Fiches individuelles


MAZENOD (de ) Patrick
Naissance : 18 juillet 1942 à Saint-Etienne 42
(Soure : Insee.fr).
Décès : 8 mai 2007 à Saint-Priest-en-Jarez 42
(Soure : Insee.fr).
Inhumation : à Saint-Marcellin-en-Forez 42

Père : MAZENOD (de ) René ( 1907 - 1990 )
Mère : RAMEL Jacqueline ( 1914 - 1990 )

Union : JOUANNET Marie-Noëlle ( ? - ? )
Enfants : MAZENOD (de ) Charles ( ? - ? )
MAZENOD (de ) Arnaud ( ? - ? )
MAZENOD (de ) Patrick
MAZENOD (de ) René
MAZENOD (de ) Charles
BOULLOCHE (de ) Georgina Charlotte Julie Henriette
RAMEL Jacqueline
 
 




MAZENOD (de ) Pierre
Officier

Naissance : 8 mai 1883 à Châtenoy-en-Bresse 71
(Source : http://varax.net).
Décès : 15 mars 1951 à Landevieille 85 au manoir de l'Eolière
(Source : http://varax.net).

Père : MAZENOD (de ) Albert ( 1846 - 1939 )
Mère : VIRIEU (de ) Henriette Marie Louise ( 1848 - ? )

Note individuelle : En 1914, de Mazenod, promu capitaine le 24 juin 1914, est l'officier chargé de la mobilisation du même régiment. Mazenod, plus jeune capitaine du régiment, prend tout naturellement le commandement de la 29ème batterie du "Groupe de Renforcement du 44ème R.A.C", créé de toute pièce à la mobilisation avec un faible "noyau actif" de gradés et de maîtres pointeurs, tous les autres personnels étant des réservistes.
Un petit rappel sur ce groupe de renforcement du 44ème R.A.C.A la mobilisation, les trois régiments d'Artillerie de Campagne du Mans (26°, 31° et 44° R.A.C.) formaient chacun un Groupe de renforcement dont la réunion formait l'Artillerie de la 54ème Division de Réserve. Dès septembre 1914, la 54ème D.R est dissoute, les groupes de renforcement des 31ème et 44ème R.A.C. passent au VIème Corps d'Armée et serviront avec la Division de Marche de Verdun (de Morlaincourt). En juin 1915, ces deux groupes passent à la 129ème D.I nouvellement créée. Enfin, le 1er avril 1917, ces groupes restent à la 129ème D.I mais sont incorporés dans un nouveau régiment, le 231ème R.A.C.
Comme tous les R.A.C., le 44ème a mis sur pied un nombre important de batteries d'artillerie de campagne et même de tranchée et d'artillerie lourde. A la déclaration de guerre, le 44ème R.A.C. met sur pied au Mans, en qualité de Régiment organique du IVème Corps d'Armée : 4 groupes actifs composés chacun de 3 batteries (batteries N°1 à 12), un Groupe de renforcement à 3 batteries destiné à la 54ème D.R (batteries n° 27, 28 et 29, cette dernière est celle de Mazenod de 1914 à 1917), 6 batteries territoriales n° 41 à 46 affectées à la 84ème Division Territoriale dont deux furent détruites à Cambrai dès août 1914. Ensuite, l'organisation devient plus compliquée avec la scission des groupes actifs, la dissolution de la 54ème DR dès septembre 1914 et la création de nouvelles batteries, y compris de tranchée, en 1915.
Le Groupe de renforcement a été engagé à Spincourt, Azannes, Bois de Forges, La Vaux-Marie lors de la bataille de la Marne. Le livre de Mazenod évoque donc ces combats de 1914 près de Verdun.
A la lecture des annuaires des années 1904 à 1922 et de divers documents, dont l'historique imprimé du 2ème R.A.M de 1939-40, on peut reconstituer ainsi la carrière militaire du Capitaine Pierre de Mazenod :
Ecole de Saint-Cyr de 1902 à 1904, sous-lieutenant le 1er octobre 1904, affecté au 150ème R.I. à Saint-Mihiel, lieutenant le 1er octobre 1906 au 150ème R.I. Au cours de l'année 1909, Mazenod intègre l'artillerie. Cette intégration inhabituelle pour un "cyrard" (car les officiers de recrutement direct de l'artillerie proviennent uniquement de l'Ecole Polytechnique à cette époque), est due aux importantes créations de postes dans l'artillerie dont les Régiments d'Artillerie de Campagne vont passer en quatre années de 40 à 62 avec la création de nouveaux R.A.C. affectés aux Corps d'Armée. Cette augmentation spectaculaire des effectifs de l'artillerie ouvrait la voie à des carrières intéressantes pour les officiers issus de l'infanterie. Cette mesure est la première action entreprise depuis 10 ans pour tenter de compenser l'essor de l'Armée allemande, les années 1900 à 1909 marquent en effet le déclin de la puissance militaire française pour des raisons politiques et budgétaires qui seraient trop longues à expliquer en quelques lignes mais qui pèseront lourd sur la situation des Armées françaises en 1914.
En 1910, le Lieutenant de Mazenod est affecté à la 9ème batterie du 40ème R.A.C à Saint-Mihiel. Cette année là, le 40ème R.A.C. a compté jusqu'à 20 batteries, il semble avoir joué un grand rôle de formation des nouveaux cadres de l'artillerie à une époque où les cinq premiers nouveaux régiments d'artillerie nouvellement créés étaient en cours d'organisation (41ème à 45ème R.A.C). En 1911, le Lieutenant de Mazenod est affecté à la 11ème batterie du 44ème R.A.C. du Mans où il restera jusqu'en 1914.
Le 24 juin 1914, Mazenod est promu capitaine et exerce les fonctions d'officier chargé de la mobilisation, il devait probablement être en attente d'une affectation de commandant de batterie.
Du 2 août 1914 au 11 septembre 1917, le Capitaine de Mazenod commande la 29ème batterie du Groupe de renforcement du 44ème R.A.C. (27ème à 29ème batteries) dont toutes les unités sont créées de toute pièce à la mobilisation autour d'un "noyau actif" de cadres. Il commande le Groupe à plusieurs reprises en l'absence du titulaire du commandement. Le 1er avril 1917, le Groupe de renforcement du 44ème R.A.C. devient le 3ème Groupe du 231ème R.A.C. nouvellement créé mais sans aucun changement de personnels ou de matériels au sein des "anciennes" batteries qui le composent.
Le 11 septembre 1917, le capitaine de Mazenod est envoyé en stage d'état-major puis dans un état-major d'Armée, certainement en qualité d'officier de renseignement au commandement de l'artillerie de l'Armée.
En 1919, le capitaine de Mazenod est affecté au 31ème R.A.C. du Mans, il est toujours capitaine mais est affecté en qualité de "faisant fonction" de commandant de groupe. Ce régiment occupe la caserne Paixhans qui abrita aussi des éléments du 44ème R.A.C. en 1914.
La suite de la carrière de Pierre de Mazenod est peu connue. Il fut promu Chef d'escadron puis Lieutenant-colonel le 25 mars 1933, il est cette année là affecté au 2e R.A.C de Grenoble. En 1935, il écrit des articles dans la Revue d'Artillerie. En 1939, le colonel de Mazenod commande le 2ème R.A.M de Grenoble, déployé sur la frontière italienne puis engagé sur le front d'Alsace à la fin octobre 1939. Le 23 février 1940, le colonel de Mazenod quitte son régiment d'Artillerie de Montagne pour prendre le commandement de l'A.D de la 31ème Division. En mars 1945, il écrit quelques lignes en frontispice de l'historique imprimé des 2ème et 202ème R.A, ce qui montre qu'il a échappé à la captivité en juin 1940. Il fut un officier qui fut en tout cas respecté par ses subordonnés et ses chefs et même aimé, ce qui est plus rare.
Pierre de Mazenod fut l'auteur de Dans les champs de Meuse, Plon, 1921, et Les étapes du sacrifice, Plon 1922.
(Source : http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/forum-pages-histoire/autre/campagne-lintier-mazenod-sujet_9344_1.htm).
En 1437, Jean Benaston, seigneur de la Goronière a divers droits dans le village de la Robelinais. En 1497 Jehan de la Roche est écuyer et seigneur de la Robelinière.
Par la suite, le domaine de la Robelinière passe par mariage à la famille Le Roux de la Tabarotière puis à François René de Vaugirard, seigneur de Rosnais et Logerie en 1739, puis à ses descendants.
Vendue à la fin du XVIII ème siècle par François-Emmanuel du Bousquet, vicomte de Saint Padoux, aux de Rorthays, une famille chevaleresque d'Anjou et proches parents, la Roblinière échoit par mariage à Céline de Rorthays et Hercule de Graslin, entomologiste reconnu (1802 - 1888). Il est à signaler que la famille des de Rorthays a fourni à l'insurrection vendéenne ses plus intrépides officiers, en même temps qu'à la révolution française, ses victimes les plus nombreuses.
Leur fils, le comte Adolphe de Graslin, également entomologiste et maire, épousera Blanche Stellaye de Bagneux de Courcival en 1872 et ensemble feront construire le château de l'Eolière et ses communs vers 1885, sur le domaine de la Roblinière. On le retrouve ainsi dénommé dans l'annuaire des châteaux de 1897 - 1898.
Cette propriété leur servira de villégiature et de pavillon de chasse, le lieu étant riche en gibier et proche de l'océan.
Au début du XXème siècle, la comtesse Odette de Graslin héritera du manoir de l'Eolière et y habitera avec son mari, le colonel Pierre de Mazenod.
Ce dernier qui fut le plus jeune capitaine de son régiment durant la grande guerre donnera son nom à l'une des rues principales de Landevieille et en sera tour à tour maire avec son épouse.
Le manoir sera ensuite occupé par le comte Gérard de Mazenod et sa famille.
Après son décès en 2011, le domaine sera finalement acheté en août 2013 par Etienne et Céline Chaillot, lieu symbolique des relations entretenues par leurs ancêtres avec ces notables.
En effet, Octave Chaillot, arrière-grand-père d'Etienne, fut conseiller municipal sous le mandat de maire d'Adolphe de Graslin en 1912, tandis que son grand oncle travaillait comme régisseur au domaine de l'Eolière. Gabriel Chaillot, grand père d'Etienne, ayant obtenu très jeune son permis de conduire, fut quand à lui embauché comme chauffeur pour cette famille.
(Source : http://www.manoir-eoliere.fr).

MAZENOD (de ) Pierre
MAZENOD (de ) Albert
MAZENOD (de ) André Marie Hector Antoine Félix
RIVÉRIEULX de VARAX (de ) Claudine Zoé Adélaïde
VIRIEU (de ) Henriette Marie Louise
 
 




MAZENOD (de ) Raoul
Propriétaire - Comte de Mazenod

Naissance : 1 novembre 1839 à Lyon 69 au domicile parental, 36 rue Sainte-Hélène ( Source )
Déclaration faite le 3 par le père de l'enfant, qui signe.
Décès : 12 septembre 1927 à Saint-Marcellin 42
(Source : http://varax.net).
Inhumation : à Saint-Marcellin-en-Forez 42

Père : MAZENOD (de ) André Marie Hector Antoine Félix ( 1807 - 1877 )
Mère : RIVÉRIEULX de VARAX (de ) Claudine Zoé Adélaïde ( 1811 - 1846 )

Union : SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Marguerite Etiennette Renée ( 1849 - 1934 )
Contrat de mariage : 5 août 1867 à Semur-en-Auxois 21 devant maître Eugène Victor THOMAS, notaire
Mariage : 5 août 1867 à Semur-en-Auxois 21 ( Source )
Enfants : MAZENOD (de ) Marie ( 1872 - ? )
MAZENOD (de ) Charles ( 1878 - 1958 )
Note familiale : MAZENOD (de)
Lyonnais : d'azur, à trois molettes d'éperon d'or; au chef du même, chargé de trois bandes de gueules.
MAZENOD (comte Raoul de) et comtesse, née SANHARD de La FRESSANGE, dont : 1°Marie,née le 31 janvier 1872; 2° Charles,né le 22 janvier 1878; 158 Bd Malesherbes, Paris (XVIIe) et château de Saint-Marcellin, adresse Sury (Loire).
(Source : Annuaire Héraldique 1902 p 800).
Note individuelle : Vicomte de Mazenod, domicilié au château de Saint-Marcellin (42), à son mariage, en 08/1867.

MAZENOD (de ) Raoul
MAZENOD (de ) André Marie Hector Antoine Félix
MAZENOD (de ) Michel
COURBON de SAINT-GENEST Agathe Adèle
RIVÉRIEULX de VARAX (de ) Claudine Zoé Adélaïde
 
 




MAZENOD (de ) René
Naissance : 18 mai 1907 à Paris (15ème) 75
(Soure : Insee.fr).
Décès : 1990 à Montbrison 42
(Soure : Insee.fr).
Inhumation : à Saint-Marcellin-en-Forez 42

Père : MAZENOD (de ) Charles ( 1878 - 1958 )
Mère : BOULLOCHE (de ) Georgina Charlotte Julie Henriette ( 1885 - 1976 )

Union : RAMEL Jacqueline ( 1914 - 1990 )
Enfant : MAZENOD (de ) Patrick ( 1942 - 2007 )
MAZENOD (de ) René
MAZENOD (de ) Charles
MAZENOD (de ) Raoul
SAIGNARD de LA FRESSANGE (de ) Marguerite Etiennette Renée
BOULLOCHE (de ) Georgina Charlotte Julie Henriette
 
 




MAZENOD (de ) Suzanne
Naissance : 10 février 1835
(Source : http://varax.net).
Décès : 23 février 1853
(Source : http://varax.net).
Inhumation : à Saint-Marcellin-en-Forez 42

Père : MAZENOD (de ) André Marie Hector Antoine Félix ( 1807 - 1877 )
Mère : RIVÉRIEULX de VARAX (de ) Claudine Zoé Adélaïde ( 1811 - 1846 )

MAZENOD (de ) Suzanne
MAZENOD (de ) André Marie Hector Antoine Félix
MAZENOD (de ) Michel
COURBON de SAINT-GENEST Agathe Adèle
RIVÉRIEULX de VARAX (de ) Claudine Zoé Adélaïde
 
 


                     


Ces pages ont été créées par Heredis pour Windows , © BSD Concept