Fiches individuelles


BERNOU de ROCHETAILLÉE Marie Camille Françoise Charlotte
Naissance : 20 novembre 1883 à Paris (8ème) 75
(Source : voir base Roglo).
Décès : 16 juin 1966 à Nice 06
(Source : voir base Roglo).

Père : BERNOU de ROCHETAILLÉE Antoine Jean-Baptiste Camille ( 1841 - 1888 )
Mère : ROCHEFORT (de ) Marie-Constance ( 1852 - 1926 )

Union : BROGLIE (de ) Louis César Victor Maurice ( 1875 - 1960 )
Mariage : 12 janvier 1904 à Paris (8ème) 75
(Source : voir base Roglo).
Enfant : BROGLIE (de ) Laure Marie Victoria ( 1904 - 1911 )
BERNOU de ROCHETAILLÉE Marie Camille Françoise Charlotte
BERNOU de ROCHETAILLÉE Antoine Jean-Baptiste Camille
BERNOU de ROCHETAILLÉE Charles Antoine Henri
RAMAY de SUGNY Marie-Thérèse Eugénie
ROCHEFORT (de ) Marie-Constance
 
 




BERNOU de ROCHETAILLÉE Marie, ou Maria Théodora
Naissance : 29 novembre 1873 à Saint-Jean-Bonnefonds 42
(Source : voir base Roglo).
Décès : 15 février 1930 à Montech 82 château du Mesnil-Finhan
(Source : voir base Roglo).

Père : BERNOU de ROCHETAILLÉE Vital Jean ( 1839 - 1908 )
Mère : DAMPIERRE (de ) Marguerite ( 1844 - 1893 )

Union : DUVAL de CURZAY Stanislas Henri Marie Joseph ( 1873 - 1954 )
Mariage : 10 juillet 1900 à Saint-Jean-Bonnefonds 42
(Source : voir base Roglo).
Enfants : DUVAL de CURZAY Marguerite Marie ( 1901 - 1976 )
DUVAL de CURZAY Henriette Eliane ( 1911 - 1928 )
BERNOU de ROCHETAILLÉE Marie, ou Maria Théodora
BERNOU de ROCHETAILLÉE Vital Jean
BERNOU de ROCHETAILLÉE Charles Antoine Henri
RAMAY de SUGNY Marie-Thérèse Eugénie
DAMPIERRE (de ) Marguerite
 
 




BERNOU de ROCHETAILLÉE Philippine
Père : BERNOU de ROCHETAILLÉE Jean ( 1913 - 2009 )
Mère : DU PONT de COMPIÈGNE Hélène ( 1926 - ? )

BERNOU de ROCHETAILLÉE Philippine
BERNOU de ROCHETAILLÉE Jean
BERNOU de ROCHETAILLÉE Henri Charles Marie Elie
GALARD (de ) Madeleine
DU PONT de COMPIÈGNE Hélène
 
 




BERNOU de ROCHETAILLÉE Quitterie
Père : BERNOU de ROCHETAILLÉE Henri Charles Marie Elie ( 1883 - 1973 )
Mère : GALARD (de ) Madeleine ( 1887 - ? )

BERNOU de ROCHETAILLÉE Quitterie
BERNOU de ROCHETAILLÉE Henri Charles Marie Elie
BERNOU de ROCHETAILLÉE Vital Jean
DAMPIERRE (de ) Marguerite
GALARD (de ) Madeleine
 
 




BERNOU de ROCHETAILLÉE Vital Jean
Zouave pontifical, officier d'Infanterie, conseiller général de la Loire - Baron de Rochetaillée, chevalier de la Légion d'honneur

Naissance : 28 avril 1839 à Roanne 42 dans le domicile du sieur FLANDRE, maître d'hôtel, rue Royale ( Source )
Déclaration faite le lendemain par le père de l'enfant, qui signe.
Témoin : BERNOU de ROCHETAILLÉE Claude Gaspard Camille Jean Marie Antoine ( 1803 - 1857 )

Décès : 3 novembre 1908 à Montech 82 au château du Mesnil ( Source )
Inhumation : à Saint-Jean-Bonnefonds 42
(Source : voir fichier Geneanet de Mathieu Nival).

Père : BERNOU de ROCHETAILLÉE Charles Antoine Henri ( an XIV - 1887 )
Mère : RAMAY de SUGNY Marie-Thérèse Eugénie ( 1819 - 1891 )

Union : DAMPIERRE (de ) Marguerite ( 1844 - 1893 )
Mariage : 22 mai 1871 à Le Vignau 40270 au château
(Source : voir fichier Geneanet de Mathieu Nival).
Enfants : BERNOU de ROCHETAILLÉE Charles ( 1872 - 1881 )
BERNOU de ROCHETAILLÉE Marie, ou Maria Théodora ( 1873 - 1930 )
BERNOU de ROCHETAILLÉE Jean ( 1875 - 1896 )
BERNOU de ROCHETAILLÉE Gabrielle ( 1877 - 1878 )
BERNOU de ROCHETAILLÉE Henri Charles Marie Elie ( 1883 - 1973 )
BERNOU de ROCHETAILLÉE Francisque ( 1885 - 1903 )
Note individuelle : Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 5 mai 1871, en qualité de capitaine de la Garde Nationale de la Loire, grade auquel il est nommé le 12 août 1870, domicilié à Saint-Jean-Bonnefonds. A effectué la Campagne de France du 1er octobre 1870 au 15 mars 1871. Il a été renvoyé dans ses foyers suite à licenciement, en exécution de l'arrêté ministériel du 7 mars 1871, et rayé des Cnotr^les le 16 du même mois. (Source : LH/204/2).

Il a joué un rôle important au moment de la Commune de Saint-etienne en 1871 (Source : Entretemps, par Gérard Thermeau, page 176 note 17).

Il se présenta aux élections sénatoriales du 2 janvier 1887 (Source : l'Illustration de Roanne du 20 décembre 1886).

Les Zouaves pontificaux
Créé le 1er janvier 1861 sur le modèle des troupes de zouaves de l'armée française, dont l'uniforme exotique est très populaire au milieu du XIXe siècle, le bataillon des zouaves pontificaux, devenu régiment au 1er janvier 1867 est constitué de volontaires, majoritairement français, belges et néerlandais, venus défendre l'État pontifical dont l'existence est menacée par la réalisation de l'Unité italienne au profit du Piémont. Son histoire est corrélée à la dernière décennie de l'État du Saint-Siège (1860-1870). Le régiment est licencié le 21 septembre 1870 à la suite de la disparition des États pontificaux.
La création du corps des zouaves pontificaux
En 1860, le sort de l'État pontifical paraît critique. Les puissances catholiques se désintéressent de la question, aussi le camérier secret du pape Pie IX, Mgr Xavier de Mérode, ancien militaire devenu pro-ministre des armes, décide de faire appel au général de Lamoricière pour réorganiser et commander l'armée pontificale. Pour augmenter les effectifs, Lamoricière recourt à l'enrôlement volontaire et fait appel aux États catholiques. Belges et Français constituent un bataillon des tirailleurs franco-belges sous les ordres du vicomte Louis de Becdelièvre. Celui-ci tient personnellement à les doter de l'uniforme inspiré des zouaves, et adapté à la chaleur romaine. Assez mal accueilli par Lamoricière qui a bien d'autres problèmes plus urgents, il a le soutien de Mgr de Merode et du pape lui-même ; les tirailleurs sont donc appelés zouaves pontificaux avant même la création officielle du corps. Les Piémontais écrasent les Pontificaux à la bataille de Castelfidardo (18 septembre 1860) et l'État du pape se trouve réduit au seul Latium. Le désastre fait affluer les volontaires à Rome : le bataillon des zouaves pontificaux est constitué d'une partie des tirailleurs franco-belges et des Irlandais du bataillon de Saint-Patrick, auxquels s'étaient ajoutés, avant la bataille, les quelques «croisés» d'Henri de Cathelineau.
Il est à noter que le 11 avril 1866 une circulaire du Maréchal Randon avait autorisé la création de la Légion d'Antibes qui à côté des zouaves pontificaux, fournit des effectifs à l'armée pontificale, surtout en soldats de nationalité française.
Les effectifs et l'origine géographique
Jusqu'en 1864, les zouaves comptent entre 300 et 600 hommes puis l'effectif monte à 1 500 hommes puis 1 800 avant d'atteindre le maximum de 3 200 hommes peu avant la chute de Rome. Entre 1861 et 1870, il y a plus de 10 000 nouveaux engagés issus de 25 nationalités différentes. Les plus nombreux sont les Hollandais, ensuite les Français et les Belges mais on trouve aussi des Suisses, des Allemands, des Italiens, des Canadiens et même des Américains. Sur 170 officiers, on compte 111 Français et 25 Belges. Leur aumônier est Mgr Jules Daniel, un Nantais, assisté par deux Belges, Mgr Sacré et Mgr de Woelmont.
L'un des engagés les plus connus est John Surratt (1844-1916), impliqué en 1865 dans l'assassinat d'Abraham Lincoln : ayant fui en Europe, il servit quelque temps dans la neuvième compagnie de zouaves pontificaux, sous le nom de John Watson (Howard Marraro, « Canadian and American Zouaves in the Papal Army, 1868-1870 », Canadian Catholic Historical Association Report, vol. 12,ý 1944-45, p. 83-102).
L'effectif français est issu pour plus du tiers des départements constituant les actuelles régions de la Bretagne et des Pays de la Loire. Cette affluence masque les apports non négligeables du Nord, de la région de Nîmes, et du sud du Massif Central. Si Belges néerlandophones et Hollandais sont souvent d'origine populaire, la noblesse est bien représentée chez les Français et les volontaires belges francophones. Le duc de La Rochefoucauld-Doudeauville et son frère, le duc de La Rochefoucauld-Bisaccia soutiennent financièrement l'entreprise en équipant complètement 1 000 hommes. Leur point commun est leur attachement à l'Église catholique romaine : leur combat est vu comme une croisade pour défendre la capitale du catholicisme et la liberté du pape contre le révolutionnaire Garibaldi et le roi anticlérical Victor-Emmanuel II. Leur engagement religieux est souvent inséparable de leur engagement politique : nombreux sont les Français qui se réclament du légitimisme.
L'uniforme
De couleur gris-bleu, l'uniforme se compose d'une courte veste à soutaches rouges au col dégagé, d'un grand pantalon bouffant retenu par une large ceinture rouge et d'un petit képi à visière carrée. Les officiers portent des soutaches noires. La tiare et les clés croisées de Saint-Pierre sont gravées sur les boutons de cuivre. Les officiers portent des bottes et les soldats des molletières jaunes.
Il a été prévu une coiffure de grande tenue, sorte de colback en faux astrakan de laine noire, sans visière, à calot de drap rouge; une courte fourragère, terminée par un gland pendant à droite, le tout en laine rouge, en fait le tour. Pour les officiers, le talpack est en astrakan véritable et le calot porte un nœud hongrois en soutache d'or.
Très similaire à celle des zouaves de l'armée française, cette tenue n'enthousiasme pas la Curie, où l'on a ce mot : «C'est bien une idée de Français de vêtir les défenseurs du Pape en mahométans !» (Quentin Chazaud, « Les zouaves, légendes de l'armée d'Afrique », Guerres & Histoire, no 14,ý août 2013, p. 78-82). Mais l'idée plaît à Pie IX. La solde est élevée, d'où le qualificatif de mercenaires utilisé par les adversaires des zouaves pour les discréditer.
Un corps remis en question
Le commandement est confié de nouveau au colonel de Becdelièvre. À la suite d'un désaccord avec Mgr de Mérode, il démissionne et il est alors remplacé par le colonel Allet, un Suisse depuis longtemps au service du Pape. La ligne intransigeante et belligérante défendue par Mérode et qu'incarnent les zouaves paraît désavouée en 1865 : par la convention franco-italienne du 15 septembre 1864, l'Italie s'engage à respecter l'État pontifical et la France s'engage à retirer ses troupes dans les deux ans. Le 20 octobre 1865, le camérier secret se voit retirer son ministère au profit du général Hermann Kanzler. Mais si les Piémontais, en effet, ne peuvent plus bouger officiellement, ils soutiennent en sous-main le harcèlement que mènent Garibaldi et ses «chemises rouges». C'est avec eux que les zouaves vont connaître divers «accrochages» dans la défense des frontières du Latium, jusqu'à l'affrontement de 1867.
En mai 1868, il y avait 4 592 hommes au matricule soit 1 910 Hollandais, 1 301 Français, 686 Belges, 157 «Pontificaux», 135 Canadiens, 101 Irlandais etc. En 1869, le régiment reçut son organisation définitive : 4 bataillons à 6 compagnies et 4 compagnies de dépôt. C'était donc une unité de la force d'une brigade.
La campagne de 1867 et Mentana
Avec la cession de la Vénétie par l'Autriche battue par la Prusse en 1866 et le retrait des troupes françaises, l'aile radicale des patriotes italiens relance les projets d'annexion. Garibaldi déclare venu le temps de «faire crouler la baraque pontificale» et au Congrès international pour la paix à Genève le 9 septembre 1867, il qualifie la papauté de «négation de Dieu (…) la honte et la plaie de l'Italie». Pour les zouaves, Garibaldi est vu comme l'Antéchrist. Il organise une petite armée de volontaires de 8 000 hommes et il essaie de rééditer l'expédition des Mille qui avait réussi en Sicile en 1860. En décembre 1866, Athanase de Charette de la Contrie devient lieutenant-colonel des zouaves toujours sous le commandement d'Allet.
En octobre, avec la complicité du gouvernement italien, les garibaldiens envahissent l'État pontifical et tentent d'organiser l'insurrection de Rome. Le 22 octobre, le projet de soulèvement échoue, faute d'un soutien populaire, et la destruction par une mine souterraine de la caserne Serristori, logement habituel des zouaves, fait peu de victimes. Les garibaldiens s'emparent de Monte Rotondo le 26 octobre tandis qu'un corps expéditionnaire français débarque à Civitavecchia le 29 pour venir au secours du Pape.
La bataille de Mentana
Le général Kanzler mène la contre-offensive pontificale. Le 3 novembre 1867, dans la localité de Mentana, les zouaves et les carabiniers pontificaux soutenus par la légion romaine (ou légion d'Antibes) constituée de volontaires français enfonce la petite armée de Garibaldi. Ils sont suivis par la brigade de l'armée française du général Polhès, qui armée du redoutable chassepot modèle 1866, fusil qui permet de tirer 12 coups à la minute, donne le coup de grâce. Ce sont les zouaves qui apparaissent comme les véritables vainqueurs de la journée : lors du défilé victorieux du 6 novembre, les généraux se découvrent à leur passage et la foule crie : « Vive Pie IX, Vive la France, Vivent les zouaves, Vive la religion ! ». Mentana assure à l'État pontifical un répit de trois ans qui va permettre la réunion du concile de Vatican I.
La chute de Rome
La guerre franco-prussienne de 1870 entraîne le retrait des militaires français affectés à la protection du pape. En revanche, les volontaires français (officiers ou hommes de troupe) engagés dans le corps des Zouaves pontificaux restent sur place, commandés par le colonel de Charette . En septembre 1870, la défaite de la France contre la Prusse, alliée de l'Italie, provoque l'invasion de ce qui reste des États pontificaux par une armée italienne de 70 000 hommes sous le commandement du général Raffaele Cadorna. En face, les effectifs pontificaux ne dépassent pas 13 000 hommes dont 3 000 zouaves, aussi Kanzler choisit-il de concentrer ses efforts dans la défense de Rome. Le 20 septembre, l'artillerie italienne bombarde les fortifications romaines. Le pape demande à Kanzler de cesser le feu dès les premiers coups de canon au grand dépit des zouaves souhaitant se battre. Onze zouaves seulement sont tués lors des combats. Le lendemain, le régiment des zouaves est licencié et les Français sont rapatriés à Toulon.
La légion des volontaires de l'Ouest 1870-1871
De retour en France, Charette propose ses services au gouvernement de la Défense nationale qui l'autorise à fonder un corps franc en lui laissant toute liberté et l'uniforme de zouave mais à condition de changer le nom en Légion des volontaires de l'Ouest. Le nouveau corps se fait remarquer à la bataille d'Orléans (11 octobre). Les deux bataillons sont rattachés au 17e corps d'armée du général Louis-Gaston de Sonis à la mi-novembre. Le 2 décembre 1870, pendant la bataille de Loigny, les zouaves, sous la bannière du Sacré-Cœur, tentent de reprendre le village de Loigny dans une charge restée célèbre : Charette, blessé est fait prisonnier mais réussit à s'évader peu après. Le 11 janvier 1871, les zouaves chargent à nouveau, avec à leur tête le général Gougeard, et parviennent à reprendre aux Prussiens le plateau d'Auvours, tout proche du Mans. Dans l'afflux des mauvaises nouvelles, ces exploits locaux impressionnent l'armée, bien qu'ils soient sans influence sur la suite des évènements. Charette étant devenu général, il refuse que sa « légion » participe à la répression de la Commune de Paris, non par sympathie pour cette cause mais parce qu'il n'accepte pas de se battre contre d'autres Français : il l'a déjà montré en démissionnant de l'armée d'Autriche en 1859 au moment où celle-ci est opposée à la France. Finalement les Volontaires de l'Ouest sont toujours à Rennes en mai 1871. Le 28 mai, la légion des zouaves est consacrée au Sacré-Cœur de Jésus et, la guerre étant terminée, les bataillons sont dissous le 13 août.
L'engagement des zouaves pontificaux
Sur le plan diplomatique et idéologique, les zouaves pontificaux se rattachent à la ligne la plus dure de la Curie romaine de l'époque. Ils suscitent une mobilisation financière non négligeable de la part des catholiques, notamment en France, même les officiers doivent souvent payer leur équipement (ce qui peut expliquer qu'ils bénéficient d'un équipement relativement moderne). Dans tout le monde occidental, de nombreux prêtres lancent des appels à s'engager dans ce corps, et les zouaves morts au combat apparaissent aux yeux de beaucoup comme des martyrs modernes. De fait, le serment que prêtent les soldats est assez représentatif des motivations qui les animent :
«Je jure à Dieu Tout-Puissant d'être obéissant et fidèle
à mon souverain, le Pontife Romain, Notre Très Saint Père
le Pape Pie IX, et à ses légitimes successeurs.
Je jure de le servir avec honneur et fidélité et de sacrifier
ma vie même pour la défense de sa personnalité auguste et sacrée,
pour le maintien de sa souveraineté et pour le maintien de ses droits.»
Principaux combats livrés par les zouaves pontificaux
Campagne de 1867 contre les garibaldiens : combat de Bagnorea, Bataille de Montelibretti, combat de Nerola, combat de Farnese, bataille de Mentana.
Campagne de 1870 contre l'Italie : Siège de Civita-Castellana, siège de Rome.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

BERNOU de ROCHETAILLÉE Vital Jean
BERNOU de ROCHETAILLÉE Charles Antoine Henri
BERNOU Jean-François
VINCENT de SOLEYMIEUX Jeanne Marguerite
RAMAY de SUGNY Marie-Thérèse Eugénie
 
 


                     


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