareille épitaphe.
(Source : Dictionnaire de la noblesse : contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois (1699-1783) et Jacques Badier, Paris, 1863-1876, Tome 11, pages 433-434).
LANGON (de ) Joseph
LANGON (de ) François
LANGON (de ) Nicolas
MONTEYNARD (de ) Clémence
BOFFIN (de ) Thérèse
- Chevalier de Saint-Jean-de-Jérusalem
Naissance : entre 1443 et 1458
Père : LANGON (de ) Didier ( J > 1407 - <> J 1478 & J 1482 )
Mère : REVEL (de ) Antoinette ( ? - ? )
Note individuelle : Reçu chevalier de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem en 1468.
(Source : Dictionnaire de la noblesse : contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois (1699-1783) et Jacques Badier, Paris, 1863-1876, Tome 11, page 430).
LANGON (de ) Louis
LANGON (de ) Didier
LANGON (de ) Jehan
CHARPEY (de ) Jehanne
REVEL (de ) Antoinette