Fiches individuelles


BREGAUT Louis
Naissance : à Sanvignes 71

Union : LAMÈRE Françoise ( 1731 - 1779 )




BREGAUT Louis
Naissance : à Sanvignes 71

Union : LAMÈRE Antoinette ( 1733 - ? )




BRÉGEON Lucien
Union : EPITALON Odile ( ? - ? )




BREILLAT Catherine
Actrice, réalisatrice, scénariste, romancière

Naissance : 13 juillet 1948 à Bressuire 79

Union : WIMILLE François ( 1946 - 1993 )
Enfant : WIMILLE Salomé Elisabeth Sophie ( 1972 - ? )
Note individuelle : Catherine Breillat, sœur de l'actrice Marie-Hélène Breillat, publie son premier roman L'homme facile, interdit aux moins de 18 ans, en 1968.
En 1972, elle joue aux côtés de sa sœur dans Le Dernier Tango à Paris.
Au milieu des années 1970, en pleine vague du cinéma « X » et érotique, un producteur lui propose de réaliser un film érotique à partir de son livre Une vraie jeune fille. Le film, qui contient des scènes pornographiques, ne sortira pas tout de suite du fait de la faillite de son producteur et du blocage de son distributeur Artedis pendant vingt ans.
Après un second film, Tapage nocturne, Catherine Breillat met sa carrière de réalisatrice entre parenthèses et se consacre à scénariser pour d'autres, notamment pour Federico Fellini (Et vogue le navire...) et Maurice Pialat (Police).
Elle retourne à la réalisation avec 36 fillette (adapté d'un de ses romans) et Sale comme un ange (scénario refusé par Maurice Pialat). Appréciée par la critique mais inconnue du public, elle rencontre enfin le succès avec Parfait amour !, en 1996, suivi de Romance, en 1999.
Catherine Breillat enseigne ou a enseigné, notamment, à la FEMIS et à l'Université Columbia.
Le 5 avril 2005, elle est victime d'une hémorragie cérébrale qui entraîne une paralysie de son côté gauche. Après cinq mois d'hospitalisation et une lente rééducation, elle parvient à reprendre le travail et réalise Une vieille maîtresse, d'après Barbey d'Aurevilly. C'est l'un des trois films français de la sélection officielle du Festival de Cannes 2007.
Catherine Breillat a également mis en images trois titres de la jeune artiste Élodie Frégé : Je te dis non, issu du premier opus de la chanteuse et, plus récemment, deux chansons de l'album Jeu des 7 erreurs, à savoir Si je reste (un peu) et La Fidélité.
Elle projette ensuite de tourner Bad Love, un film écrit pour Naomi Campbell qui doit en être la vedette et contacte Christophe Rocancourt pour tenir l'un des rôles principaux aux côtés du mannequin britannique. Le film ne pourra cependant pas se monter, Rocancourt étant refusé par le producteur Flach Film. La cinéaste révèle en juillet 2009 être victime d'une escroquerie de la part de Rocancourt qui, profitant de son handicap et de sa faiblesse, lui aurait soutiré des chèques pour plus de 850 000 euros. Jugé et reconnu coupable d'abus de faiblesse, Rocancourt est condamné le 17 février 2012 à seize mois d'emprisonnement dont huit fermes assortis d'un contrôle judiciaire, ainsi qu'à une amende de 578 000 euros, mais, compte tenu de la détention provisoire déjà effectuée, il est remis en liberté le jour même. Il déclare à France info : «On donnera 20 euros par mois pendant 2 000 ans».
La romancière a publié en 2009 un livre consacré à cette affaire. Intitulé Abus de faiblesse, il a été rédigé en collaboration avec Jean-François Kervéan. Elle tourne en 2013 l'adaptation cinématographique, avec Isabelle Huppert et Kool Shen, sous le même titre : Abus de faiblesse.
En janvier 2014, elle est promue au grade de commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres.
(Source : Encyclopédie en ligne Wikipédia).

A peine âgées de seize ans, Catherine Breillat et sa sœur, la comédienne Marie-Hélène, quittent le domicile familial. Pour ses débuts de cinéaste, elle décide en 1976 d'adapter un de ses romans, le soupirail, qui devient à l'écran une vraie jeune fille. L'équipe du film est réduite (quatre comédiens issus du porno), et le budget dérisoire. Scandale : le film échappe de justesse au classement x mais écope d'une interdiction au moins de dix huit ans. Il ne sort en salle que quatorze ans plus tard, alors que la critique ne dément toujours pas l'idée que Breillat réalise un cinéma pornographique. Elle s'en défend : là n'est pas son propos : "le porno n'est pas du cinéma", mais il est plutôt de donner une nouvelle définition des femmes et de leurs désirs.
Breillat trouve ses inspirations cinématographiques dans les films de son ami Andy Warhol, avec cette "idée d'aller plus loin que ce que le public pouvait supporter". De tapage nocturne en 1979 à romance en 1999, chacun de ses films à été interdit aux moins de 16 ans, mis à part 36 fillette, dont l'interdiction porte au moins de douze ans. Contre cette autorité du Conseil d'Etat, elle tient à résister jusqu'à devenir chef de file des cinéastes contre la censure, lorsque sort sur les écrans le dérangeant baise-moi (2000) de Virginie Despentes et Coralie Trin Thi.
Elle remporte un réel succès lorsque sort le film romance.
Luttant contre la censure comme en Turquie, elle parvient à installer ce cinéma féministe motivée par le désir de filmer ce que ressentent les femmes, du plaisir à la honte. Le film provoque un réel tapage médiatique. On l'interroge sur le choix d'un célèbre acteur du porno, Rocco Siffredi dans le rôle de l'amant de son actrice Caroline Ducey.
Avec Sex is comedy, elle tente de montrer les rapports qu'entretiennent les réalisateurs avec leurs acteurs en recréant une des scènes d'a ma sœur !, son précédent film.
En 2004, elle retrouve Rocco Siffredi dans anatomie de l'enfer, l'adaptation de son roman Pornocratie.
Catherine Breillat a signé les scénarii de tous ses films, elle a également été la scénariste de plusieurs longs métrages et a ainsi collaboré avec d'importants metteurs en scène, citons : Federico Fellini pour et Vogue le navire, Maurice Pialat et son Police dont elle écrit l'histoire, son amie Christine Pascal (Zanzibar).
Si le cinéma de Catherine Breillat tend à développer un thème unique mais néanmoins complexe : le désir au féminin, elle se distingue de l'ensemble de ses consœurs cinéastes et s'affiche comme une figure singulière du cinéma français.
(Source : http://www.gralon.net).





BRELAU ou BRELAUD Antoine
Laboureur

Naissance : 13 mai 1719 à Marigny 71
Inhumation : 14 septembre 1769 à Marigny 71
Décédé la veille.

Père : BRELAUD Philibert ( ~ 1697 - 1777 )
Mère : LORENT Sébastienne ( 1698 - 1751 )

Union : GRIVEAU Jacqueline ( 1731 - 1769 )
Mariage religieux : 27 février 1753 à Marigny 71
Enfants : BRELOT Pierrette ( ~ 1760 - ? )
BRELAU Claude ( 1762 - ? )
BRELAU Benoît ( 1767 - ? )
BRELAUD Blaise ( ? - ? )
BRELAUD Marie ( ? - ? )
BRELAUD Philibert ( ? - ? )
BRELAUD Pierrette ( ? - ? )
Note individuelle : Laboureur, en 1/1762.
Granger, en 4/1767.
Dit vivant granger au Bagny, en 2/1777.
Dit vivant laboureur à Marigny, en 2/1786.
Dit vivant laboureur à Bagny, en 2/1793.
Granger chez Chaumeau, laboureur à Bagny (voir fichier de Sylvie LHENRY).

BRELAU Antoine
BRELAUD Philibert
 
 
LORENT Sébastienne
 
 


                     


Ces pages ont été créées par Heredis pour Windows , © BSD Concept