Fiches individuelles


SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Marie Madeleine Catherine
Baptême : 20 janvier 1788
Sa marraine fut Marie Reine du PELOUX de SAINT-ROMAIN.
Témoins : SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Pierre Jules ( 1763 - 1838 )
/ SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Pierre Jules ( 1763 - 1838 )

Père : SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Jacques Joseph Gabriel ( 1753 - 1810 )
Mère : SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Marie-Louise ( 1756 - > 1807 )

SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Marie Madeleine Catherine
SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Jacques Joseph Gabriel
ALLIER de SAIGNARD Jean-Armand
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Marie Madeleine Marguerite
SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Marie-Louise
SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Jean-Dominique
DENIS d'ALLEMANCES Marie Catherine Denise




SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Serge
Capitaine au 33e régiment d'Artillerie - Comte de La Fressange

Naissance : 17 octobre 1869 à Saint-Petersbourg
Décès : avril 1916 ( Source )
(Source : Journal du Loiret du 9 avril 1916, page 2).

Père : SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Alfred Charles Henri François Régis ( 1820 - 1879 )
Mère : ZACETSKOÏ Elisabeth ( 1827 - 1883 )

Union : GEFFRIER (de ) Anne Marie Lucie Jeanne ( 1873 - 1954 )
Contrat de mariage : 17 juin 1895 à Beaugency 45
Mariage : 19 juin 1895 à Lailly-en-Val 45 ( Source )
Mariage religieux : 19 juin 1895 à Lailly-en-Val 45 église paroissiale et château de Pully ( Source )
Enfant : SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Marie Elisabeth ( 1905 - 1973 )
Note individuelle : Lieutenant au 30ème régiment d'Artillerie, domicilié 43 rue de Loigny à Orléans, autorisé par le général ROUSSENARD, commandant le 5ème Corps d'Armée, le 23 mai 1895, à son mariage, en juin 1895.
Lieutenant au 30ème régiment d'artillerie, domicilié 6 rue Saint-Enverte (?) à Orléans, en février 1905.
Nommé capitaine le 25 mars 1906.

SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Serge
SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Alfred Charles Henri François Régis
SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Henri Jacques Hilaire Jean François Régis
ROSILY-MESROS (de ) Emilie
ZACETSKOÏ Elisabeth
 
 




SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Sophie Françoise Angélique
Baptême : 9 août 1784
Témoins : LA TOUR VARAN (de ) Nicolas ( ? - an IX )
/ SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Marguerite Rosalie ( 1785 - ? )

Père : SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Jacques Joseph Gabriel ( 1753 - 1810 )
Mère : SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Marie-Louise ( 1756 - > 1807 )

Union : LACROIX de CASTRIES (de ) Jacques ( 1791 - 1863 )
Mariage : 1 juillet 1822
Enfants : LACROIX de CASTRIES (de ) Marie Marguerite ( 1823 - 1893 )
LA CROIX de CASTRIES (de ) Marie Geneviève Yrène ( 1823 - 1893 )
LACROIX de CASTRIES (de ) N... ( ? - ? )
SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Sophie Françoise Angélique
SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Jacques Joseph Gabriel
ALLIER de SAIGNARD Jean-Armand
DU PELOUX de SAINT-ROMAIN Marie Madeleine Marguerite
SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Marie-Louise
SAIGNARD de SASSELANGE (de ) Jean-Dominique
DENIS d'ALLEMANCES Marie Catherine Denise




SAIGNARD de MONTAIGU (de ) Jean
- Seigneur de Montagut

Naissance : avant 1669
Décès : 1 septembre 1701 à Chiari
Tué au siège de la Ville.

Père : SAIGNARD (de ) Pierre ( 1626 - 1708 )
Mère : REYNAUD de LA BASTIE Marguerite Aymée ( ? - ? )

Note individuelle : La bataille de Chiari est une bataille de la guerre de Succession d'Espagne qui eut lieu, dans le Nord de l'Italie, le 1er septembre 1701, entre l'armée française commandée par le maréchal de Villeroy et l'armée autrichienne commandée par le prince Eugène de Savoie.
Date : 1er septembre 1701. Lieu : Chiari (Lombardie, Italie). Issue : victoire autrichienne. Bélligérants : Royaume de France d'un côté, archiduché d'Autriche de l'autre. Commandants : François de NEUFVILLE de VILLEROY pour la France, Eugène de SAVOIE-CARIGNAN pour l'Autriche. Forces en présence : ~ 45 000 hommes côté français, ~ 30 000 hommes côté autrichien. Pertes : ~3 000 hommes côté français, ~150 côté autrichien.
Catinat avait reçu ordre de bloquer la route de l'armée autrichienne, commandée par le prince Eugène, sans engager le combat, et sans pénétrer sur le territoire de la Sérénissime République de Venise restée neutre. Après avoir joué pendant plusieurs semaines au chat et à la souris, Eugène de Savoie surprend Catinat en franchissant l'Adige, à Carpi, dans la nuit du 8 au 9 juillet 1701. Dépassés par le nombre, les Français sont obligés de se replier sur les rives de l'Oglio.
Après la bataille de Carpi, Catinat est remplacé par le maréchal de Villeroy à la tête de l'armée française. Celui-ci, sans doute plus habile courtisan que général (François de Neufville de Villeroy est le plus mauvais général de France, il fut toujours battu), empressé de plaire à Louis XIV dont il est le favori, à hâte de combattre : arrivé à l'armée le 22 août, il repasse triomphalement l'Oglio et à travers rivières et canaux, marche droit aux Autrichiens.
Toute l'armée autrichienne est retranchée dans la petite ville de Chiari, dans une position formidable, mais trompé par deux cuirassiers fait prisonniers, Villeroy est persuadé qu'il n'y a pas d'Impériaux dans la place mais seulement un petit corps de 6 000 hommes (Vers 10 heures, il envoie bien quelques officiers en reconnaissance, mais alors qu'ils s'approchent, un boulet de canon renverse un des hommes de leur escorte, aussi décampent-ils sans demander leur reste).
Le maréchal de Villeroy a hâte d'attaquer pour empêcher son antagoniste de recevoir des renforts. Dans sa précipitation il aborde cette formidable position sans se donner le temps de positionner son artillerie. Aussi quand il approche à découvert, il est reçu par un feu de mousqueterie et d'artillerie tel que 2 000 Français restent en un instant sur le champ de bataille. Il donne l'ordre de revenir à la charge. Eugène de Savoie réussit à rendre cette dernière tentative infructueuse, mais se garde bien de poursuivre les vaincus quand ils se retirent, satisfait d'avoir obtenu, sans perte sensible, la victoire sur un ennemi supérieur en nombre.
Pendant la bataille, Nicolas de Catinat, qui en fidèle serviteur a accepté de seconder Villeroy, fait preuve d'un courage exceptionnel (Après une charge infructueuse, il ralliait encore les troupes. Un officier lui dit : "Où voulez-vous que nous allions ? À la mort ? - Il est vrai répond le général - La mort est devant nous, mais la honte est derrière). Le prince Eugène de Savoie, déjà blessé cinq semaines plus tôt à la bataille de Carpi, a son cheval tué sous lui.
Rendu plus circonspect par ce revers, Villeroy se poste dans un bon campement à Urago, près de Chiari où il tient longtemps l'ennemi en échec. Mais après deux mois écoulés sans action importante, les Français, très mal ravitaillés par le pays qu'ils défendaient contre son gré, décampent le 12 novembre et se reportent sur l'autre rive de l'Oglio, puis se cantonnent devant Crémone.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

SAIGNARD de MONTAIGU (de ) Jean
SAIGNARD (de ) Pierre
SANHARD (de ) Jean
CHOUMOUROUX (de ) Flavie
REYNAUD de LA BASTIE Marguerite Aymée
 
 




SAIGNARD de MONTAIGU (de ) Joseph Aymé
Capitaine de Grenadiers au régiment d'Auvergne - Chevalier de Saint-Louis

Baptême : 14 septembre 1726
Témoin : SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Jean François ( 1685 - ? )
Décès : après 1776

Père : SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis ( 1681 - 1760 )
Mère : BONNEFOUX Catherine Françoise ( ? - ? )

Note individuelle : Chevalier de Saint-Louis en 1760 (source : Les SAGNARD de CHOUMOUROUX, par Jérôme SAGNARD, page 14).
Joseph Aimé de SAGNARD de CHOUMOUROUX (cf MONTAIGU), retraite, [+], 17 ans, né le 14 décembre 1726 à Yssingeaux. Auvergne, Lieutenant 15 septembre 1743 [17 ans], Capitaine 21 octobre 1746, en 1760 chevalier de Saint-Louis, Capitaine de Grenadiers le 9 août 1761, rang Major le 21 mai 1766, retiré en 1767. Le 16 avril 1767 pension de retraite de 1 000 Livres [+] CHAUMOUROUX ou CHOUMOUROUX, cf contrôles des troupes CORVISIER tome 2 (source : Notices SHAT Yb 120 f° 62v, Yb 121 f° 81v, Yb 123 f° 63, Yb 172 f° 24).
MONTAIGU (alias MONTEGEU), retiré, retraité, 17 ans, Joseph Aimé SAGNARD de CHOUMOUROUX, né le 14 décembre 1726 à Yssingeaux. Auvergne, Lieutenant le 15 septembre 1743 [17 ans], Capitaine 21 octobre 1746, Capitaine de Grenadiers le 9 août 1761, rang Major le 21 mai 1766, retiré en 1767, 16 avril 1767 [41 ans], pension de retraite de 1 000 Livres (source : Notices SHAT Yb 123 f° 63, Yb 120 f° 62v, Yb 121 f° 81v, Yb 172 f° 24).
L'armée d'Allemagne recut aussi les récompenses qu'elle méritait. Outre les grades, pensions et gratifications accordées, furent nommés chevaliers de Saint-Louis en 1760 :
Infanterie : Les capitaines de COLLEVILLE, de CASTAIGNOS, de CHOUMOUROUX de MONTAIGU (2), de CHOUMOUROUX de MONTMEA, du régiment d'Auvergne.
(2) MONTAIGU (Joseph-Aimé SAGNARD de CHOUMOUROUX), né le 14 décembre 1726, est d'Yssingeaux-en-Velay; lieutenant en 1745, capitaine en 1746, capitaine de grenadiers en 1761 (registre, 1748 à 1763), rang de major en 1766; retraité en 1767 : 1000 livres de pension.--Excellent sujet; de la fermeté, de l'honnêteté, du zèle; très-bon à faire un lieutenant-colonel. (Note de 1763) -- 1764, id. -- 1765, id., mais d'une mauvaise santé. -- 1766, id. (Régiment d'Auvergne, 1763 à 1776) SANHARD, orthographe du nom.
(source : Histoire de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, par Alex MAZAS, Paris, 1860, tome I, pages 514, 516 et 517).
Le régiment d'Auvergne est un régiment d'infanterie du Royaume de France, créé en 1597 sous le nom de régiment du Bourg de Lespinasse, est l'une des plus anciennes unités militaires, l'un des cinq Petits Vieux, devenue à partir de la Révolution le 17e régiment d'infanterie de ligne.
Le 15 septembre 1635, le régiment de Maugiron gagne le drapeau blanc et prend le titre de la province d'Auvergne tout en gardant son mestre de camp. Ce régiment, affecté à l'armée d'Italie, allait devenir célèbre.
Il participe à la guerre de Trente Ans, la guerre franco-espagnole et la conquête du Roussillon.
Le 18 avril 1776 : Le régiment d'Auvergne est dédoublé. Les 1er et 3e bataillons conservent le titre, les drapeaux et le costume du régiment d'Auvergne. Les 2eet 4e bataillons du régiment forment le régiment de Gâtinais.
(Source : encyclopédie en ligne Wikipédia).
Donations et pactes de mariages au sujet desquels sont nommés, entre autres : ... SAIGNARD de CHOUMOUROUX de MONTAIGU, Joseph, au Puy ; SAIGNARD de SASSELANGES, Dominique, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis, ancien capitaine dans le régiment d'Auvergne, seigneur du Besst, etc..., à Craponne; ... etc... (1757) (AD 43 B70).


SAIGNARD de MONTAIGU (de ) Joseph Aymé
SAIGNARD de CHOUMOUROUX (de ) Pierre Louis
SAIGNARD (de ) Jean-Joseph
BRUN Catherine
BONNEFOUX Catherine Françoise
 
 


                     


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