Fiches individuelles


SCHWICH Auguste
Chef de bataillon - Chevalier de Saint-Louis, chevalier de l'Aigle Rouge de Prusse, chevalier de la Légion d'honneur

Naissance : 1783 à Roquevaire 13
(Source : voir base Roglo).
Décès : 1848 à Vienne 38
(Source : voir base Roglo).

Union : DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Caroline ( 1781 - 1848 )
Mariage : 1817
Enfant : SCHWICH Joséphine ( 1825 - ? )
Note individuelle : Fils de Nicolas SCHWICH et de Marguerite CLAUS (Source : voir base Roglo).





SCHWICH Joséphine
Naissance : 1825
(Source : voir base Roglo).

Père : SCHWICH Auguste ( 1783 - 1848 )
Mère : DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Caroline ( 1781 - 1848 )

Union : DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Louis François Marie ( 1819 - 1892 )
Mariage : 1850
Note familiale : Etaient cousins.
SCHWICH Joséphine
SCHWICH Auguste
 
 
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Caroline
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Louis
JULLIEN DU VIVIER Magdeleine




SCOELER Simon
Naissance : 29 novembre 2000 à Boulogne-sur-Mer 62
(Source : https://www.stlouis26.eu/images/etablissement/Descendance-de--BOREL-Claude-2.pdf).

Père : BESSON Jean-Marc ( 1971 - ? )
Mère : SCHOELER Camille ( 1974 - ? )

SCOELER Simon
BESSON Jean-Marc
 
 
SCHOELER Camille
SCHOELER Charles Joseph Jean
MONTGOLFIER (de ) Laurence




SCRIBANI Charles Antoine Gaëtan
Lieutenant au 17ème régiment de Chasseurs à Cheval - Chevalier de la Légion d'Honneur

Naissance : 26 mars 1789 à Bettola ( Source )
(Source : LH2490/7).
Décès : 9 mars 1840 à Brignais 69
Furent témoins Pierre MOURON, 41ans, cordonnier, et Jean MOURRON, 43 ans, instituteur à Brignais.
(Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).

Union : SONYER Marie Anne Denise Augustine ( 1777 - 1840 )
Contrat de mariage : 13 octobre 1829 à Lyon 69 Maîtres ROZIER et CORON
Enregistré le 17. Les futurs époux contractent sous le régime dotal mais la future épouse réserve à son futur époux la faculté de vendre, hypothéquer ou échanger des biens immeubles présents ou à venir, de s'obliger, traiter, transiger, et prendre sous engagement avec le consentement de la future épouse. L'épouse apporte une dot de 2000 F composée de vêtements, linges, hardes, joyaux, bijoux pour son usage personnel et d'une boîte en or, le tout vu et reconnu par le futur époux qui consent d'en demeurer chargé envers sa future épouse en vue de l'accomplissement du présent mariage et sans qu'il soit besoin d'autres reconnaissances. L'estimation dudit trousseau n'en transmet pas la propriété au futur époux. En conséquence, la future épouse aura l'option lors de la dissolution du mariage, de reprendre et retirer en nature son dit trousseau dans l'état dans lequel il se trouvera alors, ou la somme de 2 000 francs à laquelle il a été évalué. Et quant aux autres biens meubles et immeubles de la delle future épouse, ils lui ont tous expressément réservés en paraphernaux. En conséquence, elle pourra les gréver et administrer seule conformément à la loi sans avoir besoin de la présence, du consentement ou de l'autorisation du futur époux. Pour distinguer les meubles meublants et effets mobiliers du futur époux de ceux de la future épouse, il a été fait état de ces derniers signé par les parties et à l'instant paraphé par les notaires pour demeurer annexé aux présentes et être enregistré avant icelles.` Les futurs époux contribueront chacun par moitié aux frais et charges du présent mariage. Toujours en considération du présent mariage, la delle future épouse épouse a fait donation entre vifs au futur époux, ce acceptant, pour le cas où il lui survivrait, d'une pension annuelle et viagère de 400 francs, franche et exempte de toutes retenues, payable en monnaie des cours d'or et d'argent payable par moitié de 6 mois en 6 mois à compter du jour du décès de ladite delle future épouse et pendant la vie dudit sieur futur époux. Ledit sieur futur époux a également fait donation entre vifs à la future épouse, ce acceptant, pour le cas où elle lui survivrait de tous les biens meubles et immeubles, droits, actions ou prétentions qui appartiendront, pour en jouir et disposer en toute propriété et usufruit à compter du décès du futur.
(Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).
Mariage : 26 novembre 1829 à Lyon 69
Furent témoins François BRUNET, Benoît OLIVIER, Fleury CHAMPIN, Pierre BLANC. (Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).
Note familiale : Lors de son mariage avec Charles SCRIBANI, un inventaire de ses biens meubles paraphernaux de l'épouse est réalisé. Voici ce qu'il comprend : 3 lits à 2 dossiers en noyer, 8 matelas en laine et crin, 3 traversins de coutil et plume, 3 garde-pailles, 3 couvertures en coton, 3 vieilles couvertures en laine, 1 couverture en indienne piquée, 4 couvre-pieds, 2 édredons en duvet, 2 couvertures en calicot, 8 paires de draps de lit de maître marqués G.S, 12 torchons, 1 chauffe-pieds en étain, 1 bassinoire en cuivre, 5 douzaines de pièces de vaisselle en faïence et terre commune, 1 console en noyer à dessus en marbre, 1 commode en noyer à 3 tiroirs, 12 chaises en bois et paille, 2 secrétaires en noyer avec dessus en marbre, 2 tables de nuit en noyer, 1 vieille table de jeu, 2 tables à manger, 1 fauteuil semi-bergère en crin, 1 fauteuil en bois et paille, 1 fauteuil en tapisseries, garni de crin, 1 petite table de salon, 1 lit de sangles, 12 couverts d'argent marqués A.S, 6 cuillers à café en argent et trois sans marque, et six autres cuillers à café avec des armoiries, 1 cuillère à soupe appelée "poche", 12 couteaux de table, 1 couteau à découper, 2 cafetières à coquemard en cuivre, 3 plateaux en fer blanc vernis pour des tasses à café, un cabaret pour les verres à pied en tôle vernie, 6 chandeliers en cuivre, 4 casseroles en cuivre, 1 couvercle de casserole en cuivre, 2 tourtières en cuivre, 1 rotissier en fer blanc.
(Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).
Note individuelle : Fils de Joseph SCRIBANI et de Julie VALLA , ses parents demeurent à Piacenza. Il est en garnison à Nevers, lors de son mariage.
Le prénom Cajetan, en italien Caetani vient du patronyme d'une célèbre famille de la noblesse lombarde qui donna notamment à l'Eglise un pape (Boniface VIII) et un cardinal-diplomate (Enrico CAETANI) qui joua un rôle important en France au XVI° siècle aux côtés de la Ligue.
Il est naturalisé français par ordonnance du Roi à Saint-Cloud le 11 juillet 1827. Il est alors sous-lieutenant au 17° régiment de chasseurs à cheval.
(Source : voir fichier Geneanet de Bruno François Rougier).
Nommé chevalier de la Légion d'honneur le 27 décembe 1830 après avoir prêté serment le 3 avril de la même année. Il entra au 15ème régiment de Chasseurs le 28 novembre 1806, incorporé aux Chasseurs d'Angoulême devenus le 17ème régiment de Chasseurs le 6 août 1815, promu maréchal des logis le 16 août 1815, nommé sous-lieutenant le 29 août 1823, puis lieutenant le 1er octobre 1830. Il prit part aux campagnes de Prusse en 1807, d'Espagne en 1808, où il fut prisonnier de guerre du 26 octobre 1808, rentré le 11 février 1814. Il prit ensuite part à la campagne de France en 1815, de nouveau en espagen en 1823, jusqu'au 12 avril 1825. (Source : LH2490/7).





SEAUVE Benoîte
Décès : après 22 février 1729

Union : FREYCON Jean ( ? - > 1729 )
Mariage religieux : 13 janvier 1705 à Tarentaise 42
Enfant : FREYCON Claudine ( ? - 1739 )
Note individuelle : Fille de feu Jean SAEUVE, et de Marie LANDON.



                     


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