Fiches individuelles


LEFLAIVE Anne Marie Euphémie
Vierge consacrée, écrivain biographe et romancière

Naissance : 6 janvier 1899 à Saint-Etienne 42 au domicile parental,17 place Marengo ( Source )
Décès : 13 août 1987 à Saint-Jean-de-Soudain 38

Père : LEFLAIVE Louis Joseph Gustave ( 1870 - 1953 )
Mère : BIÉTRIX Anne Marie Camille ( 1876 - 1958 )

Note individuelle : La renaissance de la consécration des vierges (Paru dans la revue Feu et Lumière, Juin 2004) :
Depuis sainte Geneviève, les vierges consacrées font monter vers Dieu, du cœur du monde, le don de leur vie offerte. Mais sait-on que cette consécration fut interdite par Rome de 1927 à 1970 et qu’Anne LEFLAIVE fut l’humble ouvrière de cette renaissance ? La petite Thérèse comparait les religieuses à « Moïse sur la montagne » (Ex 17,9) ; les vierges consacrées dans le monde seraient alors comme Josué dans la plaine pour « collaborer magnifiquement au travail divin dans la société présente ».
La vie d’Anne LEFLAIVE semble placée sous le signe de l’Épiphanie : elle naît le 6 janvier 1899 et reçoit la consécration des vierges le 6 janvier 1924. Elle est amenée plusieurs fois, comme les mages, à prendre « une autre route », écartée des responsabilités qu’elle exerce ; mais, comme par une étoile, Anne est guidée par sa vocation : Ma mission, c’est de vivre si intensément la Consécration des vierges du pontifical romain que, par le fait même, la dignité de cette Consécration soit remise en honneur dans l’Église.
Anne LEFLAIVE, première d’une famille de six enfants, naît le 6 janvier 1899 à Saint-Étienne où son père dirige une usine métallurgique. Mais le lieu qui comptera dans sa vie est le château familial de Cuirieu, près de La-Tour-du-Pin dans l’Isère. Instruite à domicile par des professeurs particuliers, elle avoue qu’elle a peu travaillé malgré ses qualités littéraires indéniables. Elle révèle pourtant une nature enthousiaste, effervescente, joyeuse, même si elle reste capable de prudence, de rigueur et de réserve.
Fille de patron, elle est très tôt sensibilisée au problème social chaque jour plus menaçant. Dès l’âge de 12 ou 13 ans, elle est admise à prendre part aux repas où étaient invitées de nombreuses personnalités de l’industrie, de l’armée, de la marine, de la politique dont elle écoute les conversations avec attention. Anne fait même, à 20 ans, dans une usine de tulle, un bref apprentissage « pour mieux comprendre les problèmes de vie des jeunes filles travaillant dans l’industrie textile ».
Très jeune, à cinq ou six ans, elle fait l’expérience de la présence divine ; devant la beauté d’un coucher de soleil, elle entend une voix lui dire : Viens à moi, je suis la Beauté qui ne passe pas. Elle cherche souvent la solitude pour prier. Elle lit à 13 ans la vie de sainte Thérèse de LISIEUS et s’offre à Jésus pour être bien à Lui et à Lui seul. Pendant la nuit de Noël 1915 – elle va avoir 16 ans – elle entend ces paroles comme si elles étaient prononcées par quelqu’un qui se trouverait à côté de moi : Va en paix, tu es à moi pour toujours. Elle connaît trois ans de sécheresse et d’aridité avant de recevoir, en la fête du Sacré-Cœur 1918, la certitude qu’elle sera « comme une carmélite dans le monde ».
Deux rencontres sont déterminantes pour la vocation d’Anne : celle de l’évêque de Montpellier, Mgr de CABRIÈRES et celle de Marie REYNÈS qui avait été consacrée en 1916 par le rite de consécration des vierges, selon le cérémonial attribué au pape saint Léon le GRAND. Les consacrées des premiers siècles, à l’image de sainte Geneviève, s’engageaient à titre définitif dans leur état virginal, entièrement vouées à Dieu et menant une vie de prière et de service, isolées, groupées ou en famille. Elles se raréfièrent au cours des siècles au profit des ordres religieux, mais Mgr de CABRIÈRES voulait la renaissance de cette vie de consacrées en plein monde.
Devenu le père spirituel d’Anne en mai 1920, il lui parle de cette consécration. Anne hésitait entre la virginité au Carmel et l’action sociale. Dès lors, sa décision est prise. Mais elle n’a que 22 ans et l’âge minimum requis est de 25 ans. Qu’à cela ne tienne ! Anne décide de se consacrer le jour de ses 25 ans. Des obstacles se dressent : la mort du cardinal de CABRIÈRES en 1921 puis celle de la jeune sœur d’Anne, Magdeleine, en août 1922. Mais Anne continue à se préparer par un emploi du temps rigoureux, par une vie de prière et un travail intellectuel et théologique. Le 6 janvier 1924, à Paray-le-Monial, elle est consacrée par Mgr CHASSAGNON, évêque d’Autun.
Anne souhaite servir l’Église en se mettant au service des associations et fédérations de jeunes filles qui naissent et se multiplient à cette époque. Elle songe à un service diocésain, mais Mgr CHASSAGNON lui demande en 1926 de créer un Secrétariat national des fédérations diocésaines qui veillerait à préserver, dans chaque diocèse, l’initiative et l’autorité de l’évêque sur la jeunesse féminine. Anne accepte avec l’appui de Mgr CHOLLET, évêque de Cambrai.
Quelques exemples parmi les sujets traités nous montrent le réalisme et l’ouverture de la formation donnée aux jeunes filles de cette époque : le salaire féminin (pourquoi est-il inférieur, à travail égal, à celui de l’homme ?) ; l’équilibre du budget familial ; les critères d’un choix professionnel (valeur et avenir d’une profession) ; le vote des femmes, un droit « injustement refusé » ; la crise de la conscience professionnelle, causes et remèdes.
Malgré le soutien de Mgr CHOLLET, Anne est perpétuellement contestée et entravée pour la création et la vie de cet organisme, jusqu’à la réunion de juin 1945 où le Secrétariat est dissout : À la suite de cette décision, mes amies et moi avons détruit les archives de ce Secrétariat. Cela m’a fait très mal. Quinze années de travail anéanties.
Parallèlement, depuis 1927 où un décret de Pie XI réserve la consécration des vierges aux seules religieuses, Anne travaille à une étude sur la Consécration afin de contribuer à ce que celle-ci puisse à nouveau être dispensée à des femmes vivant dans le monde. Elle est appuyée par Mgr CHASSAGNON : Faites connaître vos idées, vous aurez toute l’aide nécessaire. Elle publie donc en 1933, sans signature, son Étude sur la Consécration des Vierges du Pontifical romain et la distribue aux évêques et cardinaux : C’est ainsi qu’elle vint entre les mains de Son Éminence le Cardinal PACELLI [le futur Pie XII] qui l’apprécia, appréciation qui est à la base de cette sorte d’affection que veut bien me témoigner le pape actuel, écrit Anne en 1941.
Mgr FELTIN (Sens) lui propose alors de créer une sorte de pépinière de futures vierges consacrées, un organisme ouvert aux âmes de bonne volonté éprises de cet idéal, dans l’espoir que soit levée l’interdiction de Rome. Ce projet est désigné sous le nom de Missionnaires séculières d’action catholique. Anne s’y consacre à partir de 1939. Pour Mgr FELTIN, il s’agit de créer un véritable séminaire féminin, estimant que les évêques ne seront vraiment forts que lorsqu’ils auront en main un personnel féminin comme ils ont un personnel masculin avec le clergé séculier. En juin 1943, Anne commence des sessions de formation sur la base de 14 conférences.
Mais elle est en butte à l’hostilité de « personnalités importantes ». Une équipe nationale de 14 membres est constituée en août 1946, mais une réunion qui a lieu à Paris le 30 novembre 1946 décide l’éviction d’Anne : C’est affreux d’avoir à vous demander cela, lui annonce la déléguée de l’équipe, d’autant plus que nous n’avons rien à vous reprocher. Le 1er décembre, cette décision lui est annoncée officiellement : Toutes pleuraient en m’embrassant. Cette porte qui s’est refermée devant moi a été le moment le plus affreux de mon sacrifice. C’est elle qui doit réconforter Mgr CHOLLET, durement ébranlé par la nouvelle.
Dès sa jeunesse, Anne manifestait des qualités littéraires certaines. En 1922, après la mort de Magdeleine, elle rédige une courte biographie de sa sœur et écrit en 1934 son Étude sur la Consécration des Vierges. En 1943, pour subvenir aux besoins des Missionnaires Séculières, elle retrace l’histoire de Valérie MAZYUER, dame d’honneur de la reine Hortense, intitulée Sous le signe des Abeilles et couronnée par l’Académie française. Anne LEFLAIVE après 1946 décide donc de se consacrer à l’écriture.
C’est une autre biographie, Stéphanie de VIRIEU, la sœur du grand ami de LAMARTINE, qui paraît en 1947, où l’on relève cette phrase de Stéphanie à l’abbé DUPANLOUP et qui correspond bien à la pensée d’Anne elle-même : La femme est faite pour l’homme, sans doute, mais avant d’être faite pour l’homme, elle est faite pour elle-même et pour Dieu. Féministe, Anne le fut très tôt, à sa manière c’est-à-dire à la fois exigeante, lucide, mesurée et raisonnable.
Son seul roman, Armes de Lumière, relate l’expérience des Missionnaires séculières. On y lit, dans l’homélie de l’un des personnages, l’évêque du lieu : Demeurez avec votre prochain. Acceptez le sort commun des hommes. Le Christ a vécu parmi les gens de son temps. Huit ouvrages suivront, dont cinq biographies, mais Anne va chercher à s’employer autrement.
En 1946 est créé le C.N.P.F., conseil national du patronat français, dans le but de représenter les chefs d’entreprise auprès des pouvoirs publics et d’étudier les moyens permettant d’améliorer les conditions de la vie économique et sociale du pays. Anne s’engage à son service en 1949 : J’ai beaucoup appris à n’être qu’une salariée. Jusqu’en 1972, sa tâche consiste à dépouiller un grand nombre de publications et à préparer les contacts que le président du C.N.P.F. a à prendre avec des personnalités catholiques ; bien que ce soit un organisme neutre, il doit connaître les évolutions des milieux religieux sur les questions sociales.
Anne se rend donc chaque année à Rome. Mgr MONTINI (le futur Paul VI) en 1952 l’encourage à réfléchir sur les questions sociales : Dans la doctrine sociale de l’Église, en dehors des points qui s’imposent à tous les fidèles au nom de l’obéissance, un assez vaste champ est laissé à la libre discussion. En même temps, elle s’entretient avec les plus hauts dignitaires romains du renouveau possible de la consécration des vierges accordée aux femmes vivant dans le monde. Pie XII l’assure en 1952 de son intérêt pour la question : Je vous suis avec affection.
En 1962, au cours de la première session du concile Vatican II, un évêque demande que soit révisé le rituel de la consécration des vierges. Le 31 mai 1970, le rite est révisé. Le nouveau texte affirme sans équivoque la possibilité de sa dispensation aux femmes vivant dans le monde : l’interdiction de 1927 est levée. Anne est comblée de joie.
L’arthrose dont elle souffre depuis longtemps s’aggrave, limitant de plus en plus ses possibilités de déplacement : Je vis au ralenti. Son dernier livre, Madame Swetchine, est une méditation sur la vieillesse et la fin de la vie : Le troisième âge est celui où grâce à la lecture et aux contacts avec les autres on découvre mille facettes des réalités au milieu desquelles on marchait sans en avoir conscience.
Deux jours avant l’Assomption, le 13 août 1987, Anne ferme les yeux sur ce monde. Marquée par le mystère de l’Épiphanie, elle fut durant 88 ans, comme Madame Swetchine, une sorte d’étoile qui brille dans le soir pour orienter le chemin de ceux qui avancent à tâtons dans la nuit.
(Source : https://odilehaumonte.wordpress.com/2012/02/09/anne-leflaive-1899-1987/).

LEFLAIVE Anne Marie Euphémie
LEFLAIVE Louis Joseph Gustave
 
 
BIÉTRIX Anne Marie Camille
BIÉTRIX Vincent
NICOLET Anne-Marie




LEFLAIVE Anne-Claude Marie Jacqueline
Viticultrice, gérante du Domaine Leflaive

Naissance : 17 janvier 1956 à Neuilly-sur-Seine 92
(Source : Insee).
Décès : 6 avril 2015 à Talant 21240
(Source : Insee).

Père : LEFLAIVE Vincent Louis Marie Gérard ( 1912 - 1993 )
Mère : DURAND de VILLERS Liliane Marie Paule ( 1920 - 2010 )

Union : JACQUES Christian ( ? - ? )
Mariage : 10 janvier 1981
(Source : voir base Roglo).
Enfants : JACQUES-LEFLAIVE Marine ( 1981 - ? )
JACQUES-LEFLAIVE Charlotte ( 1986 - ? )
JACQUES-LEFLAIVE Claire ( 1992 - ? )
Note individuelle : LA FONDATION DU DOMAINE
Joseph Leflaive (1870-1953) est polytechnicien dès l'âge de 20 ans. Ingénieur du Génie maritime, il participe notamment à la conception et à la réalisation du premier sous-marin français. Son mariage avec Camille Béatrix du Villars, d'origine dauphinoise, modifie sa carrière. Il dirige l'usine métallurgique de La Chaléassière tout en apportant ses soins aux vignes familiales de Puligny Montrachet. Il s'agit alors d'un patrimoine viti-vinicole qui a souffert de la crise du phylloxéra, et dont les vins sont, à l'époque, cédés aux négociants de la région. Dès 1920, Joseph Leflaive entreprend un programme de replantation, d'extension et de mise en valeur du vignoble. Il est assisté de François Virot, son régisseur et ami (1890-1964). Ensemble, ils sélectionnent de nouveaux porte-greffes mieux adaptés à chaque climat. Joseph Leflaive commercialise peu à peu son vin sous sa propre étiquette et auprès de sa clientèle privée.
LA DEUXIÈME GÉNÉRATION
Au décès de leur père en 1953, quatre enfants (Anne, Jeanne, Jo et Vincent) choisissent de maintenir l'unité du Domaine et créent en 1973 la Société Civile d'Exploitation. A nouveau, ce sont des carrières nées autour d'autres activités qui s'engagent dans cette passion, dans cette ambition : porter le chardonnay de la Côte de Beaune au tout premier rang d'excellence. Assureur à Grenoble, Joseph (Jo) prend la direction administrative et financière du Domaine, tandis que Vincent, diplômé d'H.E.C. et ingénieur à Ugine, avec son caractère chaleureux et son énergie entrainante veille sur la vigne, le vin et sa commercialisation. Les deux frères forment une parfaite équipe qui parvient à un résultat remarquable. Le Domaine Leflaive devient le mètre-étalon de la qualité et il acquiert une réputation mondiale.
LA TROISIÈME GÉNÉRATION
En 1990, Anne Claude, fille de Vincent Leflaive, est nommée par la famille cogérante avec Olivier, fils de Joseph. La nouvelle génération demeure entourée des conseils de la précédente, grâce à la présidence de Vincent au Conseil de gestion, jusqu'à son décès en 1993. L'année suivante, Anne Claude est nommée gérante, secondée par le Conseil de gestion. Celui-ci est composé actuellement d'Emmanuel de Suremain (fils de la nièce d'Anne Leflaive), Marilys de La Morandière (fille de Jo Leflaive), Bernard de Noüe (fils de Jeanne de Noüe) et Paul de Noüe (petits-fils de Jeanne de Noüe). Le XXIème siècle verra l'acte IV, l'acte V et espérons-le beaucoup d'autres encore. Bon sang et belle lignée ne sauraient faire défaut à cette famille amoureuse de la vigne et du vin de Bourgogne.
(Source : http://www.vivrelevin.com).
Star du Puligny-Montrachet - et de la biodynamie -, Anne-Claude LEFLAIVE a repris le domaine familial en 1989 pour le porter au sommet de la qualité, une qualité plébiscitée par les amateurs du monde entier.
Le nom de Puligny trouve son origine à l'époque gallo-romaine, lorsqu'un certain Puliniacus crée son domaine, il y a 2000 ans environ. Les vins produits sur ce terroir sont déjà réputés au Moyen-Age. La présence de la famille LEFLAIVE à Puligny remonte quant à elle à 1717. Mais tout commence vraiment en 1920, lorsque Joseph LEFLAIVE, ingénieur du génie maritime qui participa à la réalisation du premier sous-marin français, qui avait épousé une fille de propriétaires de Puligny, remet en valeur le vignoble familial et entreprend de commercialiser les vins sous sa propre étiquette. Il replante et étend le vignoble qui a souffert du phylloxera.
Ses quatre enfants poursuivent le travail entrepris à son décès en 1953 et portent le chardonnay de la Côte de Beaune au niveau d'excellence que l'on connaît. Joseph et Vincent notamment développent le domaine qui acquiert une réputation mondiale et créent la Société Civile d'Exploitation. La troisième génération arrive à partir de 1982. Olivier LEFLAIVE - fils de Joseph - et sa cousine Anne-Claude - fille de Vincent - codirigent le domaine. En 1994, Anne-Claude est nommée gérante du domaine tandis qu'Olivier poursuit de son côté avec son propre vignoble créé en 1984.
Le domaine - aujourd'hui 25 hectares de vignes sur Puligny-Montrachet, Montrachet, Bienvenues-Bâtard-Montrachet, Bâtard-Montrachet, Chevalier-Montrachet, est entièrement converti à la biodynamie en 1993. Ludovic PIERROT est l'œnologue maison depuis 2005. La vinification et l'élevage des vins s'accomplissent dans le respect de la tradition bourguignonne : fermentations longues et naturelles en fûts de chêne, bâtonnage jusqu'en hiver, suivis de deux années en cave. Equilibre, structure et expression du terroir caractérisent les vins de ce domaine d'exception, dont le prestige s'étend bien au delà de nos frontières.
(Source : http://www.idealwine.net/2011/06/08/le-mythe-a-puligny-le-domaine-leflaive/).
Figure tutélaire de la biodynamie bourguignonne, Anne-Claude LEFLAIVE disparaît à 59 ans. Œnologue ancrée à Puligny-Montrachet (Côte-d'Or), elle était la papesse du chardonnay et de sa minéralité avant l'heure. Friande d'instants de partage et de transmission, elle participe en 2008 au lancement de l'École du Vin et des Terroirs (Puligny-Montrachet). Son parcours et ses vins font d'elle la première femme à recevoir le Winemaker's Winemaker Award de l'Institut des Masters of Wine. Petite-fille du fondateur, elle prend la gestion de la propriété familiale en 1994 (24 ha, dont 5 en grand cru et 11,5 en premier cru). Anne-Claude LEFLAIVE s'est également aventurée en Anjou (domaine Clau de Nell) et s'est essayée à l'œnotourisme avec la Maison du Caroubier (chambres d'hôte bioclimatiques).
(Source : http://www.vitisphere.com/actualite-81603-Ils-nous-ont-quittes-en2015.htm, article Ils nous ont quittés en 2015, par Alexandre Abellan, le Mercredi 23 décembre 2015).

LEFLAIVE Anne-Claude Marie Jacqueline
LEFLAIVE Vincent Louis Marie Gérard
LEFLAIVE Louis Joseph Gustave
BIÉTRIX Anne Marie Camille
DURAND de VILLERS Liliane Marie Paule
 
 




LEFLAIVE Anne-Karine
Naissance : 30 octobre 1963 à Grenoble 38
(Source : voir base Roglo).

Père : LEFLAIVE Patrick ( 1936 - ? )
Mère : LA SELLE (de ) Annick ( 1938 - ? )

Union : GAHERY Bruno ( 1960 - ? )
Mariage : 30 juillet 1994 à Bligny-lès-Beaune 21
(Source : voir base Roglo).
Divorce : après août 1999
Enfants : GAHERY Clément ( 1997 - ? )
GAHERY Corentin ( 1999 - ? )
LEFLAIVE Anne-Karine
LEFLAIVE Patrick
LEFLAIVE Joseph Georges Régis
COURSON de LA VILLENEUVE (de ) Anne Elisabeth Marie Inès
LA SELLE (de ) Annick
 
 




LEFLAIVE Arthur
Naissance : 10 mai 1993 à Paris (17ème) 75
(Source : voir base Roglo).

Père : LEFLAIVE Guy ( 1966 - ? )
Mère : GLÉNARD Sophie ( 1966 - ? )

LEFLAIVE Arthur
LEFLAIVE Guy
LEFLAIVE Patrick
LA SELLE (de ) Annick
GLÉNARD Sophie
 
 




LEFLAIVE Baptiste
Naissance : 24 septembre 1995 à Paris (17ème) 75
(Source : voir base Roglo).

Père : LEFLAIVE Guy ( 1966 - ? )
Mère : GLÉNARD Sophie ( 1966 - ? )

LEFLAIVE Baptiste
LEFLAIVE Guy
LEFLAIVE Patrick
LA SELLE (de ) Annick
GLÉNARD Sophie
 
 


                     


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