Fiches individuelles


LAMARTINE (de ) Mélanie
Naissance : juillet 1792
(Source : arbre de la famille Bruel sur Geneanet).
Décès : juillet 1792
(Source : arbre de la famille Bruel sur Geneanet).

Père : LAMARTINE (de ) Pierre ( 1752 - 1840 )
Mère : DES ROYS Françoise Alexis ( 1766 - 1829 )

LAMARTINE (de ) Mélanie
LAMARTINE (de ) Pierre
 
 
DES ROYS Françoise Alexis
 
 




LAMARTINE (de ) Pierre dit le chevalier de Pratz
Chevalier, capitaine au régiment Dauphin-Cavalerie - Seigneur de Pratz, chevalier de Saint-Louis

Baptême : 22 septembre 1752 à Mâcon 71 paroisse Saint-Pierre ( Source )
Né la veille.
Décès : 29 août 1840 à Mâcon 71 dans son domicile, rue Saint-Pierre ( Source )

Union : DES ROYS Françoise Alexis ( 1766 - 1829 )
Contrat de mariage : 4 janvier 1790 chez Pierre CARRA de VAUX, beau-frère de la promise
(Source : voir sur Geneanet l'arbre de la famille Bruel).
Mariage religieux : 7 janvier 1790 à Lyon 69 paroisse d'Ainay ( Source )
Enfants : LAMARTINE (de ) Alphonse Marie Louis ( 1790 - 1869 )
LAMARTINE (de ) Félix ( 1791 - an III )
LAMARTINE (de ) Mélanie ( 1792 - 1792 )
LAMARTINE (de ) Marie Cécile ( 1793 - 1862 )
LAMARTINE (de ) Marie Eugénie ( an IV - 1873 )
LAMARTINE (de ) Marie Suzanne Clémentine ( an V - an VI )
LAMARTINE (de ) Jeanne Marie Suzanne Clémentine ( an VIII - 1824 )
LAMARTINE (de ) Marie-Sophie ( ? - 1863 )
LAMARTINE (de ) Marie Césarine Hélène ( ? - 1824 )
Note individuelle : La famille de Lamartine est originaire du Charolais, la forme primitive du nom étant Alamartine. Son représentant le plus illustre est le poète Alphonse de Lamartine.
Une des branches de la famille obtient ses lettres de noblesse en 1656 à la suite de l'acquisition d'une charge de secrétaire du roi. La maison de Milly est construite en 1705. En 1710, Françoise Albert, veuve de Jean-Baptiste de Lamartine, hérite du château de Monceau. En 1749, Louis François de Lamartine acquiert, par mariage avec la fille du seigneur du Villard et de Pratz, d'importants domaines dans le Jura. En 1750, il acquiert, près de Dijon, la seigneurie d'Urcy avec le château de Montculot. En 1802, Pierre de Lamartine, père du poète, acquiert le château de Saint-Point.
Armoirie : De gueules à deux fasces d'or chargé d'un trèfle de même.
Devise : À la garde de Dieu.
(Source : encyclopédie en ligne Wikipédia).
Pierre de Lamartine, troisième fils de Louis-François de Lamartine, était dit chevalier de Pratz, du nom d'une propriété située entre Saint-Claude et Moirans en Franche-Comté. Alors que le frère aîné devait assurer la continuité familiale et le second épouser l'état ecclésiastique, Pierre était destiné au métier des armes et au célibat. Il obtint à 17 ans, le 11 mai 1769, un brevet de sous-lieutenant au régiment de Dauphin-Cavalerie, puis fut nommé lieutenant en second en 1776, capitaine en second en 1781 et capitaine le 9 mars 1788. C'est à cette époque qu'au vu des circonstances (son frère aîné, suite à un accident de cheval, ne pouvait plus avoir d'enfant...), sa famille lui demanda d'assurer la descendance familiale. Il avait alors 36 ans. Il se rendait assez souvent, à cette époque, en visite à Salles-en-Beaujolais, où sa sœur Suzanne, dite Madame du Villard (Villars-Saint-Sauveur, propriété située à 4 kilomètres de Saint-Claude) était chanoinesse au chapitre noble de Saint-Martin. Il y rencontra sa jeune pupille Alexis, dite Alix, des Roys. Le capitaine Pierre de Lamartine s'éprit de la petite chanoinesse de 22 ans, aux yeux noirs, "jolie et fraîche et plaisant à tout le monde". La dot étant minime, le père de Pierre s'opposa aussitôt à cette alliance... jusqu'au jour où, en octobre 1789, les des Roys fuyant la capitale, un accident de voiture fortuit et opportun mit les deux familles en présence à Mâcon. La jeune fille sut plaire à ses hôtes, un oncle maternel célibataire disposa au profit de sa nièce de 10000 livres au comptant (et 12000 après son décès) et le contrat fut signé le 4 janvier 1790, chez le beau-frère d'Alix, Pierre Carra de Vaux, suivi du mariage religieux le 7 janvier. Le jeune marié donna sa démission de l'armée en 1791 pour n'avoir pas à prêter serment à la Constitution et demanda l'autorisation à sa famille d'installer son foyer à Milly (maison construite en 1705 par Jean-Baptiste de Lamartine), qui constitua dès lors le plus clair de son revenu (usufruit de 12 à 13000 livres tout au plus). En 1792, Pierre retourna à Paris mettre son épée au service du roi malmené par les révolutionnaires, et échappa de peu, le 10 août, au massacre des Tuileries. De retour à Mâcon, il fut arrêté, avec ses deux sœurs et emprisonné au couvent des Ursulines au début de l'année 1793. Transféré à Autun, il fut libéré en octobre. Malgré de longs mois de prison et quelques meubles vendus ou détériorés, la Révolution avait finalement causé plus de peur que de mal aux Lamartine. En 1797, les Pratz s'installèrent définitivement à Milly avec leurs quatre enfants. Pierre, grâce à la vente de ses vins, acheta, le 10 février 1801, le château (en piètre état) et les terres de Saint-Point pour la somme de 80 050 francs, puis l'hôtel Barthelot d'Ozenay à Mâcon (grâce à la vente du domaine de Tailla, petit héritage de Franche-Comté).
Pierre de Lamartine était le type parfait du vieux gentilhomme militaire retiré sur ses terres, droit et scrupuleux, raide et réservé, sain et robuste, passant ses journées dans ses 50 hectares de vignes, ou à la chasse avec son chien, ne s'occupant guère de sa nombreuse progéniture. Bel homme, aux traits réguliers, c'était en fait un timide, un rustique, un militaire de camp et non de salon. Alphonse, qui a peu parlé de son père écrit : "la fierté douce et la franchise étaient les deux empreintes que sa physionomie laissait dans le regard : il n'affectait ni la légèreté, ni la grâce bien qu'il en eut beaucoup dans son esprit. Avec un prodigieux bouillonnement de sang au fond du cœur, il paraissait froid et indifférent à la surface parce qu'il craignait lui même et qu'il avait honte de sa sensibilité. Je le crus dur et austère, il n'était que juste et rigide. Quant à ses goûts, ils étaient primitifs comme son âme. Patriarche et militaire c'était tout l'homme, l'homme primitif enfin un peu modifié par le soldat. Voilà mon père !".
De 1803 à 1818, Pierre de Lamartine fut conseiller général de Saône-et-Loire. En 1814, il reçut la Croix de Saint-Louis. Il mourra de vieillesse dans son hôtel de Mâcon.
Il était né le 21 septembre 1751 [sic pour 1752 sans doute] ; selon l'usage du temps, il ne devait pas se marier, mais, comme l'a dit Lamartine, «vieillir dans le grade modeste de capitaine, gagner lentement la croix de Saint-Louis puis, dans un âge avancé, végéter dans une chambre haute de quelque vieux château de son frère aîné, surveiller le jardin, dresser les chevaux, jouer avec les enfants, aimé mais négligé de tout le monde, et achever ainsi sa vie, inaperçu, sans biens, sans femme, sans postérité, jusqu'à ce que les infirmités et la maladie le reléguassent dans la chambre nue où pendaient au mur son casque et sa vieille épée, et qu'on dît un jour dans le château : Le chevalier est mort.»
Cette triste et solitaire existence, Pierre de Lamartine semble l'avoir acceptée avec résignation. À dix-sept ans, après avoir déjà servi deux ans comme volontaire, il adressa au ministre de la Guerre une demande en vue d'obtenir un brevet de sous-lieutenant sans appointements dans le régiment de Dauphin-cavalerie, où commandait le comte de Vibraye, ancien compagnon d'armes de son père.
Il ose espérer, terminait-il, qu'on lui accordera cette grâce en considération de ses pères et parents qui ont sacrifié une partie de leur vie et de leur fortune au service du Roy, auquel étant cadet de famille, il se propose lui-même de sacrifier avec zèle sa vie.
Le 11 mai 1769, la demande était accordée ; le 1er janvier 1772, il obtenait le grade de sous-lieutenant en pied, celui de lieutenant en second le 18 juin 1776, en premier le 14 février 1779, celui de capitaine en second le 12 juillet 1781, et de capitaine le 9 mars 1788. C'est à cette époque qu'on s'occupa sérieusement de le marier [ses deux frères aînés ne pouvant assurer la descendance, l'un pour des raisons de santé, l'autre parce qu'il avait embrassé l'état ecclésiastique].
Il en était question déjà depuis longtemps, paraît-il, mais d'année en année on ajournait «cette énormité». Lamartine a raconté, avec une verve exquise, toutes les difficultés que rencontra cette décision. C'était un soulèvement général de tous les sentiments de famille. Les chevaliers ne sont pas faits pour se marier, disait la mère révoltée : «c'est monstrueux». Mais d'autre part, laisser s'éteindre le nom, c'eût été, a-t-il dit, un crime contre le sang. Il fallut se décider malgré tout.
Tout au moins lui laissa-t-on faire un mariage d'inclination, puisqu'il épousa une jeune fille qu'il aimait depuis longtemps, mais peu dotée, ce qui n'était guère dans les traditions de la famille : Françoise-Alix Des Roys, chanoinesse-comtesse au chapitre de Salles en Beaujolais, fille d'un intendant des finances du Palais-Royal et d'une sous-gouvernante des enfants du duc de Chartres (Lacretelle).
Qualifié de "propriétaire" le 16 novembre 1829 et de "ancien officier de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, propriétaire" lors de son décès, le 29 août 1840.
Il meurt à Mâcon, en l'hôtel Barthelot d'Ozenay rue de l'Eglise Neuve (actuelle rue Lamartine, n°15), selon l'ouvrage Lamartine et sa famille... ou dans son domicile rue Saint-Pierre, selon son acte de décès.
(Source : arbre de la famille Bruel sur Geneanet).





LAMBERT Anne
Naissance : vers 1715

Union : BAUDOT Antoine ( ~ 1714 - > 1742 )
Mariage religieux : 23 novembre 1734 à Martigny-le-Comte 71
Les soussignés BAUDOT, LAMBERT, Nicolas BEAUDOT, Anne LAMBERT, ROME, E.NOLLET,LAUSSOT, LAMBERT.
Note familiale : Ratification pour dameMarie Louize DETHOMASSIN contre Anne TAVERNIER,épouse de sieur Antoine BAUDOT,et Léonard LANGERON, gendre de feu Jean BAUDOT, du 11 mars 1747, reçu maître FEBVRE, notaire au Mont-Saint-Vincent. (Cote AD 71 3E16844).




LAMBERT Bruno
Union : DUPUY Elisabeth Marie Lovely ( ? - ? )
Enfants : LAMBERT Jacques ( ? - ? )
LAMBERT Daniel ( ? - ? )
LAMBERT Denis ( ? - ? )
LAMBERT Odile ( ? - ? )
LAMBERT Patrice ( ? - ? )




LAMBERT Carlotta
Père : LAMBERT Jacques ( ? - ? )
Mère : AZTARAIN Elvira ( ? - ? )

LAMBERT Carlotta
LAMBERT Jacques
LAMBERT Bruno
DUPUY Elisabeth Marie Lovely
AZTARAIN Elvira
 
 


                     


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