Fiches individuelles


CHAMPAGNAT Antoinette
Naissance : 14 décembre 1831 à Saint-Genest-Malifaux 42
(Source : voir fichier Geneanet d'Olivier Terra).

Union : FREYSSINET Jean-Pierre ( 1823 - ? )
Mariage : 28 octobre 1868 à Marlhes 42
(Source : voir fichier Geneanet d'Olivier Terra).




CHAMPAGNAT Catherine
Naissance : 22 novembre 1758 à Marlhes 42
(Source : voir base Roglo).

Père : CHAMPAGNAC Jean ( 1719 - 1760 )
Mère : DUCROS Marie Anne ( 1731 - > 1775 )

CHAMPAGNAT Catherine
CHAMPAGNAC Jean
CHAMPAGNAC Jean ou Jean-Baptiste
CROUZET Marie-Louise
DUCROS Marie Anne
 
 




CHAMPAGNAT Claude
Naissance : 12 février 1754 à Marlhes 42
(Source : voir base Roglo).

Père : CHAMPAGNAC Jean ( 1719 - 1760 )
Mère : DUCROS Marie Anne ( 1731 - > 1775 )

CHAMPAGNAT Claude
CHAMPAGNAC Jean
CHAMPAGNAC Jean ou Jean-Baptiste
CROUZET Marie-Louise
DUCROS Marie Anne
 
 




CHAMPAGNAT Louise
Naissance : 6 décembre 1752 à Marlhes 42
(Source : voir base Roglo).

Père : CHAMPAGNAC Jean ( 1719 - 1760 )
Mère : DUCROS Marie Anne ( 1731 - > 1775 )

CHAMPAGNAT Louise
CHAMPAGNAC Jean
CHAMPAGNAC Jean ou Jean-Baptiste
CROUZET Marie-Louise
DUCROS Marie Anne
 
 




CHAMPAGNAT Marcelin Joseph Benoît dit Saint-Marcellin
Prêtre mariste, fondateur de la Société des Petits frères de Marie - Saint catholique
(voir article et lien de cousinage) - Saint catholique

Baptême : 20 mai 1789 à Marlhes 42 au hameau de Rosey ( Source )
Né la veille, il eut pour parrain honnête Marcelin CHIRAT, son oncle, et pour marraine honnête Marguerite CHATELARD, sa cousine par alliance.
Témoins : CHATELARD Marguerite ( 1764 - ? )
/ CHIRAT Marcellin ( 1748 - an III )

Décès : 6 juin 1840 à Saint-Martin-en-Coailleux 42 à Notre-Dame de l'Hermitage ( Source )
Inhumation : 8 juin 1840 à Saint-Martin-en-Coailleux 42 cimetière de Notre-Dame-de-l'Hermitage
(Source : voir base Roglo).

Père : CHAMPAGNAC Jean-Baptiste ( 1755 - an XII )
Mère : CHIRAT Marie Thérèse ( 1746 - 1810 )

Note individuelle : Fondateur d'écoles chrétiennes dans le Pilat, figure emblématique des pères maristes, fut canonisé en 1999. (voir message forum AGL de Georges PETIOT du 16 juin 2008).
Marcellin est le 10ème enfant de la famille. C'est l'abbé Linossier de la paroisse de Jonzieux qui va le recruter comme séminariste. Il entre au petit séminaire de Verrières en 1805 puis il rejoint le grand séminaire St-Irénée de Lyon. Il y rencontre Jean-Claude Courveille qui lui communique sa révélation, la Vierge désire une société à son nom. Ordonné prêtre en 1816 et nommé vicaire à la Valla-en-Gier, il achète, avec Courveille, une maison qui deviendra le noviciat des Petits Frères de Marie. Des écoles Maristes sont alors créées dans les départements environnants. En 1824, Courveille achète le terrain sur lequel sera construit ND de l'Hermitage alors sur la commune de St-Martin-en-Coailleux, c'est là que Marcellin Champagnat mourra le 6 juin 1840. Béatifié le 29 mai 1955, il a été canonisé le 18 avril 1999, place Saint-Pierre, par le Pape Jean-Paul II.
(source : http://noms.rues.st.etienne.free.fr/rues/c.html)
Parmi les tout premiers élèves se trouve un grand garçon assez retardé au point de vue scolaire, Marcellin Champagnat. Né à Marlhes le 20 mai 1789, les circonstances font qu'il n'entre à Verrières, dans les petites classes, qu'en octobre 1805, âgé de presque dix-sept ans. L'adaptation se révèle difficile : comme il était très timide, les premiers jours lui furent un peu pénibles ; il ne pouvait se résoudre à demander ce qui lui était nécessaire ; à table même, il n'osait présenter son assiette pour être servi, et il fallut tout le pouvoir de la faim pour le décider à faire comme les autres. Sa timidité, son air embarrassé, ses allures de montagne lui attirèrent d'abord les railleries de certains élèves étourdis... Un peu plus tard, à cause de son âge, Marcellin est promu surveillant de ses condisciples et chef de dortoir. Tous les soirs, après avoir fait le tour du dortoir, fermé les portes et les fenêtres, et s'être assuré que tous les élèves étaient couchés, il se mettait à étudier ses leçons du lendemain jusque bien avant dans la nuit. Comme son lit se trouvait dans une espèce d'alcôve, il put faire cela pendant plusieurs années sans être aperçu. Ces études supplémentaires sont les bienvenues car il a beaucoup de peine à suivre. Après la première année on songe à le renvoyer pour insuffisance et il met cinq ans pour parvenir à la classe de rhétorique qu'il redouble. Plus tard, pourtant, le séminaire de Verrières s'enorgueillira d'avoir compté parmi ses pensionnaires un garçon qui fut le souffre-douleur de ses copains dans les premiers temps et toujours un élève fort médiocre. Tout cela n'empêchera pas Joseph-Benoît-Marcellin Champagnat de devenir prêtre et fondateur d'une congrégation enseignante, la société des petits frères de Marie qui tient aujourd'hui des écoles et des collèges sur tous les continents.
Vie de Joseph-Benoît-Marcellin Champagnat, prêtre mariste, fondateur de la société des petits frères de Marie, par un de ses premiers disciples, Lyon, 1885.
En 1812, il rencontre Jean Baptiste Marie VIANNEY, le futur Saint Curé d'Ars, alors âgé de 26 ans, qui se trouve dans la division de M. CHAZELLES, et lui aussi élève particulièrement faible.
(Source : Joseph Barou, Le petit séminaire de Verrières, communication à la Diana, 1980).
Marcellin Champagnat (de son nom complet « Marcellin Joseph Benoît Champagnat »), né le 20 mai 1789 à Marlhes (Loire), mort le 6 juin 1840 à Saint-Chamond, était un homme d'Église et pédagogue français. Il est le fondateur de la Société des Petits Frères de Marie, dits «Frères Maristes des Écoles», dont la vocation était de créer l'enseignement primaire dans les campagnes. C'est un saint de l'Église catholique fêté le 6 juin.
Avant-dernier des dix enfants survivants de Jean-Baptiste (décédé le 13 juin 1804), cultivateur et marchand qui possède un petit moulin, et de Marie Chirat, il connaît une éducation rigoureuse par une mère profondément croyante et une tante, sœur de Saint-Joseph qui lui donne sa première instruction religieuse. Son père a été secrétaire de mairie, juge de paix et même président de l'administration municipale du canton de Marlhes en 1797. Orphelin de père, Marcellin entre à la Toussaint 1805 au petit séminaire de Verrières près Montbrison puis au grand séminaire de Lyon le 1er novembre 1813. Il y côtoie notamment Jean-Marie Vianney (1786-1859) (« le saint curé d'Ars »), et Jean Claude Colin fondateur de l'ordre des Maristes. À Marlhes, il réunit les adultes du village le dimanche pour une instruction sur les mystères de la religion et les devoirs du chrétien. Il montre un attrait prononcé pour la pénitence et la mortification. Refusant d'être l'esclave de sa sensualité, il ne prend rien entre les repas, pas même un fruit ou un verre d'eau. Cette vie dure en mortifications dégrade sa santé l'obligeant, un temps, à interrompre sa troisième année de théologie. Champagnat conçoit pour sa part l'idée d'y adjoindre des Frères enseignants : « Il nous faut des frères pour faire le catéchisme, pour aider les missionnaires, pour faire l'école aux enfants».
(Source : http://ze-patrimoine.e-monsite.com).
Marcellin Champagnat (de son nom complet « Marcellin Joseph Benoît Champagnat »), né le 20 mai 1789 à Marlhes (Loire), mort le 6 juin 1840 à Saint-Chamond, était un homme d'Église et pédagogue français. Il est le fondateur du collège Saint-Joseph à Saint-Didier-sur-Chalaronne de la Société des Petits Frères de Marie, dits « Frères Maristes des Écoles », dont la vocation était de promouvoir l'enseignement primaire dans les campagnes. C'est un saint de l'Église catholique romaine fêté le 6 juin.
Il ne faut pas oublier qu'il a aussi créé le Collège Laval, la 22e meilleure école privé au Québec. (2010) Avant-dernier des dix enfants survivants de Jean-Baptiste (décédé le 13 juin 1804), cultivateur et marchand qui possède un petit moulin, et de Marie Chirat, il connaît une éducation rigoureuse par une mère profondément croyante et une tante, sœur de Saint-Joseph qui lui donne sa première instruction religieuse. Son père a été secrétaire de mairie, juge de paix et même président de l'administration municipale du canton de Marlhes en 1797. Orphelin de père, Marcellin entre à la Toussaint 1805 au petit séminaire de Verrières près Montbrison puis au grand séminaire de Lyon le 1er novembre 1813. Il y côtoie notamment Jean-Marie Vianney (1786-1859) (« le saint curé d'Ars »), et Jean Claude Colin fondateur de l'ordre des Maristes. Pendant ses vacances, il consacre presque tout son temps libre à la prière, à l'étude et à l'exercice des œuvres de charité. À Marlhes, il réunit les adultes du village le dimanche pour une instruction sur les mystères de la religion et les devoirs du chrétien. Il montre un attrait prononcé pour la pénitence et la mortification. Refusant d'être l'esclave de sa sensualité, il ne prend rien entre les repas, pas même un fruit ou un verre d'eau. Cette vie dure en mortifications dégrade sa santé l'obligeant, un temps, à interrompre sa troisième année de théologie.
(Source : Wikipedia).
Saint catholique, fondateur d'écoles chrétiennes dans le Pilat, figure emblématique des maristes.
(Source : voir fichier Geneanet d’Antoine Fernand Rocher).

CHAMPAGNAT Marcelin Joseph Benoît
CHAMPAGNAC Jean-Baptiste
CHAMPAGNAC Jean
DUCROS Marie Anne
CHIRAT Marie Thérèse
CHIRAT Charles
POLLET Catherine


                     


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