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Note individuelle
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Croix de Guerre 1939-1945, titulaire de la médaille des Evadés, chef de bataillon de réserve, propriétaire du château de Kerdrého, en Plouay (56). Membre de la société des Cincinnati (branche française). Modification de son patronyme par décret du Conseil d'Etat le 3 septembre 1970, pour lui et ses quatre fils alors mineurs. D'aucuns pensèrent alors que c'était une bonne blague....
Il avait deux frères et deux sœurs, que voici : 1) Anne Marie Immaculée de BRONAC de VAZELHES, née à Toulon (83) le 8 décembre 1907, décédée à Clichy (92) le 23 octobre 1985, qui a épousé à Paris (16e) le 25 octobre 1932 Henri de La BARGE de CERTEAU, né à Lyon (2e) le 5 février 1899, décédé à Duingt (74) le 2 avril 1971, chef d'escadron, chevalier de la Légion d'honneur, propriétaire du château de Duingt, à Duingt (74), fils unique de Fernand de la BARGE de CERTEAU, rentier, propriétaire du château de Duingt, et de Noémie MUNET, sans postérité ; 2) L'abbé Pierre de BRONAC de VAZELHES, prêtre, chevalier de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 39-45 à titre posthume, secrétaire particulier de monseigneur Pierre PETIT de JULLEVILLE, cardinal et archevêque de Rouen, né à Rome (Italie) le 4 mars 1910, Mort pour la France à Dounoux (88) le 19 juin 1940 ; 3) Jean de BRONAC de VAZELHES, homme de lettres, Croix de Guerre 39-45, né à Paris (8e) le 25 février 1912, décédé à Saint-Etienne (42) le 3 novembre 2006, qui épousa au Puy-en-Velay (43) le 26 novembre 1940 Nicole de La BORIE de La BATUT, née à Coubon (43) le 29 juillet 1915, décédée à St Galmier (42) le 15 juin 2000, propriétaire du château de Poinsac à Coubon (43), fille d'Ulrich de La BORIE, comte de la Batut, lieutenant-colonel de dragons, officier de la Légion d'honneur, propriétaire du château du Marais, à St Chamassy (24), et de Renée de BOYSSEILH, propriétaire du château de Poinsac, dont postérité féminine subsistante ; et enfin 4) Béatrix Alberte Eugénie Madeleine de BRONAC de VAZELHES, née à Paris (8e) le 23 décembre 1913, décédée à Lorient (56) le 16 septembre 1978, qui épousa à Paris (16e) le 13 janvier 1939 Louis Gaston CHODRON de COURCEL, né à Paris (7e) le 17 juillet 1902, décédé à Pommard (21) le 7 juin 1972, colonel, officier de la Légion d'honneur, fils de Louis Bertrand Antoine CHODRON de COURCEL, officier, propriétaire, et de Marie Claire Marguerite Le REFFAIT, dont postérité.
Il convient de souligner que le titre de "comte de Bougainville" porté depuis 1970 par François de BRONAC est totalement fantaisiste...
(Source : voir fichier Geneanet de Guy de Bronac).
Relève le nom de Bougainville par décret du 3 septembre 1970, ceci par suite d'une disposition testamentaire de leur ancêtre le comte de Bougainville, fils de l'amiral Louis Antoine de Bougainville (1729 - 1811).
(Source : Geni.com).
François de BRONAC de BOUGAINVILLE
Il a reçu les insignes d'officier de la Légion d'honneur par l'amiral FORISSIER, grand officier de la Légion d'honneur et ancien chef d'état-major de la Marine.
Plouaysien, né à Kerdrého en juin 1918, François de BRONAC de BOUGAINVILLE est le doyen des hommes de la commune.
En 1939, il intègre l'École nationale supérieure de l'aéronautique mais l'ordre de mobilisation générale du 1er septembre l'envoie à l'école des officiers du génie, à Versailles. Il rejoint Grenoble pour préparer la destruction des ponts de la vallée de la Chartreuse. Il rejoint la Résistance. En 1943, il franchit les Pyrénées pour rejoindre l'Afrique du Nord. Il est fait prisonnier à Saragosse, à Barbastra avant d'être transféré vers le Maroc contre des phosphates que l'Espagne obtient à bon compte contre ses prisonniers français. Il choisit d'intégrer les Commandos de France avant de rejoindre l'armée d'Afrique du général Giraud. Nommé sous-lieutenant, il commande une section de mortier où il s'illustre par la précision de ses tirs, dans la campagne de France, en Alsace et la libération de Belfort. Au printemps 1945, le Rhin franchi, la campagne d'Allemagne le conduit jusqu'en Autriche, avant de rentrer en France et poursuivre ses études d'ingénieur.
Sa carrière civile s'orientera dans l'organisation du travail puis dans l'industrie sucrière et s'achève en 1975. Il se consacrera alors, à Kerdrého, à l'élevage de poneys de Connemara et au centre équestre du Crano.
(Source : Ouest France du 9 mai 2018).
Plouay. La vie bien remplie de Monsieur le comte
Le comte François de BRONAC de BOUGAINVILLE a été promu officier de la Légion d’honneur, le 8 mai dernier. Il aura 100 ans le 19 juin prochain.
François de BRONAC de BOUGAINVILLE est né au château de Kerdrého (route de Lanvaudan) le 19 juin 1918. Il avait épousé Odile de FÉLIGONDE le 10 juin 1947, aux Invalides à Paris. Ils ont eu quatre fils, dont trois sont mariés, douze petits-enfants et dix-sept arrière-petits-enfants.
Après la Seconde Guerre mondiale, où il s’est particulièrement distingué (notre édition du 9 mai), cet ingénieur en aéronautique a eu « plusieurs vies ».
De 1948 à 1956, il travaille à Paris et fonde le journal Travail et méthodes. Puis, il voyage aux États-Unis pour ramener en France les méthodes américaines. Il travaille ensuite à la sucrerie Bouchon, puis Bouchon-Pajot.
« J’explore de nouvelles pistes, le yaourt au soja, la betterave sucrière en Bretagne, mais c’était un peu tard. » Il devient PDG de la société Célium à Bourron-Marlotte (Seine-et-Marne). « Le travail était en continu, la concurrence très vive, il a fallu fermer l’usine ».
Après cette dure période, affaibli, il doit se reposer une année en Autriche et il en profite pour apprendre l’allemand. Rétabli, il travaille au Syndicat des raffineurs de sucre.
Peu après, il gère deux exploitations agricoles : l’une de vaches laitières à Kerdrého et l’autre de vaches à viande dans le Limousin. Il rentre un week-end sur deux à Plouay.
En 1978, il se lance dans l’élevage de poneys du Connemara au village du Crano. J’ai eu jusqu’à 250 animaux. Le Poney-club a permis de valoriser plusieurs jeunes Plouaysiens, dont beaucoup de jeunes filles et de leur faire découvrir cette activité et les compétitions, ce qui a suscité des vocations .
Lors de la guerre des Malouines, François de BRONAC de BOUGAINVILLE écrit un article dans Le Figaro qui fait du bruit, dit-il.
L’ambassade d’Argentine lui propose de venir faire des conférences à Buenos-Aires. J’y vais et je suis bien accueilli par les généraux argentins. Je suis fait Commandeur de l’ordre de Mai.
La tempête du 15 octobre 1987 va mettre à mal le moral de Monsieur le comte. En effet, pas moins de 10 000 arbres seront abattus dans le vaste domaine.
Mais, tous ces tracas sont bien oubliés et le doyen des hommes de Plouay se consacre maintenant à la lecture et à conseiller sa fratrie qui le respecte beaucoup. Sa mémoire est intacte !
(Source : Ouest France du 23/05/2018).
François de BRONAC de BOUGAINVILLE a fêté son anniversaire en présence des élus et de son fils Henri et de son épouse.
Né le 19 juin 1918 à Plouay, au château de Kerdrého, François de BRONAC de BOUGAINVILLE a fêté ses 102 ans, vendredi, en présence du maire, Gwenn Le NAYy, du conseiller départemental, Jean-Rémy KERVARREC, et de la première adjointe, Martine JULÉ-MAHIEUX.
François connaît une enfance parisienne durant laquelle il parcourt toutes les étapes du scoutisme. Il est élève au collège Sainte-Croix à Neuilly et après les classes préparatoires au lycée Saint-Louis à Paris, il réussit le concours des écoles d’ingénieur en 1939 où il choisit l’aéronautique.
Son parcours militaire exemplaire lui vaut d’être fait Chevalier de la Légion d'honneur et il reçoit la Croix de guerre avec palmes. Il est ensuite médaillé des Évadés de France et des internés de la Résistance. De 1946 à 1956, il est ingénieur en organisation du travail, fondateur et rédacteur en chef de la revue « Travail et méthodes ». De 1956 à 1978, il est cadre supérieur dans l’industrie sucrière, à la Générale Sucrière puis au Syndicat des raffineurs de sucre. Après avoir créé deux exploitations agricoles en Limousin et Bretagne, il s’oriente vers l’élevage des poneys Connemara et crée le poney-club du Centre Connemara de Bretagne, au Crano, à Plouay.
Sylviculteur averti, il plante 70 hectares, soit environ 100 000 arbres. Il est promu Officier de la Légion d'honneur en 2018.
Sa retraite se déroule, entouré de ses douze petits-enfants et vingt arrière-petits-enfants.
(Source : le Télégramme du 21 juin 2020).
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BRONAC (de )
Vitale
BRONAC (de ) Jarente ( ? - J < 1321 )
LA TOUREILHE (de ) Jehan ( ? - ? )
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