Note individuelle
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Fils de feu noble François de La ROCHETTE, seigneur dudit lieu, habitant en son château de la Rochette, paroisse de Saint-Jeure-de-Bonnas (43), confirmé dans sa noblesse par jugement rendu à Montpellier le 26 août 1669 par Mr BAZIN de BEZONS, Intendant en la provinve de Languedoc et commissaire du Roi pour procéder à la vérification des titres de noblesse en ladite province. Fils de Demoiselle Isabeau de PONS. Demeurant au château de La Rochette, à son décès.
(Source : Volumes Reliés du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. «Procès-verbaux des preuves de la noblesse des élèves de l'École royale militaire, ... dressés par messire Antoine-Marie D'HOZIER DE SERIGNY, chevalier, juge d'armes de la noblesse...» (1753-1790). Écoles royales militaires. XL Années 1788, 2 janv.-1790, 25 mai., dossier 38).
La noblesse et la bourgeoisie de Saint-Didier-en-Velay :
On reste étonné de trouver dans la baronnie de Saint-Didier, une aussi abondante floraison de nobles et de bourgeois.
La cité était riche. Son commerce était actif. Des bourgeois considérables s’étaient liés à des nobles de Saint-Didier et des environs. De vieille familles s’installèrent à Saint-Didier à la suite d’alliances. Les puissants barons de Saint-Didier, qui résidaient une partie de l’année dans leur vieux castel, avaient attiré également un certain nombre de noble.
La vie, d’ailleurs, y était aisée et agréable. Cette bourgeoisie et cette noblesse, riches et considérables sous plusieurs aspects, presque toujours désœuvrées ou tout au moins disposant de beaucoup de loisirs, aimaient infiniment les amusements, les plaisirs et les jeux de grand exercices, tels que le mail, la chasse, les boules.
On y jouait notamment, d’une manière distinguée, à la paume longue avec des battoirs en forme de palettes à long manche, et avec des balles garnies de peau blanche.
Plus de trente familles nobles et bourgeoises vécurent à Saint-Didier. Quelques-unes, depuis longtemps, ont disparu, fondu dans des alliances. D’autre se sont éteintes sans postérité. D’autre enfin, subsistent encore, au nombre de celle-ci, citons les familles du PELOUX de SAINT-ROMAIN ; la famille de LAFRESSANGE ; la famille de VÉRON de La COMBE ; de LUZY de PÉLISSAC ; ALLOUËS de LAFAYETTE, etc.…
La famille de La ROCHETTE est originaire du Dauphiné, son nom primitif paraît être de GUIGUES. Elle se transporta en Auvergne, en 1241, vivait un Béraud de GUIGUE de La ROCHETTE.
(Source : http://histoire-seauve-et-velay.fr/2018/03/la-noblesse-et-la-bourgeoisie-de-saint-didier-en-velay/).
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