Fiches individuelles


BALAŸ Henri
Père : BALAŸ Ferdinand ( 1859 - 1916 )
Mère : BALAŸ Louise ( 1862 - 1952 )

BALAŸ Henri
BALAŸ Ferdinand
BALAŸ François Ferdinand
NEYRON de MÉONS Fleurie Marie Charlotte
BALAŸ Louise
BALAŸ Charles Louis
MANGINI Marie-Félicie




BALAŸ Henry
Naissance : 1860 à Saint-Etienne 42
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Colin de Verdière).
Décès : 1925
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Colin de Verdière).

Père : BALAŸ Charles Louis ( 1828 - 1891 )
Mère : MANGINI Marie-Félicie ( 1839 - 1923 )

Union : GILLET Marguerite ( 1866 - 1959 )
Enfants : BALAŸ Françoise Marie Mathilde ( 1889 - 1982 )
BALAŸ Anne ( 1891 - 1972 )
BALAŸ Hélène Félicie ( 1895 - 1980 )
BALAŸ François ( 1897 - 1962 )
BALAŸ Edmond ( 1902 - 1992 )
BALAŸ Paul ( 1904 - 1999 )
Note individuelle : Henry Balaÿ a intégré en 1880 l'Ecole Centrale des Arts et Manufactures de Paris. Il en ressort aux termes de trois années de scolarité en 1883 avec le diplôme d'ingénieur centralien. Sursitaire jusqu'à cette date, et tenu seulement à un engagement conditionnel d'un an, il est incorporé au 2ème régiment d'Artillerie de Grenoble et est renvoyé en disponibilité avec le grade de brigadier en novembre 1884. Il se déclare ensuite résident à Mulhouse, alors en Alsace allemande, et ne revient à son domicile légal chez ses parents à Saint-Genis-L'Argentière que quelques semaines avant son mariage en mai 1887. Lors du mariage célébré à Lyon, ses deux témoins sont ses oncles Mangini. Le couple s'installe dès le mois de juillet quai de Serin à Lyon, chez ses beaux-parents Gillet. Il entre alors dans l'entreprise familiale, dont il devient associé et actionnaire.
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Colin de Verdière).

BALAŸ Henry
BALAŸ Charles Louis
BALAŸ Jean-Christophe
SALICHON Anne
MANGINI Marie-Félicie
 
 




BALAŸ Jacqueline Marie Louise
Père : BALAŸ Georges Marie Henri Guillaume ( 1905 - 1974 )
Mère : DUBOUT Jeanne Marie Eugénie ( 1909 - 1997 )

Union : BÉDIER Pierre ( ? - ? )
Enfants : BÉDIER Jérôme ( ? - ? )
BÉDIER Christophe ( ? - ? )
Note familiale : Ce couple eut 4 enfants.
BALAŸ Jacqueline Marie Louise
BALAŸ Georges Marie Henri Guillaume
BALAŸ Jean Antoine Henri
VERNY Louise Marie
DUBOUT Jeanne Marie Eugénie
DUBOUT Francis
CHANCEL Marie-Thérèse




BALAŸ Jean
Vigneron à Annonay, puis marchand de rubans

Naissance : vers 1723 à Annonay 07
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Colin de Verdière).

Père : BALAŸ Christophe ( 1686 - 1746 )
Mère : VALETTE Marie ( 1688 - ? )

Union : MONTAGNIER Elisabeth ( ~ 1735 - ? )
Mariage religieux : 15 janvier 1759 à Annonay 07 ( Source )
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Enfant : BALAŸ Jean-François ( 1760 - 1838 )
BALAŸ Jean
BALAŸ Christophe
BALAY Jean
PEYRON Jeanne
VALETTE Marie
 
 




BALAŸ Jean dit Jules Balaÿ de la Bertrandière
Industriel, banquier, député de la Loire - Sieur de la bertrandière, chevalier de la Légion d'honneur

Naissance : 14 floréal an III à Saint-Etienne 42 au domicile parental, au Bas Charvey ( Source )
Décès : 30 novembre 1862 à Paris 75
(Source : Assemblée Natonale).

Père : BALAŸ Jean-François ( 1760 - 1838 )
Mère : VIAL Agathe ( 1764 - 1812 )

Union : THIOLLIÈRE Jeanne Valérie ( 1811 - 1850 )
Mariage : 13 juillet 1829 à Montaud 42
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Enfants : BALAŸ François Félix ( 1830 - 1836 )
BALAŸ de LA BERTRANDIÈRE Antonie Fanny Valérie ( 1831 - 1901 )
BALAŸ Christophe Octave ( 1833 - 1834 )
BALAŸ Marie Eugénie Valérie Caroline ( 1836 - 1837 )
BALAŸ Christophe Valère Jules ( 1837 - 1838 )
Note individuelle : Fut député de la Loire (Majorité dynastique), du 29 février 1852 au 30 novembre 1862.
(Source : Assemblée Natonale).
Il travailla avec son père et fut également banquier et député de la Loire de 1852 à 1862, Chevalier de la Légion d'honneur. Il prit des parts dans la Société Jackson frères et Cie créée en 1853. Il prendra le nom de Jules Balaÿ de la Bertrandière après avoir acheté le château du même nom.
(Source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr).
Jules Jacques Jean dit Jules Balaÿ également appelé Balaÿ de la Bertrandière est un industriel, banquier et homme politique français.
Employé (1811) puis associé (1819) de son père, fabricant de rubans de Saint-Étienne : il est envoyé à Leipzig dans la succursale de l'entreprise familiale. En 1827, il constitue, avec ses frères, la société Balaÿ fils jeunes (jusqu'en 1840) tout en continuant de s'occuper de la maison de Leipzig. Il fonde ensuite sa propre société, Balaÿ Jules, vers 1832, toujours dans la rubanerie tout en s'associant avec ses cadets, sous la raison Balaÿ frères & Cie, pour se livrer au commerce de la soie et à la banque. Il est élu aux Prud'hommes en 1837, où avait siégé son père en 1812. Il obtient plusieurs récompenses à l'occasion des expositions industrielles : médaille d'argent à Paris en 1839, médaille d'or en 1844 et 1849, médaille de 2e classe à Londres en 1851, médaille de 1re classe à Paris en 1855, une autre médaille à Londres en 1862.
Ce banquier influent, membre de la Chambre de commerce de Saint-Étienne (1847-1848), directeur de la Caisse d'Epargne (1833-1841), mais aussi, et surtout, administrateur de la succursale de la Banque de France (1836-1861), ayant défendu à Paris le transfert à Saint-Étienne de la préfecture de la Loire installée, depuis l'origine, dans la petite ville de Montbrison, se fait remarquer par les autorités impériales qui cherchent des candidats pour les élections législatives. Candidat officiel, il est élu député de la première circonscription de la Loire en 1852 (avec 54,9 % des voix) puis réélu en 1857 (avec 58,2 %). Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en 1858, en récompense de ses succès.
Il se fait appeler Balaÿ de la Bertrandière, après l'acquisition du château de la Bertrandière à l'Etrat, au nord de Saint-Étienne.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).
Il est d'abord employé (1811) puis associé de son père (1819), fabricant de rubans à Saint-Etienne: il est envoyé à Leipzig dans la succursale de l'entreprise familiale. En 1827, il constitue, avec ses frères, la société Balaÿ fils jeunes (jusqu'en 1840) tout en continuant de s'occuper de la maison de Leipzig. Il fonde ensuite sa propre société, Balaÿ Jules, vers 1832, toujours dans la rubanerie tout en s'associant avec ses cadets, sous la raison sociale Balaÿ frères et Cie, pour se livrer au commerce de la soie et à la banque. Il est élu aux Prud'hommes en 1837, où avait siégé son père en 1812. Il obtient plusieurs récompenses à l'occasion des expositions industrielles: médaille d'argent à Paris en 1839, médaille d'or en 1844 et en 1849, médaille de 2ème classe à Londres en 1851, médaille de 1ère classe à Paris en 1855, une autre médaille à Londres en 1862. Ce banquier influent, membre de la Chambre de commerce de Saint-Etienne (1847-1848), directeur de la Caisse d'Epargne (1833-1844), mais aussi, et surtout, administrateur de la succursale de la Banque de France (1836-1861), ayant défendu à Paris le transfert à Saint-Etienne de la préfecture de la Loire installée, depuis l'origine, dans la petite ville de Montbrison, se fait remarquer par les autorités impériales qui cherchent des candidats pour les élections législatives. Candidat officiel, il est élu député de la première circonscription de la Loire en 1852 (54,9% des voix) puis réélu en 1857 (avec 58,2%). Il devient chevalier de la Légion d'Honneur en 1858, en récompense de ses succès.
(Source : voir fichier Geneanet de Jean Colin de Verdière).
Commerçant et industriel, député de la Loire.
D'une ancienne famille de la bourgeoisie stéphanoise, Jean Jules Balaÿ de la Bertrandière est le fils d'un fabricant de soieries et le petit-fils d'un banquier. A quinze ans il est envoyé en apprentissage dans un comptoir créé par son père à Leipzig. Il y demeure finalement vingt-deux ans avant de liquider lui-même ce comptoir en 1832. A cette époque, son frère David vient de mourir et il rentre en France pour prendre sa succession à la tête d'une fabrique de soieries et de rubans à Saint-Etienne et d'une banque à Lyon. Porteur d'un nom connu, il ne tarde pas à se faire un prénom. Il crée et perfectionne la soie grège et devient un membre actif de la Chambre de commerce de Saint-Etienne. Sa notoriété dépasse même les limites de sa région. Ses produits sont plusieurs fois médaillés, en particulier à l'Exposition universelle de Londres de 1851. Il remet en exploitation les houillères de Montdragon.
Ce sont les élections générales de 1852 et la volonté du gouvernement de faire appel à des hommes neufs issus du monde industriel qui lui donnent l'occasion d'entrer en politique. Il est élu dans la troisième circonscription de la Loire puis réélu en 1857, cette fois dans la première circonscription départementale. S'il participe très peu aux grands débats, il se montre très actif au sein des commissions d'intérêt local et vote fidèlement avec la majorité. Il en est récompensé par un ruban de chevalier de la Légion d'honneur. Il meurt d'une attaque d'apoplexie foudroyante.
Il était marié à Valérie Thiollière, fille du maire de Montaud. Sa fille, Antonie, épousa son neveu et successeur au Corps législatif, Francisque Balay.
(Source : http://www.napoleontrois.fr).
Travaille d'abord avec son père, puis ses frères aînés, au sein de la maison de rubans Balaÿ Aîné. Vers 1830 fonde sa propre société, tout en s'associant avec ses cadets, sous la raison Balaÿ fils jeunes, puis Balaÿ frères & Cie pour se livrer au commerce de la soie & de la banque. 1837 élu aux Prud'hommes. Fait travailler 1200 ouvriers vers 1848. Sous le 2ième Empire, s'associe avec son neveu & gendre Francisque (1856), puis avec le plus jeune frère de ce dernier : Jean Jules.
Membre de la chambre de commerce de Saint Etienne (1847-1848), directeur de la caisse d'Epargne (1833-1841), administrateur de la succursale de la Banque de France (1836-1861). Chevalier de la légion d'honneur en 1858.
(Source : voir fichier Geneanet Cdri).

La Bertrandière à l'Etrat :
On peut considérer qu’il existait là une construction, dès le XVIème siècle. Dans sa forme actuelle, la construction daterait du début du XVIIIème siècle.
On ne dispose pas de sources indiquant qui furent les premiers propriétaires.
Les premiers connus appartiendraient à la famille PRAIRE, alliée aux TESTENOIRE LAFAYETTE : famille d’échevins, de notaires et d’officiers de justice venus du Beaujolais vers 1781. Une des branches développa une activité importante de moulinage de la soie.
Le château fut ensuite acquis par Georges Victor JOVIN, dit JOVIN BOUCHARD, entrepreneur de la Manufacture d’Armes de Saint-Etienne, depuis 1809, date à laquelle il succéda avec son frère aîné Jean Aimé, à leur père François JOVIN. Il l’a détenu jusqu’à son décès en 1835, toujours célibataire. C’est lui qui consentit des legs importants à la ville de Saint-Etienne et à la commune de la Fouillouse, ce qui ne plut pas à ses frères et sœurs qui ne bénéficièrent pas de sa fortune. Ceux-ci, et surtout ses enfants naturels, attaquèrent le testament, et le procès dura jusqu’en 1860. Les biens inclus dans sa succession ne purent être transmis ou vendus qu’à partir de 1840.
Jean dit Jules BALAŸ (1795-1862) acquit la propriété vers 1843. C’est lui qui donna son essor aux activités des BALAŸ. Son père Jean-François avait lancé la fabrique de rubans au début du Directoire et ouvert une succursale à Leipzig. Jules est un des 8 enfants de Jean-François BALAŸ. Deux de ses frères, Jean Christophe et Claude dit Constant (château à St Priest) étaient également fabricants de rubans. Jules épousa Jeanne dite Valérie THIOLLIÈRE-LAROCHE fille d’un fabricant.
Il fut d’abord employé par son père qui l’envoya diriger la succursale de Leipzig, puis il monta sa propre société Balaÿ frères. La maison a pris une importance considérable puisqu’en 1849 elle occupait 1220 ouvriers et faisait travailler 350 métiers de 12 à 32 pièces (Informations communiquées par G.M. THERMEAU qui souligne l’importance de la maison par ces quelques chiffres : elle occupe 155 personnes dans ses locaux de la rue Mi-Carême, dont 100 ourdisseuses, des plieuses, cylindreurs, liseurs, commis. 1100 employés au dehors pour 100 ourdisseuses, 300 métiers à la barre, 100 métiers Jacquard, 250 canetteurs, 300 dévideuses, etc…). La production était organisée dans les ateliers de la rue Mi-Carême et dans St Etienne, mais également largement dans ceux des campagnes de l’Yssingelais.
Mais ce qui distingue Jules BALAŸ, c’est qu’il crée aussi une banque en 1843 et que cette affaire prendra de l’importance pour des investissements industriels (Houillères, Forges Pétin-Gaudet,rubans…).
Il est ainsi devenu un notable influent : membre de la Chambre de Commerce et d’Industrie, directeur de la Caisse d’Epargne et administrateur de la succursale de la Banque de France, député sous le second Empire (1852 et 1857).
J. BALAŸ acheta la propriété de la Bertrandière (44,97 ha) pour 150000 F, aux héritiers de Georges Victor JOVIN et prétendit dès lors se faire appeler BALAŸ de La BERTRANDIÈRE.
Le château accueillait la famille BALAŸ élargie pendant l’été. On y développait des innovations agricoles : ainsi Françoise Fanny BALAŸ, sœur de Jules, y a planté 8000 mûriers vers 1840, pour promouvoir l’élevage desvers à soie.
A la mort de Jules, en 1863, c’est son neveu, Jean Marie, dit Francisque BALAŸ, qui lui succéda aux affaires et reprit le château (Il développa un très important haras à Chalain-le-Comtal).
Après la disparition de la société de rubanerie Balaÿ frères en 1871, Francisque BALAŸ se consacra davantage encore à sa propriété de Sourcieux à Chalain. En 1875, une partie de la Bertrandière, dont le château, aurait ensuite été vendue à Jules Alexandre SUTTERLIN (J. SUTTERLIN a quitté l’Alsace après l’occupation par les allemands. La famille SUTTERLIN était propriétaire d’une fabrique de fusils en Alsace. Ils possédaient aussi une fabrique de sabres ã Klingenthal. C’est de cette région que sont aussi venus les Holtzer et Bedell. La famille SUTTERLIN était liée à celle de l’anglais Charles JACKSON, fondateur d’aciéries dans la Loire, qui avait épousé Eugénie SUTTERLIN en 1834…), alsacien né à Mutzig, entrepreneur de la Manufacture d’Armes de St Etienne. Ce retour aux entrepreneurs d’armes n’a pas duré très longtemps, car SUTTERLIN est décédé assez jeune, en 1893, à l’Etrat. On lui doit la construction des bâtiments de garage et pour le jardinier. Mais la famille BALAŸ conserva l’essentiel de la propriété, ce qui lui permit de vendre en 1905 une partie importante (près de 37 ha) de la Bertrandière dite Valbois à Jean-Jacques GIRON (1861-1923), un des enfants de Marcellin GIRON. C’est lui qui rebâtit le château de Valbois et lui donna son aspect d’aujourd’hui.
Le château passa alors aux mains du fabricant stéphanois Jean GAUCHER, en 1900.
Jean-Baptiste LOUISON, industriel rubanier (place Jacquard à St Etienne) qui a épousé sa fille, Jeanne GAUCHER, apparaît comme étant le nouveau propriétaire en 1910.
En 1954, le château est toujours dans la famille LOUISON, au nom de Marcel LOUISON, fabricant de rubans.
En 1960, la famille LOUISON vendit la propriété à la SCI La Bertrandière et à une famille d’industriels les BOUVARD. Celle-ci conserva le château et ses annexes, mais les terrains furent cédés à un promoteur pour la réalisation d’un lotissement de 68 lots. Après la disparition de Madame Veuve Germaine BOUVARD, le château revint ensuite à sa fille Monique épouse BRUYÈRE.
L’édification du château s’est faite par étapes.
La construction actuelle a sans doute repris une construction plus ancienne dont il reste les caves voutées XVIème siècle du sous-sol.
Elle date sans doute de la fin du XVIIIème siècle, avec un style qui associe des éléments de cette époque et d’autres plutôt Renaissance. On ignore le nom des architectes qui ont conçu ou modifié le château.
Il présente un plan symétrique, avec 4 tours d’angles flanquées de toitures en carène aux extrémités.
A l’arrière, un porche a été ajouté et plaqué sur la façade, sans doute vers 1910. Il est composé en ciment moulé, avec des pans coupés et des ferronneries de style nettement Art Déco.
Une orangerie était associée au château. Elle a été en partie vendue à des particuliers (les serres ont disparu. On y retrouve des influences d’un style médiéval dans le traitement, avec des éléments de chemin de garde, de meurtrières, de tourelles, etc..
Le château comportait aussi des bâtiments de ferme très importants. Lors du partage et de la vente d’une partie de la propriété à JJ. GIRON en 1905 pour la constitution du domaine de La Bertrandière-Valbois, ces bâtiments ont été attribués à JJ. GIRON, alors même qu’ils étaient liés au château de La Bertrandière.
Ils ont été vendus à des particuliers et très bien restaurés.
Le parc du château était d’une superficie considérable. Une partie fut vendue en 1905 par la famille BALAŸ à Jean-Jacques GIRON qui y aménagea le domaine de Valbois sur 37 ha !
Le château de la Bertrandière avait conservé un parc de 23 ha. Cette partie a fait l’objet d’un aménagement paysager confié aux paysagistes lyonnais LUIZER-BARRET (1766-1978), par la famille BALAŸ, à une date non précisée, mais probablement entre 1850 et 1875.
(Source : http://bonneville.ccolonna.net/fichiers/labertrandiere.pdf).

BALAŸ Jean
BALAŸ Jean-François
BALAŸ Jean
MONTAGNIER Elisabeth
VIAL Agathe
 
 


                     


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