Saint-Bonnet-le-Château


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       Située aux portes de l'Auvergne, au sud-ouest du département de la Loire, à 850 mètres d'altitude, et à proximité des départements de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme, la commune de Saint-Bonnet-le-Château, surnommée "la Perle du Forez", étend ses 173 hectares de superficie dans une zone champêtre, offrant une alternance de forêts de conifères et de pâturages verdoyants. Elle est implantée au sommet d'un promontoire rocheux de la pointe sud des Monts du Forez, d'où l'on peut jouir d'un panorama exceptionnel qui va de la plaine du Forez au nord, au Massif du Pilat et aux Alpes à l'est.
Ce chef-lieu de canton, à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Saint-Etienne, qui relève de l'arrondissement de Montbrison, ville située à une quinzaine de kilomètres au nord, compte une population de 1562 habitants, appelés parfois les Cacamerlots et Cacamerlotes, mais plus communément les Sambonitains.
Les industries traditionnelles de la ville, qui connut son apogée aux XIVème et XVème siècles, étaient autrefois la forge (cottes de maille, "forces à tondre le drap",  couteaux, clous, limes et autres outils) et la tannerie au Moyen-Âge, puis le bois, la forge (
barres et plaques de fer pour le chantier de la Chaise-Dieu, puis pièces d'armurerie), la serrurerie, ainsi que la dentelle et la rubanerie, et bien sûr l'agriculture par la suite. Actuellement, les principales industries sont la boule à jouer, et le tourisme avec le plan d'eau.
        Selon la tradition, l'occupation humaine remonterait à la période néolithique. Par la suite, les Celtes s'y établirent, puis ce furent les Gallo-romains, qui nommaient les autochtones les Ségusiaves. La cité portait alors le nom de Castrum Vari, camp fortifié (castrum), varus étant un surnom très courant signifiant cagneux. On ne sait si ce surnom est d'origine romaine ou ségusiave. Après les Gallo-romains, les Francs s'installent dans la région. Au Moyen-Âge, le nom devint Castel-Vair et ce, jusqu'en 722.
A cette date, la procession qui ramenait de Lyon à Clermont-Ferrand le corps de Saint Bonnet, ancien évêque de la capitale auvergnate, s'arrêta trois jours dans la cité, qui prit depuis le nom de Saint-Bonnet-le-Chastel.
Au XIIIème siècle, le nom devint Saint-Bonnet-le-Château.
Il y eut cependant un nouveau changement pendant la période révolutionnaire, puisque les autorités de l'époque désiraient bannir tout ce qui pouvait toucher de près ou de loin à la religion, et notamment dans les noms. La commune prit pendant cette période le nom de Bonnet-la-Montagne.
 


dessin G. Revel

vieilles façades

porte Mandrin

fabrication des serrures
        Le premier seigneur de Saint-Bonnet nommé dans les archives est Guillaume de SAINT-BONNET, témoin du comte de Forez, lors d'une donation à l'abbaye de Jourcey en 1145.
En 1223, Robert de SAINT-BONNET octroie pour sa ville une charte de privilège, un des rares textes de l'époque écrit, non en latin, mais en langue d'oc, le parler d'alors.
Sa nièce, Dauphine, qui se maria cinq fois, lui succède, et le fils aîné de cette dernière, Robert DALMAS, vendit au comte de Forez  JEAN 1er, en 1291, la seigneurie qui constituait jusqu'alors une ville libre.
Le dernier comte de Forez, JEAN II, mourut sans postérité en 1372. Son comté échoit à sa nièce Anne-Dauphine, comtesse de Forez et Dame de Saint-Bonnet. Elle est aussi, depuis 1370, duchesse de Bourbon et, par son mariage avec le duc LOUIS II,  belle-sœur du roi CHARLES V le Sage.
C'est à cette époque troublée de la guerre de Cent Ans que la ville termine ses remparts bordés de fossés profonds, pour se protéger des ravages occasionnés par la guerre et  les Grandes-Compagnies, aussi appelées les Tard-Venus.
En 1365, le comte JEAN II exempte la cité du vingtain, impôt équivalent à 1 vingtième des récoltes et autres revenus, car ses habitants entretiennent eux-mêmes les fortifications.
Un dessin de 1450, exécuté par Guillaume REVEL, à la demande du roi CHARLES VII, montre une vue d'ensemble de Saint-Bonnet, ainsi que l'état  des murailles et des moyens de défense.
La Renaissance, outre l'achèvement de la collégiale, voit la construction de belles demeures par les familles aristocratiques et notables de la ville et des environs. On peut encore en admirer rue de la Châtelaine, rue Dessous-les-Remparts, au faubourg Verchère, et rue Chevalier anciennement faubourg Notre-Dame, où s'élevait depuis 1220 environ un hôpital et une Maison de Charité pour les pauvres et les pèlerins qui se dirigeaient vers Le Puy-en-Velay ou Compostelle.
En août 1562, profitant des guerres de religion, le baron des ADRETS s'empare de Montbrison, tandis que son lieutenant, BLACON, envahit Saint-Bonnet, et saccage aussi bien la ville que la collégiale, malgré la résistance de la population. L'artisan et financier de cette résistance est Pierre de VINOLZ, marchand de la ville.
Le XVIIème siècle voit l'installation des Capucins et des Ursulines, qui fondent leurs couvents à l'emplacement de la maison-forte. Les religieuses tiennent une importante maison d'éducation pour jeunes filles, et leur chapelle date de 1622.
Au XVIIIème siècle, en 1754, c'est le contrebandier MANDRIN, qui fait une apparition remarquée dans la cité. Il y passa en effet quelques heures à rançonner les notables et les employés de la Ferme. Mais ce qui le rendit surtout populaire dans la région, fut qu'il prit soin de payer tous les cabaretiers chez lesquels ses hommes avaient consommé, aussi bien pour eux-mêmes que pour leurs chevaux.
Avec la Révolution, nous l'avons vu plus haut, la ville change momentanément de nom. Parmi les autres faits marquants de cette période, huit nobles ou notables sont arrêtés et fusillés. Leurs biens sont confisqués et vendus comme biens nationaux, et le couvent des Ursulines devient l'hôpital-hospice.
Sous l'Empire, la serrurerie prend un essor remarquable, avec des ateliers assez importants, qui utilisaient aussi le travail à domicile des paysans comme main d'œuvre. Les habitants eurent aussi à souffrir du court passage des Autrichiens qui, arrivés jusque dans cette région, réquisitionnèrent tout ce qu'ils purent.
L'arrivée du chemin de fer offre des débouchés pour le bois, les serrures, les fusils et les rubans locaux, et permet l'approvisionnement en fer et en charbon.
Les débuts du XXème siècle et la Première Guerre Mondiale, voient la diminution progressive des serruriers. Les dentellières petit à petit disparaissent, tandis que l'armurerie reste en majorité artisanale.
Dans l'entre-deux guerres, deux artisans locaux inventent la boule à jouer d'acier, qui fait aujourd'hui la renommée internationale de la cité forézienne, avec deux usines et un musée.

La Collégiale


       Elle est surtout connue pour ses peintures murales du XVème siècle, et pour sa bibliothèque renfermant de nombreux incunables. Elle comporte en outre la plus riche collection d'ornements religieux anciens du département de la Loire, et une vingtaine de caveau très bien conservés.
Elle est construite au point le plus haut du promontoire sur lequel est bâtie la ville, juste à côté du site de l'ancien château. Son architecture évolue entre les styles gothique, ogival mais trapu au début, et renaissance. Elle dépendait du diocèse de Lyon, avant la création, assez récente de celui de Saint-Etienne.
L'église primitive est mentionnée dès 1225, dans un pouillé du diocèse de Lyon, sous l'appellation de Capella, dépendant alors de la paroisse de  Saint-Nizier-de-Fornas, toute proche. Elle est érigée en paroisse entre 1351 et 1361, cette dernière date étant la première mention du nom d'un curé, Mathieu BOLLE.
Nous connaissons avec précision la date de début de construction  de cet  édifice, puisque son acte de naissance est inscrit dans la chapelle basse. Cette date semble cependant être plus une date d'une cérémonie officielle, peut-être de pose de la première pierre?..., que celle,  réelle,  de début de construction. En 1372, un don est fait à l'œuvre de l'église. Par son testament de 1399, Guillaume TAILLEFER, marchand drapier, fait un don de 2000 (ou 3000 livres tournois selon les sources). Son exécuteur testamentaire, le marchand de fer Bonnet GREYSET, entreprend avec cet argent la construction de l'église : "L'an de Notre Seigneur 1400, le 8 mai, fut commencée cette présente église, avec le bien de Guillaume Taillefer, donateur, pour cette œuvre, d'environ 2000 livres tournois, lesquelles furent employées par Bonnet Greysset; ledit Bonnet fonda et dota cette chapelle en l'honneur de Dieu, de la bienheureuse Vierge Marie, du bienheureux Michel et de tous les saints. Que leurs âmes reposent en paix. Amen.".  
Bernard DUCOURET, Conservateur du patrimoine pour la région Rhône-Alpes donnait en 2002 une description de l'ouvrage initial : "L'église se compose alors d’une nef de quatre travées à trois vaisseaux, celui du centre étant légèrement plus haut que les collatéraux, d’un chœur simple à abside à trois pans. La déclivité du terrain s’accentuant vers l’est, un étage de soubassement qui contient une chapelle, est aménagé sous le chœur. Deux tours reliées par une terrasse s’élèvent au-dessus de la première travée de la nef. Le tout est très influencé par l’église abbatiale de La Chaise-Dieu (1344-1355) : absence de transept, trois vaisseaux à peu près d’égale hauteur, colonnes polygonales recevant directement les nervures sans l’intermédiaire de chapiteaux, hautes fenêtres de l’abside.".
En 1418, le plus gros des travaux paraissent terminés, mais jusqu'au XVIIIème siècle, il y aura des remaniements. Ainsi trois chapelles sont élevées, au milieu du XVème siècle au sud de la nef, puis peu après, une sacristie est accolée à la travée sud du chœur, et la nef est agrandie de deux travée sur son flanc ouest. Au début du XVIème siècle, une chapelle est construite à droite de l'entrée nord, puis au milieu de ce même siècle, est ajoutée la chapelle Sainte-Cécile. Et dans le premier quart du XVIIIème, c'est enfin la bibliothèque qui est construite.
On enregistre plusieurs legs, concernant les ventaux d'un portail et la fonte d'une cloche. En 1450, d'après le dessin de Guillaume REVEL, mentionné plus haut, l'église semble parfaitement achevée.
La voûte est soutenue par de massifs piliers sans ornement ni chapiteau, et l'abside n'est éclairée que par trois hautes verrières situées dans le chœur. La nef n'est quant à elle éclairée que par la grande rosace de sa façade. Les vitraux originaux ont disparus après le passage du baron des ADRETS, puis ceux qui les ont remplacés à la Révolution. Ceux en place actuellement datent de la fin du XIXème siècle, dont certains sont de Lucien BÉGULE (voir le site de Thierry WAGNER, son arrière-petit-fils sur les vitraux), peintre et maître verrier lyonnais. Elle eut même des orgues, au  XVIIème siècle. Le vitrail central du chœur rappelle le passage en 722, du corps de Saint-Bonnet, ancien évêque de Clermont. Les piliers portent une croix de Malte, ce qui semble indiquer une consécration, mais il n'existe aucune archive attestant ce fait.
Deux tours s'élèvent au-dessus de la première travée de la nef et sont reliées par une terrasse. La tour nord ne possède qu'une balustrade à trèfles, tout comme la terrasse, et un seul niveau d'ouvertures. La tour sud, dit "clocher-vieux", ne possède pas cette balustrade, mais supporte une flèche, et a deux niveau de baies.
La crypte, ou chapelle basse, appelée l'oratoire de la duchesse Anne-Dauphine, Dame de Saint-Bonnet, est dédiée à la Vierge et à Saint-Michel. Elle est ornée de 7 fresques représentant l'un des plus beaux ensembles du département, sous la forme de  scènes qui représentent "l'Annonce faite aux bergers", "l'Enfer", "le Couronnement de la Vierge", "la Mise au tombeau", "la Crucifixion", "l'Apparition de Jésus à Magdeleine", "l'Annonciation", "la Nativité", "l'Adoration des Mages", "les Quatre Evangélistes". La voûte supporte "l'Assomption" entourée des dix "Anges musiciens", et des emblèmes de l'ordre de la "Ceinture d'espérance", fondé en 1370 par le duc Louis II de BOURBON, à l'occasion de son mariage. La date de création de ces fresques est inconnue, mais elles auraient été peintes en 1400 et 1420, peut-être par des peintres italiens. Sur les conseils de la Diana, ces fresques ont été restaurées en 1878 par Lucien BÉGULE, puis nettoyées et consolidées à l'initiative des Beaux Arts, en 1959.
La bibliothèque s'est progressivement constituée, à partir du premier legs fait à la communauté des prêtres en 1379. Jean DUBESSET, prêtre de 1707 à 1727, lui fait un don important. Vers cette même époque, est créée une rente, instaurée pour son entretien. Cette rente devra être payée par chaque prêtre sociétaire, le jour de sa réception. Enfin, un bâtiment est construit, en 1716-1717, attenant au collatéral nord du  chœur de la collégiale, pour abriter les collections, dont la plus importante est celle des 36 incunables, ouvrages imprimés avant 1500 (le plus ancien, la Biblia Latina, la première bible éditée en France, date de 1477). Cette bibliothèque expose entre autres, les chroniques de FROISSARD, datées d'avant 1558, de nombreux ouvrages religieux et des archives antérieures à la Révolution.
église collégiale

intérieur collégiale

fresques

les incunables

Les prêtres sociétaires


ornements religieux         En même temps que la paroisse de Saint-Bonnet-le-Chastel, est créée une communauté de prêtres sociétaires, ou prêtres desserviteurs, dont le rôle principal est  d'assurer les fondations de messes pour les défunts. Ces communautés étaient fort courantes à la fin du Moyen-Âge dans le Forez, mais celle de Saint-Bonnet est un cas à part et ce, dès sa création.
Dès 1520, elle est régie par des ordonnances, qui seront renouvelées et promulguées sous forme de statuts. Le groupe des prêtres, dirigé par le curé de la paroisse,  peut ainsi s'assimiler à un véritable chapitre de chanoines. En effet, ils portent un habit particulier qui les distingue, plusieurs membres ont une fonction déterminée, et ils possèdent un quartier, appelé "le cloître". Ce quartier semble être situé dans l'îlot  à l'ouest de l'église, où se trouve le presbytère avec son jardin et son verger qui montent jusqu'à l'église. Il comprend le logement du curé, plusieurs logements pour les prêtres et une grande salle commune appelée "le cénacle", utilisée pour les grands repas de la communauté ou des confréries.
Pour faire partie de cette communauté, le religieux devait être né et avoir été baptisé à Saint-Bonnet-le-Château. Il devait en outre être diplômé des meilleures universités du royaume.
        Les prêtres sociétaires formaient un foyer culturel important dans la province de Forez, possédant une bibliothèque, et fondèrent dès le XIVème siècle une école, qui acquiert vite une certaine renommée, puisque ses élèves viennent d'une centaine de kilomètres à la ronde. Mais la célébrité régionale de ces religieux, du XVème au XVIIIème siècle, est due à la qualité de leur pratique de la musique, à l'étude de laquelle ils attachaient une grande importance
Outre leur participation aux tâches paroissiales, ils enseignaient la philosophie, la théologie, le latin, l'étude des Saintes Ecritures, l'histoire religieuse et profane, le droit, etc... et la musique vocale instrumentale, dans les écoles de Saint-Bonnet.
        Pour l'anecdote, mon ancêtre Marie FAURE (n° Sosa 65, à la 7ème génération) avait un frère, Arnould Scipion Urbain, qui a été prêtre sociétaire de l'église collégiale de Saint-Bonnet-le-Château. Il était docteur en théologie et bachelier de l'université de Valence (voir sa fiche).

Les Momies


        L'église de Saint-Bonnet comporte une vingtaine de caveaux, celle-ci étant autrefois lieu de sépulture pour les prêtres et les notables bienfaiteurs.
Dans le caveau de la dernière chapelle de droite, lors de réparation en 1837, une découverte macabre fut faite. En effet, furent trouvées une quarantaine de momies, qui sont en fait des squelettes, très bien conservés grâce à la composition chimique du sol contenant de l'alun et de l'arsenic.
On ne sait par contre absolument rien quant à l'identité de ces dépouilles, ni pourquoi elles se trouvaient là, ni même depuis quand elles y étaient.
Selon certains, elles seraient des victimes des guerres de religion. Elles auraient été enfermées vivantes dans la crypte lorsque, en août 1562, le baron des ADRETS s'emparait de Montbrison, et qu'un lieutenant de ce chef huguenot, BLACON, envahissait Saint-Bonnet. Il saccage la ville et sa collégiale, en brûle les archives, pille, incendie et massacre, malgré la résistance des habitants.

les momies

La Vierge de la Châtelaine


la vierge de la Châtelaine
        L'oratoire, où elle est installée, date de l'érection des remparts de la ville, au début du XIVème siècle. Ces murailles protégeaient la ville contre tous les ennemis, brigands et loups. La Vierge assurait la protection contre les épidémies, dont les pires, au Moyen-Âge, étaient celles de peste noire et ce, jusqu'au XVIIème siècle. La Vierge, peut-être déjà la même que l'on peut voir en place aujourd'hui, était vénérée à cette époque par les habitants. Et dès l'origine, elle est "la châtelaine", protectrice de la ville. Elle a d'ailleurs donné son nom à la porte où elle est exposée, et à tout le quartier. Lors de l'épidémie de peste de 1609, un "vœu de ville" engagea sa population à organiser une procession annuelle.
Cette statue représente une Vierge à l'enfant. Elle est taillée à même un tronc d'arbre, dans un style naïf, qui pourrait être du XIVème ou XVème siècle. Cependant, le mouvement de la draperie et le geste de présenter l'enfant Jésus font penser au XVIème ou au XVIIème siècle. Cette statue était polychrome à l'origine, et jusqu'au milieu du XXème siècle, elle portait une robe rose et un manteau bleu. En 1957, les couleurs étaient tellement passées, qu'il fut décidé de la dorer à la feuille dans un atelier du Puy-en-Velay. Elle fut ensuite solennellement replacée dans son oratoire, qui fut nettoyé et restauré.
La porte de l'enceinte où est situé l'oratoire de la Châtelaine a été rebaptisée "porte Mandrin" après le passage, en 1754, du renommé contrebandier dont nous avons parlé plus haut.


Sources :

-- Saint-Bonnet-le-Château (Loire), plaquette éditée par l'Association des Amis du Vieux Saint-Bonnet.
-- La collégiale de Saint-Bonnet-le-Château (Loire), par Bernard DUCOURET, conservateur du patrimoine.
-- Site Internet : http://www.st-bonnet-le-chateau.fr/
-- Site Internet : 
http://www.forez-info.com
-- Site Internet : http://www.cc-pays-st-bonnet-le-chateau.fr/
-- Site Internet : http://fr.wikipedia.org/wiki/Canton_de_Saint-Bonnet-le-Ch%C3%A2teau
-- Site Internet pour le nom des habitants : http://www.peoplefrom.com/42-loire.html



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