Fiches individuelles


BAILE Jacques
Père : BAYLE Claude ( ? - < 1752 )
Mère : DELAVIALLE Jeanne-Marie ( ? - > 1760 )

Union : PEYRON Magdaleine ( ? - < 1783 )
Mariage : 8 février 1752 à Marlhes 42
BAILE Jacques
BAYLE Claude
 
 
DELAVIALLE Jeanne-Marie
DELAVIALLE Jean
DUVERNEY Isabeau




BAILE Pierre
Naissance : 14 août 1659 à Lans-en-Vercors 38
(Source : voir fichier Geneanet de Sophie Rabaud).

Père : BELLE Jean ( 1621 - 1681 )
Mère : CLAPASSON Alix ( ? - ? )

BAILE Pierre
BELLE Jean
BEYLE Ambroise
ARZAC de LA CARDONNIÈRE (d') Claudine
CLAPASSON Alix
 
 




BAILHE ou BAYLE Jean dit le jeune
Du Temple, procureur d'office de la juridiction de La Faye

Baptême : 17 décembre 1623 à Marlhes 42
Son parrain fut Jean BAYLE, et sa marraine Izabeau BAYLE.
Décès : entre 10 août 1678 et 29 septembre 1694

Père : BAYLE Jean ( ~ 1594 - 1647 )
Mère : CELLE de MALCONIÈRE Jeanne ( ~ 1601 - 1671 )

Union : DELABORIE Jeanne ( ~ 1635 - 1713 )
Mariage religieux : 22 janvier 1651 à Marlhes 42
Enfants : BAYLE Anthoine ( 1657 - < 1679 )
BAYLE Françoise ( 1660 - ? )
BAYLE Jean ( 1662 - ? )
BAYLE Claude ( 1665 - ? )
BAYLE Eustache ( 1666 - ? )
BAYLE Jean ( 1668 - ? )
BAYLE Joseph ( 1671 - <> 1737 & 1741 )
BAYLE Françoise ( 1674 - ? )
BAYLE Barbe Geneviève ( ~ 1678 - 1708 )
Note individuelle : Habitait au lieu de Peubert. il abandonne le notariat pour acheter la charge de procureur d'office du Temple de Marlhes. Il se marie avec la fille du procureur d'office de la juridiction de La Faye, membre d'une famille de la noblesse régionale. (source : fichier La Famille BAYLE, par Gilles BOUTTE, page 18).

BAILHE Jean
BAYLE Jean
BAYLE Jean
THIVILLIER Catherine
CELLE de MALCONIÈRE Jeanne
CELLE André
MATHEVET Antoinette




BAILLARD Claudine
Union : VIALLETON Marcellin ( ? - ? )
Mariage religieux : 10 mai 1689 à Sainte-Sigolène 43 Boucherolles
(Source : http://gw.geneanet.org/soubeyrand).




BAILLARD DES COMBEAUX (de ) Hélène Claude
Union : CHAMBARLHAC (de ) Antoine ( ? - ? )
Note individuelle : La noblesse et la bourgeoisie de Saint-Didier-en-Velay :
On reste étonné de trouver dans la baronnie de Saint-Didier, une aussi abondante floraison de nobles et de bourgeois.
La cité était riche. Son commerce était actif. Des bourgeois considérables s’étaient liés à des nobles de Saint-Didier et des environs. De vieille familles s’installèrent à Saint-Didier à la suite d’alliances. Les puissants barons de Saint-Didier, qui résidaient une partie de l’année dans leur vieux castel, avaient attiré également un certain nombre de noble.
La vie, d’ailleurs, y était aisée et agréable. Cette bourgeoisie et cette noblesse, riches et considérables sous plusieurs aspects, presque toujours désœuvrées ou tout au moins disposant de beaucoup de loisirs, aimaient infiniment les amusements, les plaisirs et les jeux de grand exercices, tels que le mail, la chasse, les boules.
On y jouait notamment, d’une manière distinguée, à la paume longue avec des battoirs en forme de palettes à long manche, et avec des balles garnies de peau blanche.
Plus de trente familles nobles et bourgeoises vécurent à Saint-Didier. Quelques-unes, depuis longtemps, ont disparu, fondu dans des alliances. D’autre se sont éteintes sans postérité. D’autre enfin, subsistent encore, au nombre de celle-ci, citons les familles du PELOUX de SAINT-ROMAIN ; la famille de LAFRESSANGE ; la famille de VÉRON de La COMBE ; de LUZY de PÉLISSAC ; ALLOUËS de LAFAYETTE, etc.…
La famille BAILLARD des COMBEAUX était originaire de Sainte-Sigolène. De la CHESNAYE des BOIS l’a dit originaire du Languedoc et du Bourbonnais. Elle fut maintenue dans sa noblesse par un jugement d’intendant et un arrêt du conseil du roi.
Elle a donné le jour à BAILLARD des COMBEAUX, juge mage au siège du Puy., à l’Abbé BAILLARD des COMBEAUX, qui fut précepteur aux Dame de France, à Marcelin BAILLARD des COMBEAUX avocat au parlement, capitaine-châtelain et juge de la Tour-Maubourg et Sainte-Sigolène.
Les armoiries de Marcelin BAILLARD des COMBEAUX, étaient «d’or à trois palmes de sinople réunies en pointe par le bas des tiges, qui est Baillard ; écartelé d’azur à un croissant d’argent accompagné de trois molettes d’or posées deux et un, qui est Charbonnel du Bitz».
(Source : http://histoire-seauve-et-velay.fr/2018/03/la-noblesse-et-la-bourgeoisie-de-saint-didier-en-velay/).



                     


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