Fiches individuelles


BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Serge Paul Marie dit serge de MONTVALON
Docteur en droit, directeur de la Maison de la Chimie

Naissance : 17 décembre 1893 à Aix-en-Provence 13 hôtel de Montvalon, 7 rue Saint-Michel ( Source )
Décès : 25 août 1970 à Avignon 84 29 boulevard Pierre Brossolette ( Source )
Inhumation : 28 août 1970 à Aix-en-Provence 13 cimetière Saint-Pierre, caveau des BARRIGUE de MONTVALLON, carré n°, allée 35
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).

Union : CHAMPAVÈRE Marie Augusta Eugénie Madeleine ( 1895 - 1962 )
Mariage : 3 mars 1919 à Saint-Etienne 42 ( Source )
Enfants : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Robert Maurice Gabriel Marie ( 1920 - 2001 )
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Henry Raymond André Marie ( 1921 - 2004 )
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Pierre Georges Marie ( 1923 - ? )
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Christiane Louise Marguerite Marie ( 1928 - ? )
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) François ( 1933 - 1933 )
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Jean-François ( 1936 - ? )
Note familiale : Ce couple eut 6 enfants.
Note individuelle : Il se maria après le retour des Dardanelles, où il était mobilisé.

Docteur en droit, Fondé de Pouvoir et directeur d'agence à la Société Général, Trésorier (1951), puis directeur de la Maison de la Chimie à Paris (janvier 1954), Chevalier de la Légion d'Honneur, Croix de Guerre. Fils de Gabriel de BARRIGUE de MONTVALLON (1862-1938), conseiller honraire à la Cour de Cassation, officier de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1914-1918, et d'Andrée CONIL (1864-1921).
Principale publication : La réglementation des exportations de capitaux et le marché français des valeurs mobilières, Thèse pour le doctorat en droit - Saint-Etienne, Imprimeue E. Bringuier, 14 rue Chapelon - 1928.
En provençal, valon s'écrit avec un seul l. C'est donc tout naturellement que le domaine de Fontloubaud lors de son érection en arrière-fief sous le nom de Montvalon (6-4-1697, Me MINUTI notaire à Aix-en-Provence) a pris cette orthographe de bon sens. Mais, lors du mariage de Serge de BARRIGUE de MONTVALON avec Madeleine CHAMPAVÈRE, le 3 mars 1919 à Saint-Étienne, le scribe, François Porte, conseiller municipal de cette ville, officier de l'état-civil par délégation du maire, a francisé le nom en l'orthographiant MMONTVALLON. C'est à la suite de cette (innocente) faute d'orthographe, à une époque où il n'était pas bon de parler l'occitan, que toute la descendance de Serge sans exception, porte à l'état-civil : de BARRIGUE de MONTVALLON (avec deux l), tandis que la branche de Marcel (frère aîné de Serge), quant à elle, garde l'orthographe originelle de : de BARRIGUE de MONTVALON. Cependant, certains membres de la descendance de Serge préfèrent utiliser l'orthographe originelle (Dominique et Jean-Baptiste, journalistes l'un au Parisien, l'autre au Monde, signent leurs articles avec un seul l). Ils n'en portent pas moins deux sur leur état-civil et n'ont pas demandé en justice (apparemment) la rectification de cet état-civil.
Armes : De gueules à la tour donjonnée d'argent, crénelée d'or, maçonnée de sable, posée sur un rocher au naturel s'élevant d'une rivière en pointe ; arborant à dextre l'étendard de l'Ordre du Christ et soutenue d'une mer d'azur. Supports ou tenant : Deux dragons. Devise : Non humanis viribus, sed christi numine beneficio parta. Fides et honor.
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Les BARRIGUE de FONTAINIEU et BARRIGUE de MONTVALON (ou MONTVALLON) sont les deux branches anoblies en 1714 et 1702 d'une famille subsistante de la noblesse française, originaire de Marseille (Provence).
Henri GOURDON de GENOUILLAC et d'autres auteurs font descendre cette famille de la famille portugaise de BARRIGA dont des membres se réfugièrent en France vers 1590. Il écrit : «Gérard de BARRIGA eut deux fils Amiel et Mathieu de BARRIGA qui vinrent s'établir en Provence et y ont fourni deux branche» (Henri Gourdon de Genouillac, "Nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône", E. Dentu, 1863, page 39).
D'après Gustave CHAIX d'EST-Ange, la famille BARRIGUE descend de Gérard BARRIGUE fixé à Marseille au début du XVIIe siècle. Quand les descendants de celui-ci, après s'être enrichis dans le commerce, eurent été anoblis par leurs charges, des historiens voulurent les rattacher à une famille BARRIGUE ou BARRIGA qui avait appartenu à la noblesse du Portugal (Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 2, pages 384 à 385). Il donne pour auteur de cette famille Gérard BARRIGUE qui laissa deux fils, Amiel et Mathieu BARRIGUE, négociants à Marseille, auteurs de deux branches dites de Fontainieu et de Montvalon.
Sur l'origine de cette famille, Raoul BUSQUET, historien de Marseille et de la Provence, écrit : «Comme beaucoup de familles d'origine modeste arrivées un peu tard à une situation brillante, les BARRIGUE ont voulu se donner des aïeux et ont fait remonter leur lignée à des hommes de guerre de Portugal. Ils descendaient en réalité de Gérard BARRIGUE, marchand drapier de Marseille. De l'ainé des fils de Gérard, Amiel, qui continua le négoce de son père, est issue la branche dite de Fontainieu. Le cadet des fils de Gérard, Mathieu, échevin de Marseille en 1678, eut pour fils Honoré qui s'anoblit en achetant en 1702 une charge de secrétaire du roi» (Raoul Busquet, Les fonds des Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 1937, page 130).
La famille BARRIGUE a formé deux branches : la branche ainée «(de) BARRIGUE de FONTAINIEU» et la branche cadette «(de) BARRIGUE de MONTVALON (ou MONTVALLON)».
André BARRIGUE, sieur de Montvallon, reçu le 24 novembre 1702 en la charge de François de VILLENEUVE, né à Marseille le 4 mars 1678, fils d'Honoré (secrétaire du roi) et de Claire de La GARDE, époux de Thérèse-Darie de BOYER-d'EGUILLES (fille de Jean-Baptiste, conseiller en la Cour, et de Marie SURLEAU), fut enseveli à Montvallon le 19 janvier 1769 (Chronologie des officiers des Cours souveraines de Provence, par Balthasar de Clapiers-Collongues, Édition de la Société d'Études Provençale, Aix-en-Provence, 1909, p. 121).
Il existe différentes mentions sur l'accession à la noblesse de cette famille :
- Selon Gustave CHAIX d'EST-ANGE (Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 2, pages 384 à 385) :
Branche de Fontainieu : Gérard-Hilaire BARRIGUE et Ignace-Amiel de BARRIGUE de FONTAINIEU furent anoblis par l'acquisition d'une charge de secrétaire du roi.
Branche de Montvalon : Honoré BARRIGUE, seigneur de Montvalon, acheta la charge anoblissante de secrétaire du roi, contrôleur en la chancellerie près le parlement d'Aix en 1702 ; il fut père d'André de BARRIGUE, seigneur de Montvalon, reçu en 1702 conseiller au parlement de Provence et grand-père d'Honoré de BARRIGUE, seigneur de Montvalon, qui succéda dans la charge de son père en 1729.
- Régis VALETTE mentionne deux secrétaires du roi 1702 et 1714 (Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, 2002, page 36).
- Selon E. de SÉRÉVILLE et F. de SAINT-SIMON, la branche de Fontainieu fut anoblie par charge de secrétaire du roi en 1714. Elle reçut des lettres d'honneur en 1742 et fut confirmée noble en 1771 par le paiement d'une taxe de 6 000 livres ordonnée par l'édit d'avril 1771. La branche de Montvalon fut anoblie par charge de secrétaire du roi en 1702 (E. de Séréville & F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 151, et Supplément page 72).
Possessions : Montvalon (Fief séparé de Vitrolles en 1731).
Armes du XVIIe siècle : D'argent au chevron d'azur accompagné de trois barriques de sinople (Armes de Mathieu BARRIGUE, 2° échevin de Marseille (1678-1680), sieur de Montvalon (1697)). Armes du XVIIIe siècle : De gueules à une tour d'argent arborant à dextre l'étendard de l'ordre du Christ et soutenue d'une mer d'argent (Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, 2002, page 36). Supports : deux dragons. Devise : Non humanis viribus sed Christi numine beneficio parta.
Cette famille a été admise à l'ANF en 2001 (Bulletin trimestriel de l'ANF, no 246 juillet 2001 p. 21 - Liste des 217 admissions prononcée par l'assemblée générale du 20 juin 2001 - Acte récognitif : 3 septembre 1787. Procès-verbal des preuves de noblesse fournies par messire Honoré de BARRIGUE, conseiller du Roi en la Cour du Parlement de Provence, 6e aïeul du présenté, pour être inscrit au rang des gentilshommes du corps et Ordre de la noblesse du pays de Provence, procès-verbal comportant mention de son admission dans ledit Corps).
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).





BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Sophie
Décoratrice et chanteuse en Suisse

Naissance : 3 mars 1978 à Suresnes 92
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).

Père : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Thierry ( 1950 - ? )
Mère : BRETON Agnès ( 1949 - ? )

Union : DE ARAÚJO Marc ( 1979 - ? )
Mariage religieux : 16 décembre 2006 à Romainmôtier abbatiale de Romaimôtier
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Enfant : DE ARAÚJO Justine ( 2008 - ? )
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Sophie
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Thierry
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Pierre Georges Marie
LEFEBVRE Elisabeth
BRETON Agnès
 
 




BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Stéphanie
Journaliste à CNN, puis à VM Productions

Naissance : 8 avril 1965 à Neuilly-sur-Seine 92
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).

Père : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Jean-François ( 1936 - ? )
Mère : GARNIER Monique Marie Joseph Germaine ( 1935 - 1984 )

Union : GILLES Vincent ( 1963 - ? )
Mariage : 24 avril 1998 à New-York
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Enfants : GILLES Appoline ( ~ 2004 - ? )
GILLES Théodore ( ? - ? )
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Stéphanie
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Jean-François
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Serge Paul Marie
CHAMPAVÈRE Marie Augusta Eugénie Madeleine
GARNIER Monique Marie Joseph Germaine
 
 




BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Thierry dit Barrigue
Dessinateur-caricaturiste

Naissance : 7 juillet 1950 à Neuilly-sur-Seine 92
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).

Père : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Pierre Georges Marie ( 1923 - ? )
Mère : LEFEBVRE Elisabeth ( 1927 - ? )

Union 1 : BRETON Agnès ( 1949 - ? )
Mariage : 20 janvier 1973 à Le Chesnay 78
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Divorce : 24 avril 1985 à Morges
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Enfants : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Thomas ( 1974 - ? )
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Sophie ( 1978 - ? )
Union 2 : BRÉLAZ Marie-José Claude Véronique ( 1954 - ? )
Mariage : 4 juillet 1987 à Pully
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Enfant : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Zoé ( 1988 - ? )
Note individuelle : Le 25 mai 1963, il fait sa communion solennelle, et son premier dessin paraît en 1971 dans la revue de rock Extra. Dessinateur journaliste depuis 1972, il collabore pendant sept ans à une dizaine de magazines, dont L'Unité, Télérama, Le Point, France-Soir, Le Matin de Paris, Témoignage chrétien et Nouvelle République du Centre-Ouest. En 1975, il fonde l'agence de presse parisienne APEI.
BARRIGUE déménage ensuite en Suisse romande. Installé dans le canton de Vaud depuis 1979, il se rend célèbre pour ses caricatures dans le quotidien Le Matin et collabore également avec la Télévision Suisse Romande dans l'émission "Le Fond de la Corbeille". Il crée avec BURKI, les "Editions du Fou du Roi".
En 2008, la collaboration de BARRIGUE au quotidien Le Matin cesse. Il crée dans la foulée la revue satirique Vigousse, le petit satirique romand avec Laurent FLUTSCH et Patrick NORDMANN.
Il a publié plusieurs recueils de ses dessins.
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
«Je suis né le 7 juillet 1950 à Neuilly-sur-Seine … et je précise que le médecin accoucheur ne s'appelait pas Nicolas SARKOSY ! J'étais le deuxième enfant et le premier fils d'une fratrie de sept. Nous habitions donc Paris avec mes parents, et j'ai eu la chance de très bien connaître mes grands-parents paternels que nous voyions beaucoup le dimanche et pendant les vacances. Après la guerre, mon grand-père avait été chargé de restituer à la France les usines et différents biens pris par les Allemands. En revanche, je n'ai pratiquement pas de souvenirs de mes grands-parents maternels qui habitaient en Touraine où sont installés mes parents aujourd'hui. Ils faisaient partie d'une famille d'industriels qui était dans le textile, à Roubaix.
Notre mère s'est consacrée à mettre ses enfants au monde et à les élever. Tout un travail… Mon père est le dessinateur PIEM, que beaucoup connaissent pour avoir été l'un des membres du Petit rapporteur de Jacques MARTIN. Grâce à lui, j'ai connu DESPROGES, MARTIN, PRÉVOST et j'ai pu croiser des artistes comme BARBARA ou BRASSENS lorsqu'il faisait du cabaret. Je l'accompagnais au Figaro où il travaillait. J'adorais mes grands-parents et mes très nombreux oncles, tantes, cousins et cousines, mais il reste la personne de ma famille qui m'a le plus influencé. Même si nous avons été en froid pendant quelques années, quand je suis, moi aussi, devenu dessinateur et que je suis parti vivre en Suisse. Maintenant, il est fier de moi et me le dit … Je suis moi-même père de trois enfants, et cinq fois grand-père. Je commence à endosser mon rôle de grand-père et je suis ravi de voir que certains d'entre eux dessinent déjà !»
Article l'Arbre généalogique de Thierry Barrigue, par Martine BERNIER du 2 mai 2016, mis à jour le 18 juillet 2016.
(Source : https://www.generations-plus.ch/?q=magazine/actualit%C3%A9s/personnalit%C3%A9s/larbre-g%C3%A9n%C3%A9alogique-de-thierry-barrigue).
Thierry de Barrigue de Montvallon est né en 1950 à Neuilly--sur-Seine. Son père, Pierre de Barrigue de Montvallon, plus connu sous le surnom de "Piem", est un grand dessinateur français, né en 1923 à Saint-Etienne (Loire). Il a dessiné pour de nombreux journaux et magazines : Témoignage Chrétien, Le Figaro, Le Point, Télé 7 Jours, La Croix, La Tribune de l'Economie et Valeurs Actuelles. Il a également réalisé de nombreux albums. Dans les années 1970, il a participé à l'émission Le Petit Raporteur de Jacques Martin, avec notamment Stéphane Collaro, Daniel Prévost, Pierre Bonte et Pierre Desproges. Il s'est illustré au cabaret, avec Juliette Gréco, Barbara et Georges Brassens. En janvier 2005, Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture, lui a remis les insignes de commandeur dans l'Ordre des arts et des lettres.
C'est dans cet univers qu'a grandi Thierry de Barrigue de Montvallon, qui est devenu à son tour passionné par le dessin. Sa première parution remonte à 1971, dans le magazine Extra. Dans les années 1970, il a travaillé pour Rock & Folk, L'Unité, Télérama, Témoignage Chrétien, Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Point, Le Matin de Paris et France Soir, en tant que journaliste et dessinateur. En 1975, il fonde l'agence de presse APEI, à Paris. Depuis son déménagement en Suisse romande en 1979, il travaille pour le quotidien Le Matin de Lausanne, comme dessinateur. Il a publié de nombreux ouvrages, et a participé à plusieurs émissions télévisées de la Télévision Suisse Romande (TSR), et notamment "Le Fond de la Corbeille". Certaines fois, il dessinait en direct. Il travaille aussi pour un bulletin de microtechnique à Neuchätel et pour la revue du centre sportif de Macolin, en Suisse. Chaque année, depuis 1980, il sort un recueil de dessins, les "Barricatures".
(Source : Site généalogique de Vincent Boez).
Le dessinateur de presse et cofondateur du journal satirique romand Vigousse continuera à marcher pour celui-ci en se concentrant sur le réseautage et la recherche de financement.
Thierry BARRIGUE lâchera la rédaction en chef de l'hebdomadaire satirique romand «Vigousse» cet été. Mais le dessinateur de presse et cofondateur du journal continuera à marcher pour celui-ci en se concentrant sur le réseautage et la recherche de financement.
«Je ne quitte pas «Vigousse», c'est une nouvelle organisation qui se met en place», martèle samedi à l'ats le dessinateur à l'aube de la retraite, confirmant une information de «24 heures». Il sera remplacé dès le mois d'août par Stéphane BABEY, qui collabore déjà avec le journal satirique et est également en charge de l'édition au «Matin».
«J'aurai 65 ans en juillet, je me suis battu pour ce journal qui se porte bien et je vais désormais me consacrer à le faire vivre en rencontrant du monde, en travaillant sur sa visibilité extérieure», poursuit BARRIGUE.
Fondé en 2009, «Vigousse» compte actuellement 6700 abonnés. Avant les attentats de Paris le 7 janvier 2015, le journal en recensait 700 de moins. «Et nous vendons entre 2000 et 3000 exemplaires dans les kiosques», poursuit BARRIGUE, soulignant que l'hebdomadaire n'a pas de dettes.
(Source : http://www.lematin.ch/suisse/suisse-romande/barrigue-quitte-tete-vigousse-bateau/story/10331759?track).
Dessinateur humoristique vaudois d'origine française, son premier dessin paraît en 1971 dans la revue de rock Extra. Dessinateur journaliste depuis 1972, il collabore pendant sept ans à une dizaine de magazines, dont Rock&folk, L'Unité, Télérama, Le Point, France-Soir, Le Matin de Paris, Témoignage chrétien et Nouvelle République du Centre-Ouest. En 1975, il fonde l'agence de presse parisienne APEI.
BARRIGUE déménage ensuite en Suisse romande. Installé dans le canton de Vaud depuis 1979, il se rend célèbre pour ses caricatures dans le quotidien Le Matin et collabore également avec la Télévision Suisse Romande dans l'émission Le Fond de la Corbeille. Il crée avec BURKI, les Éditions du Fou du Roi.
En 2008, la collaboration de BARRIGUE au quotidien Le Matin cesse. Il crée dans la foulée la revue satirique Vigousse, le petit satirique romand avec Laurent FLUTSCH et Patrick NORDMANN.
Il a publié plusieurs recueils de ses dessins.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Thierry
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Pierre Georges Marie
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Serge Paul Marie
CHAMPAVÈRE Marie Augusta Eugénie Madeleine
LEFEBVRE Elisabeth
 
 




BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Thimothée
Directeur délégué CAPA Corporate

Naissance : 21 août 1971 à Neuilly-sur-Seine 92
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).

Père : BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Jean-François ( 1936 - ? )
Mère : GARNIER Monique Marie Joseph Germaine ( 1935 - 1984 )

Note individuelle : Maitrise de droit privé (Paris 2 Assas, 1993), IEP Sciences-Po Paris (1996), Directeur de Projets de Capa Entreprises (agence de presse), puis Directeur adjoint.
(Source : voir fichier Geneanet Fraternelle).
Manager délégué chez CAPA Corporate. (Source : Linkedin).

BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Thimothée
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Jean-François
BARRIGUE de MONTVALLON (de ) Serge Paul Marie
CHAMPAVÈRE Marie Augusta Eugénie Madeleine
GARNIER Monique Marie Joseph Germaine
 
 


                     


Ces pages ont été créées par Heredis pour Windows , © BSD Concept