Fiches individuelles


FRACHON Jean-Louis
Naissance : 12 octobre 1742 à Riotord 43 Fraisse
(Source : http://gw.geneanet.org/soubeyrand).

Père : FRACHON Jean ( 1689 - ? )
Mère : VALETTE Marie ( ? - < 1761 )

FRACHON Jean-Louis
FRACHON Jean
FRACHON Marcellin
MIRANDON Catherine
VALETTE Marie
 
 




FRACHON Jean-Philibert
Naissance :
Le 25 avril 1728 à Riotord selon Jean-Claude Soubeyrand.

Père : FRACHON Etienne ( 1691 - 1753 )
Mère : FAURIAT Marie ( ? - ? )

FRACHON Jean-Philibert
FRACHON Etienne
FRACHON Marcellin
MIRANDON Catherine
FAURIAT Marie
 
 




FRACHON Jeanne
Naissance : 10 juillet 1763 à Le Chambon 42
(Source : voir fichier Geneanet de Christian Lauranson-Rosaz).
Décès : 30 juillet 1832 à Le Chambon-Feugerolles 42
(Source : voir fichier Geneanet de Roger Thibaud).

Père : FRACHON Jean ( 1736 - <> 1798 & 1804 )
Mère : FERRIOL Claudine ( 1736 - 1779 )

Union : PEYRON Jean Laurent ( 1757 - 1817 )
Mariage religieux : 25 juin 1781 à Le Chambon-Feugerolles 42
(Source : voir fichier Geneanet de Christian Gauthier).
Enfants : PEYRON Louise ( 1785 - 1854 )
PEYRON Jean-Baptiste ( 1792 - > 1843 )
PEYRON Jeanne ( an II - ? )
PEYRON Jean-Pierre ( an VI - ? )
PEYRON Etienne ( an IX - ? )
PEYRON Jean-Laurent ( an XIV - < 1895 )
FRACHON Jeanne
FRACHON Jean
FRACHON Paul
MASSARDIER Anne
FERRIOL Claudine
 
 




FRACHON Jeanne
Naissance : 16 mars 1817 à Feugerolles 42
(Source : voir fichier Geneanet de Frédéric Peyron).

Union : PEYRON Marcellin ( 1812 - ? )
Mariage : 16 janvier 1843 à Le Chambon-Feugerolles 42
(Source : voir fichier Geneanet de Frédéric Peyron).
Enfants : PEYRON Claude ( 1843 - ? )
PEYRON Claudine ( 1848 - ? )
PEYRON Marie ( 1853 - ? )
PEYRON Elisabeth ( 1855 - ? )
PEYRON Marie ( 1858 - ? )
PEYRON Pierre ( 1862 - ? )




FRACHON Joseph dit Jo FRACHON
Musicien, chanteur, membre du groupe Les Compagnons de la Chanson

Naissance : 14 août 1919 à Davézieux 07
(Source : Insee).
Décès : 10 février 1992 à Paris (10ème) 75
(Source : Insee).

Père : FRACHON Jean ( 1879 - 1949 )
Mère : MIGNOT Hélène Régine Marie ( 1881 - 1948 )

Union : CANAUDIN Jacqueline Suzanne ( 1923 - 2001 )
Mariage : 24 septembre 1949 à Paris (9ème) 75
Enfant : FRACHON Patricia ( 1953 - ? )
Note individuelle : L'interview avait été signé par M. ARGOUD et J-J BROUSSE en janvier 1983 au terme d'une enquête réalisée par Y. GUGLIELMO, juste au moment où les COMPAGNONS de la CHANSON s'apprêtaient à faire leurs adieux à l'Olympia et par l'un de ceux qui s'étaient toujours montré parmi les plus discrets du groupe : Jo FRACHON.
Comme le souligne Jo (Il semblerait, mais on ne peut guère lui en vouloir devant autant de souvenirs, que le fameux appartement évoqué par Jo soit celui du boulevard Magenta loué à l'été 1944, à un moment où, selon nos autres sources, il ne faisait pas encore partie de la bande. Il ne l'intégrera qu'au début de l'année 1945. Rappelons que les Compagnons de la Musique, et Jean-Jacques BLANC y revient dans son ouvrage à paraître, ont à la sortie de cette location regagné Lyon pour y faire leur service armé au sein du Théâtre aux Armées avant, fin 1945, d'occuper la maison du peintre COROT à Ville-d'Avray jusqu'en Février 1946. Ils rejoindront ensuite la rue de l'Université dans le VIIème arr. de Paris où grâce aux parents de Jo, les COMPAGNONS bénéficieront pendant quelques années d'un lieu privilégié pour leurs mises au point.), à nos débuts, nous étions loin d'être riches et nous avions loué un petit appartement à Paris. Nous vivions tous les neuf dans cinq pièces à deux par chambre. Nuit et jour, nous étions les uns sur les autres. On s'amusait, bien sûr, mais aussi et surtout on s'engueulait. On en arrivait même à faire le coup de poing comme des chiffonniers. Tenez, à cette époque, chacun d'entre nous a donné plusieurs fois sa démission. Et pourtant, on revenait à chaque fois sans un mot d'excuse. Tout cela dans une ambiance qui faisait plus penser à une chambrée militaire qu'à un groupe de copains unis à la vie à la mort.
Quelqu'un a dit que la seule façon de vivre longtemps ensemble, c'est de rester séparés. Jamais ensemble à se déplacer pour être sûrs d'arriver, ponctuels, aux rendez-vous ! Une recette qui a toujours été mise en pratique par les COMPAGNONS ! Guy BOURGUIGNON, disparu en déc. 1969 avait coutume de dire à propos de leur ensemble : "Les COMPAGNONS, si je ne devais pas les voir demain matin, je serais ravi... Demain soir, je serais désespéré. Mais, revenons aux confidences de Jo... 
Jamais, poursuit Jo FRACHON, nous ne nous sommes serré la main ni dit bonjour ou bonsoir à l'exception de GASTON (Dans son ouvrage GASTON raconte les Compagnons, le remplaçant de Jean Broussolle évoque à un moment donné un possible repas chez son épouse Josepha aussitôt décommandé car il n'avait pas imaginé possible que les Compagnons ne puissent jamais se retrouver ensemble chez l'un d'entre eux !), qui n'avait jamais pu s'habituer. Jamais non plus, en quarante ans, nous ne nous sommes souhaité la bonne année ou une fête, ou un anniversaire. On ne s'est, non plus, jamais fait le moindre cadeau. Bref, exactement ce qu'il faut faire quand on ne tient pas à rester ensemble. Et c'est vraiment là le secret des Compagnons car à ce rythme de disputes, de désinvolture, de démissions fracassantes, le groupe aurait dû voler en éclats au bout de quelques mois. Alors qu'il a duré quarante ans !
Comment ? Grâce à nos femmes, explique Jo FRACHON.
Ce sont elles qui ont sauvé notre unité. Jamais, au grand jamais elles n'ont voulu prendre parti dans nos querelles et elles ont toujours su éviter de "nous monter la tête". Si notre première chance a été de nous rencontrer, la seconde a été de trouver huit femmes merveilleuses. Ou plutôt neuf car il y a eu neuf femmes dans leur vie et la neuvième, qu'aucun d'entre eux n'a épousée, a été pourtant le détonateur de la gloire. Il faut dire qu'elle s'appelait Edith PIAF ! Sans elle, avoue Jo, nous ne serions peut-être jamais sortis de l'ombre ! Tout de suite, elle a été subjuguée. D'abord par la voix de Fred MELLA. Eblouie, elle l'appelait "la voix d'or" et disait partout qu'une voix pareille, c'était un véritable don du ciel. Mais aussi par Jean-Louis JAUBERT dont elle était tombée follement amoureuse. Pendant notre tour de chant, elle nous attendait en tricotant dans notre loge avec une idée fixe qu'elle nous ressortait à chaque fois que nous revenions de scène : "Si vous continuez à chanter ces trucs-là (NDLR : les chansons folkloriques), vous vous casserez la gueule ! Elle voulait absolument que nous chantions plus "moderne". C'est elle qui nous a proposé : LES TROIS CLOCHES !
A partir de là, notre vie a changé. Elle nous a tout appris : les rideaux, les éclairages, le succès. Elle a dégourdi nos jeunes âmes. Elle nous disait : "attention là, ça fait patronage. Là ça fait professionnel". Nous avons fait une tournée avec elle en Europe. A l'affiche : PIAF, les COMPAGNONS DE LA CHANSON, AZNAVOUR et ROCHE. Ce n'était pas le triomphe. Souvent, il y avait beaucoup plus de monde sur la scène que dans la salle ! On se nourrissait de sandwiches, on n'avait pas un sou. Mais on vivait ensemble quatorze heures sur vingt-quatre et on arrêtait pas de rire. Il nous a fallu attendre d'être à Genève pour aller enfin dîner dans un restaurant. C'était tout de suite après la guerre. En Europe, le public connaissait encore mal Edith. Les COMPAGNONS pas du tout et ROCHE et AZNAVOUR, n'en parlons pas ! Ce fut pourtant la plus belle tournée de notre vie. Dix ans après, on riait comme des gosses quand on évoquait ce temps des vaches maigres. C'est Edith qui nous a fait engager aux Etats-Unis. On a fait un triomphe. Et pourtant, cela ne pouvait pas durer toujours. Tout le monde a cru que notre séparation avait été un drame. Au contraire. En se séparant, PIAF nous a donné l'une de nos plus grandes joies en nous disant : "Vous êtes des grands garçons maintenant, on va travailler chacun de notre côté". On a continué à se voir longtemps, très longtemps. Quand elle est morte, c'est un peu de lui-même que le groupe a perdu. Elle nous avait tant donnés ! Son enterrement au Père-Lachaise est peut-être un des pires souvenirs de toute notre existence.
Jamais, nous indique Jo, il n'y a eu de patron chez les COMPAGNONS. Tout a toujours été décidé à la majorité. Nous avons du reste toujours voté pour tout : pour choisir les costumes de scène, la couleur d'une veste, une tournée, une chanson, pour signer un contrat.
Lorsqu'il a été demandé à Jo d'aborder l'intervention chirurgicale subie par Fred MELLA en mai 1982, il nous a confiés que : Quand ils ont appris qu'il fallait l'opérer, ils ont revécu le drame de la mort de Guy BOURGUIGNON. Nous n'osions pas en parler ni évoquer la gravité de son mal. Nous n'osions même pas penser que nous risquions de le perdre. Pendant toute sa maladie, nous avons vécu dans l'angoisse et quand on a su qu'il était sauvé, ça a été l'un des plus beaux jours de notre vie. Et, quand quelques mois plus tard, nous nous sommes retrouvés de nouveau ensemble sur scène, nous étions comme des gamins qui redécouvraient la vie, l'amitié, la joie, le succès. Nous avions vingt ans.
(Source : http://compagnonsdelachanson.eklablog.com/c-etait-le-24-01-1983-jo-frachon-parlait-d-eux-a-un-media-a114919940).
La filleule de Fred MELLA, Patricia FRACHON doit encore s'en souvenir, son père Jo était l'un des seuls COMPAGNONS DE LA CHANSON à avoir gardé des liens avec Marc HERRAND après le départ de celui-ci en mars 1952. Pendant des années, avant que Marc et son épouse Yvette prennent l'avion pour une représentation au Japon, ils dinaient ensemble la veille. Un magnifique gage d'amitié et de complicité...
C'est le 14 août 1919 à Davézieux (Ardèche) que Jo FRACHON a vu le jour. Près d'Annonay, la ville fétiche des Compagnons qui a abrité également la Famille MELLA. C'est d'ailleurs au fameux Bar du Théâtre d'Annonay que Jo et les MELLA lieront amitié et qu'ils feront souvent quelques "bœufs" ensemble avant de se retrouver un peu plus tard ensemble au sein des COMPAGNONS DE LA CHANSON après une courte complicité au sein des COMPAGNONS DE LA MUSIQUE. Ils s'étaient rencontré à l'école Saint-Denis où Fred était instituteur remplaçant et où il arrivait à Jo d'aller chercher son neveu. 
Issu d'une lignée aristocratique et d'une famille d'entrepreneurs connue dans le monde entier : les MONTGOLFIER (Papeteries CANSON-MONTGOLFIER), c'est en effet parce qu'il rêvait de vie d'artiste que Jo a finalement choisi d'intégrer la "bande de Louis LIEBARD" avec quelques autres dont Hubert LANCELOT, Guy BOURGUIGNON, Jean-Louis JAUBERT, Gérard SABBAT et Fred MELLA. Non sans difficulté d'ailleurs à cause de sa grande taille qui, d'après Monsieur Louis, aurait pu être un obstacle à l'uniformité du groupe. Il n'intégrera d'ailleurs les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE de LIEBARD qu'au début de l'année 1945 après que Fred ait dû insister à plusieurs reprises auprès du premier mentor des Compagnons pour que son copain du bar-théâtre d'Annonay trouve enfin sa place au sein des COMPAGNONS DE LA MUSIQUE ! D'une rare distinction, on a dit de lui que c'était le seul à pouvoir pratiquer le baise-main en slip, sans se couvrir de ridicule. A noter, pour l'aspect anecdotique du chapitre, que c'est grâce au grand appartement des FRACHON du 195 rue de l'Université dans le VIIème à Paris, que les Compagnons trouveront le pied-à-terre dans lequel sera fomentée la révolte et la scission avec la bande du Chef LIEBARD ! Drôle de pied de nez au destin tout de même !
Soliste d'occasion capable d'interpréter à la place de Fred, Le petit oiseau joli, les bases de Jo FRACHON au piano et à la guitare lui vaudront de figurer parmi les personnages clés de l'équipe et d'aborder avec succès la période instrumentale des années 60-70. Mais il avait bien d'autres compétences à son arc, témoins ses compositions du début des années cinquante dont les plus ferrés en culture compagnonnesque se souviennent : Cavaliers du ciel, Mona Lisa, Ce sacré vieux soleil, Tourbillon, Aux marches du palais, Légende indienne, Chanson à ma bien-aimée, Trop beau pour être vrai. Elles montrent qu'il aurait tout à fait pu écrire d'autres succès pour les COMPAGNONS DE LA CHANSON. Dans son : Nous les Compagnons de la Chanson, Hubert revient d'ailleurs sur Berceuse pour un enfant triste, un texte né aux Etats-Unis après une longue nuit de chagrin, alors que Jo venait d'apprendre le décès de sa mère. Marc HERRAND en écrira la partition musicale.
Verbicruciste et cruciverbiste émérite puisqu'il s'était recyclé en participant à l'animation des Chiffres et des Lettres d'Armand JAMMOT sur France 2, Jo était également un passionné de vitesse et il adorait les bolides. Au point d'en sacrifier quelques-uns à l'exercice de sa passion. Désinvolte et doté d'un humour ravageur qui faisait, paraît-il, la joie d'Edith PIAF, toujours de bonne humeur, il est incontestable que les Compagnons lui doivent quelques belles crises de rire car il n'avait pas son pareil pour se singulariser par des plaisanteries et des gags parfois douteux.
(Source : http://compagnonsdelachanson.eklablog.com/fidele-en-amitie-le-grand-jo-c-etait-lui-a114780684).
Né le 18.08.1919, Jo FRACHON est un fier descendant des "Montgolfier" (tribu aux rameaux multiples de plus de 400 familles à travers le monde liées par les femmes aux CANSON et aux FRACHON). Mais Jo était "le seul vrai rebelle à la reconquête du ciel... il préférait fouler les planches d'une scène que l'osier d'une nacelle" (doc. VSD juin 1983 Annonay, les MONTGOLFIER sont toujours là. P. Castex). C'est à Fred qu'il doit d'être rentré, d'abord chez les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE de LIEBARD début 1945, LIEBARD qui avait trouvé qu'il était trop grand pour intégrer leur troupe.
Sa belle voix de basse lui a valu de chanter en solo Le petit oiseau joli. Grâce à son talent d'auteur, il a également écrit plusieurs chansons au début de leur carrière : Mona Lisa, Ce sacré vieux soleil, Les cavaliers du ciel, Aux marches du palais, Légende indienne, Tourbillon, Chanson à ma bien-aimée, Trop beau pour être vrai et aussi Berceuse pour un enfant triste. Une dernière chanson qu'il a écrite en 1949, dans la nuit du décès de sa mère sachant qu'il ne pourrait se rendre à son enterrement à cause de la tournée qu'il entreprenait aux USA et que Marc HERRAND a aussitôt mis en musique. En 1977, il a écrit sa dernière chanson " Le bonheur " sur une musique d'Alice DONA.
Le 10 février 1992, Jo est allé rejoindre Edith PIAF, Guy BOURGUIGNON, Jean BROUSSOLLE et Jean-Pierre CALVET.
(Source : http://compagnonsdelachanson.eklablog.com/petit-hommage-a-jo-frachon-a114790242).
Joseph FRACHON, dit Jo FRACHON est un musicien et chanteur français. Il est le troisième de la région d’Annonay derrière les MELLA à avoir fait partie des Compagnons de la chanson. C’est d'ailleurs au fameux Bar du Théâtre de la ville que Jo et les MELLA se lieront d’amitié et qu’ils feront souvent quelques « bœufs » ensemble.
Issu d'une lignée aristocratique et d’une famille d’entrepreneurs (Mort d'un compagnon, Le Soir, 13 février 1992) connue dans le monde entier : les MONTGOLFIER (Papeteries Canson-Montgolfier), c’est parce qu'il rêvait de vie d’artiste qu’il a finalement choisi d’intégrer les Compagnons de la Musique de Louis LIÉBARD avec quelques autres dont Hubert LANCELOT, Jean-Louis JAUBERT, Marc HERRAND, Guy BOURGUIGNON et Jean ALBERT. Non sans difficulté à cause de sa grande taille (1,88 m) qui, d’après LIÉBARD, aurait pu être un obstacle à l’uniformité du groupe. Il n’intégrera d’ailleurs les Compagnons de la Musique qu’à la fin 1944 après que Fred eut insisté à plusieurs reprises auprès du premier mentor des Compagnons. C’est grâce au grand appartement des FRACHON, rue de l’Université dans le 7e arrondissement à Paris, que les Compagnons ont pu trouver le pied-à-terre dans lequel ont été fomentées la révolte et la scission avec la bande du Chef LIÉBARD.
Les bases de Jo FRACHON au piano et à la guitare lui vaudront de figurer parmi les personnages clés de l’équipe et d’aborder avec succès la période instrumentale des années 1960-70. Ses compositions du début des années cinquante (Faisons connaissance avec... les Compagnons de la Chanson, Le Sisteron Journal, 24 juillet 1954) : Cavaliers du ciel, Mona Lisa, Ce sacré vieux soleil, Tourbillon, Aux marches du palais, Légende indienne, L'amour est venu danser, Marchand de chansons, Un p'tit roman, En veux-tu en voilà, Maître Pierre, Chanson à ma bien-aimée, Trop beau pour être vrai, montrent qu'il aurait tout à fait pu écrire d’autres succès pour les Compagnons de la Chanson.
Jo FRACHON est passionné de vitesse et adore les bolides, au point d'en sacrifier quelques-uns à l'exercice de sa passion. Désinvolte et doté d'un humour ravageur qui faisait, paraît-il, la joie d’Édith PIAF, toujours de bonne humeur, il est incontestable que les Compagnons lui doivent quelques belles crises de fou rire car il n'avait pas son pareil pour se singulariser par des plaisanteries et des gags parfois douteux.
Verbicruciste et cruciverbiste émérite, il publie une grille de mots croisés toutes les semaines dans France Dimanche, ce qui décidera en 1984 Armand JAMMOT à le choisir pour remplacer Max FAVALELLI (Télé 7 jours n°1271, semaine du 6 au 12 octobre 1984, pages 130 et 131 : " Jo Frachon : un "compagnon" pour remplacer Max) à l'animation Des chiffres et des lettres d'octobre 1984 (Les débuts de Jo Frachon à la télé, France Soir, 31 octobre 1984 et L'émission des Chiffres et des Lettres, à l'antenne depuis 25 ans, est menacée par les bouleversements des programmes, Le Soir, 22 janvier 1990) à février 1986.
Jo FRACHON est mort le 10 février 1992, suivi par son épouse Jacqueline qui en avril 1976 avait été candidate au jeu Des chiffres et des lettres. Leur fille Patricia a été l’une des responsables de la Régie Publicitaire de la station de radio RTL.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

FRACHON Joseph
FRACHON Jean
FRACHON Louis François Xavier
DEGLESNE Marie-Thérèse Germaine Joséphine
MIGNOT Hélène Régine Marie
MIGNOT Adolphe Louis
MONTGOLFIER (de ) Blanche Mathilde


                     


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