Jusqu'à
la 18e génération, à partir de mon arbre
généalogique sur Geneanet à l’adresse :
http://gw.geneanet.org/index.php3?b=bobby43,
certain
renseignements provenant entre autres de Gilles BOUTTE,
Marie-Françoise
PEYRACHE, Bruno FERRATON, Jean-Claude COURBON, Jean-Claude SOUBEYRAND,
Jean-François SIBILLE, Daniel SABOT, Charles NEYRET, pour le cas
où j’aurais
oublié de les citer comme source.
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1: Bernard,
Marie, Jean
GUINARD, né le 5 septembre 1960 à
16h40, à la clinique
Bel-Air, à Bourg-en-Bresse, 01, Rhône-Alpes, Gardien de la
Paix, marié
le 23 juillet 1986, à Ermont, 95, Ile-de-France, avec Patricia, Hélène,
Claude LAMBRÉ,
née le 22 juillet 1962, au 185 rue de Fontenay,
à Vincennes, 94,
Ile-de-France, Sans profession.
2: Jacques,
Marie,
André GUINARD, né le 23 juin 1929
à 6h00, au domicile
parental, 9 rue Rivet, à Lyon (1er), 69, Rhône-Alpes, décédé
le 27 octobre 1990 à 11h30, dans son
domicile, rue Fratel, à Jasseron, 01, Rhône-Alpes,
(à l'âge de 61 ans),
Militaire de carrière, puis comptable, puis analyste-programmeur
[Note : Il
fit une partie de ses études au
collège Saint-Michel à Saint-Etienne. Il entra dans
l'armée et y passa seize
ans puis, lassé par les dissolutions des divers régiments
où il fut affecté,
après avoir fait quatre ans en Allemagne, du coté de
Baden Baden, fait la fin
des guerres d'Indochine et d'Algérie, il termina sa
carrière à Bourg-en-Bresse,
et quitta l'armée avec le grade d'adjudant-Chef. Pendant la fin
de la guerre
d'Indochine, alors qu’il était en opérations au
Laos, il s'est brusquement
retrouvé isolé, et après avoir erré
plusieurs jours dans la brousse, se
nourrissant de pousses de bambou et de bananes, il a été
"repêché",
dans un triste état, souffrant de fièvre et de
dysenterie, par des villageois
vietnamiens, qui l'ont recueilli et soigné, le cachant de
village en village.
Il fut récupéré par un détachement
français après avoir été officiellement
porté disparu pendant 45 jours. Il a été
décoré de l'Ordre du Règne du Laos par
le roi de ce pays. Lors de son mariage, il était affecté
au 4° régiment de
zouaves en opérations dans le sud Tunisien. Son témoin et
les invités sont
arrivé en tenue et en arme à l'église à
Tunis, car ils devaient repartir en
opérations tout suite après le mariage, et le
témoin a dû se changer dans le
confessionnal. D'autres cachaient leurs armes sous leurs longs manteaux
car
ceux-ci devaient repartir en opérations après la
cérémonie. Après l'armée, il
entre à la société BUSSIERE, 3 rue Charles Robin
à Bourg-en-Bresse, comme
comptable, où il reste quinze ans avant d'être
licencié suite au dépôt de bilan
de l'entreprise consécutif à deux cambriolages successifs
dans leur entrepôt
d'électroménager et télévision.
Il effectue alors un stage d'analyste programmeur, puis entre à
la société
MORAND à Ceyzériat, où il reste jusqu'à ce
qu'il tombe malade, et demande sa
mise à la retraite pour raison de santé, peu avant son
décès d'une tumeur au
cerveau. Il est décédé dans son domicile, sis rue
Fratel à Jasseron, dans cette
maison qu'il avait achetée en mai 1960.], ... marié
le 20 novembre 1956, Tunis, TUNISIE, au Consulat de
France,
avec...
3: Denise
FONTANA,
née le 13 septembre 1928 à 20h00, Hors Bab
Saadoun, à Tunis,
TUNISIE, Sans profession, ... dont:
4: Victor
François
René, dit Toto GUINARD, né
le 18 juin 1900 à 5H00, au
domicile parental, 9 place Marengo, à Saint-Etienne, 42,
Rhône-Alpes, baptisé
le 8 juillet 1900, décédé
le 8 octobre 1959, à
Meillonnas, 01, Rhône-Alpes (à l'âge de 59 ans),
Ouvrier en soieries, puis
employé de l'Administration communale de Saint-Etienne, ...
marié
le 11 avril 1925, à Lyon (1er), 69,
Rhône-Alpes, avec...
5: Marcelle
Marie
Jeanne Madeleine GRAS, née
le 28 mars 1906 à 8H00, au
domicile parental, 4 rue de la Bourse, à Saint-Etienne, 42,
Rhône-Alpes
[Note : Le
trente
avril 2006, une réunion familiale, organisée dan la salle
des Fêtes de la
commune d'Eloise (74), fêtait les cent ans de Mita.], ... dont:
6: Vito,
dit Guy
FONTANA, (note concernant cette branche, voir Les Fontana,
De la
Sicile à la France, par la Tunisie et
l’Algérie : les racines d’une
famille, par Bernard Guinard), ... marié avec...
7: Maria
ALESSI,
... dont:
8: Victor
GUINARD,
né le 10 avril 1866 à 12h00, au domicile
parental, 14 rue
Royale, à Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes,
décédé
le 9 décembre 1944 à 16H00, dans son
domicile, 6 rue Forissier,
à Saint-Etienne (à l'âge de 78 ans),
Négociant en soierie [Note : Négociant
demeurant 9 place
Marengo, en 4/1903. Etait assidu du cercle du Manège à
Saint-Etienne. L'
appartement du 6 rue Forissier faisait partie d'un très bel
immeuble dont il
habitait l'un des appartements et louait les autres, avec un bel
escalier
revêtu d'un tapis rouge magnifique qui conduisait à
l'étage. Il avait fait
construire cet immeuble dans les années vingt, par l'architecte
Louis VARCOLIER.],
... marié le 1er juin 1895, à Grenoble,
38, Rhône-Alpes, avec...
9: Reine
Marie
Marguerite, dite Marguerite
DÉSAUTELS,
née le 4 février 1869 à 2h00, au
domicile parental, 4 rue des
Vieux Jésuites, à Grenoble, 38, Rhône-Alpes,
décédée
le 7 janvier 1954 à 16h00, dans son domicile, 6
rue Forissier, à
Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de 84 ans),
Sans profession, fille de Claude
DESAUTELS et Marguerite Camille JOCTEUR-MONROZIER, ...
dont:
10: Jacques
Eugène GRAS,
né le 1er octobre 1877 à 7h00, au domicile
parental, impasse
Beraud, à Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes, baptisé
après 2 octobre 1877, décédé
le 4 avril 1947,
Villefranche-sur-Saône, 69, Rhône-Alpes, inhumé au
cimetière de Valbenoite, à
Saint-Etienne (à l'âge de 69 ans), Boulanger [Note : Demeurant 4 rue de la
Bourse à
Saint-Etienne, en 8/1907. Par la suite il travailla, toujours comme
boulanger à
Montgré, commune de Villefranche-sur-Saône.], ...
marié
le 20 juin 1905, au Chambon-Feugerolles, 42,
Rhône-Alpes,
avec...
11: Marie
Jeanne
Françoise VINCENT, née
le 21 décembre 1878 à 6h00, au
domicile parental, à l’Epine, au Chambon-Feugerolles, 42,
Rhône-Alpes, décédée
le 5 décembre 1966 à 23h00, au domicile de
son petit-fils, au
bourg, à Jasseron, 01, Rhône-Alpes, FRANCE, inhumée
au cimetière de Valbenoite,
à Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes, (à
l'âge de 87 ans), Sans profession
[Note : A
travaillé comme économe jusqu'à l'âge de
presque 80 ans au château de Montgré,
qui était une école, située sur la commune de
Villefranche-sur-Saône.], ...
dont:
16: Joseph
GUINARD, dit
Joseph Gabriel Etienne Marcellin, né
le 8 janvier 1821
à 21h00, à Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes,
décédé le 23 septembre 1891 à 9h00,
dans son domicile, 6 rue de la Bourse, à Saint-Etienne (à
l'âge de 70 ans),
Négociant [Note :
Commis
négociant, domicilié rue Neuve, en 8/1845, puis rue
Saint-Louis en 8/1847, puis
négociant demeurant rue de la Bourse de 1849 à 1855, puis
9 place Marengo de
1856 à 1865, puis négociant demeurant 14 rue Royale en
1868 et 1869, puis
négociant demeurant 6 rue de la Bourse après 6/1871.
D'après une lettre écrite
en 1889 par le professeur Aimé GUINARD à Henri GUINARD
à Madagascar, "l'oncle
Joseph" était réactionnaire. Il était apparemment
contre le gouvernement
CARNOT, et devait peut-être regretter le gouvernement
impérialiste, qui lui
avait apporté la prospérité. A propos de
l'exposition universelle de cette
année-là, il aurait déclaré : "Je n'aurais
jamais cru que la République
pût faire une chose pareille". D'après les archives
familiales, il
s'appelait Joseph Gabriel Etienne Marcellin, sûrement des
prénoms de baptême.],
... marié le 15 juin 1865, à
Saint-Etienne, avec...
17: Marie
Anne, dite Anaïs
MERLEY, née le 17 janvier 1842 à
18h00, à
Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes, décédée le 2
octobre 1928 à 4h00, dans son
domicile, 6 rue Forissier à Saint-Etienne (à l'âge
de 86 ans), Sans profession,
puis rentière [Note : Demeurait
rue de la Loire à son mariage, et 6 rue de la bourse en 1895.
Rentière,
demeurant 6 rue de la Bourse en 9/1894. Philanthrope, elle se consacra
très tôt
aux bonnes oeuvres, et surtout celles dont le but était
d'adoucir les maux
causés par la guerre. Elle s'inscrit en effet à la
Société du Secours aux
Blessés Militaires, dès 1871, à l'ouverture d'une
subdivision de cet organisme
à Saint-Etienne. Secrétaire et dame conseillère du
comité en 1872, elle fut
élue présidente en 1911, poste qu'elle occupait encore en
1914, lorsque la
guerre éclata. Sans se soucier de son âge, oui de la
fatigue, elle oeuvra pour
l'organisation de la section qu'elle présidait, et s'occupa des
blessés et de
toutes les ouvres nécessitées par la guerre, pendant
toute la durée des
hostilités. Très attachée à sa ville natale
de Saint-Etienne, elle y oeuvra
avec beaucoup de dévouement à plusieurs oeuvres
philanthropiques, telles les
Dames de la Miséricorde, pour les familles pauvres, la
Charité Maternelle, pour
les femmes en couches, les Dames du Calvaire, pour les femmes
incurables,
...(source : Dictionnaire National des Contemporains, par C.E.
CURINIER, tome
VI, 1901-1918). Nous possédons la photocopie d'une lettre
d'elle, datée du 19
mars 1924, "qui n'est pas un testament", selon ce qu'elle écrit
elle-même,
mais où elle dicte certaines volontés pour après
son décès.], ... dont:
20: Pierre
GRAS,
né le 4 novembre 1850, à 4h00, au domicile
de ses parents, à La
Ricamarie, 42, Rhône-Alpes, décédé le
1er novembre 1883, à 5h00, dans
son domicile, impasse Beraud à Saint-Etienne, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de 32
ans), Négociant en vins [Note : Commis
négociant, impasse Beraud, à son mariage, en 2/1873.
Marchand de vins 14
impasse Beraud en12/1880.], ... marié
le 19 février 1873, à
Saint-Etienne, avec...
21: Marie
PEYRON,
née le 9 décembre 1851, à 19h00, au
domicile de ses parents, à
la Grange de l'Auvre (?), à Valbenoite, 42, Rhône-Alpes,
décédée
le 8 mars 1911, à 5h00, dans son domicile, 14 rue
Beraud, à
Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de 59 ans),
Ménagère [Note : Sans profession,
demeurant rue de
la Rivière, à son mariage en 2/1873.], ... dont:
22: Jean-Baptiste
VINCENT, né le 25 novembre 1847,
à 9h00, au domicile de
ses parents, à l'Epine, au Chambon-Feugerolles, 42,
Rhône-Alpes, décédé
le 3 juillet 1917, à 5h00, à l'Epine, au
Chambon-Feugerolles (à
l'âge de 69 ans), Fabricant de limes [Note : Etait
propriétaire d'une petite fabrique de limes et
de scies. Domicilié à l'Epine en 2/1896. Négociant
au Chambon en 8/1907. Son
frère Jean avait trois enfants : Julie et Paul, morts, et
Marie.], ... marié
le 6 février 1878, au Chambon-Feugerolles, avec...
23: Marie
Françoise
COURBON, née le 29 mai 1853, à
19h00, au domicile de
ses parents, à La Faverge, à Saint-Genest-Malifaux, 42,
Rhône-Alpes, décédée le
20 décembre 1939, à Firminy, 42, Rhône-Alpes
(à l’âge de 86 ans) Sans
profession [Note : Serait
le 13ème enfant de ses parents], ... dont:
32: André
GUINARD,
né le 15 septembre 1787, et baptisé le 17,
à
Saint-Bonnet-le-Château, 42, Rhône-Alpes,
décédé le 22 juillet 1845, à 17h00,
dans son domicile, rue Neuve, à Saint-Etienne, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de 57
ans), Marchand drapier, puis négociant [Note : Négociant rue
Neuve à
Saint-Etienne, en 4/1811, 11/1812, en 10/1817, 9/1820, 12/1825, 1/1827,
2/1827,
4/1827, 1/1828, 9/1830, 2/1833. Marchand drapier rue Neuve, en 4/1815,
en
11/1833. Drapier rue Neuve en 4/1822.Le 11 mars 1813, il achète
avec son
beau-frère Pierre Victor ROBIN-CHÂTEAUNEUF, le domaine des
FROTTON-LANDUZIèRE.
Le 13 août 1813, il achète une maison appartenant à
Mathieu BESSY, son
beau-père, sise 12 rue Saint-François à
Saint-Etienne. Le 1er août 1818, il
signe un contrat, enrgistré le 5, réglant les conditions
d'une société entre
Jean GUINARD, son père, et lui-même, pour le commerce de
la draperie, pour une
durée de 3, 6, 9 ou 12 ans, avec pour raison sociale "jean
GUINARD père et
fils". André prit ensuite la succession de son père comme
marchand de drap
rue Neuve à Saint-Etienne. Son fils Joseph fera fortune dans la
rubanerie,
tandis que son autre fils Victor Jean s'établira pharmacien
à Saint-Etienne.],
... marié le 4 juin 1810, Saint-Etienne, avec...
33: Marguerite
Etiennette Antoinette BESSY, née
le 6 mars 1790, b
Baptisée le 7, dans l'église de la paroisse Notre Dame de
Saint-Etienne, 42,
Rhône-Alpes (Lors de la cérémonie, le parrain est
représenté par Antoine BESSY,
négociant à Saint-Etienne, paroisse Notre-Dame, oncle de
l'enfant), décédée
le 5 mars 1849, à 9h00, dans son domicile, rue
Saint-Louis, à
Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de 58 ans),
Rentière [Note :
Marguerite BESSY était souvent
appelée Anne. Par acte du 12 février 1811, elle
reçoit, en don de ses parents,
une maison sise 7 rue Neuve à Saint-Etienne. Le 5 août
1845, elle achète une
concession perpétuelle au cimetière du Cré de Roch
à Saint-Etienne (n° 91bis et
92bis).], ... dont:
40: Claude
GRAS,
né vers 1814, à Saint-Pal-de-Mons, 43, Auvergne,
décédé
le 16 décembre 1880, à 17h00, dans son
domicile, 14 impasse
Beraud, à Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes (à
l'âge de peut-être 66 ans),
Aubergiste, puis, marchand de vins, puis rentier [Note : Aubergiste, demeurant
à La
Ricamarie, en 11/1850. Marchand de vins, demeurant impasse Beraud, en
2/1873.],
... marié avec...
41: Jeanne
CHAIZE,
née vers 1814, Rentière [Note :
Ménagère à La Ricamarie, en
2/1873], ... dont:
42: Marcellin
PEYRON,
né le 4 août 1827, à
Saint-Romain-les-Atheux, 42, Rhône-Alpes,
décédé le 10 août 1871, à 2h00, dans
son domicile, à la Rivière, à
Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de 44 ans),
Passementier [Note : Domicilié
à la Grange de l'Oeuvre
à Valbenoite à son mariage en 2/1851], ... marié
le 17 février 1851,
Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes, avec...
43: Marie
FAVRE,
née le 19 janvier 1833, à 21h00, à
Valbenoite, 42, Rhône-Alpes,
décédée le 7 août 1880,
à 18h00, dans son domicile, 1 rue de la
Rivière à Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes (à
l'âge de 47 ans), Passemnetière,
puis cafetière, puis marchande de vins [Note : Passementière,
domiciliée au lieu
de Champagne à Valbenoite à son mariage en 2/1851.
Cafetière à La Rivière, en 2/1873.
Marie est dite marchande de vins 4 rue de la Rivière à
Saint-Etienne, sur son
acte de décès.], ... dont:
44: Jean
VINCENT,
né le 11 septembre 1821, à 4h00, au
Chambon-Feugerolles, 42,
Rhône-Alpes, décédé le 2 février
1896, à 2h00, dans son domicile, à l'Epine, au
Chambon-Feugerolles, 42, Rhône-Alpes, (à l'âge de 74
ans), Forgeur et
cultivateur, ... marié avec...
45: Julie
Ursule FURET,
née le 20 juin 1824, à 16h00, à
Tarentaise, 42, Rhône-Alpes,
décédée le 18 juin 1883, à
10h00, dans son domicile, à l'Epine,
au Chambon-Feugerolles, 42, Rhône-Alpes, (à l'âge de
58 ans), Ménagère, ...
dont:
46: Jean-Baptiste
COURBON, né
le 18 vendémiaire an X (10 octobre
1801), à 5h00, au domicile parental, à La Faverge,
à Saint-Genest-Malifaux, 42,
Rhône-Alpes, Propriétaire cultivateur, puis Rentier
à La Faverge [Note : Propriétaire
cultivateur à La
Faverge à son mariage en 11/1831], ... marié
le 18 novembre 1831, à Saint-Genest-Malifaux, 42,
Rhône-Alpes,
avec...
47: Anne
Magdelaine
MURGUES, née le 31 octobre 1808,
à Marlhes, 42,
Rhône-Alpes, décédée le 23 août 1864,
à 18h00, dans son domicile, à La Faverge,
à Saint-Genest-Malifaux, 42, Rhône-Alpes, (à
l'âge de 55 ans), Ménagère
[Note : Domiciliée
avec son père au lieu de La Frache à Marlhes, à
son mariage en 11/1831], ...
dont:
64: Jean
GUINARD,
né et baptisé le 7 février 1760,
à Saint-Laurent-en-Royans, 26,
Rhône-Alpes, décédé le 7 novembre 1821,
à 7h00, à Saint-Etienne, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de 61 ans), Marchand drapier,
puis négociant [Note : Fils de Pierre GUINARD
et de
Claire BON. Nous possédons une copie de l'acte de naissance de
Jean Guinard,
sur parchemin, datée du 8 août 1786, signée FAURE
curé. Commis de magasin,
domicilié à Montbrison depuis plusieurs années, en
10/1786. Marchand à Saint-Bonnet-le-Château
en 1793 et 1795. Négociant en draperie, domicilié rue
Neuve à Saint-Etienne, en
1808. Marchand, domicilié rue Neuve, en 1810. Marchand drapier,
domicilié rue
Neuve, en 1815.], ... marié le 10 octobre 1786,
à Saint-Bonnet-le-Château,
42, Rhône-Alpes, avec...
65: Marie
FAURE,
née le 13 janvier 1754, et baptisée le
lendemain à
Saint-Bonnet-le-Château, 42, Rhône-Alpes,
décédée le 11 mars 1820, à 2h00, à
Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de 66 ans),
Marchande [Note : Selon
Jeanne CARTAN, elle était la
dernière de six enfants, deux garçons et quatre filles,
dont seules l'aînée et
Marie se marièrent et eurent une descendance, mais la
descendance de l'aînée
s'éteignit avec Madeleine de SAINT-ANGE, qui n'eut pas d'enfants
et dont le frère
resta célibataire. Ces deux derniers étaient les enfants
de Célestine DUPUY de
Quérézieux.], ... dont:
66: Mathieu
Etienne
BESSY, baptisé le 3 août 1762,
à la paroisse Notre-Dame
à Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes, Négociant
[Note : Négociant
domicilié rue Neuve en
1810. Il était ami de Joseph Gabriel CELLE, son
beau-frère. Sa société,
"Bessy et Cie", fut mise en liquidation judiciaire pour faillite par
jugement du 15 octobre 1812. Il fait l’acquisition, par contrat
du 4 Floréal an
X, d’une maison appartenant à Marcelline BERAUD, sa tante,
sise à l'angle des
rues Neuve et Saint-François à Saint-Etienne.], ...
marié
le 21 avril 1789, à Saint-Didier-en-Velay, 43,
Auvergne, avec...
67: Catherine
CELLE de
DUBIS, née le 27 mai 1769, et
baptisée le 29 à
Saint-Didier-en-Velay, 43, Auvergne, décédée
le 12 juin 1837, à
18h00, à Saint-Etienne, 42, Rhône-Alpes (à
l'âge de 68 ans), Rentière
[Note : Après
le
décès de son père, elle passa plus de 3 ans chez
divers parents. Elle fut aussi
placée pendant 4 ans par sa mère chez les religieuses de
Saint-Didier-en-Velay,
et dans ce couvent, elle allait à l'école des pauvres. A
16 ans, elle fut
placée comme pensionnaire pendant 2 ans au couvent de
Bourg-Argental (42). Elle
était mineure à son mariage, et ne fut majeure que le 27
mai 1790, à l'âge de
21 ans.
Elle fut spoliée de l'héritage de son père et de
son oncle par son frère. En
1806, elle le traîna en justice et obtint gain de cause, par
jugement rendu le
20 juin 1807 à Grenoble (38). Sur son acte de
décès, elle est domiciliée rue de
la Bourse. Elle est cependant, selon les archives familiales,
décédée dans la
maison Philippe, sise rue de la Paix à Saint-Etienne, où
elle habitait une
chambre donnant sur la rue, au 2ème étage de ladite
maison.],... dont:
84: Jacques
PEYRON,
né le 7 février 1778, au
Chambon-Feugerolles, 42, Rhône-Alpes,
décédé le 14 novembre 1838, à 13h00, dans
son domicile, au lieu de Colard, à
Saint-Romain-les-Atheux, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de
60 ans), Propiétaire
cultivateur [Note : Propriétaire
au lieu de Breton à Saint-Romain-les-Atheux en 8/1827], ...
marié
le 10 juin 1806, à Saint-Romain-les-Atheux, 42,
Rhône-Alpes,
avec...
85: Marie
Anne COLARD (ou COULARD), née
le 28 janvier 1783, à Saint-Romain-les-Atheux,
42, Rhône-Alpes,
décédée le 26 juin 1841, à
14h00, dans son domicile, au bourg, à
Saint-Romain-les-Atheux, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de
58 ans), ... dont:
86: Gabriel
FAVRE,
né le 5 mars 1808, à 21h00 à
Valbenoite, 42, Rhône-Alpes,
Passementier [Note : Domicilié
au Bas du Rey à son mariage en 10/1830. Domicilié au
lieu-dit en Champagne en 12/1851.
Domicilié rue de la Rivière en 8/1871.], ... marié
le 27 octobre 1830, à Valbenoite, 42,
Rhône-Alpes, avec...
87: Clémence
FRANC,
née le 6 décembre 1812, à
Valbenoite, 42, Rhône-Alpes
[Note : Domiciliée
à La Rivière à son mariage en 10/1830, fille de
Pierre FRANC et Marie REBAUD],
... dont:
88: Claude
VINCENT,
baptisé le 9 février 1775, au Chambon, 42,
Rhône-Alpes, décédé
le 12 mars 1846, au Chambon-Feugerolles, 42,
Rhône-Alpes (à
l'âge de peut-être 71 ans), Refondeur d'acier à La
Pauzière [Note :
Domicilié à la Pauzière, commune
de Feugerolles, en 9/1821], ... marié avec...
89: Marie
BERGER,
née vers 1779 (Peut-être à Feugerolles=,
décédée
le 26 juin 1846, au Chambon-Feugerolles, 42,
Rhône-Alpes (à
l'âge de peut-être 67 ans), Rubanière, ... dont:
90: Jean-Baptiste
FURET,
né vers 1795, Cultivateur au Besson [Note : Peut-être le
même qui est marié à
Rosalie Joséphine EYRAUD de BESSOUS], ... marié avec...
91: Marie
Rosalie HERAUT,
... dont:
92: Jean-Baptiste
COURBON, né le 20 septembre 1781,
à
Saint-Genest-Malifaux, 42, Rhône-Alpes, Cultivateur [Note : Information de Mita le
28 août
2000 : Il y avait un Louis COURBON, notaire à
Saint-Didier-la-Séauve. C'est
peut-être lui qui aurait fait la généalogie des
COURBON ?], ... marié
le 20 fructidor an VIII (7 septembre 1800),
à
Saint-Genest-Malifaux, 42, Rhône-Alpes, avec...
93: Elizabeth
THIVILLIER,
née le 29 avril 1776, à Jonzieux, 42,
Rhône-Alpes, décédée
le 11 octobre 1833, à
Saint-Genest-Malifaux, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de
57 ans) [Note : Originaire
de Jonzieux], ... dont:
130: Jean
FAURE,
né vers 1718 (acte introuvable), dans sa maison,
décédé
le 3 avril 1769, à Saint-Bonnet-le-Château,
42, Rhône-Alpes,
inhumé le 4 avril 1769, à)
Saint-Bonnet-le-Château, 42,
Rhône-Alpes, dans le cimetière (à l'âge de
peut-être 51 ans), Maître menuisier,
... marié le 23 novembre 1751, à
Saint-Bonnet-le-Château, 42,
Rhône-Alpes, avec...
131: Barbe
GLAIZE,
née vers 1729, décédée
le 21 avril 1808, dans son domicile,
à Saint-Bonnet-le-Château, 42, Rhône-Alpes (à
l'âge de peut-être 79 ans),
Marchande [Note : Selon Jeanne CARTAN, Barbe Glaize avait un
frère, l'abbé
Glaize, père Cordelier, qui fut parait-il un orateur
remarquable, et qui, à
partir de 1780, prêcha 32 carêmes], ... dont:
132: Etienne
BESSY,
né vers 1726, Marchand bourgeois [Note : Marchand
demeurant à
Saint-Etienne, paroisse Notre-dame, à son mariage, en 11/1755],
... marié
le 27 novembre 1755, paroisse Notre-Dame, à
Saint-Etienne, 42,
Rhône-Alpes, avec...
133: Louise
BERAUD,
née vers 1737, ... dont:
134: Jean-Baptiste
CELLE,
Seigneur de l'Aulagnier et de Duby , né
le 17 juin 1729, à Riotord, 43, Auvergne,
décédé
le 14 novembre 1774 (à l'âge de 45 ans),
Ecuyer [Note :
Habitant le lieu de Dubie, paroisse de Riotord, à son mariage en
10/1757. Dit
habitant de Saint-Didier-en-velay au mariage de son fils Joseph
Gabriel.
CELLE du BY, l'Ollagnier (Riotort), XVIIIe s. : D'argent à un
croissant de
gueules au chef d'azur, chargé de trois étoiles d'or (AS)
(source : Répertoire
Héraldique ou Armorial Général du Forez, par
Louis-Pierre GRAS, page 55).
Anobli en vertu de l'Edit du 1er novembre 1750 créant la
noblesse
militaire.probablement éteinte. Vota en 1789 à Montbrison
(source : La Noblesse
de France Subsistante, par le baron WOËLMONT de BRUMAGNE, tome
III, page 200).
Riotord, canton de Montfaucon (43). En 1789, une partie de Riotord
dépendait de
la province de Velay, de la subdélégation et
sénéchaussée du Puy, et l'autre de
la province de Forez et de l'élection de St-Etienne. Son
église paroissiale,
diocèse du Puy et archiprêtré de
Monistrol-sur-Loire, était consacrée à Saint
Jean-Baptiste; le prieur de Saint-Sauveur-en-Rue présentait
à la cure (source :
Dictionnaire Topographique de la Haute-Loire, page 232).
Riotord, ou Dunerette, l'un des deux ruisseaux qui forment la
Dunières, prend
naissance dans la commune de Saint-Sauveur-en-Rue (42), entre dans le
département de la Haute-Loire, près du château de
Duby et arrose la commune de
Riotord (source : Dictionnaire Topographique de la Haute-Loire, page
233).
Testament: 2 mai 1767.], ... marié
le 18 octobre 1757, à
Saint-Didier-en-Velay, 43, Auvergne, avec...
135: Marguerite
PICHON,
baptisée le 24 janvier 1731, à
Saint-Didier-la-Séauve, 43,
Haute-Loire, décédée
le 25 pluviôse an VI (13 février 1798)
(à l'âge de peut-être 67 ans) [Note : Son
parrain était seigneur de La
Rivoire, et le mari de sa marraine sieur de Malescours. Elle fut
nommée tutrice
de ses deux enfants, Joseph Gabriel et Catherine, après la mort
de leur premier
tuteur, son frère, Jean Joseph PICHON, en 1776. En 1790,
habitait
Saint-Didier-en-Velay.
Saint-Didier-la-Séauve, arr. d'Yssingeaux. En 1789,
St-Didier-la-Séauve, qui
était le siège de l'une des dix huit baronnies
diocésaines de la province du Velay,
appartenait à la subdélégation et
sénéchaussée du Puy. Son église
paroissiale,
diocèse du puy et archiprêtré de
Monistrol-sur-Loire, était consacrée à Saint
Didier; l'évêque en était collateur (source :
Dictionnaire Topographique de la
Haute-Loire, page 249).
Saint-Didier-en-Velay, arr. Yssingeaux, Ch. l. cant; La Séauve,
vestiges d'un
château du XIIème siècle (source : Atlas des
Châteaux Forts en France, page
435).], ... dont:
170: Jean-Baptiste
COULARD, Laboureur de Coulard, ... marié
le 6 février 1776,
à Saint-Romain-les-Atheux, 42, Rhône-Alpes, avec...
171: Marie
FLACHIER,
De Bourg-Argental, ... dont:
176: Jacques
VINCENT,
né vers 1743, Journalier, puis étireur de fil de fer
à La Sauvagnière, ...
marié le 3 mars 1767, à Firminy, 42, Rhône-Alpes,
avec...
177: Marie
Anne Marianne
DECLINE, née vers 1743 [Note : Demeurant à
Saint-Etienne, de 1757 à 1767], ... dont:
178: Jean-François
BERGER,
né peut-être à Feugerolles,
décédé avant août 1803, ...
marié avec...
179: Marie
DUPUY,
décédée avant août 1803, ... dont:
186: Barthélemy
THIVILLIER, né le 17 juin 1739, à
Jonzieux, 42,
Rhône-Alpes, décédé
le 10 mars 1786, à Jonzieux, 42,
Rhône-Alpes
(à l'âge de 46 ans), Marchand de Bergounion, ...
marié
le 22 juin 1762, à Jonzieux, 42,
Rhône-Alpes, avec...
187: Louise
TARDY,
... dont:
262: Jean-François
GLAIZE,
né vers 1695, décédé
le 23 décembre 1762, à Périgneux,
42,
Rhône-Alpes (à l'âge de peut-être 67 ans),
Maître chirurgien à Périgneux, ...
marié le 22 janvier 1725, à
Périgneux, 42, Rhône-Alpes, avec...
263: Marguerite
CHABANES,
baptisée le 30 mai 1701, au bourg, à
Périgneux, 42, Rhône-Alpes
[Note : Son
parrain était prêtre curé de
Saint-Maurice-en-Gourgois], ... dont:
264: Etienne
BESSY,
décédé avant 27 novembre 1755
[Note : BESSY,
architecte; Lyon, XVIIIème
siècle. Rue St-Jean, en 1788. Indicateur des... Personnes de
Qualité de la
Ville de Lyon pour l'année 1788, Lyon, page 19). (source :
Dictionnaire des
Artistes et Ouvriers d'Art du Lyonnais, tome I, page 83).
XVIIème siècle :
Antoine BESSY, marchand libraire et maître relieur (1617-1626)
(source : Les
Relieurs de Livres à Lyon, par Rondot, Paris, page 10).], ...
marié avec...
265: Claudine
BOURDON,
décédée
après 17 novembre 1755, ... dont:
266: Antoine
BERAUD,
Marchand fourbisseur à Valbenoite [Note : D'autres graveurs
stéphanois célèbrent bifurquent
quelques temps de la tradition. Ainsi ..., Marcellin BéRAUD
(1741-1800), attiré
et porté sur la vie publique, qui ceint l'écharpe de
député Rhône-et-Loire, en
1792, mais déçu, revient rapidement à son outil de
prédilection. (source :
Gravure Moderne de Saint-Etienne Capitale de l'Armurerie
Française, par Maurice
FORISSIER, page 26).], ... marié avec...
267: Laurence
SOVICHE,
... dont:
268: Jean-Baptiste
CELLE
DU BY, Seigneur de l'Aulagnier et de Duby près
Riotord ,
décédé avant 18 octobre 1757, Ecuyer [Note : Il se vit accorder un
congé militaire le 8 mai 1720
pour se marier (Source : Armorial Général du Velay, par
Georges PAUL,
Marseille, reprint, 1975, pages 96-97). CELLE du BYE (ou Duby),
lieutenant en 1726;
lieutenant-colonel au régiment Royal-Wallon en 1744. Participa
au siège de Kell
(1733), et fut à Etlingen et Philisbourg (1734), à Prague
et à Dettingen
(1743), à Ypres et Furnes (1744), à Bruxelles et à
Raucoux (1746), après avoir
participé à la célèbre bataille de Fontenoy
(1745), à Lawfeld et Berg-po-Zoom
(1747), à Maestricht (1748). Brigadier des armées du Roi,
d'Infanterie, le 10
mai 1748, et fait chevalier de Saint-Louis, le chevalier du Bye (ou
encore du
By) commanda à Nieuport de 1757 à 1762.
CELLE Jean-Louis-Marie, né au Puy le 12 février 1944. De
la fondation
macrobiotique vellave, il a fondé et dirige le journal "Le
Compas".
(source : Dictionnaire Biographique de la Haute-Loire, par Gaston
JOUBERT,
Yssingeaux, 1982, page 89).], ... marié avec...
269: Magdelene
DENIS
d'ALLEMANCES, décédée
après 18 octobre 1757, ... dont:
270: Joseph
Gabriel
PICHON, Seigneur du Bouchet , né
le 25 mars 1682, décédé
avant 18 octobre 1757,
Avocat en parlement [Note : Qualifié
de noble. La famille PICHON a laissé des traces profondes
à Saint-Didier. Ses
membres ont été notaires, avocats, procureurs, consuls,
vice-gérant de la
baronnie. Gabriel PICHON, fils de Jean, était procureur du Baron
de
Saint-Didier, puissant seigneur, Guillaume de Joyeuse, maréchal
de France. Il
mourut en 1586 (Voir si cette date est juste ou bien si c'est 1686, et
donc une
erreur de saisie), dans les paisibles fonctions de sa charge. Le 12
janvier
1738, vice-gérant, il présidait la réunion
convoquée par le prieur curé De
CLAVIERES, pour s'entendre à l'amiable sur la quantité de
grains que chaque
tenancier était obligé de payer au premier curé,
en raison de son droit de
dîme. La maison des PICHON était à l'angle, sur la
ruelle du faubourg de la
Péchoire, en face de la propriété des Augustines.
Armes : De vair au chef de
gueules chargé d'un lion naissant. (source : D'azur au Lion
d'Argent, par Paul
RONIN, tome III, page 110). En 1771, aurait été brigadier
dans la compagnie de
Beauveau (source : La Famille de SAGNARD de LA FRESSANGE, une famille
noble à
Saint Didier en Velay, par Jérôme SAGNARD, page 14).
testament: 14 avril 1745
Saint-Didier-la-Séauve,43,Haute-Loire,Auvergne,FRANCE,Maître
GUIGONNET, notaire
à Saint-Didier.], ... marié
le 30 janvier 1714, à
Saint-Didier-la-Séauve,
43, Auvergne, avec...
271: Claudine
de SAIGNARD
DAILLIER, née vers 1680,
décédée le 11 juin 1770,
à Saint-Didier-la-Séauve, 43, Auvergne (à
l'âge de peut-être 90 ans)
[Note : Quatrième
enfant du couple, elle fut admise à Saint-Cyr, comme sa
sœur Marie], ... dont:
340: Jacques
COULARD,
né vers 1725, Marchand, ... marié
le 25 juin 1750,
àSaint-Romain-les-Atheux, 42, Rhône-Alpes, avec...
341: Marie
COURBON,
née vers 1726, ... dont:
352: Jean
VINCENT,
décédé avant 3 mars 1767,
marié (2) avec ? ?,
... marié (1) avec...
353: Louise
GIRON,
décédée après 3 mars 1767,
... dont:
... dont
352-(X2):
354: Jean
DECLINE (ou DESCLINE), né
en 1693, décédé
avant 1767, Marchand cloutier à l'Hôpital, ...
marié
le 26 février 1732, à Firminy, 42,
Rhône-Alpes, avec...
355: Claudine
RAVEL,
née le 14 août 1712, à Firminy, 42,
Rhône-Alpes, décédée
le 29 juillet 1765, à Firminy, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de 52
ans), originaire de Mallefollies, ... dont:
372: Mathieu
TIVILLIER,
né le 12 mai 1712, à Jonzieux, 42,
Rhône-Alpes, décédé
le 30 mai 1768, à Jonzieux, 42, Rhône-Alpes
(à l'âge de 56 ans),
... marié le 4 février 1738, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42,
Rhône-Alpes, avec...
373: Louise
DUMAS,
née le 27 septembre 1708, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42,
Rhône-Alpes, ... dont:
526: Anthoyne
CHABANES,
décédé avant 16 août 1723,
Bourgeois [Note : CHABANNES,
à Périgneux, XVIIe
siècle : D'azur à trois tours crénelées
d'argent, maçonnées de sable,
terrassées de sinople, celle du milieu ajourée d'une
porte & sommée d'une
autre tour aussi d'argent, toute trois pavillonnées &
sommées chacune d'une
croix d'argent (A G) ( source : Armorial Général du
Forez, par Louis-Pierre
GRAS, Lyon, 1874, page 55).], ... marié
le 16 avril 1697, à
Périgneux, 42, Rhône-Alpes, avec...
527: Catherine
MAY [Note : Sur son acte de
Mariage, elle
est dite "de la ville de Montbrison, demeurant à présent
chez son frère,
curé dudit lieu" (de Périgneux)], ...
dont:
536: Etienne
Jean CELLE
DU BY, Seigneur du By , baptisé
le 23 août 1654, à Saint-Sauveur-en-Rue,
42, Rhône-Alpes, décédé
le 20 novembre 1709, à Riotord, 43, Auvergne
(à l'âge de
peut-être 55 ans), Marchand, écuyer, bourgeois,
héraut d'armes de France
[Note : Succède
à
son père dans sa charge. Est confirmé en anoblissement le
21 novembre 1708.
Cette famille, originaire du Forez, possédait les fiefs de Duby
ou de By,
L'Aulagnier à Riotord. Armes : D'azur au chevron d'or,
accompagné en chef de
deux étoiles d'argent et en pointe d'un dauphin renversé
et contourné du même
(règlement d'armoiries du 19 avril 1701). Alias : D'argent au
croissant comêté
de gueules au chef d'azur chargé de trois étoiles d'or
(STEYERT, GRAS). Alias :
Ecartelé d'azur, alias de sable à l'aigle
éployée d'or, et d'azur au sautoir
d'or, et sur le tout : d'argent au croissant, etc... (ASSIER de
VALECHES,
JOUVENCEL). Il y aurait (selon Jérôme REYNAUD,
confirmé par Jean TRICOU), aux
Archives municipales de Lyon (série BB 442, f° 45), un
document indiquant que
Jean Etienne et son père gardaient les portes de Lyon,
daté du 14 décembre
1673, et un autre document (série BB 452, f° 1) concernant
André CELLE. (cf :
Armorial et Répertoire Lyonnais, par Jean TRICOU, tome V, pages
21-22). CELLE
de DUBY, seigneurs de Duby et de l'Aulagnier près Riotord
(Velay). Famille de
Marlhes en Forez. Anoblie en 1701 en la personne de Jean CELLE,
bourgeois de la
ville de Lyon, héraut d'armes de la province de Dauphiné
par acquisition du 11
mai 1674. Son fils Etienne-Jean CELLE qui lui succéda dans cette
charge, obtint
confirmation dudit anoblissement le 21 novembre 1708... D'autres
membres de
cette famille se sont signalés dans les rangs des catholiques
pendant les
guerres de la Ligue. Plusieurs officier dont deux au régiment de
Lautrec-Dragons, tués à l'ennemi au début du
XVIIIème siècle; un Garde du corps
du Roi (1784); un lieutenant de louveterie à
Saint-Didier-la-Séauve (1807).
Existante à Paris. Armes : D'azur, au croissant d'argent
soutenant un cœur de
même enflammé de gueules; au chef d'argent chargé
de trois étoiles d'azur. Les
armes indiquées à la fin de cette notice sont celles
portées par la branche de
Saint-Didier-la-Séauve. On trouve aussi : d'argent, au croissant
comêté de
gueules, à un chef d'azur chargé de trois étoiles
d'or (D'ASSIER de VALENCHES).
Alias : D'azur, au chevron d'or accompagné en chef de deux
étoiles d'argent et
en pointe d'un dauphin renversé et contourné de
même (Lettres de noblesse du 19
avril 1701). Cette famille, convoquée en 1789 à
l'Assemblée de la noblesse du
Forez, compte en outre plusieurs officiers, chevaliers de Saint-Louis.
(cf :
Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, pages 96-97
et 503). Seigneurs du
By, Grangeneuve, etc. (Forez), Ollanières (Ollagnier,
Aulanières paroisse de
Riotord), etc. (Velay. Armes : d'azur, au chevron d'or,
accompagné en chef de
deux étoiles d'argent et en pointe d'un dauphin renversé
et contourné de même
lettres de Noblesse du 19 avril 1701). Alias : d'azur, à un
cœur d'argent,
soutenu d'un croissant de même; au chef de même,
chargé de trois étoiles
d'azur. Alias : écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à
l'aigle éployée d'or (alias :
de sable); aux 2 et 3, d'azur, au sautoir d'or; sur le tout : d'argent,
au
croissant comêté de gueules; au chef d'azur, chargé
de trois étoiles d'or
(D'ASSIER de VALENCHES). D'ASSIER de VALENCHES mentionnant en 1860,
cette
maison, encore représentée à Paris,
écrivait : "M. CELLES, des seigneurs
du by et de l'Ollagnier, étaient, depuis longtemps, en
possession de la charge
de héraut d'armes, lorsque des lettres de noblesse de 1631
reconnurent leurs services
remontant à l'époque des guerres de Religion; deux
capitaines tués dans celle
de la Succession, un officier-général tiré de la
Maison du Roi, décoré jeune
pour sa belle conduite aux batailles de Fontenoy et de Rocoux; enfin
les
services de son successeur, aussi garde du corps, et chevalier de
Saint-Louis
sous la Restauration, sont les reliefs de cette honorable famille
encore
aujourd'hui attachée à l'armée par deux fils, l'un
dans la cavalerie, l'autre
jeune officier dans l'un de nos bataillons d'élite de chasseurs
à pied; le
troisième, l'aîné, est resté le coadjuteur
de son père". D'autre part,
cette famille serait originaire de Marlhe, et aurait été
anoblie en la personne
de Jean CELLE, qui bourgeois de la ville de Lyon, avait acquis, le 11
mai 1674,
la charge de héraut d'armes de la province de Dauphiné.
Noble Jean CELLE, sgr
de Grangeneuve, du lieu de Malle-Counière (par. de Marlhe),
habitait en 1712,
la paroisse de Saint-Front. Le 4 juin 1726, il épousa
Marie-Thérèse de BANNE de
BOISSY, fille de Louis, sgr de BOISSY, et de Suzanne BAUD de MARCOUX.
N. CELLE
DU BY, convoqué à l'assemblée de la Noblesse de la
Sénéchaussée du Puy en 1789,
avait épousé N. du FORNEL, de
Saint-Didier-la-Séauve. (source : Nobiliaire du
Velay et de l'Ancien Diocèse du Puy, par Gaston de JOURDA de
VAUX, tome I,
pages 205-206). Messire Nicolas Martigniat, seigneur du Bouchet,
écuyer, héraut
d'armes de France du titre de Dauphiné, charge acquise de Jean
CELLE, demeurant
à Dubie, paroisse de Riotord, qui l'avait lui-même acquise
de François LENOIR,
le 4 juin 1674. (source : Les Châteaux historiques du Forez, par
Emile SALOMON,
volume 2).], ... marié vers 1680 avec...
537: Marie
REDON,
décédée le 25 mai 1716, à
Riotord, 43, Auvergne, inhumée
le 27 mai 1716, Riotord, 43, Auvergne, ... dont:
538: Jean
DENIS,
Seigneur d'Allemances , Allemancetttes, Blanzac, La Salce,
né
le 25 mars 1636, décédé
en 1705 (à l'âge de 69 ans),
Ecuyer, docteur en droit et avocat, conseiller du Roi et sous-doyen
magistrat
au sénéchal et siège présidial du Puy
[Note : Fut
élu 1er consul du Puy en 1671,
conseiller du Roi en la sénéchaussée du Puy
(1692). Armes : D'azur à un chevron
d'or accompagné en pointe d'une merlette d'argent becquée
d'or, et une étoile
d'or, armées de flèches d'or de même, posée
au franc-canton (Armorial Général
de France, par Ch. d'HOZIER). Le Fief d'Allemance, est situé
à Félines, en
Haute-Loire. Guillaume d'ALLEMANCES, chevalier, seigneur dudit lieu,
fut témoin
d'une donation faite au sacristain-mage de La Chaise-Dieu, le 10
septembre 1275
(CHASSAING, Spic. Briv., p 144). Voir aussi Archives de la Haute-Loire,
série
E, et minutes ROCHE, notaire 1690-91 fol 33 (cf Dictionnaire des fiefs
de la
Basse-Auvergne, par Albert de REMACLE, tome II, pages 944-945). DENIS
d'ALLEMANCE : Velay. Ecuyer, seigneur de Clérac, Salseblansac.
Baron du Besset,
Pompeyrant. Lettres de relief de dérogeance en 1713. Chevalier
de Saint-Lazare
en 1730. Page de la duchesse de Bourgogne. d'Azur au chevron d'or
accompagné en
pointe d'une merlette d'argent becquée d'or et à l'angle
dextre du chef d'une
étoile rayonnante de mesme (source : Grand Armorial de France,
par Henri JOUGLA
de MORENAS, tome VII, page 212).], ... marié
le 15 décembre 1663
avec...
539: Jeanne
d'AURIER
d'OLLIAS, ...
dont:
540: Jean
PICHON,
décédé avant 30 janvier 1714,
Bourgeois, avocat et docteur en
droit [Note : Premier
consul de Saint-Didier, le 1er mai 1682 et le 12 juin 1716, il prend
part à
toutes les délibérations au sujet de l'Hôtel-Dieu.
PICHON : Lettres patentes
portant anoblissement de Robert PICHON, de Bordeaux, en 1590 (source :
Dictionnaire des Anoblis). Une transaction intervint en 1486, le 11
septembre,
entre le seigneur de Joyeuse et Etienne PICHON touchant la
métairie du Mas,
près Saint-Didier (cf Jean PIQUET, Manuscrit, folio 220 et Fonds
Chaleyer l.
1278, n° 4) (source : D'azur au Lion d'Argent, par Paul Ronin, tome
I, page
195).], ... marié avec...
541: Marie
Ou Marthe
RONAT [Note : Famille
RONAT de VILLE : On ne possède pas de renseignements bien
précis sur les
origines de cette famille, sinon quelques acte trouvés dans les
registres
paroissiaux. Désiré-Marcellin RONAT, consul à
Saint-Didier, fut désigné aux Etats
du velay, le 22 février 1644 (ARNAUD : Histoire du Velay, t II,
p 175). Un
Ronat, notaire, est l'auteur d'un terrier de Cornillon, en 1538 (SONYER
du LAC
: OP cité, p 66). Christophe de RONAT de VILLE, fils du
précédent, sans doute,
épousa en 1678 (le 16 octobre 1678), Marie de VERON (1657-1719),
fille de Jean
de VERON, écuyer, seigneur de Montroyat, capitaine
châtelain de Saint-Didier et
de Catherine PIQUET du COIN. Les armoiries de la maison étaient
: d'azur à un
rocher d'argent surmonté en chef d'une étoile d'or
à droite et d'un croissant
d'argent à gauche (Armorial Général de France,
cote 139, f° 360 ets. somme
re.). (source : D'azur au Lion d'Argent, par Paul RONIN, tome III,
pages
188-119). De RONAT ou RONNAT. -- Noblesse inscrite à l'Armorial
manuscrit de
1450. Pierre RONAT, chevalier, est cité dans un accord de 1307.
Trois
chanoines-comtes de Brioude (1334-1411). Eteinte. Armes :
Ecartelé : aux 1 et 4
fascé d'argent et d'azur de six pièces; aux 2 et "
d'argent, au lion de
gueules. Cri : Rochebrune ! RNOAT (Jean) fit inscrire en 1696 ses
armoiries
dans d'HOZIER. Il portait : D'azur, à un rocher d'argent,
surmonté en chef
d'une étoile d'or à dextre et d'un croissant d'argent
à senestre. (Armorial
Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints,
1975, page 401).], ...
dont:
542: Gabriel
ALLIER de
SAIGNARD, Seigneur de La Fressange , né
vers 1627,
décédé le 5 août 1702,
à Saint-Didier-la-Séauve, 43, Auvergne (à
l'âge de peut-être 75 ans), Ecuyer [Note : Maintenu le 20
décembre 1668, inscrit dans d'HOZIER
et auteur des marquis de La Fressange, existants. (Armorial
Général du Velay,
par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 409). Maintenu dans sa
noblesse par jugement souverain du 20 décembre 1668, c'est
probablement lui qui
acquit la terre de La Fressange de la maison de NéRESTANG
(L'Assemblée de la
Noblesse du Bailliage de Forez en 1789, par Henri de JOUVENCEL, page
557).
Seigneur de la Fressange dès 1670 au moins, il vivait avec son
épouse en 1689
(source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien Diocèse du Puy, par
Gaston de
JOURDA de VAUX, tome VI, page 118). Il fut maintenu, avec son
père, le 20
décembre 1668. Cette branche aînée s'est
continuée jusqu'à nos jours. Elle est
représentée, en 1818, par M. de SAIGNARD de LA FRESSANGE,
baron de Queyrières,
aide-major, chef d'escadron des grenadiers de la Roche-Jacquelein
(source :
Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XIII,
page
402). Maintenu dans sa noblesse, le 20 décembre 1668,
conjointement avec son père,
ainsi que nobles Jean-Baptiste de SAIGNARD, seigneur de Glavenas,
César de
SAIGNARD, seigneur du Vernet, et Christophe de SAIGNARD, son
frère; fut
institué légataire de son père, les 5 et 6
septembre 1677, indépendamment des
donations avantageuses qu'il en avait reçues lors de son
mariage; transigea
avec son père et Antoine de SAIGNARD, seigneur de la Rivoire,
son frère,
touchant leurs droits successifs; passa une transaction, le 20 janvier
1686;
fit une donation à son fils aîné, Jean ALLIER de
SAIGNARD, le 20 avril 1694,
ratifiée par acte du 26 août 1699 (source : Nobiliaire
Universel de France, par
Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, page 216). ALLIER : Lettres patentes
portant
érection de la terre et seigneurie de Nointel en marquisat en
faveur d'Edouard
ALLIER, seigneur de Nointel. Données à Paris, septembre
1654; enregistrées au
Parlement de Paris le 3 septembre 1701 (source : Dictionnaire des
Anoblis, page
5). D'azur à un aigle éployé d'argent. La branche
de la Fressange porte les
armoiries des ALLIER de LA FRESSANGE (Armorial Général de
France dressé par Ch.
d'HOZIER, généralité de Montpellier, publié
par Louis d'IZARNY-GARGAS, Paris
1989, pages 321 et 327). SANHARD de LA FRESSANGE : Ecartelé : 1
et 4 d'azur au
sautoir d'or; 2 et 3 d'azur à l'aigle éployée
d'argent : Velay et Vivarais;
anobli en 1439; branche de Choumouroux éteinte (source Catalogue
de la Noblesse
Française, par Régis VALETTE et Robert LAFFONT, Paris,
page 175). Fit une
donation en date du 20 avril 1694 au profit de son fils
aîné Jean, donation
ratifiée par acte du 26 août 1699.], ... marié par
contrat
le 5 octobre 1666, à Montfaucon-en-Velay, 43,
Auvergne, devant
Maître GUERIN, notaire royal au siège de Montfaucon en
Velay, avec...
543: Marguerite
de
NAVETTE de PIROLLES, Seigneur de Pirolles [Note : Originaire de
Montbrison], ...
dont:
680: Antoine
COLLARD, ...
marié
le 8 février 1724, à
Saint-Romain-les-Atheux, 42, Rhône-Alpes,
avec...
681: Catherine
CLERMONDON, ...
dont:
682: Jacques
COURBON,
baptisé le 25 décembre 1686, à
Marlhes, 42, Rhône-Alpes, décédé
après 1752 [Note : Son
parrain fut Jean CELLE du Bic, paroisse de Riotord, et sa marraine
Marie GOYET,
du Goyet, paroisse de Jonzieux], ... marié
le 22 février 1724, à
Saint-Romain-les-Atheux, 42, Rhône-Alpes, avec...
683: Anne-Marie
GEZIN,
décédée après 1752, ... dont:
704: Claude
VINCENT,
décédé
après 3 août 1734, Laboureur, ...
marié avec...
705: Marie
ODOUARD (ou OUDOUART),
décédée
avant 3 août 1734, ... dont:
708: Jean
DECLINE (ou DESCLINES),
décédé
avant 26 février 1732, ... marié
le 15 février 1689,
à Saint-Victor-sur-Loire, 42, Rhône-Alpes, avec...
709: Jeanne
DUPUY,
décédée le 22 mars 1735, à
Firminy, 42, Rhône-Alpes, ... dont:
746: Claude
DUMAS,
baptisé le 31 mars 1672, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42,
Rhône-Alpes, décédé le 17 juillet 1732,
à Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes
(à l'âge de peut-être 60 ans) [Note :
Son parrain fut Claude DUMAS, et sa marraine Marie
REBOUD], ...
marié le 8 octobre 1704, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42,
Rhône-Alpes, avec...
747: Louise
SOUVIGNET,
née le 2 avril 1674, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes,
décédée après 1735, ... dont:
1 052: N...
CHABANES, ...
marié avec...
1 053: ?
?, ...
dont:
1 072: Jean
CELLE DU BY, Seigneur de La Frachette du By,
baptisé
le 30 mars 1625, à Marlhes, 42,
Rhône-Alpes, décédé
le 27 août 1707 (opu le 22 selon les sources), au
Bic à Riotord,
43, Auvergne (à l'âge de peut-être 82 ans),
inhumé à Marlhes, 42,
Rhône-Alpes, Bourgeois de la ville de Lyon, Héraut d'armes
de la province de
Dauphiné [Note :
Ou
baptisé en janvier, selon les souces. Son parrain fut Jean
BAYLE, notaire
royal, et sa marraine Marie MATHEVET, de La Ravarine. Il devient
héraut d'armes
par achat de charge le 11 mai 1674. Est anobli en 1701. "MM. CELLE,
seigneurs du By et de l'Ollagnier, étoient, depuis longtemps, en
possession de
la charge de héraut-d'armes, lorsque des lettres de noblesse de
1631
reconnurent leurs services remontant à l'époque des
guerres de Religion; deux
capitaines tués dans celle de la sucession, un
officier-général tiré de la
maison du roi, décoré jeune pour sa belle conduite aux
batailles de Fontenoy,
et de Raucoux; enfin, les services de son sucesseur, aussi
garde-du-corps et
chevaler de St-Louis sous la Restauration, sont les reliefs de cette
honorable
famille encore aujourd'hui attachée à l'armée par
deux fils, l'un dans la
cavalerie, l'autre jeune officier dans nos bataillons d'élite de
chasseurs à
pied; le troisième, l'aîné, est resté
coadjuteur de son père" (Source :
L'Assemblée Bailliagère de la Province de Forez en 1789,
par Mr d'ASSIER de
VALENCHES, Lyon, 1860, page 39). "Messire Nicolas de MARTIGNIAT,
seigneur
du Bouchet, écuyer, héraut d'armes de France du titre de
dauphiné, charge
acquise de Jean CELLE, demeurant à Dubie, paroisse de Riotord,
qui l'avait
lui-même acquise de françois LENOIR, le 4 juin 1674."
(Source : Les
Châteaux Historiques du Forez, par Emile SALOMON, tome II,
Henebont, page 38
article Le Bouchet). Selon M. d'ASSIER de VALENCHES, les CELLE,
seigneurs du By
et de l'Ollagnier, paroisse de Riotord, étaient héraut
d'armes de France avant
1631, date de leurs Lettres d'anoblissement (non retrouvées)
pour leurs
services dans les guerres de religion. Par contre, sont
conservées au Cabinet
des titres, les Lettres Patentes de noblesse, données à
Versailles en avril
1701, en faveur de Jean CELLE, héraut d'arme de France du titre
de Dauphiné
depuis le 4 juin 1674. Ledit Jean CELLE était du nombre des 500
anoblis créés
par l'édit du mois de mars 1696 et c'ést lui qui obtint
le règlement d'armoirie
du 19 avril 1701. Monsieur CELLE du BY, écuyer, seigneur de
l'Ollagnier,
comparant (remplacé par Monsieur de la TOUR VARAN) en Forez en
1789 avait
épousé N... du FORNEL, de Saint-Didier, soeur de Madame
SONYER de DUBAC (Source
: L'Assemblée de la Noblesse du Bailliage de Forez en 1789, par
Henri de
JOUVENCEL, Lyon, 1911, page 129). La famille CELLE du BY est
anciennement
connue en Forez. Jean CELLE, qui obtint les lettres de noblesse de 1701
demeurait Lyon. Cette famille était représentée
sous NAPOLEON III par deux
jeunes officiers (Source : Dictionnaire des Familles Françaises
Anciennes ou Notables
à la Fin du XIXème Siècle, par Gustave
CHAIX-d'EST-ANGE, tome V, Paris, 1983,
pages 124-125). Famille de Marlhes en Forez. Anoblie en 1701, en la
personne de
Jean CELLE, bourgeois de la ville de Lyon, héraut d'armes de la
province de
Dauphiné par acquisition du 11 mai 1674. D'autres membres de
cette famille se
sont signalés pendant les guerres de la Ligue. Plusieurs
officiers dont deux au
régiment de Lautrec-Dragons, furent tués à
l'ennemi au début du XVIIIème
siècle, un garde du corps du roi (1784), un lieutenant de
louveterie à
Saint-Didier-la-Séauve (1807). Cette famille existe à
Paris (Source : Armorial
Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille, reprint,
1975, pages 96-97).
Seigneurs du By, Grangeneuve, Ollanières. Cette famille est
représentée à paris
en 1860, selon d'ASSIER de VALENCHES. Noble Jean CELLE, seigneur de
Grangeneuve, du lieu de Malle-Counière (paroisse de Marlhe),
habitait en 1712,
la paroisse de Saint-Front. Le 4 juin 1726, il épousa
Marie-Thérèse de BANNE de
BOISSY, fille de Louis, seigneur de Boissy, et de Suzanne de BAUD de
MARCOUX
(Source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien Diocèse du Puy, par
le vicomte
Gaston de JOURDA de VAUX, tome I, Le Puy, 1924, pages 205-206). CELLE
du BYE
(ou Duby) : Lieutenant en 1726, lieutenant-colonel au régiment
Royal-Wallon en
1744. Participa au siège de Kell (1733), et fut à
Etlingen et Philisbourg
(1734), à Prague et à Dettingen (1743), à Ypres et
Furnes (1744), à Bruxelles
et à Raucoux (1746), après avoir participé
à la célèbre bataille de Fontenoy
(1745), à Lawfeld et Berg-op-Zoom (1747), à Maestricht
(1748). Brigadier des
armées du roi, d'infanterie, le 10 mai 1748, et fait chevalier
de Saint-Louis,
le chvalier du Bye (ou encore de By) commanda à Nieuport de 1757
à 1762 (Source
: Dictionnaire Biographique de la haute-Loire, par Gaston JOUBERT,
Yssingeaux,
1982, page 89). Armes : Ecartelé aux un et quatre d'azur,
à l'aigle éployée
d'or. (alias), de sable; aux deux et trois d'azur au sautoir d'or; sur
le tout
d'argent au croissant cometé de gueules, au chef d'azur
chargé de trois étoiles
d'or (l'Assemblâee Bailliagère de la Province de Forez en
1789, Par d'ASSIER de
VALENCHES). D'argent à un croissant cometé de gueules, au
chef d'azur chargé de
trois étoiles d'or (Grand Armorial de France, par Henri JOUGLA
de MORENAS).
D'azur, au croissant d'argent soutenant un coeur de même
enflammé de gueules;
au chef d'argent chargé de trois étoiles d'azur (Armorial
Général du Velay, par
Georges PAUL). D'Azur au chevron d'or accompagné en chef de deux
étoiles
d'argent et en pointe d'un dauphin renversé et contourné
du mesme (Règlement
d'armoirie du 19 avril 1701). De La Frachette / du Bic. Serait
décédé au Bic et
inhumé à Marlhes. (voir fichier Famille CELLE de
DUBY.doc). S'installe à La
Frachette, puis à Riotord, puis au Bic (voir fichier ascendance
d'Alain
PICAUD).], ... marié le 9 juillet 1641,
Marlhes,42,Loire,Rhône-Alpes,FRANCE,, avec...
1 073: Marguerite
DAVIER (ou DAVID), née
vers 1626, au Chambon,
42, Rhône-Alpes, décédée
le 2 juin 1681, à Marlhes, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de peut-être 55 ans)
[Note : née
après 1628, selon certaines
sources], ... dont:
1 076: Isaac
DENIS, Seigneur de La Salce Blanzac et autres lieux,
décédé
après 29 septembre 1637, Ecuyer, conseiller du
Roi, receveur des
tailles du diocèse du Puy, premier consul du Puy [Note : Premier consul du Puy
en 1633.
Testament : 29 septembre 1637.], ... marié
le 21 avril 1622
avec...
1 077: Marie
GÉRENTÈS, décédée
avant 1654, ... dont:
1 078: Pierre
d'AURIER, Seigneur de Piessac et d'Ollias ,
décédé
le 6 septembre 1725, Notaire à Craponne
[Note : Notaire
en 1679, seigneur de
Piessac de 1679 à 1713. Il acquit, en 1688, de la famille GALLET
la seigneurie
de Piessac dont sa descendance a gardé le nom (source :
Dictionnaire des
Familles Françaises ou Notables à la fin du XIXe
siècle, par Gustave
CHAIX-d'EST-ANGE, tome XIII, page 137).
AURIER, alias d'AURIER : Seigneurs de Piessac, d'Ollias, du Fayet, de
Villedieu, de La Boriasse, de Maisonseule, de La Monatte, etc...
(Velay). Haute
bourgeoisie de Craponne, vivant noblement. Pierre AURIER, natif de
cette ville,
était notaire au Puy en 1424; André AURIER,
licencié ès lois, juge de la vicomté
de Polignac (1448); Jean, procureur, et Antoine AURIER, notaire au Puy
en 1547;
Claude et Bernard (1578); André AURIER, consul de Craponne
(1594). Filiation
suivie depuis Pons AURIER (1614), marié à Benoîte
ROQUEYROL. Des chanoines de
Notre-Dame du Puy dès le XVème siècle; de nombreux
notaires; un célèbre avocat
à Toulouse; des premiers consuls à Craponne; divers
officiers, chevaliers de
Saint-Louis, dont Jacques Philippe AURIER, sieur de Maisonseule,
capitaine au
régiment d'Auvergne, blessé à Clostercamp (1760),
et Pierre Camille d'AURIER de
PIESSAC, chef d'escadrons des lanciers de la Garde, officier de la
Légion
d'honneur (1786-1866); un capitaine en premier de la Garde Nationale
(1790); un
maréchal-major dans les Gardes du rps du Roi d'Espagne
décédé en 1758.
Deux branches principales : Les seigneurs de Piessac, les Seigneurs
d'Ollias
convoquée en 1789 à l'Assemblée de la
sénéchaussée du Puy. Armes : D'azur, au
chevron d'or, accompagné de trois besants de même; au chef
d'argent chargé de
deux branches de laurier de sinople, posées en sautoir. Alias :
D'azur, au
chevron d'or, accompagné de trois besants de même; au chef
cousu de gueules,
soutenu d'une devise d'or et chargé d'un laurier d'argent,
posé en fasce.
Supports : deux lévriers contournés d'argent, l'un assis,
l'autre grimpant. (cf
: Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, page 25).
Acheta le fief de Piessac en 1690 à Jacques de LA CHASSAIGNE,
chevalier,
seigneur de Sereys, Chomelix-le-Bas, Piessac, Villedieu,
Crénilhac, etc...
(source : Dictionnaire Généalogique des Familles
d'Auvergne, par le comte
Albert de REMACLE, tome II, page 273). Seigneurs de Piessac, le Fayet
(Faÿt,
Fey, Faÿ), Ollias, la Boriasse, la Monatte, Maisonseule,
Villedieu, Ancette,
etc. (Velay). Armes : d'azur, au chevron d'or, accompagné de
trois besants de
même, 2 en chef et 1en pointe; au chef d'argent, chargé de
deux branches de
laurier de sinople, passées en sautoir. Alias : d'azur, au
chevron d'or,
accompagné de trois besants de même, 2 en chef et 1 en
pointe; au chef cousu
d'azur, soutenu d'une devise d'or, et chargé dune branche de
laurier d'argent,
mise en fasce. Cette famille a donné deux chanoines de N. D. du
Puy : François
AURIER (1467-1484) et André AURIER (1470); trois consuls du Puy
: Antoine
DAURIER, notaire (1670), et Jean-Laurent DAURIER, bourgeois (1675); un
"escuyer du Roy" : Antoine DAURIER, dit DAURIER du FAÿT, sgr
d'Ollias
(1773). Cette maison a formé deux branches principales : celles
des seigneurs
de Piessac et celle des seigneurs d'Ollias. (source : Nobiliaire du
Velay et de
l'Ancien Diocèse du Puy, par Gaston de JOURDA de VAUX, tome I,
page 69).], ...
marié avec...
1 079: Marie
BARJON (ou BARIER, ou BAYON), ... dont:
1 084: Jean
de SAIGNARD, Seigneur des Préaux ,
Montméat, Poinsac, La Fressange,
décédé avant 1682, Ecuyer, bailli
d'Yssingeaux [Note : Premier
enfant du couple. Est
l'auteur de la branche des seigneurs de La Fressange, titre que lui
apporta son
épouse. Il hommagea le fief domanial de La Fressange, le 7
septembre 1670, avec
sa femme et son fils, à Charles Achille marquis de NERESTANG,
baron de
Saint-Didier. Il fut maintenu dans sa noblesse, par jugement souverain
du 20 décembre
1668. Habitant Maumeyres (D. de vienne). Armes : écartelé
: aux 1 et 4, d'azur,
au sautoir d'or (qui est SAIGNARD); aux 2 et 3, d'azur à l'aigle
essorante
d'argent (qui est ALLIER de LA FRESSANGE). Il est à noter,
qu'à partir du VIIe
degré de la généalogie de cette branche et
d'autres encore par la suite, sont
appelés couramment ALLIER de SAIGNARD, du nom de leur
grand'mère, dont ils
avaient relevé le nom. A Monistrol, on écrit SAIGNARD;
à Saint-Didier, on
trouve généralement, SAIGNARD, rarement SAGNARD, jamais
SANHARD.Des membres de
cette branche ou de ceux ayant contracté alliance avec elle,
nous n'avons pu
identifier : Charlotte ALLIER de SAIGNARD de LAFRESSANGE, qui fut
marraine, le
29 juin 1690, de Jean PEYRARD, alors que le parrain se trouvait
être
André-Dominique d'APCHON, et qui mourut, le 23 nov. 1699,
âgée de 28 ans; --
dame Louise de BOURDON qui, femme de noble "ALLIER" de LAFRESSANGE,
fut inhumé dans l'église paroissiale de Saint-Didier, le
20 janv. 1701, âgée de
60 ans; -- noble François "ALLIER" de LA RIVOIRE, qui fut
parrain, le
7 déc. 1705, de Marie-Anne COZON de ROCHEFAYE, fille de noble
François et
d'anne BENEYTON; -- Louise "SAIGNARD" de SAINT-DIDIER,
décédée, le 9
novembre 1759, âgée de 34 ans; -- Marie ALLIER de SAIGNARD
de SAINT-POL, de
Saint-Didier, qui fut marraine, le 2 nov. 1704, de Jean-Joseph de
SAIGNARD,
fils de Jean et de Jeanne "de LAFAYETTE"; -- Jean-Gaspard Alexis de
SAIGNARD, sgr de Montméat, parrain, le 7 mars 1754, de sa
cousine
Madeleine-Rosalie de SAIGNARD de LAFRESSANGE; -- Louise de SAIGNARD,
qui mourut
en novembre 1735, laissant de son mariage avec Marcellin de BEGET de
FLACHAT,
un fils, Marcellin, baptisé en octobre 1655, ayant pour
marraine, Clauda de
SANIARD; -- Marie de SANIARD, qui fut marraine, en 1648, d'Amable de
FAY de
PAULIN. (source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien Diocèse du
Puy, par Gaston
de JOURDA de VAUX, tome VI, page 117). Fut légataire de son
père, par son
testament du 20 janvier 1641. Il fait son testament ou codicille les 5
et 6
septembre 1677, par lequel il institue son héritier universel,
Jacques de
SAIGNARD, son troisième fils, et fait des legs à ses
autres enfants, et
transigea avec Antoine de SAIGNARD, seigneur de la Rivoire et Gabriel
ALLIER de
SAIGNARD, seigneur de La Fressange, ses fils, à l'effet de
terminer les
différends, au sujet des donations qu'il leur avait faites, tant
de ses biens
que de ceux de défunte demoiselle Claudine ALLIER, leur
mère (source :
Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV,
pages 215-216).
Second fils de César de SAIGNARD et de Clauda de LANGON. Il
hommagea la terre
de La Fressange, que lui apporta sa femme, conjointement avec elle et
leur
fils, le 7 septembre 1670 à Charles Achille, marquis de
NéRESTANG, baron de
Saint-Didier. Le nom d'ALLIER a été rajouté dans
un acte royal par Louis XIII,
selon les archives familiales. La famille de LA FRESSANGE est connue
dans le
Velay depuis 1300. Plusieurs de ses membres ont été au
service des Rois de
Jérusalem de la Maison de LUSIGNAN. Jean est maintenu dans sa
noblesse par
jugement du 20 décembre 1668. En 1623, une investiture, par
messire Just de
SERRES, évêque du Puy, est donnée à noble
Jean de SAIGNARD, sieur de Montméa,
du domaine et rentes du village de Chazeaux, paroisse d'Yssingeaux,
portant
hommage en fief franc, pour le prix de 5 000 Livres. Il acquiert en
1627 de
l'évêque du Puy, la justice moyenne et basse sur les
villages de Chazeaux et de
La Besse, paroisses d'Yssingeaux. Par son testament, il institue son
troisième
fils Jacques pour son héritier universel et fait des legs
à ses autres enfants.
Il transige avec ses deux premiers fils, Antoine et Gabriel, pour
terminer les
différends au sujet des donations qu'il leur a fait, tant de ses
biens que ceux
de sa femme. (source : La Famille de SAGNARD de LA FRESSANGE, une
famille noble
à Saint-Didier-en-Velay, par Jérôme SAGNARD, pages
7-8). Testament : 5
septembre 1677 Ou 10 octobre, selon les sources. Par cet acte, il
institue
Jacques, son troisième fils, pour son héritier universel,
faisant des legs à
ses autres enfants.], ... marié par contrat le 25 octobre 1627,
à La Fressange,
à Saint-Didier-en-Velay, 43, Auvergne, devant André
CHOMEL, notaire royal à
Saint-Didier, avec...
1 085: Claudine
ALLIER de LA FRESSANGE, Dame de La Fressange ,
décédée
avant 6 septembre 1667 [Note : La Fressange, en la
paroisse de
Saint-Didier, au diocèse du Puy. La famille de LA FRESSANGE
était connue dans
le Velay depuis 1300, et plusieurs de ses membres avaient
été au service des
rois de Jérusalem de la maison de LUSIGNAN. Les LA FRESSANGE se
sont fondus
dans la maison de SAIGNARD. (source : Nobiliaire Universel de France,
par
Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, pages 215-216). Dernière
représentante de sa
famille et héritière de tous les biens de son
père. Armes : D'azur à l'aigle
éployée d'argent.], ... dont:
1 086: Jean
de NAVETTE, décédé
avant 5 octobre 1666, Ecuyer
[Note : Armes
(NAVETTE des Oliers) : D'azur à un soleil d'or, mouvant du
canton dextre du
chef, et une ancre d'argent posée au canton senestre de la
pointe (Armorial
RIETSTAP). Famille comparaissant à Riom en 1789. De NAVETTE,
seigneurs de Chassignoles,
près d'Auzon; d'Olliers. Noblesse connue dès 1684.
Services militaires.
Convoquée en 1789 à l'Assemblée de la noblesse,
à Riom (source : Dictionnaire
des Anciennes Familles de l'Auvergne, par Ambroise TARDIEU, tome III,
page
,265). Tableau des noms et des blasons de la noblesse du Lyonnais, du
Forez et
du Beaujolais en 1669, d'après l'Armorial de Claudine BRUNAND :
NAVETTE (Louis
et Aymard), seigneurs, le père de la Dorellure, et Aymard,
seigneur des
Ollières. Armes : D'azur, au soleil d'or mis au franc-canton, et
au senestre de
la pointe une ancre mise en pal d'argent. (source : Le Livre d'Or du
Lyonnais,
du Forez et du Beaujolais, page 154).
De NAVETTE, sgrs de Chassignoles près Auzon, des Ollières
paroisse de Beauzac,
de La Dorlière (Auvergne-Velay), de La Guillanche, de La Goutte,
de Piroles,
etc. (Forez). Christophe de NAVETTE, époux de Juste de
SAINT-PAUL et Jean de
NAVETTE, sgrs de La Goutte et de Piroles (Forez), obtinrent le 5
octobre 1643
des lettres de réhabilitation de noblesse. Branches en Velay
(possessionnée à
Yssingeaux) et en Lyonnais (1674). Noble Aymard de NAVETTE, sgr de La
Dorlière
et des Ollières, vend une rente noble levable au mandement de
Mézères, en 1667.
Il avait acquis en 1675, la terre et haute justice de Chassignoles du
marquis
de CLERMONT de CHASTE et se trouve qualifié écuyer, sgr
des Ollières et de
Chassignoles en 1684. La branche des seigneurs de Chassognoles en
Auvergne a
donné : un capitaine au régiment de Beauvoisis, chevalier
de Saint-Louis, qui
assista à l'assemblée de la noblesse de Riom en 1789,
signa l'acte de coalition
et servit à l'armée de CONDé. Son fils,
possessionné à Brioude, est porté sur
la liste des émigrés de la Haute-Loire. Convoqués
au ban de la noblesse
d'Auvergne (1675). Une admission au chapitre noble de Blesle avant
1787. Armes
: d'azur, au soleil d'or, mouvant du franc-canton, à l'ancre
d'argent au
quartier senestre de la pointe. (Armorial Général du
Velay, par Georges PAUL,
Marseille Reprints, 1975, page 319).], ... marié avec...
1 087: Marie
RACHEL de MERNAN, ...
dont:
1 362: Clément
CLERMONDON, décédé
avant 10 février 1733 [Note : Fils des
défunts Pierre CLERMONDON
et Jeanne FOURNEL], ... marié le 11 octobre 1701,
Saint-Genest-Malifaux,42,Loire,Rhône-Alpes,FRANCE,, avec...
1 363: Anne
CELLE, baptisée le 11 janvier 1674,
à
Saint-Genest-Malifaux, 42, Rhône-Alpes,
décédée après 26 novembre 1735
[Note : Son
parrain fut Nicolas DACHY, du Sap, et sa marraine Anne CELLE, de
Saint-Sauveur], ... dont:
1 364: Jacques
COURBON, né le 24 avril 1652, à
Marlhes, 42,
Rhône-Alpes, décédé
le 25 janvier 1722, à La Faye à Marlhes,
42,
Rhône-Alpes (à l'âge de 69 ans), Marchand de La
Faye,... marié
le 13 janvier 1679, à Marlhes, 42,
Rhône-Alpes, avec...
1 365: Marie
CELLE DU BY, baptisée
le 11 janvier 1660, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes,
décédée avant 7 juillet 1717,
à Marlhes, 42, Rhône-Alpes [Note :
Son parrain fut Jean CELLE, et sa marraine Marie
CELLE], ...
dont:
1 416: Michel
DECLINE, né vers 1632, décédé
le 29 février 1692,
à Firminy, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de
peut-être 60 ans), ... marié avec...
1 417: Françoise
FRECON, décédée
avant février 1723, ... dont:
1 492: Charles
DUMAS, baptisé le 6 août 1643,
à Saint-Sauveur-en-Rue,
42, Rhône-Alpes, décédé le 27 novembre 1713,
à Saint-Sauveur-en-Rue, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de peut-être 70 ans), De
Vernally [Note : Son
parrain fut Jean DESPINASSES,
et sa marraine Catherine QUIBLIER], ... marié
le 19 mai 1665, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes, avec...
1 493: Anne
REBOUD, baptisée le 23 août 1637,
à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes,
décédée avant 1694 [Note : Son parrain fut
Antoine REBOUD, et
sa marraine Antoinette CHAVOT], ... dont:
2 144: Jean
CELLE, dit L'Aîné, né vers 1590,
à Riotord, 43, Auvergne, décédé
le 22 janvier 1645, à Marlhes, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de
peut-être 55 ans), Marchand de Malecognières [Note : Remarié avec
Catherine Dessaignes,
la belle-mère de son fils Jean Enfants (source : cf B.
Ferraton).MM. CELLES,
seigneurs de du By (à Marlhes) & de l'Ollagnier (Riotord),
étoient, depuis
longtemps, en possession de la charge de héraut-d'armes, lorsque
des lettres de
noblesse de 1631 reconnurent leurs services remontant à
l'époque des guerre de
Religion; deux capitaines tués dans celle de la succession, un
officier-général
tiré de la maison du Roi, décoré jeune pour sa
belle conduite aux batailles de
Fontenoy, & de Raucoux; enfin, les services de son successeur,
aussi
garde-du-corps & chevalier de St-Louis sous la Restauration, sont
les
reliefs de cette honorable famille encore aujourd'hui attachée
à l'armée par
deux fils, l'un dans la cavalerie, l'autre jeune officier dans nos
bataillons
d'élite de chasseurs à pied; le troisième,
l'aîné, est resté le coadjuteur de
son père. Armes : Ecartelé aux 1er &4e d'azur,
à l'aigle éployée d'or. (Alias),
de sable; au 2e &3e d'azur, au sautoir d'or. Sur le tout, d'argent,
au
croissant comêté de gueules, au chef d'azur chargé
de trois étoiles d'or.
(source : L'Assemblée Bailliagère de la Province de Forez
en 1789, par Mr
d'ASSIER de VALENCHES, page 39). CELLE (Jean). Anoblissement en 1701
cité dans
l'ouvrage de GOURDON de GENOUILLAC, Dictionnaire des anoblissements du
XIIIe au
XVIIIe siècle (source : Nouveau Nobiliaire de France, par Louis
d'IZARNY-GARGAS, tome II, page 413). Armes (d'après
l'Assemblée bailliagère du
Forez en 1789, de M. de VALENCHES) : Ecartelé aux un et quatre
d'azur à l'aigle
éployée d'or; aux deux et trois d'azur à un
sautoir d'or; sur le tout d'argent
à un croissant comêté de gueules, au chef d'azur
chargé de trois étoiles d'or.
Alias (d'après le règlement d'armoiries de 1701) : D'azur
à un chevron d'or
accompagné en chef de deux étoiles d'argent et en pointe
d'un dauphin renversé
et contourné de même. La famille de CELLE du BY est
anciennement connue en
Forez. On n' pu se procure sur elle que peu de renseignements. M. de
Valenches
dit qu'elle fut anoblie en 1631. On trouvera aussi dans le nouveau
d'Hozier les
lesttres de noblesse qui furent accordées en avril 1701 à
un de ses
représentants, Jean CELLE, demeurant à Lyon,
héraut d'armes du titre de
Dauphiné depuis le 4 juin 1674. M. CELLE du BY, seigneur de
l'Ollagnier, en la
paroisse de Riotord, se fit représenter en 1789 aux
assemblées de la noblesse
de Forez tenues à Montbrison. La famille CELLE du BY a fourni
plusieurs héraut
d'armes, des officiers, dont deux furent tués à l'ennemi
pendant la guerre de
la succession d'Espagne, des gardes du corps, des chevalier de
Saint-Louis,
etc. Elle est représentée sous Napoléon III par
deux jeunes officiers. (source
: Dictionnaire des Familles Françaises Anciennes ou Notables
à la Fin du XIXe
siècle, par Gustave CHAIX-d'EST-ANGE, tome V, pages 124-125).
testament: 16
janvier 1645 Fonds CONVERT 18J364.], marié (2)
le 14 juin 1639,
à Marlhes, 42, Rhône-Alpes, avec Catherine
DESSAIGNES, décédée
après 19 janvier 1663 (Voir 2 147),
... marié (1)
en 1615 avec...
2 145: Anne
SOUVIGNET (ou SOVIGNET),
décédée
le 2 janvier 1639, à Marlhes, 42,
Rhône-Alpes, De l'Ollanier,
paroisse de Riotord [Note : La
famille SOVIGNET, quelquefois SOUVIGNET et SOVIGNHEC paraît
originaire de la
région de Riotord, peut-être du lieu de Souvignec,
paroisse de
Saint-Julien-Moleshabate. En 1778, Denis SOUVIGNET (1722-1808) habitait
à
Laborier, près de Riotord, mais moins de dix ans après il
était au Malploton,
après avoir habité quelque temps à Devesset. Le 20
décembre 1790, il fut nommé
maire de Saint-Victor. Il avait épousé Marie SEUT,
née aux Ribes, près
Saint-Agrève, d'où 1° jean, qui suit; Madeleine
(1776-1805) mariée à J-B
MASSARDIER, à la Bourlèche; 3° Joseph, fixé
à Marlhes. Jean SOVIGNET
(1754-1830), fut nommé maire de Saint-Victorle 10 Germinal an
VI. Il embrassa
avec ardeur les idées nouvelles, fit raser l'une des deux tours
qui
subsistaient encore au Malploton pour satisfaire aux décrets
égalitaires et aux
ordres du district. Quant à la dernière tour qui
contenait l'escalier, il la
fit rabattre au niveau de la toiture, regrettant, dit-il, de ne pouvoir
faire
davantage. Deux autres des quatre tours primitives avaient disparu
antérieurement, mais si l'on en croit la tradition locale, leurs
traces en
étaient encore visibles au dix-huitième siècle.
Les travaux entrepris par Denis
SOVIGNET l'amenèrent sans doute à reconstruire la
façade ouest du château,
partie qui, à en juger par les détails intérieurs
des planchers fut certainement
raccourcie; l'angle sud-ouest portait encore, il y a quelques
années, gravée
dans les énormes pierres de son soubassement, la date de 1818.
Il avait épousé
Marie-Anne PAULET, d'où : 1° Jean-Denis, célibataire,
qui hérita du Malploton
où il testa le 9 juin 1849, laissant sa propriété
à son neveu Augustin; 2°
Augustin, propriétaire de la Malcognière, hérita
du domaine de Ribes; 3°
Isidore, marié le 11 octobre 1821, à Catherine DUPLAY,
héritière de Rebaudes,
dont Augustin, qui suit; 4° Philippe, dit de Ribes, notaire
à Saint-Didier,
célibataire; 5° Madeleine-Lucie; 6° Louise (1782-1842)
soeur Saint-Paul; 7°
Jeanne (1787-1829) soeur Saint-Augustin; 8° Marie, 29 mars 1789;
9° Amable,
expert à Saint-Didier. Augustin SOVIGNET, fils d'Isidore,
hérita du Malploton
et épousa Delle NEYRET, d'où : 1° Adrien; 2°
Joseph, ingénieur aux fonderies de
Chasse; 3° Henri; 4° Auguste; 5° Marie, mariée
à N. BOUCHUT, ingénieru aux
mines de Montrambert; 6° Jeanne. A la mort d'Augustin SOVIGNET, M.
Théodore de
VéRON de LA COMBE, se rendit acquéreur du château
et de la terre du Malploton,
le 29 juillet 1889. (source : Les Châteaux Historiques du Forez,
par Emile
SALOMON, tome III, Hennebont, 1926, pages 152-153).], ... dont:
... dont
2 144-(X2):
2 146: Louis
DAVIER, décédé avant 1631, ...
marié avec...
2 147: Catherine
DESSAIGNES, décédée
après 19 janvier 1663, Du Chambon
[Note Le premier mari de Catherine semble être Louis DAVIER,
père de
Marguerite, qui épouse Jean CELLE. Testament: 5 decembre 1652
Fonds CONVERT
18J364.], mariée (2) le 14 juin 1639, à
Marlhes, 42,
Rhône-Alpes, avec Jean L'Aîné CELLE,
né vers 1590, à
Riotord, 43, Auvergne, décédé
le 22 janvier 1645, à Marlhes, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de peut-être 55 ans)
(voir 2 144),
fils de André CELLE (ca 1560) (voir 4 288)
et Antoinette
MATHEVET (ca 1565-1616)
(voir 4 289), ... dont:
... dont
2 147-(X2):
2 152: François
Achille DENIS, Seigneur de Clérac et Ivrac ,
décédé
après 30 mai 1583, Ecuyer [Note : Testament : 30 mai
1583], ...
marié avec...
2 153: Suzanne
de LOUERGUE, ... dont:
2 154: Gaspard
GÉRENTÈS, Seigneur de Chadrac ,
décédé
avant 21 avril 1622, ... marié avec...
2 155: Catherine
de VEROT, décédée
avant 21 avril 1622, ... dont:
2 156: Pierre
AURIER, ...
marié le 25 juillet 1637 avec...
2 157: Toussainte
VALENTIN, ... dont:
2 168: César
de SANHARD, Baron de Queyrières et des Etats du
Velay , seigneur
de Mortesagne, Saignard, Queyrières, Maumeyres et en partie de
Glavenas,
né vers 1560, décédé
après 20 janvier 1641, Ecuyer,
capitaine de cavalerie [Note : Capitaine
de cavalerie par commission du 4 avril 1580. Par commission de Henri
IV, très
élogieuse pour lui, datée du 4 avril 1590 à
Corbeil, par laquelle il reçut
ordre de lever et équiper deux cents hommes de pied et de cheval
et de venir, à
leur tête joindre son cousin le duc d'EPERNON. Dans Preuves de la
maison de
POLIGNAC (tome III, page 201) : N° 507 : Chassagnes 1er
février 1628, vente par
Marc de POLIGNAC, baron de Lardeyrol, à César de
SAIGNARD, de sa co-seigneurie
sur le fief de Glavenas.
Il acquit la partie de Glavenas du vicomte de POLIGNAC, et en fut
investi en 1638.
Il commanda une Cie de 200 hommes d'armes, par commission royale du 4
avr.
1590, donnée à Corbeil. (source : Nobiliaire du Velay et
de l'Ancien Diocèse du
Puy, par Gaston de JOURDA de VAUX, tome VI, pages 113 à 121).
Capitaine de deux cents hommes pour le service du Roi... ...Il fut
pourvu du
commandement d'une compagnie de deux cents hommes de pied, par
commission du 4
avril 1590, où il est spécifié que c'est en
considération de sa fidélité et
affection au service du Roi. Il commandait une compagnie de cent
arquebusiers
français, le 4 juillet 1594, selon le rôle de la montre,
qui en fut faite à
Issengeaux. Il assista au mariage de Pierre de SAIGNARD, seigneur du
Vernet,
son frère, le 23 juin 1613, est nommé dans une sentence
arbitrale, du 9 mai
1622; passa conjointement avec Claude de LANGON, sa femme, un bail au
profit
d'Antoine et Jacques RIVIèRE, père et fils, le 4 Mars
1626; les consuls et les
habitants de la ville d'Issengeaux, firent une obligation en sa faveur,
le 16
avril 1628, au sujet de quatre faulconneaux, appartenant audit seigneur
de
SAIGNARD, par lui prêtés à ladite ville, pour le
service du Roi, contre les
rebelles à Sa Majesté. (source : Nobiliaire Universel de
France, par Nicolas de
SAINT-ALLAIS, tome XV, pages 213-214). De SANHART de QUEYRIERES : Fort
contre
l'ennemi (source : Dictionnaire des Devises Historique et
Héraldiques, par
Alphonse CHASSANT, page 188). De SANHARD de QUEYRIERES :
Queyrières, cornette !
(cri) (source : Dictionnaire des Devises Historique et
Héraldiques, par Alphonse
CHASSANT, page 527). Glavenas ne resta que fort peu de temps dans la
maison de
SAINT-PRIEST; en 1490, les de COTTEL y étaient établis;
du moins en
possédaient-ils une partie. Le 4 avril 1603, Guillaume de COTTEL
remettait à
Claude de POLLALON, époux de Catherine COTTEL, la moitié
de la terre de
Glavenas. La seconde moitié appartenait à autre Catherine
de COTTEL. Le 8
juillet 1626, Catherine COTTEL, première citée,
investissait du fief du Crozet
Jean de MIJOLLA (fils de noble Christophe et de Catherine SABY. Le 2
février
1586, il épousait Marie de VEZE : acte reçu VACHEREL).
En 1628, noble César de SAIGNARD, seigneur de Maumeyre, recevait
l'investiture
de la parerie de Glavenas qu'il avait acquise de Marc de POLIGNAC
d'Adiac, au
prix de 8 000 livres. En 1772, investiture portant quittance de lods
était
donnée pour cette portion à Anne-Claudine de VEYRAC,
épouse de M. POLIER,
greffier des Etats, qui l'avait achetée moyennant 2 500 livres
(A. LASCOMBE,
Répertoire des Hommages de l'Evêché du Puy, 213).
(source : Les Châteaux
historiques de la Haute-Loire, par Gaston de JOURDA de VAUX, page 147,
article
Glavenas). Glavenas et Lardeyrol : 1628, investiture de la parerie de
Glavenas,
acquise par noble César de SAIGNAR, sieur de Maumeyre, de
messire Marc de POLIGNAC,
sieur d'Adiac, au prix de 8 000 livres. Mercoeur : 1638, investiture de
plus
value de rente à Mercoeur, acquise par noble César de
SAIGNARD, sieur de
Montmeyre. (source : Répertoire Général des
Hommages de l'Evêché du Puy, par
Adrien LASCOMBE, pages 213 et 290). Glavenas ne resta que fort peu de
temps
dans la maison de ST PRIEST; en 1490, les de COTTEL y étaient
établis; du moins
en possédaient-ils une partie. Le 4 avril 1603, Guillaume de
COTTEL remettait à
Claude de POLALLON, époux de Catherine de COTTEL, la
moitié de la terre de
Glavenas. La seconde moitié appartenait à autre Catherine
de COTTEL. Le 8
juillet 1626, Catherine COTTEL, première citée,
investissait du fief du Crozet
Jean de MIJOLLA (fils de Christophe et de Catherine SABY. Le 2
février 1586, il
épousait Marie de VEZE : acte reçu VACHEREL). En 1628,
noble César de SAIGNARD,
seigneur de Maumeyre, recevait l'investiture de la parerie de Glavenas
qu'il
avait acquise de Marc de POLIGNAC d'Adiac, au prix de 8 000 Livres. En
1772,
investiture portant quittance de lods était donnée pour
cette portion à Anne
Claudine de VAYRAC, épouse de M. POLIER, greffier des Etats, qui
l'avait
achetée moyennant 25 000 Livres (A. LASCOMBE, Répertoire
des hommages de
l'évêché du Puy, 213). (source : Les Châteaux
Historiques de la Haute-Loire,
par Gaston de JOURDA de VAUX, Le Puy, 1911, page 147, article
Glavenas). Au
XVIème siècle, sinon auparavant, les de LANGON ont
possédé une partie de
Queyrières, qui échut ensuite à César de
SAIGNARD, fils aîné de Pierre, seigneur
du Vernet, co-seigneur de Mortesaigne, par suite du mariage par lui
contracté,
le 14 mai 1589, avec Clauda de LANGON, soeur et héritière
de Louis de LANGON,
fils lui-même de Paul et de Claude de BLEYNIER (de BONNIER) (A.
JACOTIN,
Preuves de la maison de POLIGNAC, IV, 515 en note; L. de LA ROQUE,
Armorial de
Languedoc. En 1736, M. de SAIGNARD de LA FRESSANGE ne possédait
que le tiers de
Queyrières : cf ARNAUD, II, 283). Antoine de SAIGNARD, seigneur
de Marminhac,
Glavenas, Maumeures, leur fils, étant veuf d'Isabeau de
CREMEAUX, épousa le 1er
novembre 1629, Claire DESBOTS, dont François, baron de
Queyrières, marié le 1er
février 1667, à Hélène de LA RIVOIRE. Il en
eut plusieurs enfants, entre autres
: Marguerite (L. de LA ROQUE, Armorial de Languedoc), qui, en 1732,
apporta en
dot, les deux tiers de la baronnie de Queyrières à
Charles de LA FAGE,
chevalier de Ribes et des Plantas. Celui-ci siégea aux Etats du
Velay en 1734
(ARNAUD, Hist du Velay, II, 282). Ayant hérité de
Queyrières, au décès de sa
femme, Charles de LA FAGE légua ce fief, vers 1758, à
Henriette de FILLIERE, sa
seconde femme. Celle-ci mourut en 1732. (source : Les Châteaux
Historiques de
la Haute-Loire, par Gaston de JOURDA de VAUX, Le Puy, 1911, pages
247-248,
article Queyrières). Noms des principaux chefs de l'entreprise
du puy :
Les chefs recognus de l'ennemy, scavoir : premièrement le sieur
de Chates, leur
gouverneur, monsieur de Challancon (1), monsieur de Sainct-Quentin,
monsieur de
l'her (2), son frère, les deux messieurs Sayniars (3), ......
(3) L'un
s'appelait Guillaume de SANHARD, co-seigneur de Mortesaigne, second
fils
d'Antoine de SANHARD, seigneur de Mortesaigne, et d'Isabeau de
SAINT-LAURENT,
sa seconde femme; il fut marié trois fois : 1° en 1551,
à Marguerite de
BONISSOL; en 1559, à Françoise de LA VèZE, et, en
1575, à Suzanne de VERTAMY;
de cette dernière union, il eut un fils, jean de SANHARD,
seigneur de
Choumouroux, Chazaux et Montméa, marié le 21 avril 1613
à Florie de CHOUMOUROUX
qui lui apporta les biens de sa maison dont elle était la
dernière héritière.
Guillaume de SANHARD fut tué à la porte Saint-Gilles.
L'autre était César de
SANHARD, seigneur de Mortesaigne et de Glavenas, fils de Pierre de
SANHARD,
co-seigneur de Mortesaigne, frère aîné de Guillaume
qui précède, et de Suzanne
de BONISSOL. Le 14 mai 1589, il avait épousé Clauda de
LANGON, fille de Louis
de LANGON, seigneur de Maumeyre, frère utérin d'Antoine
de MARMINHAC, seigneur
et baron de Marminhac, Queyrières et Maumeyre. C'est par ce
mariage que la
baronnie de Queyrières et les seigneuries de Marminhac et de
Maumeyre entrèrent
dans la maison de SANHARD. César de SANHARD reçut d'HENRY
IV, le 4 avril 1590,
commission de lever deux cents hommes de guerre à pied; en
juillet 1594, il
avait sous sa charge, à Yssingeaux, une compagnie de cent hommes
de guerre à
pied, qui fut réduite, en septembre suivant, à
cinquante-huit hommes. La
famille de SANHARD fut maintenue dans sa noblesse par jugement de M. de
BEZONS,
du 20 décembre 1668 (Documents originaux communiqués par
M. le marquis de
SASSELAGE & M; le comte de CHOUMOUROUX, maire d'Yssingeaux, qui
représentent aujourd'hui la famille de SANHARD).
(source : Mémoire de Jean BUREL, par Auguste CHASSAING,
réimpression de
l'édition du Puy de 1875, Saint-Vidal, 1983, pages 406-407).
Nous croyons
devoir donner aussi une autre lettre d'HENRI IV à César
de SAIGNARD, un des
braves chevaliers du Velay. La maison de SAIGNARD, dont les titres de
noblesse
furent confirmés par jugement du 12 décembre 1668,
possédait la baronnie de
Queyrières, une des dix-huit qui donnaient un siège aux
états. Au nombre des
ancêtres dont se glorifient cette famille et le pays, il ne faut
pas oublier
Jean de SAIGNARD qui offrit au roi CHARLES VII les premiers drapeaux
enlevés
aux ennemis dans le Velay. Lettre d'Henri IV à César de
Saignard, commandant
d'une compagnie de deux cents hommes, par commission du 4 avril 1590.
"A
notre cher et bien amé César de Saignard, salut. Ayant
délibéré de mettre sus
et faire promptement lever et assembler bon nombre de gens de guerre
tant de
cheval que de pied, pour nous en servir ès-occasions qui se
présenteront pour
la conservation de notre état et de nos bons sujets, et d'en
bailler la charge
à quelques vaillants et expérimentés capitaines
à nous fidèles et assurés. A
cette cause, lesdites qualités être en vous, vous avons
commis et député,
commettons et députons par ces présentes, signées
de notre main, pour lever,
mettre sus et assembler incontinant et le plus diligemment que faire se
pourra,
le nombre de deux cents hommes de guerre à pied,
françois, des meilleurs et des
plus aguerris soldats que pourrez choisir; et iceux mener et conduire
à la
guerre avec vous, sans désemparer ladite compagnie, sous la
charge de notre
cher et très amé cousin le duc d'Epernon, l'un des pairs
de France et
colonel-général de notre infanterie française, la
part où il sera par nous ou
nos lieutenants-généraux ordonné et
commandé pour notre service, faisant iceux
vivre avec telle police, qu'il ne nous en vienne aucune plainte. De ce
faire,
vous avons donné et donnons plein pouvoir, autorité,
commission et mandement à
tous ceux qu'il appartiendra, qu'à vous ce faisant ils
obéissent; car tel est
notre bon plaisir. Donné à Corbeil le quatrième
jour d'avril, l'an de grâce
1590, et de notre règne le premier." Signé Henri. Par le
Roi : Signé Suze.
(source : Histoire du Velay, par Francisque MANDET, Le Puy, 1862, tome
V, note
H, pages 443 à 445). Testament: 20 janvier 1641.], ...
marié
le 14 mai 1589 avec...
2 169: Claude,
Ou Clauda de LANGON, Dame de Queyrières ,
Maumeyre, Marminhac
[Note : Soeur
et
héritière de Louis de LANGON écuyer, sgrs et baron
de Queyrières, Maumeyre,
Marminhac, mari d'Antoinette de CHAPTEUIL de BONNEVILLE (Armorial
Général du
Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 409). Au XVIe
siècle,
sinon auparavant, les de LANGON ont possédé une partie de
Queyrières, qui échut
ensuite à César de SAIGNARD, fils aîné de
Pierre, seigneur du Vernet,
co-seigneur de Mortesaigne, par suite du mariage par lui
contracté avec Clauda
de LANGON, soeur et héritière de Louis de LANGON, fils
lui-même de Paul et de
Clauda de BLEYNIER (de BONNIER) (A. JACOTIN, Preuves de la maison de
¨Polignac,
IV, 515 en note; L. de LA ROQUE, Armorial de Languedoc. En 1736, M. de
SAIGNARD
de LA FRESSANGE ne possédait que le tiers de Queyrières :
cf ARNAUD, II, 283).
Antoine de SAIGNARD leur fils, veuf d'Isabeau de CREMEAUX,
épousa Claire
DESBOTS, dont François, baron de Queyrières, marié
à Hélène de LA RIVOIRE. Il
en eut plusieurs enfants, entre autres : Marguerite, qui, en 1732,
apporta en
dot, les deux tiers de la baronnie de Queyrières à
Charles de LA FAGE,
chevalier de Ribes et des Plantas (source : Les Châteaux
historiques de la
Haute-Loire, par Gaston de JOURDA de VAUX, pages 247-248, article
Queyrières).], ... dont:
2 170: Jehan
ALLIER, Seigneur de La Fressange et en partie de
Malploton ,
décédé avant 1640 (ou au pire 1650, selon
Paul RONIN) [Note : Le
4 juillet 1615, Jehan ALLIER de
LA FRESSANGE, vendait à Pierre de La FAYOLLE, son
beau-frère " la rente et
autres droits seigneuriaux que lui et ses prédécesseurs
avaient coutume de
prendre au village de Masploton, sur les habitants d'iceluy et
dépendances,
contenues au terrier reçu et signé BALMAT" pour le prix
de 786 livres. Les
armes des ALLIER de LA FRESSANGE sont : d'azur à l'aigle
essorante d'argent.
(source : Les Châteaux Historiques du Forez, par Emile SALOMON,
tome III, pages
150-151).], ... marié en 1601 avec...
2 171: Isabeau
Ou Elizabeth de BRUNIER de LARNAGE [note : Souvent
dite de BRéGNIEU, BRENYEUX,
BRENNYEU, ou de BRESSIEUX, dans les armoriaux. Armes : D'azur à
la bande d'or;
au chef de même (Armorial RIETSTAP). Testament: 27 fevrier 1640
En faveur de sa
fille aînée Clauda.], ... dont:
2 726: Pierre
CELLE, dit le Jeune, né le 26 et
baptisé
le 28 mai 1646, à Saint-Sauveur-en-Rue, 42,
Rhône-Alpes, décédé
le 7 avril 1721, à Bourg-Argental, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge de
peut-être 74 ans) [Note : Son
parrain fut Pierre CELLE, et sa marraine Anne CELLE], ... marié
le 12 novembre 1669, à Saint-Genest-Malifaux, 42,
Rhône-Alpes,
avec...
2 727: Jeanne
MIRANDON, née le 27 et baptisée
le 30 juillet 1647, à
Saint-Genest-Malifaux, 42, Rhône-Alpes,
décédée
après 1er juillet 1732 [Note : Son parrain fut Jean
MIRANDON, et
sa marraine Jeanne GIRAUD], ... dont:
2 730:
voir 1 072.
2 731:
voir 1 073.
2 984: François
DUMAS, ...
marié le 25 février 1618 avec...
2 985: Marguerite
DESPINASSE, née en 1602,
décédée en 1647 (à l'âge de 45
ans), ... dont:
2 986: Gabriel
REBOUD, né entre 1603 et 1607,
décédé après 1672,
Laboureur de La Celle [Note : Son
parrain fut Gabriel CELLE, curé], ... marié
le 27 février 1628,
à Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes, avec...
2 987: Alix
CHAVOT, né le 21 et baptisée
le 22 mars 1606, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes,
décédée le 27 mai 1668, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de
peut-être 62 ans) [Note : Son parrain fut Claude
ROUCHOUSE,
et sa marraine Antoinette CHAVOT], ... dont:
4 288: André
CELLE, né vers 1560 julien, Originaire de
Malecognières
[Note : Voir
courriers de Marie-Françoise PEYRACHE], ... marié
en 1580 julien, à
Marlhes, 42, Rhône-Alpes, avec...
4 289: Antoinette
MATHEVET, née vers 1565 julien, à
Saint-Genest-Malifaux, 42,
Rhône-Alpes, décédée le 26 septembre 1616
(ou, selon les sources), à Marlhes,
42, Rhône-Alpes (à l'âge de peut-être 51 ans),
... dont:
4 290: Philibert
SAUVIGNET, De l'Ollagnier, ... marié avec...
4 291: Catherine
SAUVIGNET, ... dont:
4 304: Jean
Hector DENIS, Seigneur de Clérac ,
décédé
après 18 novembre 1552, Ecuyer [Note : Famille du Velay, que
la tradition
dit originaire du bordelais, qui posséda, aux XVIIème et
XVIIIème siècles, les
biens de la maison de ROCHEMURE, en Gévaudan. Armes : D'azur au
chevron d'or
accompagné en pointe d'une merlette d'argent becquée d'or
et à l'angle dextre
du chef d'une étoile rayonnante de même. (cf : Armorial de
Gévaudan, par le
vicomte de LESCURE, pages 432-433). DENIS alias DENYS, seigneurs
d'Allemances
et d'Allemancette, paroisse de Félines (Auvergne), du Besset
(Gévaudan).
Famille consulaire du Puy vivant noblement. Filiation : Isaac DENIS
consul de
cette ville en 1617. Des chanoines de Notre-Dame; un prieur de
Sainte-Marie-du-Chambon, fordoyen du chapitre du Puy (1639). Jean DENIS
d'ALLEMANCES était abbé de Saint-Pierre-Latour en 1744 et
Jean-Ignace DENIS
prieur de Saint-Pierre-du-Monastier en 1775. Deux premiers consuls du
Puy
(1633-1670); un receveur des tailles du diocèse (1633). Jean
DENIS seigneur
d'Allemances, conseiller du Roi, fit inscrire en 1696 ses armoiries
dans
d'HOZIER. André-Dominique DENYS baron du Besset, seigneur
d'Allemances, premier
consul du Puy en 1709, exerça les fonctions de
lieutenant-général d'épée au
présidial de cette ville. Eteinte. Armes : D'azur, au chevron
d'or, accompagné
en pointe d'une merlette, becquée d'or et à l'angle
dextre du chef, d'une
étoile rayonnante du même. (cf : Armorial
Général du Velay, par Georges PAUL,
pages 152-153). Velay, Gévaudan, sieurs d'Allemance, de Besset,
de La Salce, de
Blanzac. Famille du Puy qui posséda les biens de la maison de
ROCHEMURE, en
Gévaudan. Armes : D'azur au chevron d'or accompagné en
pointe d'une colombe
d'argent becquée d'or, et à l'angle dextre du chef d'une
étoile rayonnante du
même. ( cf Armorial Général et Nobiliaire, par
Hubert LAMANT). Seigneurs
d'Allemances, Alleyrac, etc. (Velay), Allemancettes (Auvergne),
seigneurs et
barons de Besset (Gévaudan). Armes : d'azur, au chevron d'or,
accompagné en
pointe d'une merlette d'argent; à une étoile d'or,
armée de flèche de même, et
posée au franc-canton. A cette famille, de noblesse de robe, du
Puy, ont
appartenu : Isaac DENYS, receveur des tailles et 1er consul du Puy
(1633);
Gilles DENYS, prieur de Sainte-Maarie-du-Chambon (D. du Puy), fordoyen
du
Chapitre du Puy (1633); Jean DENYS, qui avait épousé
Marie GéRENTES, laquelle
ne vivait plus en 1654; Marguerite DENYS d'ALLEMANCES, dame d'Alleyrac,
mariée
le 4 mars 1669 à Charles BéRARD de MONTALET, baron de
Clérac, fils du marquis
Charles, et de Louise de la GARDE-CHAMBONAS; Isaac DENIS,
écuyer, conseiller du
Roi, receveur des tailles du diocèse du Puy, qui épousa
N. ROUSSET, qui testa
le 18 nov 1631, laissant : Marie, qui épousa, le 29 juill. 1650,
Jean VIII
TORRILHON, sgr de Vacherolles, fils de Jean VIII, sgr de Vacherolles,
et de
Marguerite CHABRON; Isaac DENIS, receveur des tailles du diocèse
du Puy, tuteur
et héritier de feu Jean de ROQUEPLAN, sgr de la Marade (1650),
et qui mourut la
même année, laissant veuve Marie GéRENTON qui,
à cette date, se trouvait ayant
droit d'Antoine de ROQUEPLAN; ...; Jean-Joseph DENYS, il signait "DENYS
DU
BESSET", écuyer, capitaine dans le régiment de Bougari
(?), cavalerie
(1725); Abel DENIS de BEAUMONT d'ALLEMANCE, abbé de
Saint-Pierre-Latour du Puy,
qui mourut le 7 août 1758, ayant pour successeur, Jean-Ignace,
son frère,
prêtre; dom DENYS d'ALLEMANCES, prieur de
Saint-Pierre-le-Monastier (1740); ...
(source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien Diocèse du Puy, par
Gaston de
JOURDA de VAUX, tome II, pages 140-141).
Armes : alias : d'azur, au chevron d'or, accompagné en pointe
d'une merlette
d'argent, becquée d'or, et à l'angle dextre du chef,
d'une étoile rayonnante de
même (Vicomte de LESCURE). Famille que la tradition dit
originaire du
Bordelais. (source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien diocèse
du Puy, par
Gaston de JOURDA de VAUX, tome VII, page 197). DENIS ou DENYS : Cent
fois plus
d'âme (source : Dictionnaire des Devises Historique et
Héraldiques, par
Alphonse CHASSANT, page 67). Testament : 18 novembre 1552.], ...
marié avec...
4 305: ?
?, ...
dont:
4 308: Antoine
GÉRENTÈS, né avant 1553 [Note : Testament : 1er octobre
1586], ...
marié avec...
4 309: Jeanne
de LA REURE [Note : Soeur
de Durand de LA REURE], ... dont:
4 312: Pons
AURIER, Deuxième consul de la ville de Craponne
[Note : DAURIER
de PIESSAC. Armes (d'après
le règlement d'armoiries de 1825) : d'azur à un chevron
d'or accompagné de
trois besants du même; au chef cousu de gueules chargé
d'une branche de laurier
d'argent, soutenue d'une divise d'or. M. VILLAIN a donné dans le
premier volume
de la France Moderne une généalogie de la famille
DAURIER, ou d'AURIER, de
Piessac, anciennement connue en velay.
Pons AURIER, auquel ce travail fait remonter la filiation, était
en 1614
deuxième consul de le ville de Craponne...
La famille AURIER, ou DAURIER, s'agrégea à la
noblesse au cours du
XVIIIe siècle sans qu'on lui connaisse de principe
d'anoblissement régulier.
Son chef, Pierre DAURIER, écuyer, Sgr de Piessac,
arrière-petit-fils de Pierre
et de Marie BARJON, prit part en 1789 aux assemblées de la
noblesse tenues au
Puy... Principales alliances : de LA ROCHENéGLY 1716, de VINOLS
1718, d'AUTHIER
de SAINT-SAUVEUR 1719, CLéMENT de SAINT-PALLAYE 1835, COURBON de
SAINT-GENEST
1775, de MONTAUDOIN 1857, de LA COLOMBE 1781, de CHABANACY, etc...
Louis
DAURIER, avocat, chef du Consistoire, fut capitoul de Toulouse en 1755
et 1760.
Ce magistrat appartenait vraisemblablement à une branche de la
famille DAURIER
de PIESSAC qui se serait détachée de la souche à
une époque inconnue. Il
portait, en effet, les armes suivantes : écartelé : aux 1
et 4 d'azur à un
chevron d'or, accompagné de trois besants du même, au chef
de gueules chargé
d'une branche de laurier de sinople; aux 2 et 3 de sable à un
lion rampant
d'or, accompagné en chef de trois étoiles du même.
Jean-Charles DAURIER, marié
vers 1755 à Claudine CALEMARD de GENESTOUX, était sous
Louis XV notaire à
Saint-Paulien, en Velay. Leur fils, Charles DAURIER, né en 1761,
lieutenant
général des armées du Roi en 1820, commandeur de
la Légion d'honneur, suicidé
en 1833, fut créé baron de l'Empire par lettres patentes
du 19 janvier 1812 et
fut confirmé dans la possession de son titre par nouvelles
lettres du 3 août
1816. Il obtint en même temps le règlement de ses
armoiries : écartelé : au 1
d'azur à trois étoiles d'or; au 2 de gueules à
l'épée haute en pal d'argent; au
3 d'argent à trois chevrons de gueules, au chef du même
chargé d'un lion
naissant et contourné d'argent; au 4 d'azur à un cheval
cabré d'or. Son fils,
Jean-Baptiste Auguste, baron DAURIER, né en 1804, avait
épousé en 1827 Mlle
VILLATTE d'AUTREMONT. Il en eut un fils, qui mourut jeune, et deux
filles, Mme
DUPORTAL du GOASMEUR, décédée en 1885, et Mme
BARBAULT de LA MOTTE, décédée en
1865. (source : Dictionnaire des Familles Françaises ou Notables
à la fin du
XIXe siècle, par Gustave CHAIX-d'EST-ANGE, tome XIII, pages
137-138).], ...
marié avec...
4 313: Benoîte
ROQUEYROL, ...
dont:
4 336: Pierre
de SANHARD, Seigneur du Vernet co-seigneur de Mortesaigne,
décédé entre 1585 et 1589, Ecuyer
[Note Il rendit aveu et
dénombrement au seigneur de montgiraud. Il donne, en 1580, une
procuration à
son fils César pour passer reconnaissance à
François de POLIGNAC, sieur de
Lardeyrol. Mortesagne se trouve dans la paroisse de Glavenas, au
diocèse du
Puy. Il fit diverses acquisitions d'héritages, sis en la
sénéchaussée du Puy,
entr'autres une le 14 juin 1573, d'André FAYOLLE, et une autre
de Jean RIVET,
le 29 juin 1573, fit donation entre vifs de tous ses biens et droits
présents
et à venir; passa une transaction avec Nicolas BONYOL, marchand
de la ville du
Puy, le 17 février 1584; et rendit aveu et dénombrement
à honorable homme
monseigneur maître André DU JEUNE, seigneur de Montgiraud,
co-seigneur de
Banas, lieutenant en la sénéchaussée du Puy, de
plusieurs terres et héritages
relevants de ladite seigneurie de Montgiraud; par acte grossoyé
par Barthélemi
RICHIOUT, notaire royal du lieu d'Araules, près d'Yssingeaux, le
20 août de la
même année 1584. (source : Nobiliaire Universel de France,
par Nicolas de
SAINT-ALLAIS, tome XV, pages 212-213). Mortesaigne (commune de
Saint-Julien-du-Pinet) : 1625, investiture portant hommage de la
seigneurie de
Mortesaigne, acquise par noble Pierre SAIGNARD, de noble Claude
POLLAILLON et
sa femme, paroisse de Bessamorel (source : Répertoire
Général des Hommages de
l'Evêché du Puy, par Adrien LASCOMBE, page 342).
Mortesaigne ou Mortesagne,
canton d'Yssingeaux. Défendu par une tour massive, l'antique
castel de
Mortesaigne a conservé son allure féodale. Le
rez-de-chaussée dont les murs
mesurent au moins 2m50 d'épaisseur, est entièrement
voûté. Le lieu de
Mortesaigne (Morto-Sania) est mentionné dès 955
(cartulaire de Saint-Chaffre du
Monastier). Quant au château, il n'apparaît dans les titres
que bien plus tard.
Le 10 mars 1435, Dragonnet de SAINT-VIDAL, seigneur de Glavenas,
autorisait
Jean de GAZELLES à édifier une forteresse dans le village
de Mortesaigne. Les
seigneurs de Glavenas la possédèrent; il y furent
remplacés par les MAURIN puis
par les LOBEYRAC. Pierre de SAIGNARD, fils aîné d'Antoine
et de Jeanne de
SAINT-LAURENT, se qualifiait co-seigneur de Mortesaigne. (source : Les
Châteaux
Historiques de la Haute-Loire, par Gaston de JOURDA de VAUX, pages
214-215).
Donation de ses biens 15 février 1584, acte de donation entre
vifs de tous ses
biens présents et à venir.], ... marié
le 18 novembre 1550
avec...
4 337: Suzanne
de BONNISSOLLE (ou BONNISSOL),
décédée après 1588 [Note : Originaire
du Puy-en-Velay. Elle était veuve, lorsqu'elle assista au
mariage de son fils
César, par le contrat duquel, pour satisfaire aux conditions de
testament dudit
défunt son mari, elle institua, pour son héritier
universel, ledit César de
SAIGNARD, leur fils (source : Nobiliaire Universel de France, par
Nicolas de
SAINT-ALLAIS, tome XV, page 213).], ... dont:
4 338: Claude
Paul (Ou Claude Louis) de LANGON, Seigneur de Maumeyre
coseigneur
de la baronnie diocésaine et vellave de Queyrières,
décédé
avant 14 mai 1589 (ou 1591, selon les sources),
Chevalier
[Note : Au
XVIème
siècle, les de LANGON ont possédé une partie de
Queyrières, qui échut ensuite à
César de SAIGNARD, par suite de son mariage avec Clauda de
LANGON, héritière de
son père. Seigneurs de Montgiraud, d'Uriage, etc..., marquis de
Langon
(Dauphiné), seigneurs de la baronnie de Queyrières
(baronnie diocésaine du
Velay), de Marminhac, de Maumeyre, etc... (Velay). Très bonne
noblesse du
Dauphiné, mentionnée dès 1280. Nombreux chevaliers
de Malte; un député de la
noblesse aux Etats Généraux, etc... Eteinte en 1828, avec
la marquise de
GAUTHERON. Un cadet de cette maison, Louis de LANGON, fils de Paul et
de Clauda
de BLEYNIER, marié à Antoinette de CHAPTEUIL de
BONNEVILLE était seigneur de la
baronnie de Queyrières et de plusieurs terre en Velay qu'il
laissa à sa soeur
Clauda de LANGON, dame de Queyrières, Maumeyre, Marminhac,
mariée à César de
SAIGNARD, à qui elle apporta ces fiefs et qui devint ainsi baron
de Queyrières.
Armes : De gueules, à la tour d'argent, crénelée
de quatre pièces, maçonnée et
ajourée de sable. (cf : Armorial Général du Velay,
par Georges PAUL, page 247).
Armes : De gueules à la tour d'argent, crénelée de
quatre pièces, maçonnée,
ajourée et portillée de sable. Cette maison,
éteinte avec Nicolas François,
titré marquis de LANGON, baron d'Uriage (1742-1816), admis aux
honneurs de la
Cour en 1770, député de la noblesse du Dauphiné
aux Etats Généraux de 1789;
était connue depuis 1262, et remontait sa filiation
prouvée à Pierre de LANGON
allié en 1381 à Béatrix de BUXIèRES; elle a
donné : Joseph de LANGON,
commandeur de Malte en 1706 (la Terreur des Infidèles), mort au
combat; Adrien,
grand-croix de l'ordre de Malte, lieutenant-Général des
Escadres de sa Sainteté
en 1716, et Ferdinand, commandeur de Malte; tous trois frères et
grand oncle de
Nicolas François. (sources : Grand Armorial de France, par Henri
JOUGLA de
MORENAS, tome IV, page 410). LANGON. Langon, Montgiraud, Artemonay,
Virieu,
Uriage, Saint-Julien. Perrot de LANGON, marié à
Marguerite de MORAS, vivait en
Royannais en 1280, & François de LANGON en 1349. Le 12
juillet 1415, noble
Artus de LANGON & Jean de LA BISE furent nommés pour prendre
possession du
gouvernement de Dauphiné, au nom de Guichard DAUPHIN, seigneur
de Jaligny. L'acte
de prise de possession est du mois de septembre 1415. Jean de LANGON
périt en
1424 à la bataille de Verneuil. Antoine de LANGON était
chevalier de Malte en
1605. Louis de LANGON épousa Clémence de MONTEYNARD le 24
août 1618; Jacques de
LANGON, chevalier de Malte, vivait en 1650. Joseph de LANGON, chevalier
de
Malte, lieutenant de vaisseau & capitaine d'infanterie; Nicolas de
LANGON,
lieutenant de dragons, & pierre de LANGON, chevalier de Malte, tous
frères,
vivaient en 1670. Ferdinand de LANGON était également
chevalier de Malte en
1700, Jean-Baptiste en 1705, Augustin & Hugues en 1723. Hugues de
LANGON,
marié à Magdelaine de GALLIEN de CHÂBONS, eut pour
fils : Nicolas-François,
marquis de LANGON, seigneur dudit lieu, Saint-Julien & Montgiraud,
baron d'Uriage,
né en 1742, cornette au régiment de Marcieu, capitaine
dans celui de
Dauphin-cavalerie, lieutenant aux gardes du corps, & enfin
maréchal de
camp. En 1788? il fut député de la noblesse aux Etats de
Romans & aux Etats
généraux, émigra pendant la Révolution
& mourut à Grenoble en 1816, après
avoir épousé en premières noces Anne-Marie
Joséphine PRUNIER de Saint-André,
marquise de Virieu (qui avec sa soeur, la marquise de Marcieu, fut la
dernière
de son nom), & en secondes noces Marie-Magdelaine de ROUCY, morte
en 1848,
dont il n'eut pas d'enfants. Il avait eu du premier lit deux filles,
l'une
mariée au marquis PLANELLI de LA VALETTE; l'autre,
Magdelaine-Jeanne-Françoise
de LANGON, veuve du marquis de GAUTHERON, mourut, dernière de sa
maison, en
1828. C'est à elle que l'on doit la fondation de
l'établissement thermal
d'Uriage, qu'elle laissa, avec ses autres biens, à son neveu, M.
le comte de
SIBEUD de SAINT-FERRéOL. Armes : De gueules à la tour
d'argent, crénelée de 4
pièces, maconnée, fenestrée & portillée
de sable. (source : Armorial de
Dauphiné, par Gaston de RIVOIRE de LA BATIE, page 336). De
LANGON d'URIAGE
(Dauphiné) - Famille admise aux honneurs de la Cour en 1770 (
A.N. MM 817 -
B.N. fonds CHéRIN n° 116) : preuves devant les
généalogistes des Ordres du Roi
(A.N. MM 811 p 367) : preuves de Malte, 1604, 1640, 1682, 1697, 1700,
1714
(A.D. 69 série 48H91 94 et 100) (cf Frédérix
NEIGE, les huit Quartiers de
l'ordre de Malte au Grand Prieuré d'Auvergne) - Armes : de
gueules à la tour
d'argent, ajourée et portillée de sable (source :Nouveau
Nobiliaire de France :
Recueil de Preuves de Noblesse, tome II, page 413).], ... marié
avec...
4 339: Claude
(Alias Clauda de Blainier) de BLEYNIER [Note : ou de BONNIER ou de
BLAYNIER], ...
dont:
4 340: Gabriel
ALLIER, Seigneur de La Fressange , né
en 1532, décédé
avant 27 avril 1583 [Note : Selon l'Armorial du
Vivarais, page 11, en 1594, noble
Gabriel d'ALLIER, de Saint-Didier, est présent au mariage de
Jean BAILLE,
seigneur de Martinas, de la ville de Monistrol. Est-ce bien lui ? Selon
Paul
RONIN, n'ayant pas eu de lignée, où ses enfants
étant morts, il institua son
frère Jean pour son héritier. Le 3 mai 1576, une
transaction intervint entre le
seigneur de ...... et Gabriel LAFRESSANGE (Fonds Chaleyer, liasse 1556,
Pl. A,
n° 92) Naissance : En 1541, selon Paul RONIN. Testament : 16, ou le
25
septembre 1580, en faveur de son frère.], ... marié
en 1566 avec...
4 341: Marguerite
de THIOLLENT, [Note : Fille de Jean,
seigneur du
Thiolent, qui semble avoir eu pour sœur, Françoise,
épouse de Jean des CHAMPS,
seigneur du Cortial (source : Les Châteaux Historiques de la
Haute-Loire, par
Gaston de JOURDA de VAUX, tome II, page 87)], ... dont:
4 342: Jean
BRUNIER, Seigneur de Larnage , né
vers 1540, décédé
le 27 mars 1590 (à l'âge de peut-être
50 ans), Chevalier
[Note : Qualifié
d'homme d'armes dans la Compagnie de Maugiron en 1569. Testament : 27
mars
1590.], ... marié avec...
4 343: Antoinette
d'ARSAC (ou ARZAC) [Note : Guion d'ARZAC,
anciennement
d'ARAZAC, Ecuyer, Seigneur du Caila, de la Force & de Sabrazac,
demeurant
dans la paroisse de Sabrazac, Diocèse de Rhodès,
Païs de Rouergue, Généralité
de Montauban, épousa le 20 juillet 1697 Marie de PEIRONENC-de LA
ROQUE-S.
Chamaran, fille de François de PEIRONENC-S. Chamaran, Ecuyer,
Seigneur de la
Roque, de Murat, & de Verrière, & de Louise de
SENNETERRE.
Louise-Christine d'ARZAC leur fille, née le 10 novembre 1717 fut
reçue à S. Cir
le 13 octobre 1728 & justifia par titres, sa filiation depuis
Antoine
d'ARAZAC son trisayeul, seigneur de la Force, & Conseigneur de
Campnac,
& de Gilorgue en Rouergue, lequel fut marié le 9 mai 1556
avec Madeleine
ISARN, fille d'Arman ISARN, seigneur de Fraissinet & de Cornac,
aussi en
Rouergue, Maréchal des Logis de la Compagnie du Baron de
TERRIDE, & de
Gabrielle HERAIL-de BREZIS.
D'azur, à une bande de gueules, chargée de trois fleurs
de lis d'or, &
accompagnée en chef de trois Etoiles de même,
rangée en fasce, & un Mouton
d'Argent, passant sur une Terrasse de sinople, mouvante, de la pointe
de l'Ecu.
(source : Armorial Général de France ou Registre de la
Noblesse de France, par
d'HOZIER, registre I, 1ere et 2ème parties, 1738, page 30).
D'ARZAC (voir
BEAULIEU d'ARZAC). 1474. (Rouergue). D'azur à la bande d'or,
remplie de
gueules, surchargée de 3 fleurs de lys d'or, accompagnées
en chef de 3 étoiles
rangées en bande, et en pointe d'un mouton d'argent passant sur
une terrasse de
sinople. Jean d'ARZAC, chevalier, sgr du Cayla, ép. Gabrielle
d'ESCORAILLES,
dont il eut : Antoine d'ARZAC, chevalier, sgr du Cayla, ép. en
1556 Madeleine
d'ISARN de FRAISSINET, d'où : Antoine d'ARZAC, chevalier,
ép. 1° Cécile de
SENNETERRE, 2° en 1617 Anne de RESSEGUIER, il eut pour fils du 2e
lit :
Jean-Jacques d'ARZAC, écuyer, sgr du Cayla, La Force, qui
ép. en 1650 Antoinette
de PRUINES, il fut maintenu dans sa noblesse en 1666, et eut pour fils
: Guyon
d'ARZAC, écuyer, sgr du Cayla, de la Force, de Sabrazac,
ép. en 1697 Marie de
PEYRONNEC, il fut confirmé dans sa noblesse en 1700, et eut pour
fils : François d'ARZAC,
écuyer, sgr du Sabrazac,
ép. en 1765 Marie-Paule de TURENNE d'AYNAC, fille de Jean-Louis
de TURENNE,
chevalier, comte d'Aynac et de Marie-Claude de ROBERT de LIGNERAC dont
il eut :
Geneviève d'ARZAC, née en 1771, admise à Saint-Cyr
en 1785.(source : Grand Armorial
de France, par Henri JOUGLA de MORENAS, Paris, tome I, page 249).
ARZAC, Sgr de
la Force, de la Grèze (d') (Rouergue) : Famille maintenue noble
lors de la
recherche de noblesse par l'intendant LE GENDRE dans la
généralité de Montauban
le 08.07.1700 (cf LAINé, Archives de la noblesse de France, tome
10) : Preuves
de noblesse des demoiselles admises à Saint-Cyr en 1728 (B.N.,
fr. 32128,
dossier n° 7) : Preuves pour les chevau-légers de la garde,
1784 (Archives
Guerre, C.A. 4 - A.N., 59MI1) : Certificat de noblesse
délivré par CHÉRIN
pour le service militaire le
08.10.1783 (B.N., fr. 31563/776) - Armes : d'azur à la bande
cousue de gueules
chargée de 3 fleurs de lys d'or, acc. en chef de 3
étoiles rangées du même, et
en pointe d'un mouton d'argent, passant sur une terrasse de sinople.
(Source :
Nouveau Nobiliaire de France, par Louis d'IZARNY-GARGAS, tome 1, page
113).],
... dont:
5 452: Jean
le Jeune CELLE, né vers 1595,
décédé
le 28 mai 1668, à Saint-Sauveur-en-Rue, 42,
Rhône-Alpes (à l'âge
de peut-être 73 ans), Demeurant à La Rouchouse, ...
marié
le 16 octobre 1621, à Saint-Sauveur-en-Rue, 42,
Rhône-Alpes
[S’installe à La Rouchouse, chez sa belle-famille],
avec...
5 453: Antoinette
CHAVOT, née vers 1600,
décédée le 7 mai 1668, à
Saint-Sauveur-en-Rue, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de
peut-être 68 ans), De La
Rouchouse [Note : Fille
de Pierre CHAVOT et Anne ROUCHOUZE], ... dont:
5 454: N…
MIRANDON, ... marié avec...
5 455: Catherine
GIRAUD, ...
dont:
5 968: Fleury
DUMAS, ...
marié avec...
5 969: Louise
QUIBLIER, ...
dont:
5 970: Charles
DESPINASSE, né en 1570,
décédé le 23 novembre 1626
(à l'âge de 56 ans), Marchand à Bouard, ...
marié avec...
5 971: Fleury
MANOA, née en 1575, décédée
en 1645 (à l'âge de 70 ans), ...
dont:
5 972: Maurice
REBOUD, décédé
avant 27 février 1628 [Note : Voir courriers de
Marie-Francçoise
PEYRACHE], ... marié vers 1603 avec...
5 973: Antoinette
CELLE, née vers 1580, décédée
le 2 mai 1655, à
Marlhes, 42, Rhône-Alpes (à l'âge de peut-être
75 ans), ... dont:
5 974: Pierre
CHAVOT, décédé après 1628,
Laboureur, ... marié avec...
5 975: Anne
ROUCHOUZE, décédée
le 22 mars 1680, ... dont:
8 616: Jacques
GÉRENTÈS, ...
marié avec...
8 617: Isabelle
CHILHAC [Note :
Avait
un frère, Etienne CHILHAC], ... dont:
8 672: Antoine
de SANHARD, Seigneur de Mortesagne , Ecuyer
[Note : Testament
: 24 janvier 1533 julien
Ou 25, selon les sources. Par cet acte, il institue son héritier
universel
noble Pierre de SAIGNARD, son fils aîné, et à son
défaut, lui substitue ses
autres enfants, qu'il fait ses héritiers particuliers; et enfin
le plus proche
de la lignée dudit testateur, tenant les noms et armes de
SAIGNARD (source :
Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV,
page
212).], ... marié avec...
8 673: Jeanne
Isabeau de SAINT-LAURENT, ...
dont:
8 674: Amblard
de BONNISSOLLE, ...
marié avec...
8 675: ?
?, ...
dont:
8 678: Annet
de BLEYNIER, marié
(2) avec Françoise de FAY de GERLANDE , ... marié (1)
avec...
8 679: Maguerite
de LA ROCHENÉGLY, ...
dont:
8 680: Jehan
ALLIER, Seigneur de la Fressange , Munas, etc.,
décédé
vers 1557 [Note : Il
constitue à sa sœur Marguerite 600 livres de dot, plus 100
pour ses vêtements
nuptiaux. Selon l'Armorial du Vivarais, page 11, en 1537, noble Jean
d'ALLIER,
seigneur de Fressange et paroisse de Saint-Didier, afferma le bien de
Munas
pour le prix de 285 livres. Il traite avec son frère Charles, le
2 avril 1539.
Il paraît dans des actes dès 1511, au moins jusqu'en 1544.
Il vivait encore
avec son épouse en 1551. En 1556, des cartes terrestres furent
établies (Ms
Chaleyer, liasse 1276). En 1523, les rentes de La Fressange sur le
faubourg de
Lyon sont établies (Terrier DEVILLE n° 5, Ms Chaleyer,
liasse 1276), ainsi
d'ailleurs que celles sur le faubourg de La ... (N) 1 et 2 terrier
DEVILLE,
Fonds Chaleyer, liasse 1276). Une copie de ces reconnaissances se
trouve
d'autre ... (Fonds Chaleyer, liasse 1285). Leur deuxième fils,
Jean, succéda au
premier, Gabriel, à la tête de la seigneurie. (cf d'Azur
au Lion d'Argent, par
Paul RONIN, tome III, page 71). Nous avons trouvé un
Bénévis par Jean ALLIER à
Jean FERRON, "d'une place requise du susdit messire Charles de Joyeuse,
à
titre d'hommage, sise au-dessus de la place de Saint-Didier
appelée de Vienne
"alias de Four" confrontant de matin ; avec les murailles de ladite
ville, du vent, la muraille de la maison forte du dict Allier, du
couchant à
Grégoire Claude et, de bise, la rue publique, sur le cens de 15
deniers et
intagres de 70 livres (an 1515)." (source : D'azur au Lion d'Argent,
par
Paul Ronin, tome I, page 197). Testament : 1er décembre 1556.],
... marié
en 1521 avec...
8 681: Blanche
DU PONT, ...
dont:
8 682: Roderic,
Ou Claude de THIOLLENT, Seigneur du thiollent et de La
Roderie ,
décédé en 1580 [Note : De
THIOLENT. Convoquée au ban (1543). Un chanoine-comte de Brioude
(1597) (source
: Dictionnaire des Anciennes Famille de l'Auvergne, par Ambroise
TARDIEU, tome
III, page 387). Du THIOLAND alias du THIOLAN ou du THIOLENT, cosgrs du
Thioland, de Vergezac, de La Bauche, de La Rodarie, de La
Vernède, de
Brechignac, de Beyssac près Monlet, etc. (Velay). Noblesse
chevaleresque dont
le nom patronymique était de FAYET et qui a la même
origine que les de
VERGEZAC. Raymond du THIOLAND était commandeur des Templiers du
Puy en 1208.
Noble Armand de FAYET (frère de Robert, sgr de Vergezac)
possâedait des rentes
nobles au Thioland en 1246. Pierre de FAYET avait épousé
Alde de LA BAUCHE
veuve en 1308, laquelle fit donation en 1315 à noble Robert son
fils, d'un
moulin au ruisseau de Saille et de terres à La Bauche et au
Thioland. Celui-ci,
sgr du Thioland en 1308, rendit hommage en 1348 au baron de St-Vidal et
à
Béatrix de SEREYS son épouse, seigneurs haut-justiciers
du Thioland. Il fit
donation en 1357, à son neveu noble Pierre de FAYET, sgr du
Thioland (1374 + en
1385), époux de Marguerite du SAUNIER, dame de Monteil
près Chapteuil. Leur
fils Guigon II du THIOLAND, surnommé SAUNIER à cause de
sa mère, sgr du
Thioland (1385-1408), laissa : Pierre du THIOLAND (1414). Isabeau de
SAINT-HAON, sa veuve, était tutrice en 1433 de guigon II (dit
SAUNIER dans
quelques actes), patron d'une vicairie dans l'église de Sanssac,
qui eut
permission en 1445, de Dragonnet de LA TOUR SAINT-VIDAL, sgr suzerain
du
Thioland, de reconstruire et fortifier avec tours et fossés le
château du
Thioland. Viennent ensuite : Jean du THIOLAND, écuyer, sgr du
Thioland
(1489-1517), père de Claude 1506-1562); Christophe, sgr du
Thioland et de La
Rodarie, marié le 1er janvier 1561 à Delphine ITHIER de
GéORAND; Jacues-Louis,
sgr du Thioland et de La Vernède (1591-1611). Il épousa
Charlotte d'AUREILLE
d'ALLERET, veuve en premières noces de François de
BERTRAND, baron de Prades,
Pradel, Pomperan, dont elle avait un fils : Gabriel de BERTRAND. Elle
eut de
son second mariage : Dauphine du THIOLAND, héritière de
sa maison, morte jeune
et dont tous les biens passèrent à son frère
utérin Gabriel de BERTRAND, sgr du
Thioland, etc., qui épousa Marguerite de GINESTOUX de LA
TOURETTE dont pas de
postérité. Cette dernière prit alors une seconde
alliance, la 4 novembre 1645,
avec Pierre-Antoine de ROCHEFORT, vicomte d'Ally, aron de La Tour
Saint-vidal,
auquel elle apporta le Thioland. Un chanoine-comte de Brioude (1597);
des
chanoines de N.-D. du Puy et de St-Georges de St-Paulien; des
chevaliers et
hommes d'armes; un chevalier de St-Jean de Jérusalem,
maître de la maladrerie
de Brives en 1481. Convoquée au ban de la noblesse d'Auvergne
(1543). Armes : d'or,
à trois annelets d'azur 2 et 1, au lambel de gueules en chef,
l'écu bordé de
même.
Alde de LA BAUCHE est appelée en 1281 Aude de GAVARET,
épouse de Pierre de
FAYET, sgr de Vergezac et possessionnée à La Bauche et au
Thioland. (Armorial
Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints,
1975, pages 449 et
507). De THIOLENT.-- Claude de THIOLENT, fut convoqué au ban de
1543, et autre
Claude de THIOLENT était chanoine-comte de Brioude en 1597,
Cette famille
pouvait avoir pris son nom du lieu de Thiolent, commune de Vergezac,
près des
limites du Velay. Armoiries : inconnues. (source : Nobiliaire
d'Auvergne, par
J.B. BOUILLET, tome VI, Clermont-Ferand, 1851, page 315).], ...
marié avec...
8 683: ?
?, ...
dont:
8 684: Jean
BRUNIER, Seigneur de Larnage ,
décédé
avant 26 février 1573, Chevalier [Note : Testament : 7
septembre 1659, la
date devant plutôt être 1559], ... marié
en 1540 julien avec...
8 685: Anne
de LA CHAPELLE, ... dont:
10 904:
(Voir 4 288).
10 905:
(Voir 4 289).
10 906:
(Voir 5 974).
10 907:
(Voir 5 975).
11 936: Jean
DUMAS, ...
marié avec...
11 937: N...
JANVIER, ...
dont:
11 940: Antoine
DESPINASSE, né en 1545,
décédé
après 1er octobre 1598, Laboureur d'Espinasses
[Note : Voir
courriers de Marie-Françoise
PEYRACHE], ... marié avec...
11 941: Jeanne
SEUX, née en 1550 julien,
décédée en 1598 (à l'âge de 48
ans), ... dont:
11 946:
(Voir 4 288).
11 947:
(Voir 4 289).
11 948: Jean
L'Aîné CHAVOT, décédé
en 1607, Laboureur au Tronc, ... marié
en 1576 avec...
11 949: Marie
LINOSSIER, ...
dont:
11 950: Claude
ROUCHOUZE, décédé avant 1607
[Note : Voir
courriers de Marie-Françoise
PEYRACHE], ... marié avec...
11 951: Antoinette
GRAND, décédée avant 1620, ... dont:
17 232: Pierre
GÉRENTÈS, né vers 1490, Marchand du
Puy-en-Velay [Note : Il
fit une reconnaissance à Claude de FLAGHAC, le 3 mars 1549], ...
marié avec...
17 233: Catherine
ESENT, ... dont:
17 344: Jean
de SANHARD, Ecuyer du Roi [Note : Il servit le roi avec
distinction. Jean de SAIGNARD étoit qualifié
d'écuyer, par une honorable lettre
du roi Charles VIII de 1481, à lui adressée. Cette maison
du Velay, qui a
fourni des chefs au temps des guerres de religion, est maintenant
divisée en
trois branches qui sont celles de La Fressange, de Sasselanges & de
Choumouroux. MM. de LA FRESSANGE possédoient le fief de la
Malfolie, près
Firminy, & ont de nos jours honorablement marqué leur place
dans le
militaire, la législature & la diplomatie. Jean-Dominique de
SAIGNARD,
chevalier, seigneur de Sasselanges, prêtoit l'hommage de Mons
& de
Tréméolles en Forez, à la date de 1751. Ses
successeurs, établis maintenant au
château de Veauchette, anciennement aux ROSTAING, nous
appartiennent depuis
lors tout à fait de résidence. La branhce de Choumouroux,
dont le siège est à
Yssengeaux, s'est aussi liée à notre province par le
mariage de Mlle de
CHOUMOUROUX, avec le vicomte du TREYVE-ROCHEFORT, résidant
à Bonlieu près Boën.
La maison de SAIGNARD porte qualification titrée dans ses trois
branches; elle
a fourni des pages & des chevaliers de St-Louis. Armes :
taillé d'azur, à
l'aigle éployée d'or & d'azur, au sautoir aussi d'or.
(source : L'assemblée
bailliagère de la Province de Forez en 1789, par Mr d'ASSIER de
VALENCHES, page
89).], ... marié le 18 février 1481
avec...
17 345: Jeanne,
Ou Catherine de LA TOUREILLE (ou de THORILLE ou de
THORELLE)
[Note : La Toureille était un fief situé dans la
paroisse de Glavenas, qui
donna son nom à cette famille. Philippe de LA TOUREILLE,
chanoine du Puy,
vivait en 1328. En 1313, Vitale, femme de Jean de LA TOUREILLE et
Artaud de
BRONAC, damoiseau, reconnaissent à l'évêque du Puy,
le mas de La Toureille. Cet
hommage est renouvelé en 1343 par Guigon de LA TOUREILLE et en
1362 par noble
Isabelle de LA TOUREILLE. Louis de LA TOUREILLE se maria en 1513 0
Marie Julienne
du PELOUX. Marguerite de LA TOUREILLE épousa Jean de BAILLARD,
écuyer. Noble
Isaac Outin de LA TOUREILLE assistait au mariage de sa cousine Claude
DELOUCHE
avec noble Clément de RETOURNAGUET le 25 octobre 1588. (sources
: La Famille
BARRAL de BARRAL en Velay et ses Alliances, par Louis PEYROCHE, page
185).
TOUREILLE (de LA) (Velay) : La Toureille (Turricula), en la paroisse de
Saint-Julien-du-Pinet, pourrait avoir donné son nom à une
famille, dont nous ne
connaissons que quelques membres. Philippe de LA TOUREILLE (de
TURRICULA),
chanoine du Puy, fut témoin d'un acte passé entre
Guillaume IV de CHALENCON,
doyen du Chapitre du Puy, et Pierre de BULHON, sgr de Cereis (4-30
avril 1238).
En 1319, Vitale, femme de Jean de LA TOUREILLE, et Artaud de BRONAC,
damoiseau,
reconnurent à l'Evêque du Puy, le mas de la Toureille et
ce que celle-ci avait
à Retournac et à Retournaguet; hommage renouvelé
en 1343, par Guigon de LA
TOUREILLE, et, en 1362, par noble Isabelle de LA TOUREILLE. Catherine
de LA
TOUREILLE épousa, le 18 février 1481, Jean II de SANHARD,
fils de Jehan, écuyer
du Roi. En 1513, Louis de LA TOUREILLE épousa Marie Julienne du
PELOUX, fille
de Bernardin et de Gabrielle de BRUNIER [corr. "de BRENIER"] de
LARNAGE. Marguerite de LA TOUREILLE épousa Jean de BAILLARD,
écuyer,
capitaine-châtelain du bourg et du fort de
Sainte-Sigolène. Il était fils de
Jean 1er et de Marguerite de ROIRAUD.
(source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien diocèse du Puy, par
Gaston de
JOURDA de VAUX, tome VII, page 102). Noble Jean BAILLARD I du nom,
Ecuyer, fut
fait Capitaine Châtelain de Sainte Sigolène dans la
Sénéchaussée du Puy par
Lettres du 19 Novembre 1540; & étoit Homme d'Armes de la
Compagnie de
Gilbert de LéVIS Comte de VENTADOUR, aux termes d'un certificat
que ce Comte lui
en donna le premier août 1571. Il fit son testament le 29
novembre 1585, par
lequel il voulut être enterré au tombeau de ses
prédécesseurs, & nomma son
exécuteur testamentaire haut & puissant Seigneur Claude de
ROIRAUD,
Seigneur du Villard & de Boucherolles. De son mariage avec noble
Marguerite
de LA TORREILLE ou de LA TOUREILLE il eut entr'autres enfants Jacques
BAILLARD,
qui suit. Noble Jacques BAILLARD épousa par contrat du 18
octobre 1600 Claude
de GRANDCHAMP, soeur de noble Antoine de GRADCHAMP, l'un & l'autre
enfants
de noble Jean de GRANDCHAMP, Ecuyer, Maître d'Hôtel du Duc
de VENTADOUR, &
de Demoiselle Fleurye CHAPELON. De cette alliance il eut pour fils Jean
BAILLARD, qui suit. Noble Jean BAILLARD II du nom, Ecuyer, Sieur des
Combaux,
épousa par contrat du 26 janvier 1644 Demoiselle Florence PINOT,
fille de noble
Pierre PINOT, & de Demoiselle Catherine DU PONT; testa le 2
août 1686;
& eut pour fils Marcelin BAILLARD. (source : Armorial
Général de France ou
Registre de la Noblesse de France, par d'HOZIER, registre III, 1ere
partie,
1752, page 101).], ... dont:
17 360: Gabriel
ALLIER, Seigneur de La Fressange ,
décédé
entre le 20 mars 1508 et 1509 [Note : Etait dit de
Saint-Didier, au
diocèse du Puy, en 11/1532. Il rendit hommage de ses biens au
baron de
Saint-Didier. Dans un autre hommage rendu en 1506, il est appelé
nobilis
domicielius Sanctus Desiderius. Il vivait encore le 15 mars 1508, mais
le 20
mars 1509, sa veuve payait le restant de la dot d'Anastasie ALLIER.],
... marié
en 1488 julien avec...
17 361: Florence
RODILHON, ...
dont:
17 362: Claude,
Ou Charles DU PONT, Seigneur de Munas [Note : PONT (du) Famille fort
ancienne du
Vivarais, maintenue en 1669 par M. de BEZONS, intendant de Languedoc,
&
dont la généalogie, qui se trouve dans LA
CHESNAYE-DESBOIS, t. XI, p. 414,
remonte, d'après cet auteur, à Raymond, comte du Pont,
qualifié haut &
puissant seigneur, vivant en 1150, vaillant homme de guerre, mort en
Terre-Sainte. Deux de ses branches se sont établies dans le
Valentinois &
les Baronnies. Jean du PONT était Trésorier de France en
Dauphiné; Claude du
PONT, de Soyons, vivait en 1603, & fut le trisaïeul de Nicolas
du PONT, qui
ne laissa pas d'enfants de Catherine de BARJAC. En lui
s'éteignit le premier
rameau dauphinois. Il vivait en 1670. Ange, dit "le chevalier du
Pont", fils cadet de Mathieu-Louis du PONT, chevalier, seigneur du Pont
& de Jonchères, & de Jeanne Du POYET, fut le chef de la
seconde branche
fixée en Dauphiné. Il fut officier au régiment de
Navarre, assista au dernier
siège de Philisbourg en 1744, & laissa de Louise
JAQUIER-VAULOUIS de
MONTBRUNET, qu'il avait épousée le 11 mai 1742 : 1°
Louis-Henri du PONT,
chevalier, qui fit les campagnes d'Allemagne dans le régiment de
Champagne,
& ne laissa de sa cousine germaine, Marie de BELLIDENTIS, qu'une
fille,
nommée Julie, vivant en 1776; 2° Louis-Alexandre, qui suit.
Louis-Alexandre du
PONT, dit, du vivant de son frère, le "chevalier du Pont",
était en
1776 officier au régiment de Champagne, depuis l'an 1679. C'est,
sans doute, le
même personnage que le comte du Pont, officier au régiment
de
Lyonnais-infanterie, détenu pendant la Terreur à la
maison d'arrêt de
Sainte-Marie de Valence. Il avait eu de N. de LAURENCIN : Ernest, comte
du
Pont, mort le jour de son mariage civil avec Melle Marie-Julie de GLOS,
remariée depuis avec M. Jules GARAMPEL de BRESSIEUX. Armes : De
gueules, au
sautoir d'or, cantonné de 2 étoiles d'argent, un
croissant d'or en chef, un
créquier en pointe, aussi d'or. La première branche,
fixée en Dauphiné, portait
: D'azur, au sautoir d'or, cantonné en chef d'un croissant
montant d'argent, en
flancs de 2 étoiles d'or, & en pointe d'un trèfle,
alias une feuille de
vigne, d'or. Cimier : Un casque d'argent, bordé d'or,
posé moitié de front,
surmonté d'une couronne de comte, avec deux bannières aux
mêmes armes, passées
en sautoir derrière d'écu. (source : Armorial de
Dauphiné, par Gaston de
RIVOIRE de LA BATIE, 1867, pages 540-541). Du PONT.-- D. COLL cite
Raymond du
PONT, vivant en 1196 et Jean du PONT, seigneur de Gagnac en 1470. Ce
dernier
était vraisemblablement au nombre des vassaux de la
vicomté de Carlat qui
prêtèrent serment au roi Louis XI, entre les mains de
DRAGUINET de LASTIC, et
dès lors on peut supposer qu'il appartenait à une famille
de même nom,
possessionnée en Quercy et en Rouergue depuis au moins 1271.
Elle a été
maintenue noble dans la généralité de Montauban le
22 août 1669. Trois autres
l'ont été à Nîmes et à Viviers en
1669, 1670 et 1671. Armoiries : inconnues.
(source : Nobiliaire d'Auvergne, par J.B. BOUILLET, tome V,
Clermont-Ferrand,
1851, page 158-9).], ... marié avec...
17 363: ?
?, ...
dont:
17 368: Jacques
BRUNIER, Seigneur de Larnage baron d'Aps, Chevalier
[Note : D'azur,
à
une bande d'or; au chef du même (Armorial de 1696). Ancienne
maison du
Viennois, seigneur de Larnage et Bonlieu. Jacques BRUNIER, chancelier
du
dauphin Humbert II, fut un des plus habiles et des plus fidèles
serviteurs de
ce prince. Son frère Guillaume BRUNIER, chevalier, docteur en
droit, combattit
à Crécy, en 1346 et continua la famille. Etienne BRUNIER,
seigneur de Larnage,
en Viennois, vivait en 1438. Jean de BRUNIER, petit-fils d'Etienne eut
deux
fils qui firent branche : Henry et geoffroy. C'est d'Henri qu'est venu
Jacques
de BRUNIER, seigneur de Larnage qui se qualifia seigneur et baron
d'Aps, par
suite de son mariage, du 9 juillet 1508 avec Catherine
d'ADHéMAR, fille de Bertrand
ADHéMAR, seigneur d'Aps et de Béatrix ALLEMAN. En 1613,
Jean de BRUNIER-ADHéMAR
de MONTEIL se qualifie, seigneur de Marsanne, Larnage et baron d'Aps.
Le 21
février 1670 Jean-Louis de BRUNIER renonce, moyennant 4000
livres à tous ses
droits et prétentions sur Aps. Cette renonciation fut faite par
transaction
intervenue devant PRIVAT notaire, entre ledit BRUNIER et
François de
CASTELLANE-ADHéMAR, archevêque d'Arles; Melchior de
POLIGNAC, abbé et baron de
MONTEBOURG, agissant en son nom et en celui du vicomte de POLIGNAC, son
frère;
François de LA BAUME, comte de SUZE, et Louis-François de
MONTAGUT, vicomte de
BEAUME. Les derniers représentants de cette maison sont : M.
Charles-César de
BRUNIER d'ADHéMAR de MONTEIL, marquis de Larnage, 28, rue
Saint-Lazare à Paris,
marié à Mme Vve LESCèNE, sans enfants. Mme
Hippolyte de BRUNIER, Faubourg
Chartrain à Vendôme (Loir et Cher). M. de BRUNIER,
château du Petit-Ours-Camp
Noyon (Oise). (source : Armorial du Vivarais, par Florentin
BENOÎT-d'ENTREVAUX,
Marseille Reprints, 1979, page 107). Le 3 décembre 1765, nous
voyons Messire
Jean-Baptiste-Louis-Benoit de BRUNIER de LARNAGE, seigneur de Morzellas
et
autres lieux, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis,
ancien
major au Rt de Rohan-Rochefort-Infanterie, résidant
ordinairement à Vienne,
paroisse de Saint-Georges, réclamer à Benoit CARRE et
Estienne-Antoine CARRE,
garde du corps de S.M., fils de sieur Vincent CARRE et de Louise PUPIL,
résidant dans leur maison de Volant, paroisse de Maleval, une
redevance de
trois bichets et demi pour une terre à la croisette de
Grataloup, mentionnée au
terrier de la rente des anniversaires acquise par le seigneur de
FOURNIER,
précédent seigneur de Morzellas, du seigneur de Villars.
Les armes de cette
famille sont : d'azur à la bande d'or; au chef du même.
Jacques BRUNIER,
chancelier du dauphin Humbert II, fut un des plus habiles et valeureux
serviteurs de ce prince. Son frère Guillaume BRUNIER, chevalier,
docteur en
droit, combattit à Crécy en 1436. De lui descendait
Etienne BRUNIER, seigneur
de Larnage, en Viennois, en 1438, dont le petit-fils Jean eut deux fils
qui
firent branche : Geoffroy, dont descendait Reynaud de BRUNIER, Sr de
Larnage,
en 1670, et Henry, dont Jacques BRUNIER, Sr de Larnage, baron d'Aps,
marié à
Catherine d'ADHéMAR de MONTEIL (...). En 1836, M. de BRUNIER de
LARNAGE
épousait Melle de LANDRIèRES, de Tours. A la fin du
dix-neuvième siècle la
famille était représentée par Charles-César
de BRUNIER d'ADHéMAR de MONTEIL
marquis de Larnage, marié à Mme Vve LESCèNE et
habitant Paris; Hippolyte de
BRUNIER, résidant à Vendôme et M. de BRUNIER,
à Noyon. (source : Les Châteaux
Historiques du Forez, par Emile SALOMON, tome III, page 187).], ...
marié
le 9 juillet 1508 avec...
17 369: Catherine
ADHEMAR DU MONTEIL, Dame d'Aps et de Marsanne, ... dont:
23 896: Pierre
CHAVOT, Laboureur de la Rouchouse [Note : Voir courriers de
Marie-Françoise
PEYRACHE], ... marié avec...
23 897: ?
?, ...
dont:
34 464: N...
GÉRENTÈS, né vers 1458 [Note : Originaire de Bournac.
Seigneurs de Saint-Quintin,
Mons (près le Puy), Chadrac, Riou, Rioux (près
Rosières), Saint-Marsal (par.
Saint-Julien-Chapteuil), la Chapelle (ibid.), etc. (Velay). Armes :
d'azur, au
cerf courant d'argent. Le nom "GéRENTES" est vieux en Velay : en
1130, comme le prouve un inventaire analytique concernant les droits
seigneuriaux sur le lieu d'Aleyrac, Etienne GéRENTES
concédait à la Collégiale
de Saint-Georges du Puy les droits de dîmes sur Aleyrac. De cette
famille,
originaire de Bournac (par. de Saint-Front), furent plusieurs consuls
de la
ville du Puy : Gaspard GéRENTES (1597); Jean "de
GéRENTES", ancien
capitaine-général du Puy, élu en 1634; Mathieu
GéRENTES, notaire, nommé consul
en 1637 et 1642, puis 2e consul en 1650; Gaspard GéRENTES, sgr
de Chadrac et de
Saint-Quintin, élu 1er consul en 1638; Gaspard GéRENTES,
nommé en 1605, 1618 et
1625; Antoine GéRENTES (1626); Jean GéRENTES, sgr de la
Chapelle (1628);
Claude-Nicolas GéRENTES, notaire (1681). En 1547, Claude
GéRENTES était
"hoste" du Puy. Gaspard GéRENTES, greffier de Foix, Commines et
Rieux, au Présidial de Toulouse, afferma, le 3 mars 1624,
moyennant une
redevance annuelle de 65 livres et 25 setiers de blé, la
totalité des revenus
de la Collégiale de Saint-Agrève du Puy. Gaspard
GéRENTES, sgr de Chadrac,
bailli pour l'Evêque du Puy en la cour commune de cette ville,
reçut de ce
dernier l'investiture pour la terre et seigneurie de Mons, qu'il avait
acquises
de Pierre-Antoine de ROCHEFORT d'ALLY , baron de Saint-Vidal (27
février 1635).
Il avait épousé Philippe CHAROAS, dite veuve en 1642. Le
5 févr. 1646, Gaspard
GéRENTES, praticien du Puy, reçut de la Collégiale
de Saint-Agrève,
l'investiture pour divers biens immeubles sis à Rioux, que lui
avait vendus
François COLOMB, chanoine de la Cathédrale du Puy. En
1673, François-Ignace
GéRENTES, fils d'autre François, était comme lui,
seigneur de Chadrac. Clauda
GéRENTES épousa Pierre "de GIRARD de RULHIER", chirurgien
apothicaire
du Puy (remarié à Clauda CHILHAC, dont un fils,
marié en 1733), fils de Louis,
sgr de Suc-Eyraud, et de Vidale SABOURIN, du Puy. En vertu de
reconnaissances
féodales, dont la plus ancienne remontait à l'an 1309, le
Séminaire du Puy
assigna successivement en paiement de censives, Marie-Françoise
BRUNEL de
SAINT-MARCEL, veuve de Gabrielle GéRENTèS (1703), Pierre
GâeRENTèS de RIOU, son
fils (1734). (source : Nobiliaire du Velay et de l'Ancien
Diocèse du Puy, par
Gaston de JOURDA de VAUX, tome III, page 87). GéRENTES alias
GéRENTèS, sgrs de
Chadrac près Le Puy, de Rioux près Rosières, de La
Chapelle et de St-Marsal
paroisse de St-Julien-Chapteuil, de St-Quentin, de Mons près Le
Puy, etc.
(Velay). Famille consulaire du Puy. Un Etienne GéRENTES
concéda l'an 1130, des
droits de dîmes en la paroisse d'Alleyrac, à la
collégiale de St-Georges du
Puy. Branche en Dauphiné (1440), éteinte au XVIIe
siècle. Antoine et Jacques
GéRENTES, marchands du Puy, vivaient en 1592. Nombreux consuls
de cette ville
dont : Gaspard GéRENTèS, sgr de Rioux (1597-1605-1618).
Antoine GéRENTèS(1619-1626);
autre Gaspard, 2e consul (1625); Jean Barthélemy
GéRENTèS, sgr de La Chapelle
et de St-Marsal près Chapteuil (1628); Mathieu
GéRENTèS, notaire, 2e consul
(1650); Jean de GéRENTèS, ancien capitaine
général de la ville du Puy, 2e
consul (1634). Gaspard, sgr de Chadrac, son frère, marié
à Philippe CHARROAS,
bailli de la cour commune du Puy, 1er consul en 1638 et 1645, avait
acquis le 7
octobre 1634 de Pierre-Antoine de ROCHEFORT d'ALLY, baron de St-Vidal,
les
terres et seigneuries de Mons, St-Quentin et leurs dépendances.
François-Ignace
GéRENTèS était en 1673, sgr de Chadrac, terre que
Béatrix, sa descendante,
apporta à son mari Marc-Antoine de SIGAUD, sieur de Loudes
(1694). Françoise
BRUNEL de ST-MARCEL est dite veuve en 1703 de Gabriel
GéRENTèS, sgr de Rioux,
avocat du Puy, d'où : Pierre GéRENTèS, sgr de
Rioux. Des chanoines de N.-D. du
Puy; plusieurs greffiers de la sénéchaussée du
Velay (1616-1659); un greffier
du présidial de Toulouse (1623); Probablement éteinte.
Armes : d'azur, au cerf courant
d'argent. (Armorial Général du Velay, par Georges PAUL,
Marseille Reprints,
1975, pages 204-205).], ... marié avec...
34 465: ?
?, ...
dont:
34 688: Jean
de SANHARD (ou
SAIGNARD), Seigneur de Saignard , Premier
écuyer d'écurie du
roi Charles VII, capitaine de cinquante hommes d'armes [Note : Seigneur de Saignard,
paroisse de
Saint-Voy, en Velay. Premier écuyer du roi Charles VII, anobli
par lettres
patentes que ce roi lui adressa le 29 avril 1439, suivant brevet
donné au Puy,
"pour nous avoir offert les premiers drapeaux pris sur nos ennemis dans
le
Velay, et pour les bons services qu'il nous a faits le temps
passé au fait de
nos guerres". Capitaine de deux cents hommes de guerre en 1590, il
commandait une compagnie de cent arquebusiers à pied en 1594.
Certaines
traditions font descendre cette maison des comtes souverains de Privas.
Elle
est très distinguée par ses alliances et ses services
militaires. Elle fut
maintenue dans sa noblesse par jugement de M. de BEZONS, intendant de
Languedoc, en date du 20 décembre 1668. Cette famille
possédait les fiefs du
Vernet, de Marminhac (la baronnie de Queyrières), Maumeyres,
Glavenas, etc...
Elle s'est divisée en plusieurs branches dites de Choumouroux,
de Sasselange,
La Fressange, du Vernet, des Granges du Vernet (sources : La Famille
BARRAL de
BARRAL en Velay et ses Alliances, par Louis PEYROCHE, page 185). La
maison de
SAIGNARD, alias SEIGNARD et SANHARD est originaire de la province de
Velay, où
elle possédait les fiefs de Vernet, Marmignac, Maumeires, et les
baronnies de
Mortesaigne et Queyrières. Elle s'est divisée depuis la
maintenue de monsieur
de BEZONS en plusieurs branches dites de CHOUMOUROUX, de SASSELANGE, et
de LA
FRESSANGE (cf Armorial de la Noblesse de Languedoc, tome I,
généralité de
Montpellier, par Louis de LA ROQUE, pages 459 à 461). Parmi les
nombreuses
branches de la maison de SAIGNARD, il en est deux qui appartiennent
à la
province de Vivarais : La branche des SAIGNARD de CHOUMOUROUX, qui
hérita au
XVIIème siècle de la seigneurie et château
d'Etables. La branche des seigneurs
de Maumignac (ou Marmignac), qui posséda dans la Vaucance le
fief de Maumeyres,
et dont un rameau posséda et habita le fief de Canson, sis aussi
dans la
Vaucance. Cette famille fut représentée à
l'Assemblée de la noblesse réunie à
Villeneuve-de-Berg en 1789 pour la nomination des
Etats-Généraux. Armes :
D'azur au sautoir d'or (armes portées par la branche de
Sasselange). Alias :
Ecartelé aux 1 et 4 d'azur, au sautoir d'or; aux 2 et 3 d'azur
à l'aigle éployé
d'argent (qui est d'ALLIER de LA FRESSANGE) (armes portées par
la branche de La
Fressange). Alias : Ecartelé : aux 1 et 4 d'azur au sautoir
d'or; aux 2 et 3
d'azur, à trois chevrons d'or (armes portées par la
branche de Choumouroux).
Joseph de Canson fit enregistrer ses armes à l'armorial de 1696
: D'azur, à la
bande d'or accompagnée de deux croissants d'argent. (cf Armorial
du Vivarais,
par Florentin BENOIT d'ENTREVAUX, page 435). Seigneurs de Sanhard (par.
de
Saint-Voÿ); seigneur et marquis de Choumouroux, la Fressange,
Sasselange;
seigneurs et barons de Queyrières et des Etats du Velay;
seigneurs de Chazeaux,
la Gardette, le Vernet, Marminhac, Mortesaigne, Montméa,
Glavenas, Mons,
Montchamp, Vialeron, le Besset, etc. (Velay), Canson, les Estables, la
Rivoire,
Maumeyres, etc. (Vivarais), Saint-Paul-en-Jarez, Trémolles, etc.
(Forez),
Pompéranc, les Quaires (près Vic-le-Comte), et (en
parerie avec le Roi), de la
Besseyre-Saint-Mary, etc. Auvergne). Armes différentes selon les
branches.
Branche aînée : d'azur au sautoir d'or. Noble Jehan de
SAIGNARD, écuyer du Roi,
commandant 50 hommes d'armes. En 1439, il fut promu écuyer du
roi Charles VII,
pour avoir offert à ce Prince, lorsqu'il n'était que
Dauphin, les premiers
drapeaux enlevés aux ennemis, en Velay. Il fut
créé chevalier, par le même Roi,
dans la cathédrale du Puy, en récompense des services
qu'il avait rendus, au cours
de la guerre, Charles VII y ajouta un "don magnifique", dûment
enregistré, le 29 avr. 1439, au bailliage de
Montfaucon-en-Velay. (source :
Nobiliaire du Velay et de l'Ancien Diocèse du Puy, par Gaston de
JOURDA de
VAUX, tome VI, pages 113 à 121). SAIGNARD ou SAGNARD, famille
des plus ancienne
du Languedoc, et distinguée par ses alliances et ses services
militaires,
divisée en plusieurs branches : 1° celle de SAIGNARD de LA
FRESSANGE, barons de
Queyrières et des Etats du Velay, dans laquelle ,s'est fondue la
maison
d'ALLIER de LA FRESSANGE, dont elle a porté le nom; 2°
celles des SAGNARD de
CHOUMOUROUX La maison de CHOUMOUROUX est ancienne et a contracté
de belles
alliances. Elle prouve une filiation suivie depuis : Gabriel, seigneur
de
Choumouroux...), qui, s'étant alliée avec la
dernière héritière de Choumouroux,
en porte le nom; 3° celle des marquis de Sasselange, issus de la
seconde
branche, laquelle est représentée de nos jours, par M. le
marquis de
Sasselanges, ancien premier page du Roi, ancien colonel de cavalerie.
Cette
famille possède des lettres autographes des rois Charles VI et
Henri IV. Jean
de SAIGNARD est qualifié écuyer, dans les lettres du roi
Charles VII, de l'an
1481. (source : Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de
SAINT-ALLAIS, tome
XIII, pages 400 à 404). De SAIGNARD, SAGNARD, SANIARD, ou
SANHARD, famille des
plus anciennes du Languedoc, distinguée par ses alliances et ses
services
militaires, ayant donné nombre de capitaines de mérite et
plusieurs
officiers-généraux. Il est peu de familles, qui, aussi
peu nombreuses que celle
de SAIGNARD, puissent fournir autant de preuves de service. Presque
tous les
membres de cette maison ont embrassé la carrière des
armes depuis le treizième
siècle, et ont acquis des grades honorables. En 1760, à
la seule bataille de
Rhinberg, trois gentilshommes de cette famille furent blessés,
et un quatrième
tué. Il est à remarquer que tous les membres de cette
famille ont été décorés
de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, depuis l'institution de
cet
ordre. Elle s'est divisée en plusieurs branches, 1° celle
des SAIGNARD de LA
FRESSANGE, barons de Queyrières et des Etats du Velay, laquelle
s'est alliée
avec la dernière héritière de la maison d'ALLIER
de LA FRESSANGE, et a joint à
son nom celui de cette maison, ainsi que les armes; 2° celle de
CHOUMOUROUX,
qui, issue des SAIGNARD de LA FRESSANGE, s'allia avec la
dernière héritière de
Choumouroux (La maison de CHOUMOUROUX, dont le nom est écrit
quelquefois de
CHAMARROUX dans les anciens actes, est distinguée par ses
alliances et son
ancienneté. Elle prouve sa filiation depuis : Gabriel, seigneur
de
Choumouroux...), dont elle joignit également le nom au sien,
ainsi que les
armes; 3° celle des SAIGNARD de SASSELANGE. D'anciennes traditions
font
descendre cette famille des comtes-souverains de Privas, mais comme
dans une
matière aussi sérieuse, il faut apporter des titres
indiscutables à l'appui des
origines, nous faisons seulement mention ici des traditions, pour
qu'elles ne
soient point perdues pour cette famille, et sans y apporter d'autre
importance.
Jean de SAIGNARD, 1er du nom, est le premier que l'histoire nous
montre; il est
fait mention de lui en 1439, comme commandant de cinquante hommes, et
comme
ayant été promu en la qualité de premier
écuyer de Charles VII, pour avoir
offert à ce prince, lorsqu'il était dauphin, les premiers
drapeaux qui furent
pris sur ses ennemis, dans le velay. Armes : La branche de La FRESSANGE
porte :
écartelé : aux premier et quatrième, d'azur, au
sautoir d'or; aux 2 et 3, d'azur
à l'aigle éployée d'argent, qui est d'ALLIER de LA
FRESSANGE; la branche de
CHOUMOUROUX porte : écartelé, d'azur au sautoir d'or, et
d'azur à trois chevron
d'or; celle de Sasselanges, d'azur au sautoir d'or. (source :
Nobiliaire
Universel de France, par Nicolas de SAINT-ALLAIS, tome XV, pages 209
à 223). De
SAIGNARD, très ancienne famille du Languedoc, connue par
filiation depuis Jean
de SAIGNARD, 1er du nom, pourvu de l'office de premier écuyer du
roi Charles
VII, le 29 avril 1439. Elle a formé plusieurs branches : 1°
les seigneurs de la
Fressange, barons de Queyrières et des Etats du Velay; 2°
les seigneurs de
Glavenas; 3° les seigneurs de Choumouroux; 4° les seigneurs et
marquis de
Sasselanges. Services : Un capitaine de deux cents hommes de guerre en
1590,
commandant une compagnie de cent arquebusiers à pied en 1594;
deux autres
capitaines de cent arquebusiers; deux lieutenants aux régiments
de Navarre et
Dauphin; deux brigadiers des armées du roi; cinq capitaines , et
plusieurs
officiers au régiment d'Auvergne; un major au régiment
des grenadiers royaux du
Quercy; un lieutenant-colonel de cavalerie; un chef d'escadron,
adjudant-major
au 1er régiment des grenadiers à cheval de la garde
royale; des gouverneurs de
places; la plupart de ces officiers décorés de l'ordre
royal et militaire de
Saint-Louis. Armes : Branche de La Fressange : écartelé,
aux 1 et 4 d'azur, au
sautoir d'or, qui est de SAIGNARD; aux 2 et 3 d'azur, à l'aigle
éployée
d'argent, qui est d'ALLIER de LA FRESSANGE. Branche de Choumouroux :
écartelé,
aux 1 et 4 d'azur, au sautoir d'or, qui est de SAIGNARD; aux 2 et 3,
à trois
chevrons d'or, qui est de CHOUMOUROUX. Branche de Sasselanges : d'azur,
au
sautoir d'or. (source : Dictionnaire Véridique des Origines des
Maisons Nobles
ou Anoblies du Royaume de France, par M. LAINé, tome II, pages
379-380). Selon
une légende familiale rapportée par les descendants de la
famille de LA
FRESSANGE, son grand-père aurait été
emprisonné dans la Tour de Londres après
une bataille de la guerre de Cent Ans. Il aurait alors gravé son
nom sur les
murs de sa geôle dans cette célèbre prison, et ce
nom pourrait encore être lu
aujourd'hui (source Les SAGNARD de CHOUMOUROUX, par Jérôme
SAGNARD, page 3).
L'origine géographique de cette famille se situe au pied du pic
de Lisieux.
L'ancien château de Bonas se situait sur le côté sud
(Saint-Voy-en-Velay). Le
castrum est signalé dès 957 et fut détruit vers
1290. Ce château, apparemment
très vaste aurait occupé une superficie au sol de plus de
2000 m², et aux
abords, sept châtelets auraient défendu l'approche de
Bonas ou Bonnas :
Chastel, Vueilh, Bronac, Montgiraud, La Chièze, Les Hermens, La
Batie, Sagnard.
Ce dernier lieu existe toujours, et une ferme y a été
construite entre 1850 et
1875, en réutilisant les pierres de la construction
précédente. Ce lieu
s'orthographie Sagnard. Ce nom proviendrait du mot Sanhard,
formé du patois
Sanha et du suffixe augmentatif ou péjoratif Hard. Une sagne est
une plante
marécageuse, mais aussi une terre marécageuse ou humide.
Sanhard pourrait donc
être l'homme habitant une terre humide, ce qui semble être
vérifié par la
géographie physique du lieu. L'idée d'une motte castrale
située au-dessus de
cette plaine marécageuse n'est pas à exclure car celle-ci
aurait pu servir de
défense militaire en cas d'attaque. Cette famille porte d'azur
au sautoir d'or.
La couleur azur est une couleur royale, et le sautoir une pièce
marquant la
combinaison entre une bande et une barre, synonyme de croix de
Saint-André. En
tenant compte de la symbolique médiévale, on pourrait
donner comme explication
à ce blason : Jean de SAIGNARD est fait écuyer dans la
cathédrale Notre-Dame du
Puy, où il existe une chapelle Saint-André. De plus,
Saint-André est l'un des
premiers apôtres à avoir suivi le Christ et Jean de
SAIGNARD l'un des premiers
à avoir soutenu Charles VII, alors dauphin malmené. La
croix de Saint-André
représente la croix où fut crucifié l'apôtre
Saint-André. Ce blason est peu
représenté en France (familles SAINT-ANDRé, de
NOBLET de LA CLAYETTE et
MESSEY), et l'équivalent en écosse est Saint-Andrews.
(source Les SAGNARD de
CHOUMOUROUX, par Jérôme SAGNARD, pages 5-6). De SAIGNARD,
alias SAGNARD ou
SANIARD et SANHARD, sgrs de Saignard paroisse de St-Voy, marquis de
Sasselenge
(1777), de La Fressange, comtes de Choumouroux, barons de
Queyrières et des
Etats du Velay, sgrs de Vernet, de Marminhac, de Mortesaigne, de
Maumeyre, de
Préaux, de Chazeaux, de Montméa, de Glavenas, de
Rioufreyt, d'Estables, de
Canson, du Besset, cosgrs de Glavenas, sgrs de Tremeolles, de
Montagnac, de
Taillefer, de Mons, etc. (Velay-Vivarais-Forez). Noblesse du Velay,
très
distinguées par ses services militaires. Sa filiation suivie
remonte à Jean de
SANHARD sgr dudit lieu, créé par lettres patentes du 29
avril 1439, premier
écuyer du roi Charles VII, en récompense de ses services
pendant la guerre des
Anglais et "pour lui avoir offert les premiers drapeaux pris sur les
ennemis dans le Velay"...... Très beaux services militaires; un
mousquetaire du Roi (1662), de nombreux capitaines au régiment
d'Auvergne-Infanterie, chevaliers de St-Louis; des gendarmes et gardes
du corps
du Roi; des officiers supérieurs; deux brigadiers des
armées du Roi
(1734-1756); une demoiselle de St-Cyr (28 mars 1777), chanoinesse de
Joursey;
deux pages de la petite écurie du Roi (1733-1762); un page des
rois Louis XV et
louis XVI, lieutenant-colonel de cavalerie, commandant des Gardes
Nationales de
la Haute-Loire (1816); un député au grand collège
de la Haute-Loire (1815),
etc. Convoquée au ban et
arrière-ban de
la noblesse du Velay et en 1789, aux assemblées de la
sénéchaussée du Puy.
Belles alliances. Armes : d'azur, au sautoir d'or. La branche de La
Fressange
écartelait : d'azur, à l'aigle essorante d'argent (qui
est d'ALLIER). Celle de
Choumouroux : d'azur, à trois chevrons d'or (qui est de
Choumouroux). (Armorial
Général du Velay, par Georges PAUL, Marseille Reprints,
1975, page 409).
événement : Lettres patentes 29 avril 1439 julien Le
Puy-en-Velay,43,Haute-Loire,Auvergne,FRANCE, - Transcription - Lettres
Patentes
de Charles VII - Nobiliaire Universel de France, par Nicolas de
SAINT-ALLAIS;
-Tome XV, pages 211-212; -photocopie -Maître de notre
hôtel, et vous maître et
contrôleur de notre chambre aux deniers, savoir faisons que pour
le bon rapport
qui fait nous a été des sens, loyauté et bonne
diligence de notre bien-amé
l'écuyer Jean de SAIGNARD, et pour considérations des
bons services qu'il nous
a faits le temps passé, au fait de nos guerres, si comme il nous
a été
remontré, et espérons que plus il fasse icelui Jean de
SAIGNARD; pour ces
causes et autres à celle mouvans, avons aujourd'hui retenu et
retenons, par ces
présentes, notre premier écuyer d'écurie, pour
nous servir dorénavant audit
office, aux honneurs, prérogatives, franchises, libertés,
gages, hôtellages,
lucraizons, droits, profits et émolumens accoutumés, et
qui y appartiennent, si
vous mandons et expressément en joignons et à chacun de
vous si comme à lui
appartiendra, que pris en reçu dudit Jean de SAIGNARD le serment
sûr et
accoutumé; et notre présente retenue, enregistrée
ès registres papiers et
écrits de notre dite chambre aux deniers, avec celle de nos
autres officiers,
de semblable retenue, étant du même office, ensemble des
honneurs,
prérogatives, franchises, libertés, gages,
hôtellages, lucraizons, droits,
profits et émoluments des sudites faites, soufrés et
laissés jouir et user
pleinement et paisiblement, en lui comptant et payant iceux gages et
hôtellages, aux termes et en la manière accoutumé
et par rapportant ces
présentes au vidinus d'icelles fait sous le scel royal, pour une
fois
seulement, nous voulons tpout ce que compté et payé lui
en sera être alloué de
compte et rabattu de la recette de vous maître de notre chambre
aux deniers,
par nos amés et féaux gens de nos comptes, auxquels
mandons ainsi la faire sans
difficultés, nonobstant quelconques ordonnances, restrictions,
mandemens ou
déffences à ce contraire. Donné au Puy, le
vingt-neuvième jour d'avril l'an de
grâce 1439. Par le Roi, Messire GASTONET (GASTE), et autres
pré-sens, CHALIGAUD.],
... marié avec...
34 689: ?
?, ...
dont:
34 720: Jehan
ALLIER, Seigneur de La Fressange [Note : Un de ses enfants
semble être
aller se fixer en Vivarais (le 4 mars 1552 testait noble Philibert
ALLIER,
seigneur de Monteil, de Valence et de la Bastide d'Andaure......), du
moins
c'est à Saint-Agrève qu'il passa une convention avec son
neveu, Jean ALLIER
(chez le notaire de Mars, de Saint-Agrève). Il maintint la
donation faite par
son père de la chapelle de l'église de Saint-Didier
(cette donation fut faite
chez le notaire Barthélemy CORDOAN le 6 août 1579, f°
4 manuscrit de Jean
PIQUET, Fonds Chaleyer, l. 1278, n°...). (cf d'Azur au Lion
d'Argent, par Paul
RONIN, tome III, page 70). Il hérita en 1420 de noble Jacques de
RIS ou de RIX
et qui vivait encore en 1479 (source : Le Nobiliaire du Velay, par
Gaston de
JOURDA de VAUX, tome I, page 35).], ... marié en 1434
avec...
34 721: Marguerite
de SAINT-JEURE, ...
dont:
34 722: Pons
RODILHON, Seigneur de Combraux (ou Combriol)
[Note : RODILHON,
sgrs de Pouzols près
St-Just-de-Chomelix (Auvergne). Noblesse possessionnée à
St-Privat-d'Allier.
Nobles Claude et Antoine RODILHON étaient sgrs de Pouzols en
1508 et 1512.
Antoinette de RODILHON de MONTGEORGE devint coadjutrice et
peut-être abbesse du
monastère de Ste-Claire de Clermont en 1548. (Armorial
Général du Velay, par
Georges PAUL, Marseille Reprints, 1975, page 397).], ... marié
avec...
34 723: ?
?, ...
dont:
34 736: Didier
BRUNIER, Seigneur de Larnage [Note : Cité en 1448 et
1475], ... marié
avec...
34 737: Isabeau
de THEYS, ...
dont:
34 738: Bertrand
ADHEMAR DU MONTEIL, Baron d'Apt ,seigneur de Marsanne,
d'Aps,
... marié avec...
34 739: Béatrix
ALLEMAN, ...
dont:
69 440: Gabriel
ALLIER, Seigneur de La Fressange ,
décédé
après 3 août 1436 julien, Ecuyer,
licencié ès droits, juge au
Puy en 1408 [Note : Paraît
avec son père dès 1403. Le 20 octobre 1420, est
appelé "licencié
ez-lois", " pour la remise de son âme et de celle de ses
parents", Jean ALLIER, son père et Aelis de CHAZELLE, sa
mère, des nobles
Jeanne et Cécile, ses soeurs et de noble Jacques de RIO( Fonds
Chaleyer, liasse
631, f° 38). Le 30 avril 1408, il était juge au Puy ( Arch.
Haute-Loire série G
441). Il fait une fondation dans l'église de Saint-Didier. Nous
avons trouvé,
établies le 6 octobre 1421, une autorisation donnée
à Gabriel 1er d'élever des
fourches patibulaires à Chaumont (Ms Chaleyer, reg. 1556, pl. A,
n° 92, p 178)
et, à la même date, une transaction avec Armande de
POLIGNAC, concernant
Jacques de RIO (Ms Chaleyer, liasse 1556, pl. A, n° 92, p 178).Le 3
août 1436, dans
un acte, il est appelé "vénérable et circonspect
homme". Il fit son
testament, dont on ne possède qu'un court extrait. Il ne parle
que de son fils
aîné, mais il semble qu'il eut plusieurs enfants, et qu'il
substitua
successivement les uns aux autres. Il aida particulièrement
l'Université
Saint-May... au Puy, et lui confia la charge d'élever des clercs
pris de
préférence dans les paroisses de Saint-Didier,
Dunières, Lapte,
Saint-Pal-de-Mons et Retournac, où il avait, sans doute, des
propriétés (Fonds Chaleyer,
l. 1556, Pl. An° 92, p 178). (cf d'Azur au Lion d'Argent, par Paul
RONIN, pages
69-70). Juge de la cour commune du Puy,
le 30 avril 1408 (source : Les Châteaux Historiques de la
Haute-Loire, par
Gaston de JOURDA de VAUX, tome II, page 86). Testament : 3 aout 1436 au
Puy-en-Velay, 43, Auvergne.], ... marié avec...
69 441: ?
?, ...
dont:
69 442: Antoine
de SAINT-JEURE, Seigneur de la Bastie d'Andaure, ... marié avec...
69 443: ?
?, ...
dont:
69 472: Etienne
BRUNIER, Seigneur de Larnage ,
décédé
avant 25 août 1446, Chevalier [Note : Cité en 1413 et
1438. Dit
petit-fils de Guillaume. Armes : d'azur à la bande d'or, au chef
de même
(Armorial de 1696). Selon le Grand Armorial de France, par Henri JOUGLA
de
MORENAS, tome II, page 284, ces armoiries figurent à la salle
des Croisades du
palais de Versailles. BRUNIER. Larnage, Bonlieu. Jacques BRUNIER,
chancelier du
dauphin Humbert II, fut un des plus habiles et des plus fidèles
serviteurs de
ce prince; mais sa mort, arrivée en 1348, livra Humbert à
des influences
opposées qui ne tardèrent point à amener son
abdication, et, avec elle, la
cession du Dauphiné à la France. Son frère,
Guillaume BRUNIER, chevalier,
docteur en droit, combattit à Crécy, en 1346, et continua
la famille. Etienne
BRUNIER, seigneur de Larnage, vivait en 1438; Jean de BRUNIER,
petit-fils
d'Etienne, eut deux fils qui firent branche : Henry et Geoffroy.
D'Henri est
venu Henri de BRUNIER-ADHéMAR de MONTEIL, seigneur de Marsanne,
Larnage,
Bonlieu et baron d'Aps, vivant en 1671. Il joignait le nom
d'ADHéMAR au sien en
raison du mariage contracté en 1508 par Jacques de BRUNIER,
seigneur de
Larnage, son trisaïeul, avec Catherine ADhéMAR, dame d'Aps
et de Marsanne.
Hauts et puissants seigneurs messire Alexandre ADHéMAR de
MONTEIL de BRUNIER,
comte de Marsanne, premier gentilhomme de la chambre de feu le roi de
Pologne,
grand bailly de Nomény, chevalier de Saint-Louis, etc, demeurant
à Neuville,
près de Nancy, et Jean-Charles-Alexandre de
BRUNIER-d'ADHéMAR de MONTEIL,
marquis d'Heudicourt, seigneur de Lenoncourt et autres lieux, capitaine
de
cavalerie, résidant à Nancy, vendirent, le 20
décembre 1784, les terres de
Marsanne, la Laupie et Bonlieu à noble Julien Martin DELAPORTE,
receveur des
finances en l'élection de Montélimar. Cette branche des
BRUNIER resta en
Lorraine. De Geoffroy de BRUNIER descendait Reynaud de BRUNIER, sieur
de
Larnage, en 1670. Il fut l'auteur de la branche des seigneurs de
Larnage, terre
qui par la suite passa successivement aux familles d'URRE, de LA FOREST
de
DIVONNE, et fut acquise, en 1758, par noble Claude-François
MURE, secrétaire au
parlement de Grenoble, dont les descendants la possèdent encore.
La branche des
ADHéMAR de MONTEIL de BRUNIER de LARNAGE, est
représenté par M. BRUNIER de
LARNAGE, ancien officier supérieur, qui a épousé,
en 1836, Mlle de LANDRIèRES,
de Tours, où il réside. Armes : D'azur à la bande
et au chef d'or. (source :
Armorial de Dauphiné, par Gaston de RIVOIRE de LA BATIE, page
114).], ... marié
avec...
69 473: ?
?, ...
dont:
138 880: Jehan
ALLIER, Seigneur de La Fressange ,
décédé
après 20 octobre 1420, Notaire à
Saint-Didier [Note : Etait
notaire à
Saint-Didier-la-Séauve. Anobli en 1375, il reçut ses
lettres de noblesse du roi
Charles V, lors du passage de ce dernier au Puy, en 1378. A la mort de
Plotard
de ROCHEBARON, son cousin et héritier, Guigon de ROCHEBARON,
vend le Mas Ploto
(plus tard le Malploton), ainsi que le domaine et bâtiment de La
Fressange, le
22 août 1372 à Jehan ALLIER. Ce dernier en reçu
l'investiture au château de
Polignac, le 22 août 1372, de noble Armand vicomte de POLIGNAC.
Il rend hommage
le 7 août 1385, pour le Mas Ploto, à Louis de JOYEUSE,
époux de Thiburge de
SAINT-DIDIER, et peut-être suite au délabrement de cette
demeure, il s'installe
tout près de Saint-Didier-en-Velay, à La Fressange, dont
il prend le nom. Armes
: D'azur à l'aigle éployée d'argent (STEYERT).
Alias : D'azur à l'aigle
essorante d'argent (sculpté dans l'escalier du château de
Saint-Romain-Lachalm). Le baron Jausserand de SAINT-DIDIER
aliéna le Masploton,
ainsi que les terres de la Fressange en faveur de Briand de ROCHEBARON
qui les
rétrocéda en 1352 (le 22 juillet 1352), à noble
ALLIER qui prit dès lors le nom
de LAFRESSANGE (D'azur au Lion d'Argent, par Paul Ronin, tome I, page
148).
Jausserand de SAINT-DIDIER fit son testament (reçu par Jean
ALLIER, et Jehan de
CHAMPAVERE, notaires à Saint-Didier), le 23 janvier 1367 au
château de la
Mastre (sourec : D'azur au Lion d'Argent, par Paul Ronin, tome I, page
149). Le
28 septembre 1372, le vicomte Armand de POLIGNAC, comme administrateur
de noble
Jean de POLIGNAC, son fils et de Thiburge de SAINT-DIDIER, femme dudit
Jean,
donnait "exemption aux habitants de la ville et du mandement de
Saint-Didier, du paiement des droits de leyde pour les denrées
et marchandises
qu'ils vendraient en leurs maisons ou bans", acte reçu par Jehan
ALLIER,
notaire royal à Saint-Didier (source : D'azur au Lion d'Argent,
par Paul Ronin,
tome I, page 164). En 1378, le 17 février, appelée haute
et puissante
demoiselle, Thiburge, dame de Saint-Didier et de la Mastre, donna
procuration à
Jean ALLIER de poursuivre et soutenir ses droits sur les biens de noble
et
religieux homme "frère Guichard de SAINT-DIDIER, de l'ordre de
Saint-Antoine de Vienne" (source : D'azur au Lion d'Argent, par Paul
Ronin, tome I, page 166). D'après l'Armorial
Général du Velay de Georges PAUL :
D'ALLIER, seigneurs de La Fressange près
Saint-Didier-la-Séauve, de Jussac,
etc, coseigneurs de Mons près Retournac (Velay). Noblesse des
confins du Velay
et du Forez, éteinte dans les de SAIGNARD. Noble Pierre d'ALLIER
rend hommage
en 1285, à l'évêque du Puy de divers fiefs dans le
mandement de Mons près
Aurec. Adhémar d'ALLIER, damoiseau, est cité dès
1347. Jean d'ALLIER, de Saint-Didier,
rend hommage en 1381, de rentes sises à Saint-Pal-de-Mons et
à Retournac. Jean
Randon d'ALLIER est qualifié seigneur de Jussac en 1462. Un juge
de la Cour
commune du Puy (1408). Noble Gabriel d'ALLIER, seigneur de la Fressange
près
Saint-Didier, vivait en 1594. Dans Preuves de la Maison de POLIGNAC
(tome II,
page 181) : N° 288 : Le Puy le 14 mai 1399, foi-hommage de noble
Jean ALLIER à
Randon-Armand, vicomte de Polignac. D'après l'Armorial du
Vivarais, par
Florentin BENOIT d'ENTREVAUX, page 11, la famille ALLIER est connue en
Velay
sous le nom de FRESSANGE, où elle prend la qualité de
noble au XVIème siècle...
Dame Marie d'ALLIER, femme de M. de LEYRIS, vivait au commencement du
XVIIème
siècle... Nous trouvons en Vivarais la seigneurie d'Allier,
paroisse de
Saint-Martin-le-Supérieur, qui fut cédée au
XIIIème siècle par les POITIERS à
la maison de QUINT, et vendue en 1289, 14 mars, par Pierre QUINT
damoiseau,
seigneur de Saint-Michel-de-Barbières en Dauphiné,
à Pons de MIRABEL. Mais rien
ne nous indique que la seigneurie d'Allier ait appartenu à la
famille de ce nom
dont il est question dans cette notice. D'après Paul RONIN, dans
D'Azur au Lion
d'Argent, tome III, pages 68 à 80 : Parallèlement aux
seigneurs de
Saint-Didier, une famille originaire du Languedoc, vint s'installer au
chef-lieu de la baronnie et s'y distingua bientôt par ses
alliances et ses
services militaires. Toutefois, on ne saurait trouver aucun titre
où elle soit
mentionnée avant 1250. D'anciennes traditions la font descendre
des comtes souverains
de Privas. Plusieurs membres de cette famille auraient
été au service des rois
de Jérusalem, du nom de LUSIGNAN. (Ms Chaleyer, registre 1556,
planche A, n°
92, p 177). Le château de La Fressange fut construit, non pas
vers la fin du
XVIIème siècle, ainsi que l'affirme Francisque MANDET,
mais bien vers la fin du
XVIème. Ce domaine, une vaste ferme avec maison d'habitation
percée de
meurtrières entourée de vastes champs et peuplée
d'un nombreux bétail, qui
subsiste encore, appartenait depuis 1372 aux ALLIER.
Cette famille se rattachait-elle à celle du notaire Jean ALLIER,
qui, le 29
novembre 1338, signait la reconnaissance faite par les home de Saigues
les
Saint-Just-en-Velay à noble Guillaume TAILLEFER, 1er du nom, et
seigneur du
Chabon ? Le 6 juin 1361, le domaine de La Fressange fut
délimité(Ms Chaleyer,
liasse 1285, parchemin in-f° n° 17). Pierre d'ALLIER, fils de
Guillaume, marié
en 1346 (n. st.), à Catherine MALOERT (Arch. Haute-Loire,
série G 10). Pierre
d'ALLIER était possesseur, le 25 août 1355 d'une maison
sise au Puy, rue de
l'Ouche-des-Farges, qu'il avait acquise de Guillaume CHANDORAT (Arch.
Haute-Loire, G 409). Jean d'ALIER, bourgeois du Puy,
propriétaire, le 29 juin
1327, d'une vigne au terroir de Reillac, et qui testa le 3 juillet
1361(Arch.
Haute-Loire G 381). Le 22 août 1372, Jean d'ALLIER 1er, avait
reçu, au château
de Solignac, des mains de noble Armand de Polignac, comme
administrateur de son
fils Jean, marie de Thiburge de SAINT-DIDIER, "l'investition" de la
terre de Lafressange, acquise de Briand de ROCHEBARON, qui l'avait
acquise
lui-même du baron Jausserand de SAINT-DIDIER. En 1385, il rend
hommage à Louis
de JOYEUSE, baron de Saint-Didier, et 4ème mari de Thiburge
(acte reçu chez
Gro..., notaire). Le 17 juin 1376, noble Jehan ALLIER et Didier COPIER
échangèrent un pré appelé de la Murette
avec un autre pré appelé Sagnelonge (Ms
Chaleyer, liasse 1256, parchemin in-f°, n° 26). Le 11 septembre
1379
"achept pour noble Jehan ALLIER par noble Mathieu SALENOMEN contre les
rentes qu'il prend à Saint-Didier et Auriec (Ms Chaleyer, liasse
1287, in-f°
parchemin n° 30). En 1383 (A. LASCOMBES : Répertoire de
Hommages Rendus aux
Evêques du Puy) Jean d'ALLIER fait reconnaissance de ce qu'il a
à Artios et
Artiles. En 1396, on cite deux reconnaissances reçues par Jean
ALLIER, pour des
terres situées à Vaunac (Terrier de Balthazar de BEAU,
sieur de Laval). En un
autre endroit, appelé noble Jean d'ALLIER de SAINT-DIDIER (...)
il reçoit
reconnaissance pour une terre située à Sarlex. En 1398,
un terrier fut établi
par noble Jean ALLIER. Y est mentionnée la vente de Celleyres,
contenant
reconnaissance à lui passée par Jacques NEYRAN et
GOURMAND, du tènement de La
Corte, du Breuil et de Pralong, du Chambonnat et du Bosc (Ms Chaleyer,
liasse
1289, in-f°, n° 12). Jean Allier parait encore dans un acte de
1403, avec son
fils Gabriel. Il eut plusieurs enfants, qui sont désignés
dans un acte de leur
père passé, le 20 octobre 1420. D'après le
nobiliaire du Velay, par Gaston de
JOURDA de VAUX, tome I, pages 34 à 36 : Seigneurs de la
fressange, Jussac,
Malploton, Mandaroux, Chazaux, etc. (Velay), Munas, le Monteils, etc.
(Vivarais); coseigneurs de la Rivoire, les Crozes, Malhac, Retournac,
Puy-Régnier, etc. (Velay), Saint-Agrève, la
Bâtie-d'Andaure, etc. (Vivarais).
Armes : d'azur, à l'aigle éployée d'argent. En
1285, noble Pierre ALLIER
reconnut à l'Evêque du Puy, ce qu'il avait aux Crozes,
à la Rivoire, au mas de
Malhac et à Puy-Régnier (mandement de Saint-Pal-de-Mons)
: hommage qu'il
renouvela en 1308, en y ajoutant le village de Terrière, et que
firent à leur
tour, Hugon ALLIER, dit de LA ROCHE, damoiseau, son fils
émancipé (1343), et
Adhémar ALLIER, damoiseau (1347). Catherine de LA ROCHE,
reconnut en 1319 et
1343, les mas de Chazaux (mandement d'Yssingeaux) et de Mandaroux.
Pierre
ALLIER de LA ROCHE, clerc du Puy, se reconnut vassal de l'Evêque
(1327). En
1383, Jean ALLIER, notaire royal à
Saint-Didier-la-Séauve, reconnut à l'Evêque,
une rente avait acquise à Retournac de noble Mathieu SALOMON, de
Combres. Magdeleine
ALLIER épousa, le 29 novembre 1548, Antoine de LA BASTIDE, fils
de Claude. Le 8
septembre 1567, Anne ALLIER se maria avec Maurice de LA BASTIDE, fils
des
précédents. Les preuves de maintenue de noblesse de cette
maison remontaient à
: Jean II ALLIER, seigneur de la Fressange (fief acquis des ROCHEBARON,
et pour
lequel il reçut l'investiture le 22 août 1372); se
reconnut vassal du seigneur
de JOYEUSE, baron de Saint-Didier-en-Velay (1385). Il vivait encore en
1403. De
son mariage avec Aëlis de CHAZELLES, les trois filles qui
naquirent sont citées
dans un acte en date du 20 octobre 1420. Dans ce même acte, leur
fils Gabriel
est qualifié de licencié ès droits. Noble Jean
ALIER, de Saint-Didier-en-Velay,
reconnut, en 1405 "l'affar" de la Fressange et de Chantegreille,
ainsi qu'autres fonds sis au mas de la Murette. Noble Philibert Alier,
sgr de
Monteil (D. de Valence) et de la Bastide-d'Andaure, testa, le 14 mars
1552,
ayant épousé : 1° N. de CHOUMOUROUX; 2° Catherine
de LA GéROTIèRE; -- du 2me
lit, naquirent : Jean, qui semble avoir été
d'église, et Clauda, à quétant
héritière universelle de son père, fut
substituée Catherine, sa demie-soeur (Il
est à noter que, dans le testament de Philibert,
précité, Jean ALLIER, son fils
ne se trouve pas cité). Gabriel ALLIER testa le 25 septembre
1580, en faveur de
noble Jean ALLIER, qualifié "noble", ainsi que le testataire.
Ledit
Jean (le produisant), "qui fait le septième des descendants
dudict Jean
annobli, a esté maryé avec dame Izabeau de Larnaye". --
"Desdictz actes
et une infinité d'autres, résulte que la maison de LA
FRESSANGE et ses
devanciers sont en possession de ceste qualité de nobles depuis
sept
générations qui font trois siècles, que dans leurs
alliances ils ont bien
encore le soing de contracter avec personnes de pareile condition,
qu'ils n'ont
jamais faict aucung acte derrogeant à ceste qualité...".
Certificat signé
"BRIZET", commis aux francs fiefs. (source : Nobiliaire du Velay et
de l'Ancien diocèse du Puy, par Gaston de JOURDA de VAUX, tome
VII, pages
178-179). Saint-Victor-Malescours : Le château de Malploton est
situé sur la
route du Chambon à Saint-Agrève. Du manoir primitif, il
reste une tour ajourée,
une porte assez remarquable, trois fenêtres à meneaux et
autant de meurtrières
pour la tir rasant (G. de JOURDA de VAUX, les châteaux
historiques du Velay,
tome II, p 86). La date de construction de ce castel est inconnue, mais
la
maison forte du Maz fut aliénée, ainsi que les terres de
La Fressange, par le
baron Jausserand de SAINT-DIDIER, en faveur de Briand de ROCHEBARON qui
les
rétrocéda, en 1352 (22 juillet 1352), à noble
ALLIER qui prit, dès lors, le nom
de LAFRESSANGE (G. JOURDA de VAUX : op cité, tome II p86). L'un
de ses
descendants, noble Jean ALLIER, seigneur de la Fressange, céda
à Pierre LAFAYOLLE
(sans doute fils de Laurent et de Catherine de MANS, dont
postérité), tout ce
qu'il possédait au village de Malploton (4 juillet 1615). Le 9
juin 1625,
l'acquéreur testa en faveur de Marguerite de BRUNIER, sa femme.
Celle-ci
s'alliait, un an après (le 21 septembre 1626) à Jacques
de SOUBEYRAN (G. JOURDA
de VAUX : op cité, tome II, p 86), seigneur de Montgiraud, fils
d'Innocent et
d'Isabeau FARNIER (la famille de SOUBEYRAN fut maintenue noble le 16
décembre
1670). Innocent, né de ce mariage, institua son
héritière, Françoise, sa soeur,
mariée au comte de LA FORET de DIVONNE (1707). En 1733 Malploton
et ses
dépendances furent acquis de Gilbert de LA FORET-DIVONNE par
Gabriel du PELOUX
de SAINT-ROMAIN (F. MANDET : op cité, tome VI, p 391). Le 21
novembre 1782,
louis du PELOUX de SAINT-ROMAIN les cédait à son tour, au
chevalier d'HAUTERIVE
(G. JOURDA de VAUX : op cité, tome II p 86). En juin de la
même année, Jean
SOUVIGNET (Denis SOUVIGNET, acquéreur de Malploton, et maire de
Saint-Didier,
en 1790, fut père de Jean, maire comme lui, mort en 1832,
laissant Denis,
célibataire, qui légua le Malploton à son neveu,
Augustin SOUVIGNET, maire de
Saint-Didier, décédé en 1878) y était
déjà établi (ce lieu était peu sûr.
En
1697, le jour de Saint-Pierre et Saint-Paul un garçon fut
tué et volé. Quelques
jours après l'assassin fut arrêté. Il mourut en
prison. Le mercredi 11 février
1699, à 7heures du soir, on a fait mourir Etienne VACHEIER, qui
fut enterré au
bois de Mathieu LHERBRET de CELLIEREU. On l'a trouvé le 24
février. Le 23 avril
1699, Claude-Gabriel, son fils, berger de Soleymet, fut pendu; le
granger de
VERON fut roué de coups et son frère, pendu). Enfin, en
1889, Théodora VERON de
LA COMBE se rendait acquéreur de ce château qui
appartient, à l'heure actuelle,
à M. Norbert VERON de LA COMBE. (source : D'azur au Lion
d'Argent, par Paul
RONIN, tome III, page 150). Mons (commune de Saint-Pal-de-Mons) : 1285,
hommage
par noble Pierre d'ALLIER, de la maison de Roche, de ce qu'il a au
village de
Crozes, à Puy-Régnier, mandement de Mons, de ce qu'il a
au village de la
Rivoire, au mas de Malhac et de Coloniachac (sic), à l'exception
de la moitié
du pêcher supérieur de la Roche qu'il tient du seigneur de
Saint-Didier et
l'autre moitié de l'évêché. 1347, hommage
par Adémar d'ALLIER, damoiseau,
semblable à celui d'Héliète d'ALLIER. 1381,
hommage par Jean d'ALLIER de
Saint-Didier, de rentes à Saint-Pal-de-Mons. Retournac et
Retournaguet : 1383,
hommage par messire Jean ALLIER de Saint-Didier, d'une rente annuelle
à Retournac,
acquise par permutation de noble Mathieu SALEMON de COMBRèS.
Retournac et
Retournaguet : 1383, hommage par messire Jean ALLIER, notaire royal, de
14
deniers de censive et de 6 deniers qu'il perçoit annuellement
sur Jean MARLY,
de Jussac, sur une pièce appelée Cote-Peyrouse, sous
l'estrade, du coté de
Retournac. (source : Répertoire Général des
Hommages de l'Evêché du Puy, par
Adrien LASCOMBE, pages 328, 333, 334, 384 et 385). Malploton (le), ou :
Mas
Ploton. canton de Saint-Didier-la-Séauve. A trois mètres
environ de la route
reliant Le Chambon à Saint-Agrève, s'élève
sur le versant d'une colline très
boisée et baignée par la Sémène le
château du Malploton complètement restauré.
Du manoir primitif, il reste une tour ajourée d'une porte assez
remarquable, de
trois fenêtres à meneaux et d'autant de meurtrières
pour le tir rasant. Si la
date de la construction de Malploton est inconnue, nous savons du moins
que la
maison-forte "du Maz" fut aliénée, ainsi que les terres
de la
Fressange, par Jausserand de SAINT-DIDIER, en faveur de Briand de
ROCHEBARON
qui les rétrocâeda, le 22 juillet 1352, à noble
ALLIER qui prit dès lors le nom
de "LAFRESSANGE". L'un de ses descendants, noble Jean ALIER, seigneur
de la Fressange, céda à Pierre de "LAFAYOLLE" (que nous
présumons
être fils de Laurent et de Catherine de MANS, et père de
Benoit, né en avril
1764, et marié le 13 janvier 1806, à Marie Marguerite
QUIOC, dont postérité)
tout ce qu'il possédait au village de Malploton (4 juillet
1615). Le 9 juin
1625, l'acquéreur testa en faveur de Marguerite de BRUNIER, sa
femme. Celle-ci
s'alliait, un an après, le 21 septembre, à Jacques de
SOUBEYRAN, seigneur de
Montgiraud, fils d'Innocent et d'Isabeau FARNIER. Innoncent, né
de ce mariage,
institua son héritière Françoise, sa soeur,
mariée au comte de la FORÊT DIVONNE
(1707). En 1733, Malploton et ses dépendances furent acquis de
GILBERT DE LA
FORÊT-DIVONNE par Gabriel du PELOUX, seigneur de Saint-Romain. Le
21 novembre
1782, Louis de PELOUX de Saint-Romain les cédait à son
tour au chevalier
d'HAUTERIVE. En juin de la même année, Jean SOUVIGNET
(Denis SOUVIGNET,
acquéreur du Malploton, et maire de Saint-Victor en 1790, fut
père de Jean,
maire comme lui, mort en 1832, laissant Denis, célibataire, qui
légua le
Malploton à son neveu Augustin SOVIGNET, maire de Saint-Victor,
décédé en 1878)
y était établit. Enfin, en 1889, M. Théodore
VéRON de LA COMBE se rendait
acquéreur de ce château. Armes : d'azur, à l'aigle
éployée d'argent. Aux
d'ALLIER ont appartenu : Pierre d'ALLIER (fils de Guillaume),
marié par contrat
du 12 janvier 1346 (n. st.) à Catherine MALOERT, soeur de Jean
MALOERT,
chanoine du Puy. Pierre d'ALLIER, possesseur, le 25 août 1355,
d'une maison
sise au Puy, rue de l'Ouche des Farges, qu'il avait acquise de
Guillaume
CHANDORAT, chevalier. Jean d'ALLIER, bourgeois du Puy,
propriétaire, le 29 juin
1327, d'une vigne au terroir de Reillac, et qui testa le 3 juillet 1361
(Archives Départementales de la Haute-Loire, G, 10, 469, 381,
514, 441). Les
d'ALLIER avaient possédé également le fief de
Jussac. Jean-Randon ALLIER en fut
maître en 1462, et Randon ALLIER, le 20 octobre 1465 (Archives
Départementales
de la Haute-Loire, G, 78, 61). (source : Les Châteaux Historiques
de la
Haute-Loire, par Gaston de JOURDA de VAUX, tome II, pages 86 à
88). Adossé au
flanc d'une colline que couronne la forêt de Bramard, le
château du Malploton
domine les belles prairies vallonnées baignées par la
Sémène, au-delà
desquelles se profile dans le lointain, la chaîne pittoresque des
Cévennes.
Situé à la limite extrême du Forez, il
dépendait pour le spirituel du diocèse
du Puy. Il a depuis été rattaché au
département de la Haute-Loire, comme
faisant partie de la paroisse, puis de la commune de
Saint-Victor-Malescours. A
une date très ancienne, un château-fort y fut construit,
il se composait d'un
vaste corps de logis aux murs épais, flanqué de quatre
tours massives garnies
de canardières et de meurtrières au tir rasant,
entouré d'une enceinte
elle-même protégée, avec son puits
intérieur, son silo ou cave souterraine,
retrouvé en 1892, et les longs souterrains que la tradition lui
attribue et
dont les vestiges ont été découverts en 1856. Il
offrait à ses défenseurs des
ressources sérieuses, aussi dut-il remplir un rôle
efficace lors des invasions
puis des guerres entre seigneurs si fréquentes à cette
époque troublée du
moyen-âge et dont, à peu de distance, le champ dolent
conserve le douloureux
souvenir. Ses premiers possesseurs paraissent être les seigneurs
de
Saint-Didier, qui durent l'établir pour la protection de leur
baronnie
(...).Isabelle, fille d'Alexandre de SAINT-DIDIER et d'Agnès du
CHAYLA, veuve
d'Hugues de HAULTERIVE de VALS, épousa en seconde noces, vers
1335, Henri dit
Ploton de ROCHEBARON (...). C'est depuis cette époque qu'on voit
les Mas
prendre le nom de son nouveau propriétaire, Mas Ploto, Mas
Plotoni, Mansum
Plotoni, puis Malla Plotoni et finalement Malploton. A la mort de
Plotard de
ROCHENARON, fils des précédents, son cousin et
héritier Guigon de ROCHEBARON,
assisté de ses oncles Armande de LA TOUR et Albert de
ROCHEBARON, prieur de
Saint-Trivier, exécuteurs testamentaires, vendit le Mas ainsi
que le domaine et
bâtiment de La Fressange, à Jehan ALLIER, le 22 juillet
1372. Ce fut au château
de Polignac que Jehan ALLIER en reçut l'investiture, le 22
août 1372, de noble
Armand, vicomte de POLIGNAC, administrateur des biens de son fils Jean,
marie
d'Isabeau, dite Bellonde de SAINT-DIDIER. Jehan ALLIER était
notaire à
Saint-Didier et fut anobli en 1375. Il reçut ses lettres de
noblesse du roi
Charles V, lors de son passage au Puy, en 1378. Le 7 août 1385,
il rendit
hommage pour le Mas Ploto, à Louise de JOYEUSE, époux de
Thiburge de
SAINT-DIDIER, mai sans doute en raison de l'état de
délabrement de la vieille
demeure, il préféra s'installer aux portes de
Saint-Didier, à La Fressange,
dont il prit le nom. (source : Les Châteaux Historiques du Forez,
par Emile
SALOMON, tome III, pages 148 à 156). d'ALLIER.--La famille
d'ALLIER dut jouer
autrefois un rôle considérable dans le pays, si l'on en
juge par les grandes
alliances qu'elle eut à son début, et par le somptueux
écusson armorié dont
elle a orné la petite chapelle du clocher de
Saint-Didier-en-Velay. Peut-être
fut-elle, comme tant d'autres, ruinée par les guerres civiles?
On la retrouve,
en effet, beaucoup moins opulente aux siècles suivants. Elle a
même donné au
Puy une branche d'orfèvres, établie dans la rue de la
Traverse dès 1296. En
1313, Raymond d'ALLIER, orfèvre du Puy, fit une reconnaissance
à l'évêque
Bernard de CASTANET. Le 5 avril 1359, Jean BAUDOYN, dit Monéda,
orfèvre du Puy,
y possède plusieurs maisons hors la Porte Pannessac, "joignant
celle de
dame Reyne, femme de Reynaud d'ALLIER, orfèvre". Un premier
d'ALLIER,
Pierre, probablement un cadet, avait quitté Saint-Didier vers
1295, pour se fixer
au Puy, où il est qualifié de "bourgeois" dans une
reconnaissance
qu'il passe aux POLIGNAC en 1313. Son fils Pierre était aussi
"bourgeois
du Puy" en 1357; son petit-fils Jean l'était encore les 11 avril
1387 et
13 mai 1399; il était père de Gabriel, majeur en 1399,
'licencié ès droit du
Puy". Une branche avait passé successivement au Port de
Retournac, à
Vaunac, Artias, Chomelix, La Valette de Saint Paulien. En 1383, Jean
d'ALLIER
de Saint-Didier rend hommage à l'évêque pour ses
biens d'Artites et Artias; il
est notaire royal à Retournac, son fils Jean est seigneur de
Pieyres le 20
décembre 1395. Jordanet d'ALLIER, alias d'ALHIET (car en
changeant de pays
l'orthographe du nom s'altère) rend hommage aux du BOYS en 1399
pour ses biens
de Chomelix ainsi que Jean d'ALLIER, époux de Philippa de
JUSSAC, de Retournac.
En 1428, Pierre d'ALHIET est à La Valette. Il épouse Alix
de VISSAGUET.
(Archives du Marquis des ROYS. Archives de Don Joa de MELLO, à
Lisbonne).
(source : Les Orfèvres du Puy-Notre-Dame, par Noël
THIOLLIER, notes
généalogiques par A. BOUDON-LASHERMES,
Saint-Félicien, 1943, page 74).], ...
marié avec...
138 881: Aëlis
de CHAZELLE [Note : De
CHAZELLES, seigneurs de Chazelles près Pinols, de
Védrines-Saint-Loup,
d'Alliet, de Beauregard, de Courdes, du Suc, de Pouzols, de
Roche-Salesse, de
Montirat, du Rieux, etc... (Auvergne). Noblesse connue depuis
Géraud de
CHAZELLES (1266). Pons de CHAZELLES, chevalier (1285). Trois
chanoines-comtes
de Brioude (1323-1472). Maintenue le 6 octobre 1666. Branche en
Languedoc.
Belles alliances. Armes : D'azur, à une tête de
léopard d'or, lampassée de
gueules, au chef cousu de même, chargé d'une étoile
et d'un croissant d'argent.
(cf : Armorial Général du Velay, par Georges PAUL, page
125). De CHAZELLES.--
Il a existé plusieurs fiefs de ce nom en Auvergne et provinces
voisines; entre
autres, Chazelles aux frontières du Bourbonnais,
possédé en 1286 pas Pons de
CHAZELLES, lequel assista au testament que Bertrand III, sire de La
Tour, fit à
Toulouse en 1285, et qui sans doute était parent de Hugues de
CHAZELLES,
commandeur de Saint-Jean de Ségur, de Montferrand, en 1245, et
de Pierre de
CHAZELLES, abbé de Mauzac, à la même époque.
On trouve ensuite Pons et Aymeric
de CHAZELLES, possessionnés en Forez, de 1273 à 1333, et
enfin Guillaume de
CHAZELLES, sur lequel le vicomte de Thiers et le comte de Forez
prétendaient à
la fois avoir droit de suzeraineté, droit qui fut l'objet de
plusieurs traités,
de 1292 à 1309. On ignore le sort de ces familles,
postérieurement aux actes
précités; mais il y a lieu de supposer qu'elles n'ont eu
rien de commun que le
nom avec celle dont la notice va suivre. Armoiries : inconnues. De
CHAZELLES.--
Seigneurs de Saint-Loup, de Margeride, du Suc ou du Luc, de Baguet, de
Pouzols,
de Beauregard, d'Oeillet, de Roche-Salesse, de Courdes, de Montirat et
du
Rieux, élections de Saint-Flour et de Mauriac.-- Nous
connaissons, dans la
haute Auvergne, deux fiefs de Chazelles : l'un dans la paroisse
d'Auriac, entre
Blesle et Massiac, possédé, de temps immémorial,
par la maison de CHAVAGNAC qui
en rendit hommage à Beraud, sire de Mercoeur en 1291; l'autre
Chazelles est un
chef-lieu de commune du canton de Ruines, près de Saint-Flour,
et c'est
vraisemblablement celui-ci qui a donné son nom à une
famille d'ancienne extraction,
connue de puis Géraud de CHAZELLES, vivant en 1266,et Pierre de
CHAZELLES,
damoiseau, en 1333. Vers le même temps, c'est-à-dire en
1323 et 1325, Bertrand
et Jacques de CHAZELLES étaient chanoines-comtes de Brioude;
Philippe de
CHAZELLES le fut en 1472.-- Pierre de CHAZELLES, écuyer,
marié le 24 avril 1488
à Isabelle de BONNAMY, fut le cinquième aïeul de
Gilbert de CHAZELLES, de Paul
Tristan de CHAZELLES et autres parents, domiciliés à
Lieutadès,
Ussel-en-Planèze, à Vedrines-Saint-Loup, maintenus dans
leur noblesse en 1666.
Eux et leurs descendants firent foi-hommage au Roi en 1669, 1683, 1699
et 1723.
MM. de CHAZELLES de Courdes et de Roche-Salesse assistèrent
à l'Assemblée de la
noblesse à Saint-Flour en 1789. Ce dernier rameau est
représenté, de nos jours,
par M. de CHAZELLES de ROCHE-SALESSE, longtemps maire de la Commune de
Saint-Hippolyte et électeur du canton de
Riom-èz-Montagnes, avant 1830.-- MM.
LAINé et de SAINT-ALLAIS ont avancé qu'une autre branche
de la même famille
existe en Languedoc; nous ne sommes à même ni de
contredire, ni d'affirmer leur
témoignage; nous ferons observer seulement que la
généalogie de six degrés,
publiée par M. se SAINT-ALLAIS, dans le premier volume du
Nobiliaire Universel,
et dans laquelle on ne rapporte pas une seule date, ne nous
paraît pas
suffisamment justifiée. A cette dernière appartient le
comte de
CHAZELLES-LUNAC, né à Nîmes en 1778,
sous-préfet de Murat et baron de l'Empire
en 1812, transféré à la sous-préfecture de
l'Orient en 1817, et appelé, le 12
août 1818, à la préfecture du Morbihan, qu'il
conserve jusqu'à la révolution de
1830.66 Il y a encore une famille de CHAZELLES en Provence.-- Celles
d'Auvergne
s'est alliée aux maisons de BONNAMY, de MEYNADON, de CHAMBEUIL,
de LA ROQUE, de
LIZET, de l'ESTRADE, de LAURICHESSE, de SARTIGES, de DIENNE, de LA
MAJORIE-SOURSAC, etc., etc. Armoiries : d'azur, à une tête
de léopard d'or
lampassé de gueules; au chef cousu de même, chargé
d'une étoile et d'un
croissant d'argent (voyez pl. 10, fig. 5). (source : Nobiliaire
d'Auvergne, par
J.B. BOUILLET, tome II, Clermont-Ferrand, 1847, pages 186 à 188
et pl. 10).
CHAZELLES (de) : Preuves de noblesse reçues par d'HOZIER pour
les écoles
royales militaires en 1790 (B.N, fr. 32099, dossier n° 103).
CHAZELLES, Sgr de
Beauregard (de) (Rouergue) : Famille maintenue noble lors de la
recherche de
noblesse par l'intendant FORTIA dans la généralité
d'Auvergne le 15.10.1666,
par l'intendant LE GENDRE dans la généralité de
Montauban le 15.07.1700 (cf
LAINé, Archives de la noblesse de France, tome 10) - Armes :
d'azur à la tête
de léopard d'or, lampasssée de gueules; au chef cousu du
même chargé d'une
étoile et d'un croissant d'argent. CHAZELLES, Sgr d'Oeillet (de)
(Auvergne) :
Famille maintenue noble lors de la recherche de noblesse par Bernard de
FORTIA
dans la généralité d'Auvergne le 06.10.1666
(Bibliothèque Municipale de
Clermont-Ferrand, Ms. 550) (cf Louis de RIBIER, Preuves de noblesse
d'Auvergne
tome 1, qui donne ces preuves) Armes : d'azur à 1 tête de
léopard d'or,
lampasée de gueules; au chef cousu du même chargé,
à dextre d'une étoile
d'argent, à senestre d'un croissant du même. (Source :
Nouveau Nobiliaire de
France, par Louis d'IZARNY-GARGAS, tome 1, page 420). De CHAZELLES,
seigneurs
d'Oeillet, Vedrines-Saint-LOup, Beauregard, Courdes, etc. (BOUILLET, t.
II,
p.187). D'azur, à une tête de léopard d'or,
lampassée de gueules; au chef cousu
de même, chargé à dextre d'une étoile
d'argent et à senestre d'un croissant de
même. Gilbert de CHAZELLES, seigneur d'Oeillet, paroisse d'Ussel,
élection de
Saing-Flour, fils à Louis, marié avec demoiselle Jeanne
de LESTRADE, prouvé par
le contrat de mariage du 11 août 1651, reçu LABOURD, Nre.
Au moment des
productions, il était âgé de 40 ans, et faisait sa
demeure au village de La
Vayssières, paroisse de Trizac, élection de Mauriac.
Louis de CHAZELLES, fils à
Guillaume, marié avec demoiselle Louise LIZET, dame de Courdes,
prouvé par le
contrat de mariage du 17 décembre 1613, reçu DUCLAUX,
Nre. Guillaume de
CHAZELLES, fils à Antoine, marié 1° avec demoiselle
Antoinette de CHAMBEUIL,
suivant contrat reçu DUMAS, Nre, le 21 mars 1680, et 2° avec
demoiselle Jeanne
de LA ROQUE, suivant contrat reçu ROUX, Nre, le 10 janvier 1585.
Antoine de
CHAZELLLES, fils à Antoine, marié avec demoiselle Vaence
de LAIRE, prouvé par
le contrat de mariage du 19 janvier 1541, reçu BARRIER, Nre.
Antoine de
CHAZELLES, fils à Guillaume, marié en 1507 avec
demoiselle Françoise de
MEYNADON, prouvé par le traité intervenu entre cette
dernière, comme tutrice
d'Antoine, Alips et Marguerite, leurs enfants mineurs, et Louis de
CHAZELLES,
son beau-frère, le 10 décembre 1528 devant LAFARGE et
BOYER, Nres. Guillaume de
CHAZELLES, fils à Pierre, marié en 1475 avec demoiselle
Ponchette ou Ponsette
CLANCHE, prouvé par une transaction faite avec Antoine, son
frère, le 14 mars
1507, devant BODIN, Nre. Pierre de CHAZELLES, écuyer,
marié en 1441 avec
demoiselle Isabelle de BONNAMY, prouvé par le testament de
ladite BONNAMY,
passé devant BARRIER, Nre, le 24 avril 1588. Dans cette
généalogie entrent : 1°
Paul-Tristan de CHAZELLES, sieur de Saint-Loup, frère du
produisant, marié le
13 août 1652 avec demoiselle Catherine de LAURICHESSE, demeurant
à Montirat,
paroisse de Méallet, élection de Mauriac; 2° Jacques
de CHAZELLES, sieur de
Bagnes, Guillaume de CHAZELLES, deuxième du nom, sieur du Suc,
et Louis de
CHAZELLES, sieur de Pouzols, fils de feu Guillaume, premier du nom, et
d'Antoinette DANJOLIE : lesdits Guillaume 1er, Jacques et Guillaume
IIe, frère
de Louis et comme lui fils de Guillaume et de Jeanne de La ROQUE,
3° enfin Jean
de CHAZELLES, sieur de Beauregard, fils de Claude, et de Jeanne de
GORCE et
petit-fils d'Antoine et de Valence de LAIRE. Maintenue, sous forme de
restitution de titres, du 6 octobre 1666. (Source : Preuves de la
Noblesse d'Auvergne,
par Louis de RIBIER, tome I, pages 163-164). CHAZELLES, Colombette,
Lijay,
XVIIe S. : D'argent semé de trèfles de sable. CHAZELLES,
à St-Thurin, XVIIe S.
: D'azur à un chat accroupi d'or, ailé du même, au
chef cousu de gueules,
chargé de trois étoiles d'argent (AG). de CHAZELLES,
à St-Etienne et Lyon,
XVIIe S. : D'azur au chevron d'or, accompagné en chef de trois
trèfles d'argent
et en pointe d'un croissant du même (AG). CHAZELLES, Vilette,
Mirable, la
Brosse, Talière, Versanne, à Cervières, XVIIe
& XVIIIs S. : D'azur à la
fasce d'or, accompagnée en chef d'un vol & en pointe d'un
demi-vol
d'argent. Panneaux du XVIIIe S. sculptés et peints à
Boën; cachets du XVIIIe S.
(source : Répertoire Héraldique ou Armorial
Général du Forez, par Louis-Pierre
GRAS, Paris, 1874, pages 70-71).], ... dont:
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