Fiches individuelles


GRIZOT Claudine
Naissance : vers 1734
Décès : 18 prairial an II à Saint-Vincent-Bragny 71

Union : PLUCHOT Henry ( ~ 1731 - 1761 )
Mariage religieux : 30 janvier 1753 à Paray-le-Monial 71 ( Source )
Présent le père de la fille, les témoins furent François VINCENT, Augustin PLUSSIAU, Georges PLUSSIEU, tous deux de la paroisse de Saint-Vincent, Georges DUBOIS, laboureur à Montceaux, tous illéttrés.
Enfants : PLUCHAUD Jacques ( 1754 - ? )
PLUCHAUD Claudine ( 1755 - an XI )
PLUCHAUD Léger ( 1757 - ? )
PLUCHOT Philiberte ( 1760 - ? )
PLUCHOT Louis ( 1762 - 1843 )
PELUCHOT Philibert ( ? - an X )
Note individuelle : Demeurant à chevagny, paroisse de Saint-Vincent-de Bragny, en 2/1781.





GROISON Jacques
Naissance : 24 février 1762 à Granges 71
(Source : voir fichier Geneanet de Françoise Corsin).
Décès : 17 avril 1788 à Granges 71
(Source : voir fichier Geneanet de Françoise Corsin).

Union : BAUDOT Eléonore ( ? - ? )
Mariage religieux : 10 janvier 1786 à Granges 71
(Source : voir fichier Geneanet de Françoise Corsin).




GROMAND Célia Maria Georgine Guilène
Naissance : 1980
(Source : voir base Roglo).

Union : EVERLANGE de BELLEVUE (d') Tanguy Emmanuel Henri Marie ( 1976 - ? )
Mariage : 17 septembre 2005 à Evry 77
(Source : voir base Roglo).
Enfants : EVERLANGE de BELLEVUE (d') Léopold ( 2008 - ? )
EVERLANGE de BELLEVUE (d') Thalésie ( 2010 - ? )




GRONTIER Jean
Naissance : 1767
(Source : voir fichier Geneanet de Dominique Marchandeau).
Décès : entre 1822 et 1824
(Source : voir fichier Geneanet de Dominique Marchandeau).

Union : FOUCHEROT Jeanne ( 1788 - 1824 )




GROS Albert Georges Marie Joseph
Officier - Officier de la Légion d'honneur

Naissance : 14 juin 1879 à Ecully 69
(Source : LH/198000350/152/19321).
Jugement : 13 septembre 1945 à Angers 49 Chambre Civique de la Cour de Justice ( Source )
Décès : 21 août 1958 à Cannes 06

Union : BALAŸ Marguerite ( 1884 - 1935 )
Mariage : 1904
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Colin de Verdière).
Note familiale : Ce couple eut cinq enfant.
Note individuelle : Fils de Marie Jean Georges Marc GROS, et de Marie Louise Madeleine GUÉRINEAU
Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur par décret du 12 juillet 1917, en qualité de capitaine d'active à l'Etat-Major de la 167ème Dividion d'Infanterie.
Il est promu officier de la Légion d'honneur par décret du 28 décembre 1928, en qualité de chef de bataillon d'Infanterie à l'Etat-Major du 13ème Corps d'Armée à Clermont-Ferrand.
Il avait un beau passé militaire, et la croix de Guerre 1914-1918 avec 5 citations, dont 3 à l'ordre de l'Armée. Reçu à l'Ecole Spéciale Militaire en 1899, Il était sorti de Saint-Cyr en 1901, puis avait été reçu à l'Ecole Spéciale de Guerre en 1912. Il avait servi pendant la Guerre 1914-1918 comme capitaine d'Infanterie, puis avait pris sa retraite par anticipation le 1er mars 1926, avec le grade de lieutenant-colonel, se retirant 9 rue Ferrandi à Paris (6ème arrdt).
Ordre n° 113 du 13ème C.A., en date du 16 mai 1916 : Au cours des combats livrés pendant le mois de mars 1916 dans la région de V(...?...), s'est affirmé comme un officier d'Etat-Major de première valeur par son calme et son sang-froid, par la sureté de son jugment, par son esprit net et précis, et son mépris absolu du danger.
A exécuté sous de violents bombardements de nombreuses reconnaissances qui ont permis d'organiser un secteur où sont venues se brises les attaques acharnées et renouvelée de l'ennemi.
Ordre n° 127 de la 26ème Division, en date du 1er décembre 1916 : Officier très intelligent et très dévoué, aussi brave que modeste, n'a cessé pendant une période d'attaque de plus de trois mois de faire preuve des qualités les plus solides d'énergie et de courage, en assurant, malgré les plus violents bombardements, l'exécution précise et complète des missions de reconnaissance qui lui ont été confiées.
Ordre n° 645 de la VIème Armée, en date du 2 octobre 1918 : Officier d'Etat-Major de premier ordre , joignant le coup d'oeil à la science, la méthode et la rapidité, le calme à la bravoure. Au cours des opérations offensives exécutées par la Division pendant les mois de juin et juillet 1918, a fourni un travail continu de jour et de nuit assurant en outre la liaison avec les troupes de premières lignes, malgré toutes les difficultés et sans souci du danger.
Cité à l'ordre de l'Armée n° 451, en date du 17 décembre 1918 : Chargé d'attaquer de front un village ennemi très fortement organisé, a lancé son bataillon à l'attaque avec une rare énergie. Forcé de s'arrêter devant les défenses non détruites, a su maintenir son bataillon pendant 3 jours sur le terrain gagné, sous un feu violent d'artillerie et de mitrailleuses, communiquant à tous ses subordonnés ses sentiments élevés de sacrifice et ténacité. 3 citations antérieures.
Cité à l'ordre de l'Armée, en date du 12 décembre 1918 : Officier d'élite dont la haute valeur morale n'a d'égal que le courage au feu, le sang-froid et l'habileté mnoeuvrière. Chef dans toute l'acceptation du terme connaissant et aimant le soldat. Commandant le bataillon de tête du régiment à l'attaque du 26 septembre 1918 a conduite son unité dans un ordre parfait, malgré un terrain difficile et un brouillard intense jusqu'au premier objectif. Les jours suivants a progressé dans un terrain balayé par les mitrailleuses, enlevant plusieurs canons et capturant de nombreux prisonniers.
Portant le matricule 119419, il est rayé de plein droit des matricules de l'Ordre de la Légion d'honneur à partir du 13 septembre 1945, suite à sa condamnation le même jour par la Chambre Civique de la Cour de Justice d'Angers, à vingt ans de dégradation nationale et vingt ans d'interdiction de séjour, par arrêté paru au Journal officiel le 29 avril 1948. Il avait été accusé d'avoir vanté la discipline et l'organisation des armées allemandes, d'avoir reproché aux anglais leurs bombardements à grande altitude, d'avoir porté à la mairie de sa commune des tracts laissés par des avions, de s'ête abonné au journal germanophile La rose des vents et d'avoir donné le nom de certains de ses concitoyens à ce périodique pour quils reçoivent ce journal, d'avoir donné asile quelques jours avant la Libération à des soldats allemands. Il avait prétendu que ces accusations n'était que l'expression de haines de village. Cette peine fut réduite à 5 ans par décret du Président de la République en date du 17 novembre 1949, puis amnistiée par l'article 2 de la loi du 5 janvier 1951.
En mai 1948, il est domicilié 5 cité Vanneau à Paris (7ème arrdt).
Domicilié 9 rue Jean Ferrandi à Paris (6ème arrondissement), par lettre du 18 novembre 1955, il réitère une demande da réintégration dans l'Ordre de la Légion d'honneur, réintégration déjà demandée par lettre du 14 septembre 1954. Dans cette lettre il écrit qu'en dépit d'une condamantion basée surtout sur des conversations mal interprêtées et inexactement rapportées, il n'a jamais cessé de servir son pays avec zèle et loyauté.
A cette époque, il avait vendu sa propriété et sa ferme de Saint-Denis-d'Anjou (53), où il avait résidé pendant une partie de l'Occupation et après la Libération. Il était peu connu à Laval (53), n'y ayant séjourné que quelques mois à partir de décembre 1944, 19 place Hardy. Il avait réintégré son appartement parisien depuis 1945, où il vivait avec sa femme, menant une vie paisible de retraité, et ne s'occupant pas de politique.
Les faits de collaboration qui lui avait été reprochés s'estompent quelque peu et il ne semble pas que sa réintégration dans l'ordre de la Légion d'honneur soit de nature à susciter des réactions de la part de la population. Les renseignements recuceillis sur lui sont favorables, et le Garde des Sceaux a émis un avis favorale à la réintégration. Le dossier n'étant pas complet, l'avis du Conseil de l'Ordre est ajourné, par décision du 10 février 1956, jusqu'à la fin des travaux de la Commission.
Sa fille aînée a épousé M. Michel ZYROMSKI, contrôleur d'Etat, qui a appartenu à des cabinets ministériel depuis la Libération.
(Source : LH/198000350/152/19321).



                     


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