Fiches individuelles


SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean Alexis Sébastien dit Sébastien
Capitaine au régiment d'Auvergne - Chevalier de Saint-Louis

Baptême : 19 janvier 1733
Témoins : SAIGNARD de MONTMÉA (de ) Jean Gaspard Alexis ( 1725 - 1781 )
/ SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Marie Marthe Françoise ( 1723 - 1756 )
Décès : 1760 à Kloster Kampen au camp de Clostercamp

Père : SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis ( 1681 - 1760 )
Mère : BONNEFOUX Catherine Françoise ( ? - ? )

Note individuelle : Chevalier de Saint-Louis en 1758 (source : Les SAGNARD de CHOUMOUROUX, par Jérôme SAGNARD, page 15).
Le régiment d'Auvergne est un régiment d'infanterie du Royaume de France, créé en 1597 sous le nom de régiment du Bourg de Lespinasse, est l'une des plus anciennes unités militaires, l'un des cinq Petits Vieux, devenue à partir de la Révolution le 17e régiment d'infanterie de ligne.
Le 15 septembre 1635, le régiment de Maugiron gagne le drapeau blanc et prend le titre de la province d'Auvergne tout en gardant son mestre de camp. Ce régiment, affecté à l'armée d'Italie, allait devenir célèbre.
Il participe à la guerre de Trente Ans, la guerre franco-espagnole et la conquête du Roussillon.
Le 18 avril 1776 : Le régiment d'Auvergne est dédoublé. Les 1er et 3e bataillons conservent le titre, les drapeaux et le costume du régiment d'Auvergne. Les 2eet 4e bataillons du régiment forment le régiment de Gâtinais.
(Source : encyclopédie en ligne Wikipédia).
La guerre de Sept Ans (1756-1763) est un conflit majeur du XVIIIème siècle souvent comparé à la Première Guerre mondiale parce qu'elle s'est déroulée sur de nombreux théâtres d'opérations (Europe, Amérique du Nord, Inde…) et s'est traduite par un rééquilibrage important des puissances européennes. De là est né l'Empire britannique, puissance hégémonique tout au long du XIXème siècle, dont l'affirmation fait presque entièrement disparaître le Premier espace colonial français, l'espace dominateur mondial durant le XVIIème et la première partie du XVIIIème siècle. En Europe, c'est la Prusse qui s'affirme. Ce conflit oppose principalement le Royaume de France au Royaume de Grande-Bretagne d'une part, l'archiduché d'Autriche au Royaume de Prusse d'autre part. Cependant, par le jeu des alliances et des opportunismes, la plupart des pays européens et leurs colonies participent à cette guerre. Le début de la guerre est généralement daté au 29 août 1756 (attaque de la Saxe par Frédéric II) bien que l'affrontement ait débuté plus tôt dans les colonies d'Amérique du Nord avant de dégénérer en guerre ouverte en Europe.
La bataille de Kloster Kampen (ou Clostercamp selon l'orthographe fluctuante de l'époque) fut une victoire tactique des Français sur les Alliés lors de la guerre de Sept Ans. la bataille commença le 15 octobre 1760 et finie le 16 octobre 1760. C'est au cours de la nuit de cette bataille que périt le chevalier d'Assas, capitaine en second de la compagnie des chasseurs d'Auvergne qui était sous les ordres du capitaine commandant, le chevalier Jean de Spens. C'est à tort que l'on attribue au chevalier d'Assas la célèbre phrase : « À moi, Auvergne, c'est l'ennemi ! ».
Elle fut prononcée par un caporal des chasseurs dénommé Dubois. Néanmoins, une pension de 1 000 livres fut donnée à la famille du chevalier d'Assas. Le régiment d'Auvergne était sous les ordres de comte de Rochambeau, colonel, du chevalier du Moulin de Labarthète, lieutenant-colonel, assistés de quatre capitaines commandants : les deux frères de Spens (François, aux grenadiers et Jean, aux chasseurs), Laborie et Castaignos (qui fit prisonnier le capitaine anglais Pool, commandant du régiment de grenadiers anglais). À cette bataille, le régiment d'Auvergne perdit 800 soldats, eut 58 officiers tués ou blessés dont ses colonel, lieutenant-colonel et capitaines commandant. À la compagnie des chasseurs, il ne survécut que 7 soldats et son capitaine commandant. Au cours de l'automne 1760, l'archiduc Ferdinand de Brunswick, le commandant de l'armée alliée, menace Hanovre occupée par les Français. Pour créer une diversion, il attire 20 000 soldats français plus à l'ouest. Le commandement français se prépare à défendre la ville de Wesel, sur la rive orientale du Rhin, et décide de bruler les ponts à proximité de l'embouchure de la Lippe, tandis que le marquis de Charles de Castries vient précipitamment renforcer la garnison locale. Le prince de Brunswick entame alors le siège de Wesel avec la création de deux ponts de bateaux. Il se résout à une bataille contre l'armée du marquis de Castries dans le Kloster Kampen à l'ouest de la rivière. Le général George Augustus Elliot commande l'avant-garde constituée de deux escadrons de hussards prussiens, des Royal Dragoons anglais, des Inniskilling Dragoons ainsi que des 87e et 88e Highlanders. La cavalerie hessoise et celle de Hanovre devant constituer la réserve.
La bataille commence au milieu de la nuit lorsque l'avant-garde alliée repousse les Français de Kloster Kampen et prend le pont sur le canal. Le son de la bataille prévient le gros de l'armée française du début de l'offensive adverse. L'aube s'est alors levée alors que les Anglais et les Prussiens s'apprêtent à passer à l'attaque. Les régiments de Highlanders se mettent alors à déborder les ailes françaises. Cela oblige les Français à se replier. En danger, le marquis de Charles de Castries décide de faire entrer dans la bataille ses réserves, qui rallient les régiments en retraite. Il lance alors une contre-offensive contre l'infanterie alliée.
L'attaque française surprend Anglais et Prussiens dont les régiments se désorganisent. Ces derniers doivent alors se replier de l'autre côté du canal. Malgré la mise en branle par le prince de Brunswick de ses réserves, celles-ci, trop éloignées du champ de bataille, ne peuvent arrêter la contre-offensive française. À l'extrémité ouest du canal, Elliot conduit trois régiments de cavalerie britannique dans une charge qui provoque la confusion dans les rangs français. Cela permet aux autres forces battant en retraite de toutes se replier sur l'autre rive sans trop de dommages. Mais le prince de Brunswick est conscient que la victoire lui a échappé et réorganisant ses troupes, il se replie en direction du Rhin. À son arrivée, il constate que les ponts flottants qu'il avait établis ont été détruits et la traversée durera deux jours ; mais heureusement pour lui et ses hommes, le marquis de Castries n'avait pas ordonné la poursuite.
(Source : http://promenade34.free.fr).
Date : 15 octobre 1760. Lieu : Kloster Kampen, près de Wesel en Allemagne. Issue : Victoire française. Belligérants : Royaume de France d'un côté, royaume de Grande Bretagne, royaume de Prusse, électorat de Hannovre, Hesse-Cassel, duché de Brunswick-Lunebourg de l'autre. Commandants : Charles de CASTRIES côté français, Ferdinand de BRUNSWICK-LUNEBOURG côté coalisés. Forces en présences : 25 000 hommes côté français, 20 000 côté coalisés. Pertes : 3 123 coté français, 1 615 côté coalisés.
La bataille de Kloster Kampen (ou Clostercamp selon l'orthographe fluctuante de l'époque) fut une victoire tactique des Français sur les Alliés lors de la guerre de Sept Ans commencée le 15 octobre 1760 et finie le 16 octobre 1760.
Au cours de l'automne 1760, l'archiduc Ferdinand de Brunswick, le commandant de l'armée alliée, menace Hanovre occupée par les Français. Pour créer une diversion, il attire 20 000 soldats français plus à l'ouest. Le commandement français se prépare à défendre la ville de Wesel, sur la rive orientale du Rhin, et décide de brûler les ponts à proximité de l'embouchure de la Lippe, tandis que le marquis de Charles de Castries vient précipitamment renforcer la garnison locale.
Le prince de Brunswick entame alors le siège de Wesel avec la création de deux ponts de bateaux. Il se résout à une bataille contre l'armée du marquis de Castries dans le Kloster Kampen à l'ouest de la rivière. Le général George Augustus Elliot commande l'avant-garde constituée de deux escadrons de hussards prussiens, des Royal Dragoons anglais, des Inniskilling Dragoons ainsi que des 87e et 88e Highlanders. La cavalerie hessoise et celle de Hanovre devant constituer la réserve.
La bataille commence au milieu de la nuit lorsque l'avant-garde alliée repousse les Français de Kloster Kampen et prend le pont sur le canal. Le son de la bataille prévient le gros de l'armée française du début de l'offensive adverse. L'aube s'est alors levée alors que les Anglais et les Prussiens s'apprêtent à passer à l'attaque. Les régiments de Highlanders se mettent alors à déborder les ailes françaises. Cela oblige les Français à se replier.
En danger, le marquis de Castries décide de faire entrer dans la bataille ses réserves, qui rallient les régiments en retraite. Il lance alors une contre-offensive contre l'infanterie alliée. L'attaque française surprend Anglais et Prussiens dont les régiments se désorganisent. Ces derniers doivent alors se replier de l'autre côté du canal. Malgré la mise en branle par le prince de Brunswick de ses réserves, celles-ci, trop éloignées du champ de bataille, ne peuvent arrêter la contre-offensive française.
À l'extrémité ouest du canal, Elliot conduit trois régiments de cavalerie britannique dans une charge qui provoque la confusion dans les rangs français. Cela permet aux autres forces battant en retraite de toutes se replier sur l'autre rive sans trop de dommages. Mais le prince de Brunswick est conscient que la victoire lui a échappé et réorganisant ses troupes, il se replie en direction du Rhin. À son arrivée, il constate que les ponts flottants qu'il avait établis ont été détruits et la traversée durera deux jours ; mais heureusement pour lui et ses hommes, le marquis de Castries n'avait pas ordonné la poursuite.
C'est au cours de la nuit de cette bataille que périt le chevalier d'Assas capitaine en second de la compagnie des chasseurs d'Auvergne qui était sous les ordres du capitaine commandant le chevalier Jean de Spens. C'est à tort que l'on attribue au chevalier d'Assas la célèbre phrase : « À moi, Auvergne, c'est l'ennemi ! ». Elle fut prononcée par un caporal des chasseurs dénommé Dubois. Néanmoins, une pension de 1 000 livres fut donnée à la famille du chevalier d'Assas. Le régiment d'Auvergne était sous les ordres de comte de Rochambeau, colonel, du chevalier du Moulin de Labarthète, lieutenant-colonel, assistés de quatre capitaines commandants : les deux frères de Spens (François, aux grenadiers et Jean, aux chasseurs), Laborie et Castaignos (qui fit prisonnier le capitaine anglais Pool, commandant du régiment de grenadiers anglais). À cette bataille, le régiment d'Auvergne perdit 800 soldats, eut 58 officiers tués ou blessés dont ses colonels, lieutenant-colonel et capitaines commandant. À la compagnie des chasseurs, il ne survécut que 7 soldats et son capitaine commandant.
Victoire française, de lourdes pertes, mais les ennemis quittent le terrain et abandonnent la manœuvre de diversion.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean Alexis Sébastien
SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis
SAIGNARD (de ) Jean-Joseph
BRUN Catherine
BONNEFOUX Catherine Françoise
 
 




SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean Antoine
Baptême : 19 novembre 1675
Son parrain fut Jean Antoine DESPRÈS de LA SUCHÈRE, seigneur de Chatelar. Les témoins furent Claude Aymé DE SAIGNARD de CHOUMOUROUX, son oncle, noble Charles CHOUMOUROUX, seigneur de la Borie.

Père : SAIGNARD (de ) Pierre ( 1626 - 1708 )
Mère : PETIOT Jeanne ( ? - > 1709 )

SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean Antoine
SAIGNARD (de ) Pierre
SANHARD (de ) Jean
CHOUMOUROUX (de ) Flavie
PETIOT Jeanne
 
 




SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean Aymé
Baptême : 24 janvier 1722
Son parrain fut Jean Aymé de SAIGNARD de CHOUMOUROUX, chevalier au régiment d'Auvergne.
Décès : 10 mai 1722

Père : SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis ( 1681 - 1760 )
Mère : BONNEFOUX Catherine Françoise ( ? - ? )

SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean Aymé
SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis
SAIGNARD (de ) Jean-Joseph
BRUN Catherine
BONNEFOUX Catherine Françoise
 
 




SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean François
Baptême : 3 octobre 1685
Son parrain fut Louis de SAIGNARD, son frère, et sa marraine Jeanne de SAIGNARD, fille de Jean Joseph de SAIGNARD, sa petite cousine. Certains documents familiaux mentionnent un fils appelé Louis, mais aucun registre paroissial n'atteste son existence (source : Les SAGNARD de CHOUMOUROUX, par Jérôme SAGNARD, page 9).

Père : SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Claude Aymé ( ? - > 1695 )
Mère : DELOLME Jeanne ( ? - ? )

SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean François
SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Claude Aymé
SANHARD (de ) Jean
CHOUMOUROUX (de ) Flavie
DELOLME Jeanne
 
 




SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean Martin
Curé d'Yssingeaux

Baptême : 14 novembre 1682 à Yssingeaux 43 ( Source )
Né le 11, son parrain fut messire Jean DESPRÈS, seigneur de la Suchère, et sa marraine damoiselle Jeanne PETIOT, femme de noble Pierre de SAIGNARD, seigneur de Chazeaux et Choumouroux, qui signent.

Père : SAIGNARD (de ) Jean-Joseph ( 1653 - 1711 )
Mère : BRUN Catherine ( < 1669 - ? )

Note individuelle : Il est curé d'Yssingeaux du 30 octobre 1708 au 29 juin 1710 (source : Les SAGNARD de CHOUMOUROUX, par Jérôme SAGNARD, page 11).

SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean Martin
SAIGNARD (de ) Jean-Joseph
SAIGNARD (de ) Pierre
REYNAUD de LA BASTIE Marguerite Aymée
BRUN Catherine
BRUN Claude
PETIOT Jeanne


                     


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