Fiches individuelles


PEÑA-VILLAS Sylvie
Naissance : 15 mars 1971
(Source : voir base Roglo).

Père : PEÑA-VILLAS José ( 1940 - ? )
Mère : NICOLET Thérèse ( 1944 - ? )

Union : GAUFFROY Aymeric ( ? - ? )
Mariage : 31 août 1996
(Source : voir base Roglo).
Enfants : GAUFFROY Amalia ( 2003 - ? )
GAUFFROY Alvaro ( 2005 - ? )
PEÑA-VILLAS Sylvie
PEÑA-VILLAS José
 
 
NICOLET Thérèse
NICOLET Gabriel
PATURLE Marie Jeanne Louise




PENEL Anne - 1 437
Père : PENEL Antoine ( 1607 - ? )

Union : FOURNEYRON Mathieu ( ? - ? )
Enfant : FOURNEYRON Claude ( ? - ? )
PENEL Anne
PENEL Antoine
PENEL Jehan
 
 
 
 




PENEL Antoine - 2 874
Naissance : 16 septembre 1607 à Saint-Just-lès-Velay 43
(Source : voir fichier Geneanet de Charles Neyret).

Père : PENEL Jehan ( ? - ? )

Autre enfant : PENEL Anne ( ? - ? )
PENEL Antoine
PENEL Jehan
 
 
 
 
 




PENEL Claudius
Négociant

Naissance : 13 février 1814
Décès : 7 décembre 1896

Union : PLOTON Marguerite ( 1823 - 1881 )
Mariage : 6 février 1843
Enfants : PENEL Jacques Etienne Louis ( 1844 - 1927 )
PENEL Marie ( 1845 - 1916 )
Note individuelle : Fils de Benoît PENEL (1781-1836) armurier, et de Louise VIGNAT (1780-1840).





PENEL Jacques Etienne Louis dit Louis
Naissance : 14 avril 1844 à Le Chambon-Feugerolles 42
(Source : voir fichier Geneanet de Patrick Epitalon).
Décès : 4 juin 1927
(Source : voir fichier Geneanet de Patrick Epitalon).

Père : PENEL Claudius ( 1814 - 1896 )
Mère : PLOTON Marguerite ( 1823 - 1881 )

Union : GIRINON Gabrielle ( 1857 - 1944 )
Mariage : 16 mai 1876 à Saint-Etienne 42
(Source : voir fichier Geneanet de Patrick Epitalon).
Enfant : PENEL Marie Marguerite Pauline ( 1879 - 1940 )
Note familiale : Le mariage de Louis PENEL et de Gabrielle GIRINON fut célébré le 16/05/1876. Louis reçu de son père la somme de 40 000 fr. sous forme d'action de Penel frères, et lui-même apportait en complément 46 000 fr. provenant de ses gains et économies, tandis que Gabrielle recevait 97 000 fr. (plus de deux millions de Fr. de 1995), dont une partie venait de la succession de sa mère. Ainsi doté (4 millions de fr. de 1996), le jeune ménage pouvait démarrer dans la vie, avec le nécessaire pour le moins.
Afin de rester à proximité de leurs parents, les jeunes mariés élirent domicile 6 rue de la République, les trois familles étaient donc à 200 mètres les unes des autres. Cependant ils quittèrent peu de temps après pour un quartier sud de St-Etienne, dit Solaure, qui est près de Bellevue alors en pleine campagne ; ils devinrent paroissiens de Valbenoite.
Trois ans après leur mariage, ils eurent une fille Marguerite, puis deux ans après une autre fille, Anne Marie, et en 1882 une troisième fille, Cécile. Claude, le père de Louis s'inquiétait de ne pas avoir de descendant mâle, mais le mercredi 6/08/1884 naissait ce fils tant attendu, on l'appela Paul ; il fut baptisé le dimanche 10/08/1884. Et puis quatre ans plus tard, le jour de Noël 1888 naissait une quatrième fille, Noëlie. Enfin en 1891 Gabrielle mit au monde une cinquième fille, Adèle. Paul avait donc cinq sœurs.
Gabrielle eut la persévérance de tenir un journal. On apprend ainsi que Paul eut sa première dent à 6 mois et demi et qu'il fit ses premiers pas à 10 mois et demi : le 20 juin 1885 ; il fut donc un bébé précoce. En même temps que ses sœurs il eut la rougeole à 2 ans et demi et la coqueluche à 4 ans. Il fit son entrée à l'école des sœurs de St-Joseph à 4 ans et demi et à 9 ans il eut la scarlatine. Les évènements familiaux chez les oncles, les tantes ou les cousins de Paul revêtaient une grande importance.
Les Louis PENEL allaient souvent à Fourvière, pèlerinage très prisé par la bourgeoisie de la région. Le sanctuaire actuel avait en effet été construit en 1870. Gabrielle allait souvent chez une de ses sœurs qui avait une maison de campagne à Curis près de Neuville /Saône.
L'existence à Solaure posait des problèmes d'isolement, la conduite quotidienne des enfants en classe et maintes autres servitudes conduisirent Louis et Gabrielle de s'installer en ville. En mai 1898 ils quittèrent Solaure pour habiter au 2° étage du N°4 de la rue du grand Moulin à proximité du lieu où, pure coïncidence, se trouvait en 1758 la maison qu'Antoine PENEL donna à son frère Jean-Baptiste.
La personnalité de Gabrielle alimentait, paraît-il bien des conversations. Sans doute dans sa jeunesse, comme ses frères et sœurs, elle fut gâtée par un père qui s'efforçait de suppléer au manque d'affection que lui aurait donnée sa mère, et puis Louis passait à son épouse ses quatre volontés ; mais qu'y a-t-il de mal à cela ? Evidement Gabrielle avait pris l'habitude de faire la pluie et le beau temps, et Louis trouvait cela très bien. Malgré les ragots stéphanois, il convient de reconnaître que Gabrielle menait sa famille, déjà nombreuse, avec autorité pour la meilleure éducation de ses enfants, même si le conformisme était loin d'être absent.
Ayant quitté Solaure en mai 1898 et devant habiter en plein centre ville Louis et Gabrielle éprouvèrent rapidement le besoin d'avoir ce que nous appelons une résidence secondaire pour les dimanches et les mois d'été ; ils achetèrent une maison de campagne à la Fouillouse et s'y installèrent le 29 juin de la même année ; mais ce lieu ne leur plût pas. Ils le mirent en vente dès l'automne. En janvier 1899 ils visitèrent plusieurs propriétés et pour finir ils visitent le 1er avril une propriété qui plut beaucoup à Gabrielle. Dès le 17 avril ils signaient l'acte d'achat de la Buissonière près de la Talaudière.
Ces deux années 1898 et 1899 furent donc fertiles en déménagements, signe que les affaires marchaient bien.
C'est à la Buissonière que le mardi 5/09 de cette même année mourut Cécile d'une brève maladie.
La première année de chaque siècle est de lointaine tradition dans l'église catholique une année jubilaire, les fidèles du monde entier sont invités de se rendre à Rome en pèlerinage. Louis et Gabrielle accompagnés de leurs cinq enfants se rendirent en ce lieu saint. Ils partirent en train le 18 mai à 7 heures du matin, et ils arrivèrent à minuit ! Grâce au journal de Gabrielle on connaît leur emploi du temps. Le 28 mai ils repartirent à 7 heures pour n'arriver à St-Etienne qu'à midi le 30 mai après une escale de 24 heures à Gènes.
L'été se passa en réception avec les familles DURAND et GIRON, parents de Gabriel DURAND, le fiancé de Marguerite et le mariage fut célébré le 28 août à St-Etienne.
(Source : voir fichier Geneanet de Patrick Epitalon).
Note individuelle : Le fils aîné avait été prénommé Jacques Etienne, comme son oncle, celui qui fut président du conseil des prud'hommes ; pour qu'il n'y eût pas de confusion, on l'appela Louis et c'est sous ce prénom qu'il passa à la postérité. Il naquit en 1844 au Chambon Feugerolles. Après avoir habité 27 ou 26 rue de la République, il vint, peu de temps après, vivre à côté de ses parents au 6 de la même rue.
D'après les témoignages de ses enfants ou de ses beaux enfants, Louis était de petite taille, il était paisible et effacé, c'était un doux. Il ne cherchait pas à se mettre en valeur. Son père s'était retiré des affaires assez tôt, laissant à Louis et à Antoine le soin de prendre en main la fabrique de velours qui, dès lors fut la société « Penel frères ».
Si l'avenir professionnel de Louis était à peu près tracé, il fallait songer à son devenir personnel et comme par nature il n'était pas en mesure de conquérir avec hardiesse l'une ou l'autre des filles sympathiques de ses relations, ses parents eurent recours - comme c'était fréquemment le cas à cette époque - à la complicité du curé de la paroisse.
Demeurait 4 rue du Grand Moulin à St-Etienne en 1926.
(Source : voir fichier Geneanet de Patrick Epitalon).

PENEL Jacques Etienne Louis
PENEL Claudius
 
 
PLOTON Marguerite
PLOTON Jean
JACCOTON Anne


                     


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