Fiches individuelles


VILLIERS ou VILLIERE Claudine
Décès : avant 7 mai 1793
Après octobre 1766 selon Dominique Navarro.

Union : JORDERI Nicolas Puîné ( 1712 - 1765 )
Contrat de mariage : 15 novembre 1734 Maître Philibert FEBVRE, notaire au Mony-Saint-Vincent
Cote AD71 3E16835.
Mariage religieux : 16 novembre 1734 à Blanzy 71
Enfants : JORDERY Jacqueline ( 1735 - ? )
JORDERY Jean ( 1738 - < 1787 )
JORDERY François ( 1741 - 1742 )
JORDERY Benoite ( 1743 - an XIV )
JORDERY Denise ( 1746 - an XIII )
JORDERI Thérèse ( 1749 - an XIV )
JORDERY Phlippe ( 1755 - > 1816 )
JORDERY Anne ( < 1760 - < 1789 )
Note familiale : Dit vivants marchands au Magny.
Admodiation pour Jean VARIOT, époux de Jeanne GENEVOY, et Nicols JORDERY, époux de Claudine VILLERS, contre Claude DESBROSSES, du 8 septembre 1746, reçu maître FEBVRE, notaire au Mont-Saint-Vincent. (Cote AD 71 3E16843).
Note individuelle : Fille des défunts Lazare VILLIERE, vivant marchand à Blanzy, et Claudine POISOT.
Dite femme de Léonard GERMAIN, marchand à Sanvignes, en 2/1776.





VILLIERS René Georges dit Georges
Maire de Lyon, président du CNPF

Naissance : 15 juin 1899 à Charbonnières-les-Bains 69
Registre des naissances, Charbonnières-les-bains (Rhône, France), 4E 11737, Archives départementales du Rhône, acte 8.
Décès : 13 avril 1982 à Paris (16ème) 75
(Source : Insee).
Inhumation : 1982 à Champagne-au-Mont-d'0r 69

Union : AYNARD Florence ( ? - ? )
Note familiale : Ce couple eut 4 enfants.
Note individuelle : Né à Charbonnières-les-Bains (Rhône, France) en 1899 Georges VILLIERS effectue ses études secondaires aux lycées Ampère et du Parc, à Lyon. Ancien élève de l'École des Mines de Saint-Etienne, il entre comme ingénieur d'études dans la Société de Constructions métalliques Derobert et Cie. Dirigeant de la société Constructions métalliques et Entreprises qui prend la suite de la précédente, il devient en 1936 président de la Chambre syndicale de la métallurgie du Rhône. En juin 1941 il est nommé maire de Lyon. Arrêté trois ans plus tard, il est déporté à Dachau.
Après la Libération, en 1946, il est porté à la présidence de la Confédération nationale du patronat français (CNPF), fonction qu'il occupe durant une vingtaine d'années. Il meurt à Paris en 1982.
(Source : http://www.patronsdefrance.fr/?q=sippaf-actor-record/6992).
Georges VILLIERS (1899-1982) Interné résistant rescapé de la déportation.
Issu d’une famille de la haute société lyonnaise, Georges VILLIERS devient ingénieur civil des Mines en 1922, comme son père et grand-père paternel l’ont été. Jusqu’en 1940, il gravit les échelons au sein de la Société de constructions métalliques Derobert et Cie – dans le quartier de La Mouche à Lyon - en en devenant même le président. Il se marie en 1924 avec Florence Aynard, petite-fille du banquier lyonnais Edouard Aynard ; ils ont quatre enfants. Dans la seconde moitié des années 1930, il devient le président de l'Union de la métallurgie lyonnaise, crée la Chambre syndicale des Industries métallurgiques du Rhône – il en devient le président – et œuvre pour une meilleure formation professionnelle des jeunes métallurgistes lyonnais et villeurbannais. En mai 1940, il participe à l'accueil des réfugiés alsaciens-lorrains au Palais de la Foire de Lyon. Le 20 septembre 1940, il est nommé membre de la Délégation spéciale de Lyon qui remplace la municipalité HERRIOT. En charge de l'urbanisme et délégué aux Affaires culturelles, il œuvre pour la rénovation des quartiers de La Villette et Moncey et le maintien de la Foire de Lyon. Nommé par le gouvernement de Vichy président de la Délégation spéciale de Lyon le 20 juin 1941, Georges VILLIERS poursuit la politique d’Edouard HERRIOT : politique sociale – en rendant notamment accessible la culture aux masses populaires -, culturelle (rénovation des théâtres lyonnais et dégagement de l'Odéon) – et urbanistique (plan d’aménagement LAMBERT). Il combat également l’insalubrité (vœu de destruction des taudis), pense au développement physique des jeunes Lyonnais (souhait d’aménagement de terrains de sport) et accorde des subventions financières à plusieurs œuvres caritatives ou au laboratoire de l'Ecole d’agriculture de Cibeins. Le gouvernement de Vichy lui fait alors entièrement confiance pour œuvrer dans le sens de la Révolution nationale. Mais, au cours de l’année 1942, un renversement total de situation se produit ; il se met à critiquer publiquement – dans l'exercice de ses fonctions – la Relève dès septembre 1942. C’est en partie pour cela qu'il est évincé par décret le 16 janvier 1943. Georges VILLIERS plonge alors pleinement dans la Résistance, avec plusieurs actions menées (même si peu de détails sont connus) jusqu'à son arrestation par la Gestapo lyonnaise le 6 juin 1944. Emprisonné à Montluc, il est envoyé au camp de Compiègne-Royallieu le 21 juin, puis transféré par le « Train de la Mort » vers des camps de travail en Allemagne (à Neckarelz puis Dachau) à partir du 2 juillet 1944 ; il est libéré au camp de Dachau par les Alliés le 29 avril 1945 dans un état d’extrême faiblesse, atteint par le typhus. Guéri et reposé, il participe le 21 décembre 1945 à Paris à une réunion dans le but de recréer une organisation patronale. Il est alors nommé vice-président de la Confédération générale du patronat français d’avant-guerre et s'engage à présider le nouveau Conseil national du patronat français dès sa création en juin 1946 (dénomination de substitution). Georges VILLIERS exerce cette fonction pendant vingt ans jusqu'en juin 1966, avant d’en devenir le président d'honneur.
Entre-temps, il reçoit à plusieurs reprises les honneurs de la Nation française : nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1947, il est élevé à la dignité de grand-officier en mars 1977, pour l’ensemble de son action depuis 1940. Un peu moins de cinq ans avant de mourir, il consigne les souvenirs marquants de sa vie dans un texte qu’il fait publier en 1978 avec pour titre Témoignages (Paris, France-Empire). Paul FAURE Mémoire de recherche en master 2 d’histoire contemporaine soutenu par l’auteur en juillet 2014 à l’Institut d’études politiques de Lyon (270 pages). Consultable au Mémorial national de la prison de Montluc, à la bibliothèque municipale de la Part-Dieu et au centre de documentation du CHRD de Lyon.
(Source : http://rescapesdemontluc.fr/wp-content/uploads/2014/02/n%C2%B013-d%C3%A9c.2015-Premi%C3%A8re-partie.pdf).
Georges VILLIERS, né le 15 juin 1899 à Charbonnières-les-Bains et mort le 13 avril 1982 à Paris, est un
Chef d'entreprise, homme politique et syndicaliste français. Maire de Lyon entre 1941 et 1942, puis révoqué, il est le premier président du CNPF de 1946 à 1966.
Diplômé de l'École des mines de Saint-Étienne, il entre comme ingénieur d'études dans la société lyonnaise Derobert et Cie puis fonde avant la guerre de 1939-1945 une entreprise de métallurgie dont il devient le président. À partir de 1936, il est également le président de la Chambre syndicale des métaux de Lyon. En 1938, il fonde ainsi l'Association métallurgique de prévoyance (AMP) qui deviendra le Groupe APICIL. En 1940, il est le créateur de l'école de la rue Dedieu à Villeurbanne, qui deviendra l’IUT B génie mécanique, génie électrique, technique de commercialisation.
En mai 1941, Georges VILLIERS, se rend à Vichy en tant que membre de la délégation spéciale de la municipalité de Lyon, alors en zone libre, pour en défendre l'indépendance. François DARLAN accorde le maintien d'un conseil municipal et lui propose le poste de maire. Georges VILLIERS accepte après avoir consulté Édouard HERRIOT. Cette nomination fait suite au renvoi du responsable précédent de la délégation spéciale, Georges COHENDY, qui est jugé trop démocrate par le régime de Vichy.
Fin 1942, après l'occupation de la zone libre, Vichy procède à une épuration du conseil municipal de Lyon. Dix-huit révocations sont prononcées, dont celles de Georges VILLIERS, soupçonné à juste titre d'aider la Résistance. Arrêté en juin 1944 par la Gestapo et détenu à la prison Montluc, il est interrogé par Klaus BARBIE puis déporté au camp de concentration de Dachau.
En janvier 1946, il devient président du nouveau Conseil national du patronat français (CNPF) qui remplace l'ancienne Confédération générale de la production française (CGPF). Ancien déporté, il est alors le mieux placé pour rapprocher le patronat français du général de GAULLE. Il reste à la tête de cette organisation jusqu'en 1966. En 1955, il participe au lancement d'un concurrent du journal, Le Monde, intitulé Le Temps de Paris, jugé trop à gauche par les milieux d'affaires ; cette opération reste sans suite et ce nouveau journal ne paraît que quelques mois.
Il est président de BusinessEurope, un lobby des patrons de l'industrie au niveau européen, à partir de 1961, où il remplace son premier président et fondateur, en la personne de l'industriel belge, Léon-Antoine BEKAERT, l'année de son décès. Il officie à cette fonction jusqu'à 1962, lorsqu'il sera remplacé par l'industriel néerlandais, Hans de KOSTER.
En 1978, il publie à Paris ses mémoires sous le titre Témoignages.
Il avait épousé Florence Aynard, fille de Francisque Aynard.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).





VILLIERS (de ) ou DEVILLIERS Antoinette
Père : VILLIERS (de ) Miland ( J ~ 1510 - J ~ 1578 )
Mère : N... N... ( ? - ? )

Union : COGNET Simon ( ? - ? )
Enfant : COGNET Jeanne ( ? - ? )
VILLIERS (de ) Antoinette
VILLIERS (de ) Miland
VILLIERS (de ) François
 
N... N...
 
 




VILLIERS (de ) Claude
Marchand bourgeois à Gourdon - Sieur

Naissance : vers 1538
(Source : voir fichier Geneanet de Nicole Bonazzi).
Décès : vers 1590
(Source : voir fichier Geneanet de Nicole Bonazzi).

Union : LA CHAUME (de ) Marguerite ( J ~ 1539 - J ~ 1572 )
Mariage par contrat : 1555 à Gourdon 71
(Source : voir fichier Geneanet de Nicole Bonazzi).
Enfant : VILLERS (de ) Guillemette ( J ~ 1560 - ~ 1638 )




VILLIERS (de ) Claude
Père : VILLIERS (de ) Miland ( J ~ 1510 - J ~ 1578 )
Mère : N... N... ( ? - ? )

VILLIERS (de ) Claude
VILLIERS (de ) Miland
VILLIERS (de ) François
 
N... N...
 
 


                     


Ces pages ont été créées par Heredis pour Windows , © BSD Concept